bharat
Adharam Madhuram I Uthara Unnikrishnan I Madhurashtakam I Everything About You Is Sweet, O Krishna
Commentaires de deux internautes (traduits de l'anglais en français):
@GautamSengupta
il y a 2 mois (modifié)
Vallabhāchārya (1479-1531 CE), le vāggeyakāra de cet hymne exquis, est né dans une famille de brahmanes telugu résidant à Varanasi. Il prônait la philosophie de Śuddhādvaita. La famille s'est réfugiée à Champaran, dans le Chhattisgarh, anticipant une invasion musulmane à la fin du XVe siècle. Le nom "Vallabha" signifie "le bien-aimé" et est l'un des nombreux noms de Krishna. Selon la tradition, lorsque Krishna lui-même est apparu à Vallabha, au milieu de la nuit du śrāvana śuklā ekādaśi, le saint a composé le Madhurāśṭakam pour louer et adorer sa divinité.
@jimmatrix7244
il y a 1 mois
Le gouvernement actuel du Tamil Nadu s'efforce d'anéantir ce beau peuple, sa forte dévotion et sa merveilleuse culture. J'espère que les Hindous s'uniront contre leurs ennemis. N'abandonnez jamais Sanathanam*. Je paierais de ma vie pour le protéger.
* NDLR: Sanātana Dharma (Devanagari : सनातन धर्म, signifiant "dharma éternel", ou "ordre éternel")[1] est un nom alternatif pour l'hindouisme utilisé en sanskrit et dans d'autres langues indiennes à côté du plus commun Hindu Dharma[2][3].
Le terme désigne l'ensemble "éternel" ou absolu de devoirs ou de pratiques religieuses ordonnées qui incombent à tous les hindous, indépendamment de leur classe, de leur caste ou de leur secte
Shri Hari Stotram / Rahul Vellal (Strumm Spiritual)
Sri = Seigneur
Hari = Vishnou
Stotram = hymne de louange répétitif
Râmakrishna: Voir le propriétaire du jardin
1625.- Les gens ont envie de voir les beautés du monde, la femme, etc. Ils ne désirent pas voir le Seigneur qui a créé le monde. Presque tous se laissent prendre au jardin et aux images qui représentent des fées. Peu désirent voir le propriétaire du jardin et celui qui a fait les images. Les femmes sont les fées et elles forment la Mâyâ attrayante. Les femmes et Mâyâ ne font qu'un. La Mâyâ en forme d'ignorance (Avidyâ-Mâyâ) est comme le serpent venimeux dont la morsure détruit l'intelligence de l'homme. Mais pour tous ceux qui voient en toutes les femmes des incarnations de la divine Mère de l'univers, chaque femme est une de ces messagères.
Râmakrishna (1836-1886)
In: Jean Herbert et al., L'Enseignement de Râmakrishna, Albin Michel, Spiritualités vivantes, 1942.
Râmakrishna: Dayâ et Mâyâ
649.- Quelle différence y a-t-il entre la charité (Dayâ) et l'amour de soi-même (Mâyâ) ? La charité est l'amour qui s'étend à tous et ne se limite pas à nous-même, à notre famille, notre secte, notre pays. Cultivez-la, car elle nous élève et nous conduit vers Dieu. L'amour égoïste pour soi-même, sa famille, sa secte ou son pays est destructeur de l'âme et fait tomber l'homme.
650.- Mâyâ, c'est l'attachement que l'on porte à sa parenté: père, mère, frère, sœur, femme, enfants et cousins. L'amour qui s'étend également à toutes les créatures se nomme Dayâ. Il vient de la connaissance du fait que Dieu existe en tous.
Râmakrishna (1836-1886)
In: Jean Herbert et al. L'Enseignement de Râmakrishna. Albin Michel, Spiritualités vivantes, 1942.
Râmakrishna: La patience
596.- La patience est la vertu la plus importante pour tous les hommes. Celui-là seul n'est pas détruit qui possède cette qualité. Dans l'alphabet bengali, aucune lettre ne se présente sous trois formes différentes, à l'exception de sha. Les trois différentes formes disent toutes trois la même chose: "Soyez patients ! "
Râmakrishna
In Jean Herbert et al. L'Enseignement de Râmakrishna. Albin Michel, Spiritualités vivantes, 1942.
Râmakrishna: la simplicité
619.- Pour recevoir l'illumination divine, il faut d'abord devenir aussi simple qu'un enfant. Renoncez à la vanité qui est la source de vos connaissances humaines et voyez-en la petitesse dans le domaine de la plus haute vérité. Soyez simples comme un enfant et seulement alors vous atteindrez la connaissance du vrai.
Râmakrishna
In: Jean Herbert et al. L'enseignement de Ramakrishna. Albin Michel, Spiritualités vivantes, 1942.
Ella Maillart et l'"unité du monde".
"On n'arrive pas à exprimer les choses les plus importantes et qui demeurent insaisissables."
"1940-1945. Ella Maillart passe les années de guerre en Inde, vivant chichement de ses droits d'auteur. En 1942, elle publie à Londres deux livres écrits en anglais: Gypsy Afloat (La vagabonde des mers) et Cruises and Caravans (Croisières et caravanes). Elle s'installe dans le sud de l'Inde et suit à Tiruvannamalai l'enseignement de Râmana Maharshi, un sage "libéré du vivant" qui lui fera comprendre l'"unité du monde". Elle résume bien cette expérience en disant qu'elle voyageait pour se réjouir des différences et, désormais, pour se féliciter des ressemblances.
"Faute de parler, elle se retire au Liban pour écrire Oasis interdites. Je tiens pour un chef-d'oeuvre ce livre dont les protagonistes sont l'espace, le silence et une forme de bonheur dont on ne guérit jamais."
Ella Maillart - La vie immédiate. Photographies. Textes de Nicolas Bouvier. Voyageurs Payot, 1991.
Photographies de passages du livre:
Ella Maillart - La vie immédiate. Photographies. Textes de Nicolas Bouvier. Voyageurs Payot, 1991.