Maori lawyers say Legal Services Bill is racist in nature (Te Karere, Aotearoa)
He wairua kaikiri too te pire ratonga ture hou a te kawanatanga. Koira te heitara a nga roia Maori. I tona orokohanga ake, i tautoko te Roopu Torangapu Maori i taua pire, na wai ra, ka tahuri ratou ki te whakahee, engari e ai ki nga roia Maori, kua hipa ke te wa. Hei taa nga roia Maori nei, he pire ano tenei e tokitoki iho ana i te wawata o te Maori ki te whakamatautau i ona tika ki roto i nga kooti
Mouseland (Tommy Douglas) : un chef d'oeuvre !
Discours (5 minutes illustrées par un dessin animé d'époque de propagande électorale) de Thomas Clement Douglas, prononcé en 1944. Né le 20 octobre 1904 à Falkirk (Écosse) et décédé le 24 février 1986 au Canada, " Tommy " DOUGLAS fut premier ministre du Saskatchewan (1944-1961). Il a dirigé le premier gouvernement socialiste en Amérique du Nord, et il fut le premier chef fédéral du Nouveau Parti démocratique.
Le mépris et la haine de Marx et d'Engels pour l'humanité (Igor Shafarevich, Le phénomène socialiste)
"But the perception of the world on which the Marxist structure is founded is identical to that in Nechayev and Bakunin. This is particularly clear in the works of Marx and Engels written for a narrow circle of collaborators and, in particular, in their correspondence. (3: XXI-XXIV. It would seem that the full texts of these letters have been published only in Russian translation.) We encounter here the same feeling of disgust and seething hatred for the world, beginning with the writers' parents: "My old man will have to pay plenty for this, and in cash." (Engels to Marx, February 26, 1851) "Your old man is a pig." (Marx to Engels, November 1848) "Nothing to be done with my old woman until I myself sit on her neck." (Marx to Engels, September 13, 1854) The same feelings are vented on close friends: "The dog has a monstrous memory for all such muck." (About Heine, Marx to Engels, January 17, 1853.) The same holds for party comrades: Liebknecht is usually called an ass, a brute, a beast, and so on, even "it." (E.g., in a letter from Marx to Engels, August 10, 1869.) Their own party gets the same treatment: "What significance does a 'party' have, i.e., a gang of asses, blindly believing in us because they consider us equal to themselves. ...In truth we would lose nothing if we were to be considered no longer 'a real and adequate' expression of these mediocre dogs with whom we have spent the last years." (Engels to Marx, February 13, 1851) The proletariat is not excluded:". ..stupid nonsense regarding his being compelled to defend me from that great hatred the workers (i.e., fools) feel for me." (Marx to Engels, May 18, 1859) Neither is democracy: ". ..a pack of new democratic bastards." (Marx to Engels, February 10, 1851)". ..democratic dogs and liberal scoundrels." (Marx to Engels, February 25, 1859) The people are sneered at: "Well, as for loving us, the democratic, the red, even the Communist mob never will." (Engels to Marx, May 9, 1851) And even the human race evokes disgust: "Not a single living soul visits me, and I am glad of that, for humanity here can go ...The pigs! With regards. Yours, K. M." (To Engels, June 18, 1862) " (p. 278)
Igor Shafarevich: The Socialist Phenomenon. This work was originally published in Russian in France under the title Sotsializm kak iavlenie mirovoi istorii in 1975, by YMCA Press. An English translation was subsequently published in 1980 by Harper & Row. This work is now out of print and difficult to find.
As a public service, I have transcribed this important work and I am making it available for free via the Internet. Robert L. Stephens
Ouvrage complet online: link
Mannerheim: le plus grand Européen du XXe siècle ?
