Prière du Dauphin Louis de France (1729-1765)
Louis de France, dauphin de France, né le 4 septembre 1729 au château de Versailles et mort le 20 décembre 1765 au château de Fontainebleau, était l'aîné des fils du roi Louis XV de France et de Navarre, et de son épouse Marie Leszczynska. Portrait par Anne Baptiste Nivelon
Prière du Dauphin Louis de France (1729-1765)
"Père éternel, qui, depuis l'établissement de cette monarchie, lui donnez des marques d'une protection spéciale, accordez aux mérites et aux vœux de saint Louis, que ses descendants, que votre serviteur, que tout notre peuple, soient des imitations des vertus qu'il a pratiquées, afin que, conservant la paix au dedans et au-dehors, nous soupirions uniquement après la joie de ce royaume, où les rois et les peuples, ne reconnaissant plus que vous pour pasteur et pour père, seront unis entre eux par les liens d'un amour éternel."
Œuvres chrétiennes des familles royales de France, recueillies par Paul Viollet, Paris, 1870.
« Nous sommes tous égaux devant Dieu dans la naissance et dans la mort. Seuls nos actes nous diffèrent les uns des autres. Vous serez un jour plus grand que ces enfants dans l'estime du peuple; mais ils seront eux-mêmes plus grands devant Dieu s'ils sont plus vertueux. »
Louis de France
Portrait de Louis de France, dauphin par Alexandre Roslin (1765). Versailles, musée national du Château et des Trianons. Le dauphin est représenté en uniforme de colonel-général des Dragons peu de temps avant sa mort.
Commandé par Louis XV à Guillaume Coustou, le mausolée fut mis en place en 1777 dans le chœur de la cathédrale Saint-Étienne de Sens au-dessus du caveau où était inhumé le couple.
Les statues symbolisent la Justice divine (femme couronnée) ; la Religion (femme tenant la croix) ; les Arts (buste au pied de la Justice divine) ; le Temps (homme avec sa faux) et l'Amour conjugal (sous les traits d'un jeune homme qui représenteraient ceux du futur Louis XVI).
Le tombeau du couple delphinal fut profané en mars 1794 par les révolutionnaires qui jetèrent les cadavres dans une fosse commune de la ville.
À la Restauration, sur ordre du roi Louis XVIII, fils du dauphin, et grâce à des témoins, on retrouva les corps et on les replaça dans la cathédrale le 8 décembre 1814. Le mausolée, démonté mais conservé, reprit sa place après quelques restaurations. Il y resta jusqu’en 1852, année au cours de laquelle on le déplaça dans la chapelle Sainte-Colombe où il se trouve toujours. L’emplacement du caveau est indiqué au sol par une plaque.
Élisabeth Philippe Marie Hélène de France, dite Madame Élisabeth, née le 3 mai 1764 à Versailles et morte guillotinée le 10 mai 1794 à Paris était le huitième et dernier enfant du dauphin Louis et de Marie-Josèphe de Saxe. Sœur du roi Louis XVI, elle lui apporta un soutien indéfectible durant la Révolution française.
Emprisonnée avec la famille royale en 1792 et appelée à comparaître devant le Tribunal révolutionnaire sous la Terreur, elle fut condamnée à mort et exécutée. Le processus en vue de sa béatification est en cours.
Les treize armes de Sun Tzu pour déstabiliser un pays
1 - Discrédite le bien.
2 - Compromets les chefs.
3 - Ébranle leur foi, livre-les au dédain.
4 - Utilise des hommes vils.
5 - Désorganise les autorités.
6 - Sème la discorde entre les citoyens.
8 - Ridiculise les traditions.
9 - Perturbe le ravitaillement.
10 - Fais entendre des musiques lascives.
11 - Répands la luxure.
12 - Débourse.
13 - Sois renseigné.
Sun Tzu (Chine, vers 540 av. J.-C.)
Subversion: définition du dictionnaire Petit Robert (1972)
Subversion. n.f. (1990; lat. subvers: de subvertere). Litt. Bouleversement des idées et des valeurs reçues, renversement de l'ordre établi, surtout dans le domaine de la politique.
Petit Robert. Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert. Société du Nouveau Littré. Paris, 1972.
Terrorisme (définition du dictionnaire Petit Robert (1972)
Terrorisme. n. m. (1794; de terreur). ✦ 1° Hist: Mot employé dans la période qui suivit la chute de Robespierre pour désigner la politique de terreur des années 1793-94. 2° (1922): Cour. Emploi systématique des mesures d'exception, de la violence pour atteindre un but politique (prise, conservation, exercice du pouvoir...) et spécialt. Ensemble des actes de violence (attentats individuels ou collectifs, destructions) qu'une organisation politique exécute pour impressionner la population et créer un climat d'insécurité.
Petit Robert. Dictionnaire alphabétique et analogique de la langue française par Paul Robert. Société du Nouveau Littré. Paris, 1972.
Henri de Lubac: "Le drame de l'humanisme athée"
« L’humanisme athée ne pouvait aboutir qu’à une faillite. L’homme n’est lui-même que parce que sa face est illuminée d’un rayon divin. »
Henri Sonier de Lubac, né le 20 février 1896 à Cambrai et mort le 4 septembre 1991 à Paris 7e, fut un Jésuite, théologien catholique, membre de l'Institut et un cardinal français.
Henri de Lubac: "Le drame de l'humanisme athée". Par l'analyse de l'athéisme de Nietzsche, de Feuerbach et d'Auguste Comte, il montre comment cet athéisme, qui est en réalité un antithéisme, et plus exactement un antichristianisme, conduit à l'écrasement de la personne humaine... De tout cela il ressort que, non seulement croire en Dieu ne s'oppose pas à être homme, mais qu'au contraire c'est l'humanisme athée qui finit par être inhumain."
Source de la citation inconnue, retrouvée dans un carnet de notes.
Le drame de l'humanisme athée est un ouvrage du P. Henri de Lubac, paru d'abord aux Éditions SPES en 1944 et ensuite aux Éditions du Cerf, à Paris, en 1959.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Drame_de_l%27humanisme_ath%C3%A9e
https://www.editionsducerf.fr/librairie/livre/16630/le-drame-de-l-humanisme-athee
Jean Dutourd: Les Serbes et la Serbie (L’esprit de contradiction, fondement de la vertu, discours à l'Académie française le jeudi 5 décembre 1996)
SÉANCE PUBLIQUE ANNUELLE
le jeudi 5 décembre 1996
L’esprit de contradiction
fondement de la vertu
PRONONCÉ PAR
M. Jean DUTOURD
Directeur de la séance
PARIS PALAIS DE L’INSTITUT
(...)
