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Le Fil d'Ariane

Sébastien Renault: Pollution, confusion, et virus (COVID-19 oblige) : quelques remarques en passant

5 Mai 2020 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Opération Coronavirus

« Πάντα ῥεῖ… » [1]

(Héraclite)

Extrait:

(...) Nous sommes pris aujourd’hui dans un mouvement de peur collective organisée, qu’aucune pandémie précédente n’avait pareillement soulevé. Ce qui suggère que l’infection—dans ce qu’elle a de réel, donc sans inclure les exagérations statistiques qu’on nous rabâche jour après jour depuis plusieurs semaines—n’en est pas le facteur principal.

 Certes les statistiques semestrielles ou annuelles associées aux divers facteurs non-contagieux de mortalité dans le monde ne représentent pas des phénomènes strictement comparables aux conditions de progression d’un virus, tel que COVID-19. Pour autant, un virus en tant que tel ne se propage pas non plus, puisqu’il n’est pas, comme le sont par exemple les bactéries, un organisme vivant. En eux-mêmes, les virus ne possèdent pas la capacité de se reproduire et de se propager. Ils ne se développent donc qu’en parasitant et en infectant les cellules des organismes vivants auxquels ils s’attachent. Les virus agissent ainsi directement sur les systèmes et la constitution des milieux vivants et fonctionnent en quelque sorte comme un chevauchement des domaines biologique et biochimique. Mais, au sens strict des entités biologiques proprement dites, ils ne sont pas eux-mêmes « vivants ». Ainsi l’éclosion (ou l’inoculation volontaire) d’un virus tel que le COVID-19 est rendue possible par la présence de quelque organisme ou système vivant, en l’occurrence les systèmes immunitaires déficitaires. Différence cruciale donc, que les médias se gardent bien sûr de souligner, par ignorance ou par volonté intentionnelle de manipuler les masses.   

Par ailleurs, la préservation de la santé immunitaire, puisque c’est bien là que réside la véritable charnière de l’aspect authentiquement médical de cette crise de santé publique, ne dépend évidemment pas de l’isolement des gens en bonne santé ; ni plus des mesures supplémentaires de sujétion et de contrôle promulguées par les organisations intergouvernementales et autres lobbies mondialistes, poussant à la vaccination universelle obligatoire. L’isolement social ne devrait concerner que les personnes souffrant d’un déficit immunitaire. Car il est en revanche néfaste aux personnes munies d’un système immunitaire sain. De fait, la résilience immunitaire naturelle du corps humain (son homéostasie) est destinée à se constituer et à se renforcer en réponse aux attaques virales ou bactérielles extérieures. 

Moralité, ce ne sont pas les microbes et les virus qui tuent les gens (notre corps est lui-même composé de centaines de billions de microbes et de virus, dont différents types de coronas). La cause principale de la mortalité, aujourd’hui comme hier, est à chercher dans la déficience immunitaire, condition de possibilité de l’essor d’un virus (par ailleurs directement conditionnée par notre alimentation empoisonnée et saturée de sucrerie chimique particulièrement dommageable à l’endroit du fonctionnement normal et sain du système immunitaire).  

 Nous l’avons oublié aujourd’hui, parce que la médecine occidentale ne se distingue quasiment plus d’une institution pharmaco-centrique focalisée sur la lutte contre la transmission microbienne. D’après cette perspective sans partage, le « salut du monde » repose en dernière instance sur la vaccination et les « miracles » financiers faramineux de la dépendance toute pharmaceutique du pauvre mouton de panurge contemporain (nous-mêmes, en tant que société cobaye sous le joug des élites mondialistes politico-financières et pharmaceutiques). 

Remarquons que, pour apprivoiser le public et le bien convaincre que la solution ultime et indiscutable à cette « crise sans précédent » réside dans la vaccination universelle, il faut commencer par générer une peur collective colossale, elle-même universelle. C’est désormais chose faite, grâce au COVID-19... 

Ce qui fait cruellement défaut aujourd’hui, comme le souligne le docteur Wolfgang Wodarg [18], « c’est une manière rationnelle de voir les choses » [19]. Or, il incombe précisément à l’homme, lorsqu’il est proprement ordonné à la juste finalité qui sied à sa nature composée, de penser rationnellement, afin de continuer à actualiser sa place irréductible dans la création (Gn 1, 28). S’il s’y emploie réellement, il réalise du même coup sa véritable liberté d’agent intelligent et moral, y compris face aux épreuves et en proie aux crises les plus redoutables, qu’elles soient l’œuvre de la Nature ou celle des forces obscures régissant le grand spectacle du monde, puisque toutes sont également les instruments de la divine Providence.     

Malheureusement, le climat actuel de peur contagieuse ne fait que renforcer la capacité de contrôle déshumanisant que le pouvoir étatique scélérat entend exercer sur quiconque s’adonne encore à l’exercice joyeux de la pensée libre—et à l’adoration du seul et véritable Dieu. Restaurer la société et l’économie va donc requérir bien davantage que de simplement déterger les nations d’une infection virale, aussi dévastatrice soit-elle. L’irrationalité contemporaine tient en la réduction de l’homme à un phénomène strictement matériel issu du « hasard et de la nécessité », que certains « défenseurs » de l’environnement vont jusqu’à vouloir bannir pour de bon, sous prétexte de « préservation de la Nature »... Telle est bien l’idolâtrie effarante dans laquelle nous plonge la déraison et le messianisme écologique soumis aujourd’hui, plus que jamais, aux maîtres du pouvoir (financier, géostratégique, idéologique), véritables suppôts de Satan menant une guerre implacable contre l’image et la ressemblance mêmes de Dieu (Gn 1, 26-27). 

Or, la contagion de fond, qui pollue l’homme jusqu’au plus intime de sa nature, non pas matérielle mais bien spirituelle, est bien sûr celle qui s’exerce depuis sa chute sur les facultés les plus hautes de son âme rationnelle, que sont son intelligence et sa volonté. Le ravage pestilentiel qui afflige aujourd’hui le monde entier sous la forme évasive du coronavirus ne fait guère que manifester, dans le for externe, ce qui se joue en fin de compte dans le for interne de l’humanité, en proie perpétuelle à la contamination spirituelle par ce qu’on appelle le péché [20]—que l’on définira d’abord, en saine théologie, comme ce qui enfreint à la règle de la raison [21]. (...)

Sébastien Renault

Note 1: Tout sécoule...

Source: Des principes physiques du contrôle du CO2 et du rayonnement atmosphérique, par Sébastien Renault.

 

https://drive.google.com/file/d/13u5rNvHSwGkrJ-7iaXtUFwJzqMvq1jqU/view

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