"Droit dans les causes droites"
Baron Carl Gustaf Emil Mannerheim (1867-1951)
(...) "Pour la première fois depuis plus d'un siècle, nous avons entendu les salves des canons finlandais tonner à Suomenlinna. C'est un salut à nos camarades tombés, mais aussi un message annonçant les temps nouveaux. Une ère nouvelle avec des devoirs nouveaux. Et pourtant, aujourd'hui comme jadis, les grands problèmes se résolvent par le fer et le sang. Forteresses, canons et aide étrangère sont inutiles, si chaque homme dans le rang ne sait pas que c'est justement lui qui monte la garde de la patrie. Puissent les enfants de la Finlande se rappeler que, sans union, on ne peut créer une armée forte, et que seul un peuple fort peut envisager l'avenir avec confiance.
Soldats! Maintenez haut et sans tache votre drapeau, notre belle bannière blanche qui nous a tous unis et conduits à la victoire."
Général Mannerheim, Discours d'Helsinki, 16 mai 1918.
Les Mémoires du maréchal Mannerheim 1882-1946. Préface du général Weygand. Hachette, Paris, 1952 (page 101, chapitre: La guerre d'indépendance de la Finlande)
"Qu'il m'ait été accordé, à l'heure où le soleil allait se coucher sur une riche carrière militaire en pays étranger, de consacrer mes forces à servir ma patrie au faîte de la pyramide formée par notre défense nationale, c'est certainement un bonheur qu'un vieux guerrier comme moi sait apprécier. Ce n'est pas que le métier de soldat, avec ses responsabilités d'acquérir une gloire militaire, exerce une attraction sur quiconque a vu les horreurs de la guerre s'abattre sur bien des pays et aussi sur sa propre patrie; mais la défense du sol natal est le plus haut devoir et le plus grand honneur qui puisse incomber à un homme. Nous autres soldats nous savons bien que l'honneur de la la tâche accomplie appartient également à tous ceux qui ont fait leur devoir, et c'est pourquoi la généreuse reconnaissance qui m'est dévolue revient également à tous ceux qui m'ont assisté dans ma tâche quotidienne.
C'est sous l'égide de la paix que la concorde doit se créer, afin que la nation, solidement unie, puisse résister aux épreuves que chaque peuple désireux de vivre longtemps sur cette terre se voit imposer par une sagesse supérieure à la nôtre. Si nous sommes divisés, chacun doit aller à la rencontre d'autrui à mi-chemin. Je suis convaincu que toutes les volontés créatrices qui se sont réunies ici chercheront à se rencontrer au même but: le salut de la nation, la sécurité et l'honneur du pays.
Si j'avais le pouvoir de faire en ce jour un cadeau à mes compatriotes, ce serait: unité, confiance mutuelle et contentement.
Maréchal Mannerheim: allocution de remerciement au discours de M. Kivimäki, ancien président du Conseil, à l'occasion de son soixante-dixième anniversaire, le 4 juin 1937. Mémoires, op. cit., pp. 181-182.
"Même un rêveur qui a vécu dans la foi en la paix éternelle commence à s'éveiller et à comprendre le XXe siècle dans toute sa réalité brutale. Ce n'est pas par des déclarations et des phrases qu'on défend le droit des nations, il y faut aussi une volonté défensives en actes et en sacrifices."
Mannerheim, Défilé militaire de Viipuri, 1939. Mémoires, op. cit., p. 197.
- Consulter aussi mon article sur Kai Donner (qui fut son aide de camp) et Mannerheim: link
et:
Un journaliste irlandais s'élève contre la tyrannie de la BCE
A l'occasion d'une conférence de presse, Vincent Brown, journaliste irlandais, interpelle Klaus Masuch, de la BCE, sur la légitimité du 'plan de sauvetage'.
Vincent Brown: "Pourquoi demande-t-on au peuple irlandais, sous la menace de la BCE, pourquoi exige-t-on au peuple irlandais de payer des milliards à des porteurs de bons non-garantis, sous la menace de la BCE ?"
Qui niera aujourd'hui que l'UE, avec son Parlement postiche et sa Commission dictatoriale, n'est qu'une immense entreprise de racket des peuples européens, avec une ambition mondialiste ?