Le tribunal international décerne des prix Nobel de crimes de guerre, des prix Nobel de crimes contre l’humanité, des prix Nobel de génocides, à des individus ou à des collectivités dont le tort principal est d’avoir déplu aux puissances qui régentent le monde et que celles-ci veulent écraser, mais avec des prétextes honorables. La vertu réellement vigilante ne doit pas se laisser égarer par ces procès qui ne sont pas fort différents dans le fond des procès de Moscou, lesquels étaient des copies des procès de Paris en 1793.
L’exemple le plus instructif de ces procès est celui que l’on fait aux Serbes de Bosnie, comme s’ils étaient les seuls coupables dans la guerre civile de Yougoslavie, alors que c’est eux, peut-être, qui ont été les plus éprouvés, que c’est ce peuple qui a connu le plus de tragédies dans son histoire ancienne et son histoire récente, et dont la bravoure, le sens de l’honneur semblent à peine de notre temps. Pourquoi avoir choisi les Serbes, pourquoi les avoir chargés de tous les péchés, les avoir accusés des plus impardonnables horreurs, alors qu’ils en ont plutôt moins commis que les autres et que, s’il leur est arrivé d’être un peu vifs, c’était plutôt par esprit de conservation ou légitime défense que par perversité ? Mais il est des gens, ai-je remarqué, à qui l’on impute à crime de ne pas vouloir mourir. Les Serbes sont de ceux-là : ils ont été empalés par les Turcs qui ont tâché, pendant quelques siècles, de les convertir à Mahomet et y ont échoué, ils ont été stérilisés par l’Empire austro-hongrois, massacrés par les Oustachis, bradés au communisme par la conférence de Yalta, décapités par le dictateur croate Tito et ils sont toujours là, persévérant dans leur être, continuant à maintenir en vie cette chose impalpable et infiniment précieuse qu’est une âme nationale. Les philosophes, les intellectuels, les humanitaires professionnels, les gouvernements, les Nations unies, le tribunal de La Haye, le monde entier pèsent sur les Serbes, les tuent ou les calomnient. Comment la justice ne se sentirait-elle pas contrainte de rejoindre leur camp ? Comment la vertu, fût-elle complètement aveugle, ne serait-elle pas aimantée vers eux, qui sont seuls contre l’univers et qui, de ce fait, ont forcément raison contre l’univers ?
Pourquoi les avoir choisis comme boucs émissaires, demandons-nous. Pour quelques-uns de ces motifs secrets que la vertu, si elle est vigilante et perspicace, doit rechercher jusqu’à ce qu’elle les ait, sinon identifiés, du moins entrevus. Le plus apparent de ces motifs est que les Serbes ne sont pas de bon ton, c’est-à-dire à la pointe de la mode politique de cette année. Ils ont trois vices, le premier étant de se trouver dans la situation de paysans défendant leur terre. Cela n’est point noble aux yeux de l’opinion mondiale qui exige que l’on se batte pour des idées et non pour des carrés de légumes ou pour quelque vieille chapelle en ruine. Leur second vice est qu’ils sont chrétiens, ce qui est un objet de dégoût pour la pensée occidentale, laquelle s’accommode assez bien du bouddhisme, de l’Islam, voire des superstitions animistes et, au nom des droits de l’homme, se prosternerait avec respect devant les grigris des sorciers, mais n’a pas la moindre pitié pour ceux qui se réclament de la Croix du Christ. Le troisième vice des Serbes, et probablement le plus impardonnable, encore qu’il ne soit jamais évoqué, est l’amitié étroite qu’ils ont toujours éprouvée à l’égard de la France, et que la France, jusqu’à un passé fort récent, leur a rendue. Avec nous, les Serbes ont gagné la guerre de 1914, cette guerre dont on ne parle plus, dont on efface fiévreusement les traces, ou que l’on travestit, afin que la contestable gloire d’avoir accouché du monde moderne revienne tout entière au puritanisme œcuménique.
Les Serbes ont été nos compagnons, nos frères d’armes. À ce titre, ils devraient nous être sacrés. Après quarante ans d’esclavage, leur premier mouvement a été de se tourner vers nous, de renouer l’ancienne alliance. La vertu aurait dû nous pousser à embrasser leur cause, même si elle n’était pas meilleure que celle des autres belligérants, à nous mettre aveuglément à leurs côtés, sans écouter les accusations dont on les chargeait.
Ceux qui se sont érigés en juges de la Serbie ont été plus clairvoyants; il ne leur a point échappé qu’en condamnant ce peuple, cette nation qui tentait de survivre et s’y prenait comme elle pouvait, c’est à la France qu’ils portaient indirectement leurs coups ; ils espéraient qu’ils ne trouveraient pas chez nous assez de vertu pour que nous fussions solidaires de nos vieux camarades et leur calcul, malheureusement, a été juste. Il y a toujours ici un parti de l’étranger ou, si l’on préfère, un parti du reniement, qui est parfois le plus fort et, lorsque c’est le cas, nous entraîne dans des actions ou des attitudes que nous regrettons bien, après que la vertu a réintégré notre cœur.
(...)
Paul Craig Roberts: Les Américains insouciants ont condamné l'Amérique à la tyrannie
ASTROLOGUE : Écoute. Si tu voyais un monde entier brûlé jusqu’au cœur par le feu, tu n’aurais encore qu’un songe. Même si tout tombait dans le néant, depuis le poisson jusqu’à la lune, on trouverait encore au fond d’un puits la patte d’une fourmi boîteuse. Et tout pourrait recommencer. Quand même les deux mondes seraient tout-à-coup anéantis, il ne faudrait pas nier l’existence d’un seul grain de sable de la terre. S’il ne restait aucune trace, ni d’hommes, ni de génies, fais attention au secret de la goutte de pluie.
Attar, La Conférence des Oiseaux.
