L'immigration de masse programmée par l'ONU
"Un rapport de l'ONU de 2001 préconise l'installation en Europe de 159 millions d'immigrés d'ici 2025, ce qui aurait pour effet la submersion des populations nationales. Souvenons-nous que la dénatalité et la décadence romaines entraînèrent les invasions Barbares."
Aymeric Chauprade, Géopolitique, p. 151 (Constantes et changements dans l'histoire). Ed. Ellipses, 2003.
Henry Miller: les Etats-Unis d'Amérique (1940)
Dans les années 1940, l'écrivain Henry Miller juge son pays natal: les Etats-Unis d'Amérique:
"Un peuple en rapide décadence, dont un tiers est déjà réduit à la pauvreté, dont les plus intelligents pratiquent le suicide racial, et dont les opprimés s'approchent chaque jour davantage de la rébellion, de la criminalité, de la dégénérescence, de la dégradation. Et une poignée de politiciens ambitieux et sans scrupules qui essaient de persuader la foule que ce pays est le dernier refuge de la civilisation."
Mikis Théodorakis: "Qui veut détruire la Grèce ?"
"Le compositeur et ancien ministre grec Míkis Theodorákis ne croit pas que son pays soit responsable du malheur financier qui l’accable. Il décèle derrière cette crise la main de Washington et dénonce le rôle du FMI."
A propos d'un texte de Nicolas Gomez Davila sur la campagne française
(illustration tirée de l'Histoire de France, par Henri Servien)
"Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France, et les véritables trésors et mines du Pérou"
Maximilien de Béthune, duc de Sully
Le site internet Royal-Artillerie a publié un texte spirituel et saisissant du moraliste colombien Nicolas Gomez Davila sur la campagne française (en oubliant de préciser de quel ouvrage il était tiré).
Comment ne serais-je pas d'accord, au fond de moi-même, avec ces lignes, moi qui me suis évadé plusieurs fois et pour de très longues années, de mon Jardin de France, cette prison merveilleuse et dorée, cette perfection terrestre et humaine commencée bien avant le Néolithique, au Paléolithique même (Lascaux) - et qui sait avant- , pour découvrir la nature sauvage et les hommes qui vivent à son contact, d'abord en haute mer à bord de voiliers, puis au Labrador québécois et dans les Andes du Pérou et de Bolivie ?...
Car en France, même les forêts sont cultivées...
Ce que j'ai compris tout de suite, c'est que la nature sauvage n'a pas besoin de l'homme et qu'elle est brutale. On s'adapte, on la comprend, on respecte ses lois, ou on la fuit au plus vite.
Mais j'ai constaté aussi que les choses ne sont pas si simples que cela et que l'homme ne peut vivre dans la nature sauvage qu'en l'aménageant d'une certaine manière: en traçant et en entretenant des sentiers de portage de lac en lac ou de rivière en rivière à travers la taïga; en défrichant, en plantant ou en disséminant des graines dans la forêt tropicale, en chassant et en contrôlant les gibiers et les prédateurs et en modifiant imperceptiblement le milieu naturel, même apparemment "vierge".
Les Andes elles-mêmes étaient cultivées jusqu'à plus de 4000 mètres d'altitude avant l'arrivée des Espagnols, et souvent par un complexe système de terrasses qui montaient jusqu'à ces altitudes et dont il reste encore des traces.
Les hommes des forêts de Mandchourie traçaient aussi des chemins, construisaient des cabanes et y avaient leurs plantations secrètes de gin-seng, entretenues comme des jardins, comme le raconte Vladimir Arseniev dans son inoubliable récit: "La taïga de l'Oussouri - Mes expéditions avec le chasseur gold Dersou" (traduit du russe par le prince Pierre P. Volkonsky, Payot, Paris, 1939).
Mais ce dont Nicolas Gomez Davila ne parle pas, c'est du lent et silencieux "génocide" des paysans, du peuple et de la terre de France depuis cinquante ans par l'industrialisation de l'agriculture, la "citidinisation", la déchristianisation, la dénatalité, l'immigration de masse, l'abrutissement culturel et l'avilissement des moeurs par les tyrans du Nouvel Ordre Marchand dans lequel nous avons l'infortune de vivre maintenant.
Combien reste-t-il de vrais paysans en France aujourd'hui et quel est leur degré de liberté ? Et sérieusement, quelle fut leur "victoire" avec l'abolition des privilèges de la noblesse ? N'était-ce pas plutôt celle de la bourgeoisie ? Et dans ce terme de "démocratie paysanne", n'y aurait-t-il pas une certaine nuance de mépris qui fait écho aux autres expressions du texte: "pitié", "soumise et servile", "répulsion", "peuple d'insectes" ?
Ce n'est pas la première fois que je remarque dans la pensée de Nicolas Gomez Davila une certaine attitude, peut-être marrane et atavique, qui vient en contradiction avec sa sa culture, sa clairvoyance et sa "catholicité".
Pour ma part, je n'ai jamais éprouvé ces sentiments, sinon de l'amour et de la reconnaissance pour la terre où je suis né et où sont nés mes ancêtres. Et ces vastes horizons sauvages, je les ai cherchés et et je les ai trouvés loin de chez moi, comme tant d'autres voyageurs, soldats, explorateurs, navigateurs et colons. Grâce à Dieu, il n'en manque toujours pas sur la terre.