Le chêne foudroyé de Donar-Thor
Photo: Pierre-Olivier Combelles
Le chêne foudroyé, un chêne pédonculé, se dresse sur une colline perdue au milieu d'un vestige de l'antique forêt des Carnutes, aux confins de la Beauce. Derrière, couronnant la colline, une énorme dalle de grès percée d'une cavité géodique ornée de gravures par les chasseurs mésolithiques, il y a sept ou huit mille ans.
La foudre l'a lacéré un jour d'une immense balafre qui part de la cime jusqu'à la souche. Le chêne a survécu. Année après année, l'aubier a repoussé, formant un épais bourrelet protecteur de part et d'autre de la cicatrice.
Arbre sacré des Gaulois et des peuples européens, symbole de longévité et d'éternité, le chêne était dédié à Donar-Thor, dieu de la foudre et du tonnerre.
Doublement sacré, il porte la marque du Dieu.
Pierre-Olivier Combelles
"Dieu seul connaît l'explication des choses cachées" (Ibn Khaldoun)
Un étudiant d' Ibn Khaldoun* lui posa un jour cette question:
« Vous avez écrit que, dans l'univers de la Création, le règne minéral, le règne végétal, et le règne animal sont admirablement liés… Vous avez ensuite, je vous cite, ajouté qu'au sommet de cette création le règne animal se développe alors, ses espèces augmentent et, dans le progrès graduel de la Création, il se termine par l'Homme — doué de pensée et de réflexion. Le plan humain est atteint à partir du monde des singes… où se rencontrent sagacité et perception, mais qui n'est pas encore arrivé au stade de la réflexion et de la pensée. À ce point de vue, le premier niveau humain vient après le monde des singes : notre observation s'arrête là… Vous dites donc, maître, que l'Homme est un singe ? Que le Tout-Puissant a créé l'Homme et le singe à partir du même moule ? Que cette possibilité d'évolution réciproque, à chaque niveau de la Création, constitue ce qu'on appelle le continuum des êtres vivants ? Vous avez donc affirmé que le singe est au voisinage de l'Homme. Dieu aurait donc fait du singe… un parent de l'Homme? »
À ce long discours, visiblement prémédité, Ibn Khaldoun aurait répondu calmement : « J'ai écrit ce qu'une observation attentive permet de découvrir. Dieu seul, qu'Il soit glorifié, dispose du cours des événements, connaît l'explication des choses cachées »
* Ibn Khaldoun, en arabe ابن خلدون (ibn khldoun), de son nom complet Abou Zeid Abd ur-Rahman Bin Mohamad Bin Khaldoun al-Hadrami (en arabe : أبو زيد عبد الرحمن بن محمد بن خالد بن شحش بن كليب القردي), né le 27 mai 1332 à Tunis et mort le 17 mars 1406 au Caire[2], est un historien, philosophe, diplomate et homme politique arabe d'Afrique du Nord. L'historien britannique Arnold Joseph Toynbee écrit dans Une Étude de l'histoire (A Study of History, 1934-1961) qu'Ibn Khaldoun a « conçu et formulé une philosophie de l'histoire qui est, sans doute, le plus grand travail qui ait jamais été créé par aucun esprit dans aucun temps et dans aucun pays".
Extrait de : A propos du créationisme: link
Je suis un Lapon (Johannes Türi)
"Je suis un Lapon qui me suis occupé de tous les travaux des Lapons, et je connais tout de la vie des Lapons. J'ai entendu dire que le gouvernement suédois veut nous aider autant qu'il le peut, mais il n'a pas l'exacte compréhension de notre vie et de notre condition, parce qu'un Lapon ne peut correctement les expliquer telles qu'elles sont: lorsqu'un Lapon pénètre dans une pièce close, il ne comprend plus très bien, quand le vent ne peut plus lui souffler au nez. Ses pensées ne peuvent pas couler quand il y a des murs et quand c'est fermé au-dessus de sa tête. Il n'est pas bon non plus pour lui d'être dans la forêt épaisse quand l'air est chaud. mais quand un Lapon est sur les hautes montagnes il a l'esprit tout à fait lucide et si, là en haut, sur quelque montagne se trouvait un lieu de réunion, un Lapon pourrait alors probablement exposer parfaitement son affaire..."
Johannes Türi
Erland Nordenskjöld (1877-1932)
Inmediatamente luego de su examen en zoología en 1889 Erland Nordenskjöld viajó al extremo sur de Sudamérica para excavar restos de animales extinguidos cerca de la gruta “Ultima Esperanza”. Su padre, el baron Nils Adolf Erik Nordenskiöld, fue el occidental que descubrió el pasaje nororiental ártico cuando Erland aún tenía un año de edad. Pero lo que había despertado su curiosidad por esta gruta del sur chileno era un trozo de piel y unos huesos de un misterioso animal lento y gigantesco que su primo Otto había llevado consigo de Tierra del Fuego a Suecia dos años antes.
Erland Nordenskiöld construyó por su propia cuenta una de las más impresionantes colecciones del mundo en el Museo Etnográfico de Gotemburgo. Además escribió una cantidad de textos académicos y de divulgación científica sobre sus seis viajes de exploración en Sudamérica, que contribuyeron a cambiar los viejos prejuicios europeos sobre los indígenas. La segunda vez que viajó a la Argentina (con la expedición Sueca Chaco-Cordillera entre 1901 y 1902) partió como zoólogo pero regresó como etnógrafo. Este hombre de veinticuatro años recibió una profunda impresión de los abusos a la población indígena en la provincia argentina de Salta y en Bolivia. Redactó el informe sobre moluscos que había planeado hacer pero también cargó de regreso 137 cajas con material arqueológico y etnográfico. Luego de esto se dedicó con gran entusiasmo a estudiar “La Vida Indígena en el Gran Chaco” (título de uno de sus libros), es decir, en Argentina, Bolivia, Paraguay y Brasil. Una exposición que recoge parte de su material fue realizada por el argentino Pablo Rey en 2010 y presentada como muestra itinerante. Erland Nordenskjöld fue el primer etnógrafo que realizó un verdadero trabajo de campo en Sudamérica, dicho en otras palabras, que vivió junto con los indígenas y participó de su vida diaria. El estuvo sin duda adelantado a su época cuando describió los individuos y las culturas particulares de los indígenas en términos positivos. Sus colegas generalizaban y decían, bajo el influjo de la mentalidad colonial común en algunas partes de Europa en esa época, que ciertos grupos étnicos era “perezosos”, otros “completamente indignos de confianza” y otros, en fin, “sucios y primitivos”.
Source: Suecia en Argentina.com.ar: link
José Emperaire et Annette Laming-Emperaire: La grotte du Mylodon (Patagonie occidentale). In: Journal de la Société des Américanistes. Tome 43, 1954. pp. 173-206. link
Ouvrages du baron Erland Nordenskjöld:
"Modifications in Indian Culture Through Inventions and Loans"
"The Changes in the Material Culture of Two Indian Tribes Under the Influence of New Surroundings"
"The Copper and Bronze Ages in South America"
"The Cultural History of the South American Indians"
"An ethno-geographical analysis of the material culture of two Indian tribes in the Gran Chaco"
"An historical and ethnological survey of the Cuna Indians"
"Finds of Graves and Old Dwelling-Places on the Rio Beni, Bolivia"
"Origin Of The Indian Civilizations In South America"
"An Arrow Poison With Cardiac Effect From The New World"
"The Ancient Peruvian Abacus"
"The ethnography of South-America seen from Mojos in Bolivia"
"Travels on the Boundaries of Bolivia and Argentina"
"Travels on the Boundaries of Bolivia and Peru"
"The Secret of the Peruvian Quipus"