25 mai 2023
Les Américains insouciants ont condamné l'Amérique à la tyrannie
Paul Craig Roberts
Une vidéo qui fait l'effet d'une bombe : La "pandémie Covid" était le résultat d'une vaste propagande médiatique : "Personne n'est à l'abri, SOYEZ AFRAID !"
https://www.globalresearch.ca/covid-pandemic-was-entirely-product-propaganda-nobody-safe/5820225
Encore et encore, des Américains insouciants laissent les presstitués [NDLR: "pressitutes": médias prostitués] leur laver le cerveau, les endoctriner et les tromper. Par la suite, ils finissent par comprendre, ou certains d'entre eux finissent par comprendre. Mais malgré la leçon apprise, un autre précédent qui érode la vérité et la liberté a été établi. Et malgré la leçon apprise, ils resteront assis devant leurs écrans de télévision pour le prochain lavage de cerveau et l'endoctrinement par les journalistes qui servent l'oligarchie au pouvoir en trompant les Américains. Ma voix est celle d'un seul, la leur est celle de plusieurs.
Il n'est pas nécessaire de remonter très loin dans le temps, juste la vie d'adulte de la génération américaine actuelle, plus âgée, pour dresser la liste des tromperies qui se sont succédé.
Il y a eu l'assassinat du président John F. Kennedy et de son frère Robert Kennedy par la CIA et sa dissimulation par les deux partis politiques et la Commission Warren.
Une fois JFK écarté, nous avons eu droit à la fausse nouvelle de l'incident du golfe du Tonkin, utilisée par le régime Johnson et les démocrates pour déclencher la guerre du Viêt Nam, qui a coûté 50 000 vies américaines et notre réputation. https://www.history.com/topics/vietnam-war/gulf-of-tonkin-resolution-1
Ensuite, les atrocités ont explosé. Pour ne pas les citer toutes, il y a eu la violation par le régime Clinton de la parole du gouvernement américain lorsque, profitant de la faiblesse de la Russie avec l'effondrement de l'Union soviétique résultant de l'arrestation du président Gorbatchev par les membres les plus durs du Politburo, Clinton a déplacé l'OTAN à la frontière de la Russie. Les patriotes américains ont salué cette erreur fatale comme "un coup d'assommoir pour le communisme".
Puis nous avons eu le coup monté du 11 septembre, qui a donné aux néoconservateurs américains leur "nouveau Pearl Harbor" pour lancer leurs guerres contre les pays du Moyen-Orient qui ont limité l'expansion israélienne dans le sud du Liban et plus loin encore.
Puis nous avons assisté à l'invasion de l'Ossétie du Sud, un protectorat russe, par l'armée géorgienne équipée et entraînée par les États-Unis. La Géorgie, lieu de naissance de Joseph Staline, a longtemps été une province russe avant l'effondrement de l'Union soviétique.
Puis nous avons eu la "Révolution de Maïdan" orchestrée en Ukraine en 2014, qui a renversé un gouvernement vivant en paix avec la Russie, dont l'Ukraine faisait partie depuis de nombreux siècles, et l'a remplacé par un gouvernement néo-nazi dirigé par Washington. Cet acte stupide et irresponsable des néoconservateurs américains a entraîné une augmentation des provocations gratuites de la Russie qui se termineront par une guerre nucléaire.
Ensuite, nous avons eu la "pandémie Covid" orchestrée qui a utilisé la propagande et la peur pour habituer les peuples occidentaux à la suppression de leurs libertés et des protections constitutionnelles des libertés civiles afin "d'être en sécurité". Une fois de plus, les peuples occidentaux insouciants sont tombés dans le panneau et ont à nouveau réduit leurs libertés.
Les États-Unis ont vécu le Russiagate, révélé par le conseiller spécial Durham comme une orchestration sans fondement du FBI visant à discréditer le président Donald Trump, deux mises en accusation sans fondement de Trump basées sur rien d'autre qu'une haine idéologique, une fausse "insurrection du 6 janvier" orchestrée pour diaboliser Trump et ses partisans, un faux scandale de documents (documentsgate) orchestré contre Trump jusqu'à ce que l'on découvre que Biden, en tant que vice-président, avait en sa possession bien plus de documents du type de ceux utilisés pour s'en prendre à Trump. Et maintenant, nous avons le pornstargate. Une star du porno vieillissante a apparemment vu sa dernière chance de s'enrichir en extorquant des fonds à Trump pendant sa campagne présidentielle. Les avocats de M. Trump lui ont conseillé de la payer et de se débarrasser de ce que les démocrates feront comme principal sujet de campagne. Le procureur noir de l'État de New York et le procureur général noir accusent les avocats de Trump d'avoir déclaré à tort le paiement comme une dépense légale, ce qui est le cas puisqu'il a été conseillé et traité par des avocats, alors qu'il aurait dû être déclaré comme une dépense de campagne. Il ne s'agit pas d'une base légitime pour inculper un président des États-Unis.
Si l'on considère que le président des États-Unis peut être harcelé pendant sept ans sur la base de fausses accusations évidentes, comment pouvons-nous espérer que les États-Unis aient un avenir ? S'ils peuvent faire cela à un président, que peuvent-ils faire à vous et à moi ?
Ayant observé l'insouciance du public américain pendant toute une vie, j'ai été convaincu par eux qu'ils sont incapables de défendre leur liberté et de reconnaître les défis à leur liberté. Ils tombent toujours dans le panneau de l'"ennemi étranger" de l'establishment au pouvoir.
L'insouciance* est incompatible avec la liberté.
Je crois que Jean Raspail a vu la fin du monde occidental en 1973 et l'a décrite dans son roman Le camp des saints. Pour éviter le découragement, je me récite le poème anglo-saxon du IXe siècle, La bataille de Malvern Bridge** [sic: Bataille de Maldon], dans lequel le comte anglais, qui tente de repousser les raiders vikings, dit à ses troupes qui diminuent : "Alors que notre nombre diminue, notre volonté doit devenir plus forte."
Je continue donc à me battre alors que nos effectifs diminuent.
Paul Craig Roberts
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2023/05/25/insouciant-americans-have-doomed-america-to-tyranny/
Traduit de l'américain par Rouge et Blanc
* NDLR: Insouciance ou ignorance ?