J'ajouterai qu'en cherchant des espaces vierges et sauvages, ce sont toujours des hommes que j'ai trouvés, car paradoxalement, nulle part comme dans les déserts la présence de l'homme n'est si importante et si nécessaire.
"Lors de la Première Guerre Mondiale, l'Angleterre, à cause des sous-marins allemands, tomba rapidement sous le coup de la famine. Ensuite, mais plus tard, ce fut l'Allemagne. Mais la France, pays agricole, put résister pendant la guerre."
P.-O.C.
"Cette campagne française fait pitié. Terre soumise et servile.
Nature que l’homme a asservie. Sol dompté, incapable de se révolter, plus semblable à une usine alimentaire qu’à la campagne rustique et sacrée que l’homme habitait jadis.
La richesse de la Pomone mythique se transforme en un immense entrepôt de grains et de légumes. La campagne de France n’est pas un jardin, c’est un potager.
Devant ce gigantesque déploiement d’aliments, je ne rêve que de landes stériles, de pitons glacés, de la tiède forêt de mes rivières andines.
Je ne sais d’où me vient cette répulsion. Sobriété innée, goût d’une certaine austérité janséniste, ou modération inévitable d’un ressortissant de pays pauvre? Ah! vieux terrains marécageux de
Port-Royal, friches de Castille, ah! mes âpres collines.
Ce que la campagne française met en évidence, c’est la victoire définitive du paysan.
La tâche entreprise le 4 août 1789 et qu’illuminent de leurs feux symboliques les archives féodales incendiées, est enfin accomplie.
Terre entièrement cultivée, dans ses vallées et sur ses côteaux, sur les rives de ses fleuves, dans les étroits jardins de ses maisons comme dans ses vastes plaines, terre sur laquelle veille un
immense amour paysan pour le sol qui le nourrit et le fait vivre. Ces lourdes moissons, ces feuillages lustrés, ces pampres qui préparent les grossesses de l’automne, sont l’effort implacable de
millions de vies avides et laborieuses. Des vies qui, du matin au soir, travaillent sans relâche le sol qui enfin leur appartient et que plus rien ne protège de leur convoitise séculaire.
Un immense peuple d’insectes s’est répandu sur le sol de la France. Sa sueur le féconde et l’enrichit.
Ces champs exhalent comme la vapeur de la sueur paysanne.
Sur ces terres lumineuses, sur ces horizons doux et purs, sur la lente et molle courbe de ses collines, sur ce paysage d’intelligence et de grâce, de discrétion et de lucidité, règne une
démocratie paysanne."
http://royalartillerie.blogspot.com/2008/11/g-d.html
On n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ...
Évangile de N.-S. Jésus Christ selon saint Matthieu (5, 13-16)
+ Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur
disait :
« Vous êtes le sel de la terre. Si le sel se dénature, comment redeviendra-t-il du sel ?
Il n'est plus bon à rien : on le jette dehors et les gens le piétinent.
Vous êtes la lumière du monde.
Une ville située sur une montagne ne peut être cachée.
Et l'on n'allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison.
De même, que votre lumière brille devant les hommes :alors, en voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux. » +
Jobbik
Connaissez-vous le JOBBIK, le Mouvement pour une meilleure Hongrie (en hongrois, jobbik signifie en même temps, "à droite" et "le meilleur", ce qui est eminément chrétien), dont "l'objectif primordial est la défense des valeurs et des intérêts hongrois" ? Ils arborent la bannière blanche et rouge de la dynastie d'Arpad, la première ayant régné en Hongrie (de 896 à 1301) et dénoncent le Traité de Trianon, signé il y a bientôt 90 ans.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Trianon
http://www.jobbik.com/
http://www.jobbik.com/jobbik_french.html
Un article du Figaro, l'infect quotidien de la bourgeoisie pro-judéo-étasunienne française, qui affuble de l'étiquette officielle, habituelle et haineuse d'"ultranationalistes" ceux qui luttent pour la souveraineté et les intérêts de leur pays, de leur peuple, de leur culture et de leur religion contre leur ennemis:
La société d'autrefois
"La société dans laquelle nous avons été élevés n'avait besoin ni de crèche, ni de maison de retraite. Les familles se chargeaient de ces tâches, et nos maisons étaient conçues pour cela. Les grand-mères s'occupaient de la garde des tout-petits et les adultes assuraient les soins aux plus vieux.
Aujourd'hui, on n'emploie plus ce mot de "vieux", cela paraît indécent et grossier. On aime mieux parler du "troisième âge", c'est plus conventionnel. On relègue le "troisième âge" en "maison de retraite", "l'abattoir" comme disait un vieux copain de mon père.
Nous, nous parlons de nos vieux sans complexe, nous, nous les soignons et nous les entourons de notre affection jusqu'à leur dernier souffle."
Roger Bithonneau, Sur les Falaises de Chassiron, Contes et récits de l'ile d'Oleron. Préface de Lucien Gourong. Illustrations de Pierre Dauphin. Ed. Local, 1991. N° spécial de la revue Les Cahiers d'Oleron.