** Erreur de Paul Craig Roberts. Il s'agit de la Bataille de Maldon, non pas du IXe siècle mais du Xe siècle, en 991, et dont il confond le nom avec celui de la Bataille de Malvern Hill (1862) https://en.wikipedia.org/wiki/Battle_of_Malvern_Hill
Bataille de Maldon
La bataille de Maldon s'est déroulée le 11 août 991 après J.-C. près de Maldon, au bord de la rivière Blackwater, dans l'Essex, en Angleterre, sous le règne d'Æthelred l'Insoumis. Le comte Byrhtnoth et ses princes menaient les Anglais contre une invasion viking. La bataille s'est soldée par une défaite anglo-saxonne. Après la bataille, l'archevêque Sigeric de Canterbury et les échevins des provinces du sud-ouest conseillèrent au roi Æthelred de payer les Vikings plutôt que de poursuivre la lutte armée. Le résultat fut le paiement d'un Danegeld de 10 000 livres romaines (3 300 kg) d'argent (environ 1,8 million de livres sterling au prix de 2022).
Le récit de la bataille, agrémenté de nombreux discours attribués aux guerriers et d'autres détails, est relaté dans un poème en vieil anglais généralement appelé The Battle of Maldon (la bataille de Maldon).
https://en.wikipedia.org/wiki/Battle_of_Maldon
The Battle of Maldon
Then Byrhtnoth ordered each of his warriors
to release their horses, to hurry them far away,
and to go forwards, mindful of their hands and their stout courage. (2-4)
When Offa’s kinsman first understood
that the earl would not suffer cowardice,
he let his beloved hawk fly from his hands
away into the woods and then he advanced to the battle—
that was a gesture one could recognize:
the young warrior did not wish to waver at war,
when he took up his weapons. (5-10)
Also Eadric wanted to support his lord,
his master in battle so he bore his spear
forth to the fight. He had good intentions
so long as he could hold with his hands
a shield and broad sword—he would validate his vow
when the time came to fight before his lord. (11-6)
Then Byrhtnoth encouraged his warriors there,
riding and ruling, directing his soldiers
how they must stand and keep that place, and gave them
instruction as to how they should hold their shields
correctly, fast with their hands—that they should fear nothing.
When he had fortified his fyrd-men graciously,
then he alighted amid the ranks, where it most pleased him,
in the place where he knew his most loyal hearth-guard to be. (17-24)
Then one stood on the shore, sternly calling out,
a Viking herald, conversing in many words,
he delivered in a vaunt the message of the brim-sailors
to that nobleman where he stood on the riverbank: (25-8)
“They have sent me to you, the hardy sea-men—
they bid you be informed that you must quickly send
rings in exchange for protection, and it would be better
for you to buy off with tribute this storm of spears,
otherwise we should deal in such a hard battle.
We needn’t destroy ourselves if you are sufficiently rich—
we wish to establish a safeguard in exchange for gold.
If you decide this, you who are most powerful here,
and you wish to ransom your people
and give to the sea-men, according to their own discretion,
money in exchange for peace, and take a truce at our hands,
we will go back to our ships with our payment,
and sail away, holding the peace with you.” (29-41)
Byrhtnoth spoke back, raising up his shield,
waving his slender spear, speaking in words,
angry and resolute, giving them answer: (42-4)
“Have you heard, sailor, what these people say?
They wish to give you spears as tribute,
the poisonous points and ancient swords,
this tackle of war that will do you no good in battle.
Herald of the brim-men, deliver this again,
say unto your people a more unpleasant report:
here stands with his troops a renowned earl
who wishes to defend this homeland,
the country of Æthelred, my own lord,
and his citizens and territory. The heathens
shall perish in battle. It seems a humiliation
to let you go to your ships with our treasures
unfought—now you have come thus far
into our country. You must not get our gold
so softly. Points and edges must reconcile us first,
a grim war-playing, before we give you any tribute.” (45-61)
Then, bearing his shield, he ordered his warriors to advance,
all those who stood on the riverbank.
Nor could that army go unto the other because of the water;
where the flood came flowing after the ebb-tide.
The watery streams separated them. It seemed to them too long
before they could muster their spears together.
There they stood in press alongside Pante’s stream,
the greatest of the East-Saxons and the spear-hordes.
Nor could any of them afflict the other side,
except those who were felled by the showering of arrows.
The tide went out—the float-men stood ready,
the many Vikings, eager warriors. (62-73)
Then the shelter of heroes ordered his war-hardened warriors
to keep the bridge. One was named Wulfstan,
keen amongst his kin, he was the son of Ceola,
who with his spear shot down the first man
who was boldest and stepped onto the bridge.
There stood with Wulfstan warriors unafraid,
Ælfhere and Maccus, two proud men,
they did not wish to flee from the ford,
yet they fixedly defended it against their foes,
as long as they were allowed to wield their weapons. (74-83)
When they perceived this and keenly observed
that they had encountered bitter bridge-wardens there,
then the Vikings began to use guile, the hated guests,
asking that they be allowed to have free passage,
faring across the ford, leading their foot-soldiers. (84-8)
This the nobleman allowed, due to his overweening pride—
he gave up too much land to those hated people.
He shouted across the cold water then,
Byrhthelm’s son, while his warriors listened:
“Now is passage granted to you, come quickly to us,
as men to the fight: God alone knows
who will be allowed to control the field of slaughter.” (89-95)
Then the slaughter-wolves waded—caring not for the water—
the Viking army, westward across the Pante,
across the bright waters, carrying their board-shields,
sailing-men to the shore, bearing yellow linden.
There they stood ready against the ferocious one,
Byrhtnoth and his warriors. He ordered them
to form a shield-wall with their shields and for the army
to hold fast against their foes. Then was the fighting near,
glory in battle. The time was coming
that fated men must fall there. (96-105)
There was shouting heaved up, and ravens circling,
eagles eager for carrion—an uproar was on the earth.
Then they let fly from their hands spears file-hardened,
the spears grimly ground down, bows were busy—
shields were peppered with points. (106-10)
Bitter was the onslaught, warriors fell
on either side, the young men lying down.
Wulfmær was wounded, choosing a slaughter-rest,
Byrhtnoth’s kinsman—he was mightily cut down
with a sword, his sister-son.
There requital was given back to the Vikings—
as I heard it—Eadweard struck down one
mightily with his sword, not withholding his blow,
so that a fated champion fell down at his feet.
For this Byrhtnoth gave his thanks to him,
lord to chamberlain, when he had the chance. (111-21)
They all stood so firmly stiff-minded,
the young warriors in the battle, thinking eagerly
who they could soonest conquer
with their swords, the life of fated men,
the warriors with their weapons. Slaughter fell upon the earth.
They stood steadfast: Byrhtnoth exhorted them,
ordering every warrior to think upon the scrum,
who wished for glory in fighting the Danes. (122-9)
Then one stern in war waded forth, heaving up his weapon,
sheltered by his shield, stepped up against Byrhtnoth.
The earl went just as resolutely to the churl,
either of them intending evil to the other.
Then the sea-warrior sent a southern spear,
that wounded the lord of warriors.
Byrhtnoth shoved it with his shield, so that the shaft burst,
and that spear-head broke so that it sprang out again.
The fighting-warrior became infuriated; he stabbed with his spear
the proud Viking, who had given him that wound.
Aged was the army-warrior; he let his spear go forth
through the neck of the younger warrior, guided by his hand
so that he reached the life of that sudden attacker. (130-42)
Then he swiftly pierced another Viking,
so that the mail-shirt burst—that one was wounded in the breast
through the ring-locks, the poisonous point
stood at his heart. The earl was the happier,
then he laughed, the mindful man, said thanks to the Measurer
for the day’s work which the Lord had given him. (143-8)
Then some Viking warrior let go a spear from his hand,
flying from his fist so that it went too deeply
through the noble thane of Æthelred.
One stood by his side, a young warrior not fully grown,
a boy in the battle, who very bravely
pulled the bloody spear out of the warrior,
the son of Wulfstan, Wulfmær the young,
let go the exceedingly hard spear go back again;
the point travelled in, so that he who had laid his lord
previously onto the earth was wounded sorely. (149-58)
Then an armored man came up to the earl—
he wished to carry off the rings of the warrior,
the armor and the accoutrements and the ornamented blade.
Then Byrhtnoth drew out his sword from its sheath,
broad and brown-edged, and struck him in the byrnie.
Too quickly some sail-man hindered him,
when he wounded the arm of that earl.
The golden-hilted sword fell to the ground—
neither could he hold the stern blade,
or wield his weapon. Nevertheless the hoary battle-warrior
spoke a word, emboldening his fighters,
ordered them to go forth as good comrades;
then he could not stand fast on his feet for long. (159-71)
Byrhtnoth looked to heaven:
“I thank you, Wielder of peoples,
for all these joys that I have experienced in the world.
Now I have, mild Measurer, the greatest need
that you should grant my spirit the good
that my soul may be allowed to venture unto you
into your keeping, Prince of Angels
ferrying with peace. I am a suppliant to you
that these hell-harmers shall not be allowed to injure it.” (172-80)
Then the heathen warriors cut him down
and both of the men who stood beside him,
Ælfnoth and Wulfmær, both lay there,
when they gave up their lives beside their lord. (181-4)
Then they retreated from the battle spineless in the fray.
There the son of Odda was first to flight,
Godric from the fight, and abandoned the good man
who many times often given him a horse;
he leapt on the steed which his lord owned,
in those trappings which he had no right to take,
and his brothers were with him, both running away,
Godwine and Godwig, caring not for the fight,
but they turned from the war and sought the forest,
flying into the fastness and protecting their lives,
and more men as well, more than was proper,
if they had remembered all their favors
that Byrhtnoth had done for them to their glory. (185-97)
So Offa had told him earlier in the day
in the meeting-place when he held a moot,
that there were many speaking proudly
who would not endure the tough going. (198-201)
Then the leader of the people was felled,
Æthelred’s earl; all saw him,
his hearth-retainers, that their lord lay down.
Then there the proud thanes went forth
uncowardly men hastened eagerly;
they all wished one of two things—
to give up their lives or revenge their dear lord. (202-8)
So the son of Ælfric encouraged them forwards,
a warrior young in winters, speaking in words,
Ælfwine then spoke, saying valiantly:
“I remember the occasions when we often spoke at mead,
when we heaved up boasts on the benches,
heroes in the hall, about the dire struggle;
now one can find out who is brave.
I am willing to reveal my lineage to all,
that I was from a great family in Mercia;
my old father was called Ealhelm,
a wise alderman, blessed with worldly things.
The thanes among that people must not reproach me,
that I wished to go from this army,
seeking my country, now my lord lies
cut down in the battle. To me that is the greatest harm—
he was both my kinsman and my lord.” (209-24)
Then he went forwards, mindful of the feud,
so that with his spear he wounded one float-man
among his people, so that he lay upon the earth,
killed by his weapon. Then he urged on his comrades,
his friends and allies, to go forwards. (225-9)
Offa spoke, shaking his spear-haft:
“So, Ælfwine, you have urged us all,
thanes at the need, now that our lord lies,
an earl upon the earth. There is a need
for all of us to exhort the other,
warriors into warfare, so long as he can
hold and keep his weapons: the stern sword,
the spear and the good blade. Godric,
the cowardly son of Odda, has betrayed us all.
Too many men believed, when he rode away on a horse,
upon that proud steed, that it was our lord.
Because of that our people are broken up here in the field,
the shield-wall is shattered. Damn his deeds,
which encouraged so many a man to flee!” (230-43)
Leofsunu spoke next and heaved his shield up,
his shield as shelter; he said to the warrior:
“I promise that I will not flee from here
one step of the foot, but I will go further,
avenging in this struggle my friendly lord.
The steadfast men of Sturmere will not need
reproach me with words, now my friend has fallen,
that I should travel lordless home,
turned from the war, but I shall take up my weapon,
both point and iron.” He went forth full angry,
fought steadfastly, despising to flee. (244-54)
Dunnere then spoke, brandishing his spear,
a humble churl, calling out over all,
asking that every warrior avenge Byrhtnoth:
“Nor can he flinch back at all who intends to avenge
his lord in these folk, nor mourn for his life.” (255-9)
Then they went forth, reckoning not of their lives.
These retainers fought sternly, fierce spear-bearers,
and they asked God that they be allowed to avenge
their friendly lord and work downfall among their foes. (260-4)
Then their hostage helped eagerly:
he was of sturdy stock from Northumbria,
Ecglaf’s son, he was named Æscferth.
He did not flinch back at all at the war-play,
but he sent forth arrows very frequently;
sometimes he shot into a shield, sometimes he skewered a warrior,
more than once in awhile he gave someone a wound,
so long as he was allowed to wield weapons. (265-72)
Still at the van stood Eadweard the tall,
ready and eager, speaking boastful words
that he would not flee a foot of land,
or bend backwards while his superior lay dead.
He broke the Viking shield-wall and with their warriors fought.
until he had worthily avenged his treasure-giver
upon the sea-men, before he too lay dead among the slain. (273-79)
So did Ætheric, a noble comrade,
quick and eager to go forth and earnestly fight.
Sibyrht’s brother and very many others
clove the curved shields, the fierce men defended themselves—
they burst the rims of shields, and the byrnie sang out
a certain terror-song. Then in the battle
Offa struck a Viking, so that he fell to the earth,
and there the kinsman of Gad sought the ground.
Offa was rapidly hewn down in the battle—
though he had accomplished what he had promised his lord,
as he earlier vowed to his ring-giver
that they should both ride to the city,
healthy to home, or in the battle perish,
in the place of slaughter, killed by wounds:
he lay like a true thane close to his lord. (280-94)
There was a crashing of shields. Seafarers came forth
enraged in the fight; the spear often went right through
the life-houses of the fated. Then Wystan went forth,
Thurstan’s son, he fought against the warriors—
he was in the press, the killer of three of them,
before Wigelin’s son lay dead among the slain.
There was a stern moot there. They stood fast,
warriors in the warfare, warriors perishing,
warriors wearied by wounds.
The slain fell to the earth. (296-303)
Oswold and Eadwold all the while
both of them brothers, encouraged the warriors,
their friendly companions they urged with their words
that they must endure there in their need,
not weakly, using their weapons. (304-8)
Bryhtwold spoke out, heaving his shield
(he was an old comrade), brandishing his spear;
very boldly he advised the warriors:
“Resolution should be the tougher, keener the heart,
the mind should be greater when our power diminishes.
Here lies our lord, all chopped up,
a good man on the gravel. He will always regret it,
he who thinks to turn away from this war-play.
I am old in life—I don’t wish to wander away,
but I’m going to lie down by the side of my lord,
beside these beloved men.” (309-19)
So Æthelgar’s son emboldened them all,
Godric to the fight. Often he let go of his spear,
the slaughtering spear flying into the Vikings,
so he went forth, first in that crowd,
hewing and maiming, until he perished in the battle.
This certainly was not the Godric who flew from the fight… (320-5)
[End missing]
Source: https://oldenglishpoetry.camden.rutgers.edu/battle-of-maldon/
La natalité s’effondre dans tous les pays très vaccinés. Entretiens avec Laurence Kayser (gynécologue) et avec Pierre Chaillot (statisticien). COVIDHUB.CH/ Epoch Times
Où sont les bébés? Les observations de la gynécologue Laurence Kayser concordent avec celles du statisticien Pierre Chaillot. Le lien avec les doses anti-Covid est établi.
25 mai 2023
Dans en entretien exceptionnel donné à EpochTimes, la gynécologue belge Laurence Kayser témoigne de la hausse des troubles de la sphère gynécologique qu’elle observe chez ses patientes depuis le début des vaccinations Covid.
Elle exprime également ses doutes par rapport à la vaccination contre le papillomavirus et aborde aussi la question des traitements hormonaux administrés dans le cadre des transitions de genre.
Laurence Kayser est une des rares gynécologues francophones à avoir publiquement exprimé ses critiques par rapport à la gestion de la crise du Covid. Pour cela elle a été convoquée à deux reprises par l’ordre des médecins, pour être finalement blanchie. Elle a même fait dire au président de la commission de l’Ordre, au sujet des effets à long-terme des injections Covid, qu’il n’a « pas de boule de cristal ».
(...)
Où sont les bébés ? Analyse statistique
Le statisticien Pierre Chaillot explique dans une vidéo fouillée le phénomène observé de la baisse de la natalité.
Lisez l'article et visionnez les vidéos ici sur le suite suisse COVIDHUB.CH:
NDLR: C'est une évidence que l'Opération Covid, avec la fausse pandémie, la terreur organisée avec le concours des mass-média et des gouvernements, l'apparition synchrone de la 5G, les confinements massifs, le port du masque, des "gestes-barrière" et les "vaccinations" obligatoires a été et est un coup d'état mondial et un attentat contre la santé humaine physique et mentale, présente et future, dans le cadre d'un programme de DÉPOPULATION organisé de longue date, de pair avec l'Agenda 2030 de l'ONU. Un génocide planétaire délibéré. Dans cette situation, peut-on parler d'"effets secondaires" ? ces effets n'étaient-ils pas prévus ? on peut légitimement se poser la question.
https://www.covidhub.ch/effondrement-natalite-pays-tres-vaccines/
A la fête de l’OMS, les invités devront montrer patte blanche vaccinale!
Une telle exigence pour l’invitation à son 75e anniversaire est-elle légale? Elle pose question au moment où on parle de renforcer les pouvoirs de l’OMS
Par Christian Campiche, journaliste, infoméduse
L’Organisation mondiale de la santé a le sens du décorum. En avril dernier, ses instances ont lancé les festivités destinées à célébrer le 75e anniversaire de sa création, en 1948. Déterminée à ne pas s’arrêter en si bon chemin, l’OMS organise une fête le 2 juin 2023 dès 15h30 en ses locaux de Genève.
L’invitation du directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus est adressée aux «anciens fonctionnaires de l’OMS» avec cette recommandation: «Venez habillés avec des vêtements de votre pays d’origine».
Certificat de vaccin covid exigé
Pittoresque et sympathique. Mais attention, il faudra montrer patte blanche! Gare à ceux qui ne se présenteront pas “revêtus” d’un certificat de vaccination Covid-19 en bonne et due forme! Ils seront refoulés à l’entrée.
https://www.covidhub.ch/fete-oms-patte-blanche/
Sur le même sujet:
The Plan: WHO’s Ten Years of Infectious Diseases (2020 to 2030), Leading to World Tyranny
By Peter Koenig
Muhammad Iqbal: "Parinday ki Faryad" (The Bird's Complaint)
Sir Muhammad Iqbal (Urdu: محمد اقبال; 9 November 1877 – 21 April 1938) was a South Asian Muslim writer, philosopher, scholar and politician, whose poetry in the Urdu language is considered among the greatest of the twentieth century, and whose vision of a cultural and political ideal for the Muslims of British Raj was to animate the impulse for Pakistan. He is commonly referred to by the honorific Allama (from Persian: علامہ, romanized: ʿallāma, lit. 'very knowing, most learned').
Born and raised in Sialkot, Punjab, Iqbal completed his B.A. and M.A. at the Government College Lahore. He taught Arabic at the Oriental College, Lahore from 1899 until 1903. During this time, he wrote prolifically. Among the Urdu poems from this time that remain popular are Parinde ki faryad (A bird's prayer), an early meditation on animal rights, and Tarana-e-Hindi (The Song of Hindustan) a patriotic poem—both poems composed for children. In 1905, he left for further studies in Europe, first to England, where he completed a second B.A. at Trinity College, Cambridge and was subsequently called to the bar at Lincoln's Inn, and then to Germany, where he received a Ph.D. in philosophy at the University of Munich. After returning to Lahore in 1908, he established a law practice but concentrated on writing scholarly works on politics, economics, history, philosophy, and religion. He is best known for his poetic works, including Asrar-e-Khudi – after whose publication he was awarded a knighthood, Rumuz-e-Bekhudi, and the Bang-e-Dara. In Iran, where he is known as Iqbāl-e Lāhorī (Iqbal of Lahore), he is highly regarded for his Persian works.
Iqbal regarded Rumi as his Guide and Ashraf Ali Thanwi* as the greatest living authority on the matter of Rumi's teachings. He was a strong proponent of the political and spiritual revival of Islamic civilisation across the world, but in particular in South Asia; a series of lectures he delivered to this effect were published as The Reconstruction of Religious Thought in Islam. Iqbal was elected to the Punjab Legislative Council in 1927 and held a number of positions in the All India Muslim League. In his 1930 presidential address at the League's annual meeting in Allahabad, he formulated a political framework for Muslims in British-ruled India. Iqbal died in 1938. After the creation of Pakistan in 1947, he was named the national poet there. He is also known as the "Hakeem-ul-Ummat" ("The Sage of the Ummah") and the "Mufakkir-e-Pakistan" ("The Thinker of Pakistan"). The anniversary of his birth (Yom-e Welādat-e Muḥammad Iqbāl), 9 November, used to be a public holiday in Pakistan until 2018 Abul Hasan Ali Hasani Nadwi wrote Glory of Iqbal to introduce him to the Arab world.
Source: https://en.wikipedia.org/wiki/Muhammad_Iqbal
* Ashraf Ali Thanwi (often referred as Hakimul Ummat and Mujaddidul Millat (19 August 1863 – 20 July 1943) was a late-nineteenth and twentieth-century Sunni scholar, jurist, thinker, reformist and the revival of classical Sufi thought from Indian subcontinent during the British Raj, one of the chief proponents of Pakistan Movement. He was a central figure of Islamic spiritual, intellectual and religious life in South Asia and continues to be highly influential today. As a prolific author, he completed over a thousand works including Bayan Ul Quran and Bahishti Zewar. He graduated from Darul Uloom Deoband in 1883 and moved to Kanpur, then Thana Bhawan to direct the Khanqah-i-Imdadiyah, where he resided until the end of his life. His training in Quran, Hadith, Fiqh studies and Sufism qualified him to become a leading Sunni authority among the scholars of Deoband. His teaching mixes Sunni orthodoxy, Islamic elements of belief and the patriarchal structure of the society. He offered a sketch of a Muslim community that is collective, patriarchal, hierarchical and compassion-based.
Général Leonid Ivashov: Hooray for the Global Crisis!
Ce ne sont pas les philosophes, les poètes, les musiciens ou les explorateurs de mondes lointains qui donnent le ton de la vie des gens aujourd'hui, mais plutôt les financiers et les hommes d'affaires. Le gain matériel, l'argent, le luxe et le pouvoir sont devenus les codes fondamentaux de la grande masse des gens.
Le dualisme physique-spirituel de l'être humain est de plus en plus réduit à sa seule composante "corps". Or, un tel être humain n'est ni utile à la Nature, ni acceptable par Dieu. Il est donc voué à disparaître. En effet, l'homme a été créé à l'image et à la ressemblance de Dieu, et son existence physique est soutenue par son lien avec le monde végétal et animal, ainsi qu'avec la nature non vivante.
Le modèle contemporain de l'être, basé sur l'idéologie du monétarisme, doit être remplacé par l'être cognitif et spirituel. C'est là que réside le salut de la civilisation humaine. Cela ne peut se faire qu'en passant par la fournaise d'une crise du système financier et économique mondial, où la crise est un moyen de priver l'oligarchie mondiale de son pouvoir réel.
Général Leonid Ivashov
This article appears in the February 8, 2008 issue of Executive Intelligence Review.http://www.larouchepub.com/other/2008/3506ivashov_article.html
Hooray for the Global Crisis!
by Leonid Ivashov
This article by Mr. Ivashov, General-Colonel, and President of the Academy of Geopolitical Problems, was published in Russian, on the website of the Strategic Culture Foundation (fondsk.ru), on Jan. 26, 2008. The translation into English for EIR is by Rachel Douglas. Subheads have been added. See also Lyndon LaRouche's reply.
Mankind is watching with alarm, as crisis hits the American and world economies.
The G. Bush Administration is seeking a way out of the crisis through war. The President of the U.S.A. has just visited the Mideast, where he attempted to put together an anti-Iran alliance. According to reports received Jan. 25, the members of the UN Security Council have prepared a new draft resolution on Iran. The new version essentially unties the hands of the U.S. President and the Israel lobby in the American Congress for war against the Islamic Republic of Iran.
But, will a new war save the world economy and the world's reserve currency?
The present model of the world financial and economic system is unipolar, with the ruling pole being the country that controls the world currency. And that nation, in turn, is controlled by the owners of major private monetary fortunes.
That is the U.S.A., which functions merely as the instrument of global power and money. The Bilderberger Society's formula says that power is merely a commodity, although it is the most valuable one. Therefore, the wealthiest people should have power.
The United States, despite the seeming democracy of its Presidential elections, is under the power of finance capital. Mao Zedong's aphorism, "Power grows out of the barrel of a gun," sounds different today: "Power grows out of the dollar." If the dollar collapses, however, the financier international and the U.S.A. will be compelled to give up their dream of world rule. And without that dream, America will hardly even be able to survive as a unified nation, because the Americans have no worldview, other than the utopia of world rule.
Patrick J. Buchanan, former advisor to Presidents Nixon and Reagan, and candidate for the Republican Party Presidential nomination in 1992 and 1996, forecast in his book The Death of the West (Russian edition, 2003) that the U.S.A. would split into three independent nations by the year 2025: one African-American, one Hispanic, and one Anglo-Saxon.
Anticipation of a global catastrophe can also be found in the works of F. Fukuyama, E. Wallerstein, S. Huntington, and other well-known researchers.
Of course, such a course of events will be a catastrophe for current generations of Americans, just as the disintegration of the U.S.S.R. was a catastrophe for the majority of its inhabitants. What about the rest of the world?
The collapse of the U.S.A. and the dollar will cause suffering for all countries that are linked to the world currency and integrated into the global market system. But, aren't those peoples suffering from American effrontery already? Aren't nations losing their sovereignty, while the power elites in most of them serve the interests of global capital, rather than the needs of their own population?
Moreover, the very survival of modern civilization is becoming Problem #1 for mankind. Economists, ecologists, demographers, physicists, medical professionals, and anti-globalists warn of this.
Thus, perhaps, we ought not to be sorry about the current crisis of the world economy, but rather welcome its collapse and take the necessary preemptive measures?
The Meaning of Life
But, first we must understand the essence of today's world order. We must think again about the meaning of life, the place of Earth's civilization in the Universe, and our relationship to God. We must remember Plato's conclusion, that the civilization of Atlantis perished precisely because it stopped communicating with Heaven, and sank into a life of luxury and pleasure.
Russian Academicians G.I. Shipov and A.Ye. Akimov have scientifically proven not only the existence of a physical vacuum and of torsion fields, but also the dependency of natural and cosmic phenomena (including catastrophic ones) on the thoughts and worldview principles of mankind, and the state of consciousness of masses of people. A. Einstein also approached an understanding of how the state of affairs on the planet depends on human consciousness.
The world system that was constructed after the disintegration of the U.S.S.R. is a hierarchy that presumes one financially powerful country at its head, while the philosophy of life it imposes is strictly tied to the cult of money and pleasure. It is the first time in the history of mankind, that the economy has become so immoral.
The philosophy of monetarism is based, as the Russian scholar V.G. Sokolenko put it, on "the idea of a union of money and law, or the so-called capitalist absolute ... against which all the great ideas of the epoch of historical Romanticism, and the social revolutions aimed at improving the organization of society, ran aground. By the 20th Century, rationalistic philosophy and liberalism had brought capital to the point of absolute power over the world." (V.G. Sokolenko, Capitalism's Global Rule, Moscow, 2005).
Philosophers, poets, musicians, or explorers of distant worlds are not the ones who set the pitch for people's lives today, but rather financiers and businessmen. Material gain, money, luxury, and power have become the fundamental codes for the great mass of people.
The physical-spiritual dualism of the human being is reduced, more and more, to its "body" component alone. Such a human being, however, is neither of use to Nature, nor acceptable to God. Therefore, he is fated to disappear. For man was created in the image and likeness of God, while his physical existence is sustained by his connection with the plant and animal world, and non-living nature.
The contemporary model of being, based on the ideology of monetarism, ought to be replaced by cognitive, spiritual being. Therein lies the salvation of human civilization. This can be done, only by passing through the furnace of a crisis of the world financial and economic system, wherein the crisis is a means to deprive the global oligarchy of its real power.
Lyndon LaRouche, who has warned repeatedly about the coming collapse, has issued this call: "Rather than continuing the foolish attempts to stimulate the corpse, the United States Government must use its sovereign powers to put its own financial system through bankruptcy proceedings, setting a precedent and providing the context in which other nations can act."
Unfortunately, there are no sovereign governments in the U.S.A., Russia, or Europe. To a limited extent, they exist in China, India, Iran, Japan, and other Eastern countries, and in several Latin American nations. The rest are controlled by the world financial oligarchy.
Monstrous Inequality
Three hundred and fifty-eight family clans of billionaires have a combined income that exceeds the combined income of 45% of the Earth's population, in dollar terms. The quintessence of this monstrous inequality is the mafia-style oligarchical syndicate, presided over by the wealthiest people on the planet. They determine how processes unfold in the world, while they themselves remain in the shadows, out of the public eye. They also control the bulk of the planet's resources, finance huge illegal armies and NGOs, and have developed networks of influence within the governments and parliaments of most of the countries in the world.
That is the pinnacle of the unipolar world. This financial oligarchy is incapable, however, of directing world development. It knows how to make money, seize power, and hold that power for the sake of generating additional profit. Nothing short of the collapse of the dollar pyramid will shake that power.
What may be the consequences of a dollar catastrophe?
Negative scenario:
• Around $500 billion in cash will be taken out of circulation, while tens of trillions of virtual (electronic) dollars are wiped out. This will be a blow against the economies of all nations and transnational corporations, as well as millions of people. Belarus, Cuba, North Korea, and other "non-dollar" countries will fare better.
• The Americans will implement "forgiveness" of their debts to everybody, to the tune of almost $27 trillion (including vaporizing the dollar component of the Russian Stabilization Fund and international reserves).
• The parity and exchange rates of remaining convertible currencies will be deformed.
• Chaos will arise in the world economy, as governments and transnational corporations attempt to cobble together new economic models on an emergency basis, creating some kind of defense system for their national economies; some will shift to a closed economy (autarky).
Positive scenario:
• The role of the institution of the state in the world economy and international relations will be revived.
• In the majority of countries (including Russia), governments in the national interest will be formed, and national revival programs adopted.
• Consolidation processes will be activated among non-Western civilizations (Russian, Chinese, Indian, Islamic, Buddhist, Latin American [sic]), while a dialogue of civilizations develops.
• The role of the UN and other international organizations will increase.
• Western (Euro-American) civilization will weaken and move into decline, though continuing to exist for many decades in the status of a secondary pole of the world.
• A new pole of the world will arise, based on the Shanghai Cooperation Organization.
• Peoples will again turn to God, rejecting the dollar as their idol; culture, science, education, and health care will develop, while moral values and national traditions are experience a renaissance.
• Man will return to harmony with the Earth and the Cosmos.
Thus, mankind will gain a chance to survive. Thus, hooray for the global, merciless, purgative economic and financial crisis!
Leonid Ivashov
Déjà publié sur ce blog en 2008 et plus actuel que jamais: