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Lettre du 14 juillet de 1940 de Paul Rivet au Maréchal Pétain
Lettre du 14 juillet de 1940 de Paul Rivet au Maréchal Pétain
Paris, le 14 juillet 1940
Monsieur le Maréchal,
Permettrez-vous à un Français, en cette date qui évoque pour chacun de nous tant de nobles souvenirs, tant d’espoirs, tant d’enthousiasme et tant de gloire, et qui aujourd’hui ne nous apporte que le deuil et le désespoir, de vous parler avec tout le respect mais aussi avec toute la franchise qu’il doit au grand soldat que vous êtes ?
J’ai eu le très grand honneur de servir sous vos ordres à l’heure la plus grave, la plus douloureuse, la plus lourde de votre vie, de notre vie. J’étais à Verdun pendant tout le mois d’avril 1916, à cette époque où vous portiez sur vos robustes épaules tous les espoirs de la France, et où, par votre calme, par votre autorité, vous avez été le symbole magnifique de l’héroïsme de tout un peuple. Il y a de cela vingt-quatre ans. Si j’évoque ce souvenir, ce n’est pas, Monsieur le Maréchal, pour prendre ma part d’une gloire à laquelle le plus humble soldat a plus de droit que moi. Médecin militaire, j’échappais par mes fonctions aux misères et aux dangers de ceux qui se battaient. Mais par le fait même que j’étais en dehors de la mêlée sanglante, je pouvais mieux apprécier ce qu’elle comportait d’horreur, de souffrance et de grandeur, et comment tous ces hommes acceptaient le sacrifice que vous exigiez d’eux.
Vous les avez vus comme moi, Monsieur le Maréchal, ces régiments qui descendaient du front, décimés après quelques jours de combat. Vous savez comment le Français se bat, quand il se sent commandé. Et vous savez aussi combien ces soldats que vous envoyiez à la mort vous respectaient et vous aimaient. Même au plus fort du danger, ils se sentaient soutenus, protégés par un chef.
Si le soldat de 1940 n’a pas été le soldat de 1916, c’est parce que les chefs n’ont pas fait leur devoir. Nous savons tous, et vous savez, Monsieur le Maréchal, que c’est là l’épouvantable vérité et que le témoignage humiliant de bravoure, que l’État-Major Allemand a daigné nous accorder, ne pèsera pas lourd devant l’histoire.
Ce que l’histoire retiendra de cette affreuse tragédie, c’est la carence des chefs militaires et civils, à l’heure la plus tragique de la destinée de la France.
Et c’est parce qu’aucun homme nouveau n’a surgi dans l’effrayant désarroi, qu’on s’est tourné vers le passé et qu’on a fait appel à vous, Monsieur le Maréchal, espérant que vous seriez capable de refaire le miracle de 1916. Vous ne le pouviez pas ; non pas qu’il fût trop tard, mais parce que ces miracles ne peuvent être réalisés que par un homme dont les forces intellectuelles et physiques sont à leur maximum d’efficacité. C’était le Général Pétain qu’il fallait à la France, celui de 1916, et non le Maréchal Pétain de 1940.
Vous avez cependant accepté cette tâche impossible, à laquelle vous ne pouviez suffire, et l’atroce dénouement s’est produit. La France a subi cette dernière humiliation d’implorer la paix, le front bas, par la voix du grand vainqueur de Verdun. Puis les mêmes hommes, qui s’étaient fait une protection et un paravent de votre prestige pour masquer leurs fautes, leurs faiblesses, leur médiocrité, vous ont demandé de prendre la direction du pays pour le conduire vers l’avenir.
Le peuple français est prêt à accepter toutes les disciplines, comme vos soldats de 1916 acceptaient de se battre jusqu’à la mort. Mais il veut que ses guides de demain soient des hommes nouveaux, au passé sans tache.
J’ai lu, l’immense majorité des Français a lu, avec stupeur, les noms des collaborateurs que vous avez choisi. Vous avez, dans votre dernier manifeste, appelé la France au travail, déclaré que “l’argent, trop souvent serviteur et instrument du mensonge, est le seul moyen de domination”, promis que “désormais le gain resterait la récompense du labeur, et que l’argent ne serait que le salaire de l’effort”, condamné la finance internationale, et vous avez choisi, pour réaliser ces tâches, des politiciens dont le passé est lourd de compromissions, des hommes de finances pour lesquels l’argent restera toujours le but essentiel de la vie, des officiers généraux dont le prestige sort effondré de la tourmente. J’y vois des représentants de la banque, de la grande industrie, des grands intérêts économiques. J’y cherche en vain ceux qui vous renseigneraient sur les besoins de l’immense majorité du peuple de France, la population agricole et ouvrière des villes et des campagnes, l’artisan, l’employé, le petit commerçant.
Monsieur le Maréchal, pardonnez-moi de vous dire que vous vous trompez ou que l’on vous trompe. Le peuple de France subira sans doute les gouvernants que vous lui imposez, mais n’attendez pas de lui une adhésion de cœur et de l’esprit comme celle que les armées de Verdun, marchant par votre ordre à la mort et à la victoire, vous ont si magnifiquement donnée autrefois.
Monsieur le Maréchal, le pays n’est pas avec vous, la France n’est plus avec vous. Le peuple de France, dans sa détresse, acceptera pour un temps une Constitution qui lui enlève les plus sacrés de ses droits ; mais à ses yeux, elle gardera toujours le stigmate d’avoir été inspirée par le vainqueur.
La liberté ne peut pas mourir dans le pays qui l’a vu naître et qui l’a répandue dans le monde. Ne permettez pas que l’histoire associe le nom du héros de Verdun à une œuvre aussi funeste et périlleuse.
Je vous demande, je vous supplie, de tout mon cœur de Français, de ne pas vous séparer de la vraie France, de rester le défenseur de son idéal sacré, et je vous prie, Monsieur le Maréchal, de bien vouloir accepter l’expression de mes sentiments les plus respectueux.
Paul Rivet
Pour en savoir plus sur Paul Rivet, grand savant et Résistant français (1876-1958):
100e du Conseil Scientifique Indépendant (CSI) à Saintes
REPORTAGE/RENCONTRE - Ce jeudi 18 mai s’est déroulée la première journée* du 100e du Conseil Scientifique Indépendant (CSI) à Saintes (Charente-Maritime), notamment organisée et animée par l'association ReinfoLiberté. Pour l’occasion, 1700 citoyens et personnalités scientifiques et du monde de la santé se sont retrouvés afin de phosphorer lors d’ateliers et de tables rondes, laissant la place à de riches échanges d’idées autour de thèmes comme la médecine, la santé ou encore la citoyenneté.
Le CSI regroupe depuis sa création début 2021 des médecins, des chercheurs, des enseignants et bien d’autres professionnels issus de disciplines ayant notamment trait à la santé, au bien-être et au vivre-ensemble.
Source et suite de l'article: https://edition.francesoir.fr/videos-reportage/100e-du-CSI-beau-succes-monde
Un participant interviewé déclare: "la stratégie de l'ennemi est de diviser. Notre réponse doit être la réunion."
Pr. Christian Perronne: La médecine en déroute. Conférence au Cercle Aristote
En 2001, selon l'OMS, la médecine française était la meilleure du monde. Aujourd'hui elle est en ruines. Le Pr. Christian Perronne nous explique pourquoi et en détail dans cette remarquable conférence au Cercle Aristote. Une révolution faite par les politiciens en faveur du profit financier et de la bureaucratie contre la médecine, la science, les patients, la santé publique et les vrais professionnels de la Santé, commencée dès les années 1990.
32:35 le Pr Perronne dit: "Ce sont les gens les plus éduqués et qui ont fait le plus d'études qui sont le plus collabos."
44:14 "Ce n'est pas un pays en voie de développement, c'est la France, qui était [avait] la meilleure médecine du monde. Tout cela est volontaire, c'est la destruction des Services publics et de l'Hôpital public."
Chaîne Youtube du Cercle Aristote:
Manifestation interdite | La Marche de la Fierté Française, le 13 mai 2023 à Paris
PLACE D'ARMES
https://www.place-armes.fr/blog
Un commentaire de la vidéo sur Youtube:
"La dernière fois qu'il était interdit de porter un drapeau Français c'était quand la Wehrmacht occupait Paris et la France . Le message est clair !"
LA FRANCE EST OCCUPÉE
PENDANT QUE LE PEUPLE FRANÇAIS
MARCHE POUR LA LIBERTE
LE GOUVERNEMENT
MARCHE VERS LE GREAT RESET
Le Solitaire : Jansénisme et révolution de Yves Amiot. Une critique par Eric Elliès.
par Eric Elliès (20 mai 2016)
Ce court roman est bien plus qu'un roman historique. D’une grande densité, ciselé dans une écriture impeccable à la fois sobre et minutieuse, il brosse un portrait saisissant de la Révolution française et ouvre une perspective originale, voire iconoclaste, sur les soubresauts de la Terreur. Yves Amiot immerge le lecteur dans les pensées du narrateur (un vieux sage janséniste, ancien officier des armées du Roi, qui assiste en témoin au déchaînement des passions humaines puis devient peu à peu acteur des évènements) et parvient, par son indéniable talent d’écriture, à pleinement faire ressentir la complexité, la violence et l’idéalisme d’une époque troublée, où les hommes sont dépassés par le flux des forces qu’ils ont mis en branle… Le récit, rigoureusement construit et découpé en une quinzaine de courts chapitres obéissant aux règles d’unité de lieu et d’action, se lit d’une traite.
Plusieurs de ces chapitres sont le prétexte de descriptions saisissantes (notamment celles des ruines de l'abbaye de Port-Royal, que le Roi s’est évertué à araser après la condamnation de l’ordre, et de l’émissaire de Robespierre, jeune homme pétri d’idéal qui sent que la réalité se dérobe sous lui) et de dialogues, à la fois érudits et vivants, sur les conflits théologiques et philosophiques qui ont déchiré l’Eglise et la société française. Pour le narrateur, et peut-être pour l’auteur tant son récit est chargé d’un souffle de conviction, l’Eglise, sous l’influence des jésuites, s’est compromise avec le temporel et, en voulant adapter les exigences de la religion aux faiblesses humaines, a trahi la pureté des enseignements du Christ et fait le jeu du diable en rendant tolérables, puis acceptables, les passions viciées profondément enfouies dans le cœur humain. Dès lors que la recherche du bonheur terrestre a été érigée en finalité (quête illusoire et sans fin puisque le bonheur absolu ne peut exister dans une vie mortelle) en supplantant la recherche de la Grâce divine, la société ne pouvait que se déliter en libérant, sous le masque d’idéaux humanistes qui ont dupé leurs prosélytes sincères (Rousseau, Voltaire, etc.), un égoïsme et une violence exacerbés puisqu’avait sauté le seul verrou qui pouvait les contenir. Le narrateur, qui conserve une rancune tenace envers les jésuites, affirme à de nombreuses reprises que les jansénistes ont été calomniés puis détruits pour avoir rappelés l’Eglise et les hommes à leurs vrais devoirs et avoir démontré, par l’exemple de leur vertu et de leur sagesse aimante, que la société s’était fourvoyée. Néanmoins, le narrateur, qui s’est installé en Vendée et est recherché par les deux camps qui veulent l’utiliser comme intermédiaire pour négocier avec le camp ennemi, n’est pas un être aigri ou désespéré : il accepte avec sérénité les épreuves de l’époque et œuvre de son mieux pour pacifier les hommes, à ses yeux tous fautifs à divers degrés.
Le cœur du récit est d’ailleurs constitué d’une intrigue visant à tenter de rapprocher républicains et vendéens pour mettre fin aux exactions qui ont fini par écoeurer tous les partis. Le dénouement de l’intrigue dresse en creux (avec un chapitre très habilement elliptique) un portrait singulier de Robespierre, homme d’exception à l’âme ardente mais d’une grande lassitude, qui cherche à retrouver Dieu dans l’Etre suprême et la paix de l’âme dans l’acceptation de sa mort…
Le style de l’auteur, comme il sied à son personnage principal, est d’une élégance austère et ressuscite l’esprit de Port-Royal, en portant sur la Révolution française un regard intransigeant (très clairement à contre-courant des tendances actuelles) dont l’acuité pourrait éclairer l’époque contemporaine, notamment en ces temps d’agitation où certains voudraient ressusciter la lutte de classe et hisser le clivage « patron/ouvrier » au niveau des anciens étendards révolutionnaires. Le narrateur (Puizeau) évoque ainsi auprès de son ami Duplessis, un ancien officier des armées de Vendée, son entretien avec Robespierre : Une révolution est en fleuve en crue et ce fleuve charrie bien du limon, bien des épaves et aussi bien des cadavres. Il arrive que celui qu’il entraîne dans son courant, alors qu’il s’est imaginé un temps le maîtriser, s’aperçoive qu’il en est devenu le jouet. Il prend alors horreur de lui-même. C'est l'heure que Dieu attend pour le ramener à lui. La grâce chemine souvent sans que nul n'en perçoive la trace. Saint-Augustin l'a dit et je le lui ai dit : "Autre chose est d'apercevoir du haut d'un roc sauvage la patrie de la paix sans trouver le chemin qui y mène, autre chose est d'entrer en possession de la véritable route"
30 avril 1803 : Napoléon Bonaparte vendait la Louisiane aux États-Unis
30 avril 1803 : Napoléon Bonaparte vend la Louisiane aux États-Unis pour environ 80 millions de francs (argent qui lui permettra de financer ses guerres en Europe...).
Cet ensemble de terres représente pratiquement un quart de la superficie totale actuelle des États-Unis.
Source de ce judicieux rappel: 496-1789 sur Twitter, avec nos remerciements
https://twitter.com/SD_0101/status/1652668606033846275?t=Y0DZG4kdkR3RBM6TTdDYlg&s=03
"A la claire fontaine" était l'hymne de la Nouvelle France et il le restera toujours dans notre coeur.
À la claire fontaine
M'en allant promener
J'ai trouvé l'eau si belle
Que je m'y suis baignée
Il y longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai
Sous les feuilles d'un chêne
Je me suis fait sécher
Sur la plus haute branche
Le rossignol chantait
Il y longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai
Chante, Rossignol chante
Toi qui as le cœur gai
Tu as le cœur à rire
Moi je l'ai à pleurer
Il y longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai
J'ai perdu mon ami
Sans l'avoir mérité
Pour un bouquet de roses
Que je lui refusais
Il y longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai
Je voudrais que la rose
Fut encore un rosier
Et que mon doux ami
Fut encore à m'aimer
Il y longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai
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À la claire fontaine, m'en allant promener,
J'ai trouvé l'eau si belle que je m'y suis baignée.
Il y a longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai.
Sous les feuilles d'un chêne je me suis fait sécher,
Sur la plus haute branche, un rossignol chantait
Il y a longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai.
« Chante, rossignol, chante, toi qui as le cœur gai,
Tu as le cœur à rire, moi je l'ai à pleurer. »…
Il y a longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai.
« C'est pour mon ami Pierre qui ne veut plus m'aimer,
Pour un bouton de rose que je lui refusai. »
Il y a longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai.
« Je voudrais que la rose fût encore au rosier
Et que mon ami Pierre fût encore à m'aimer. »
Il y a longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierai.
Souvenir d'un printemps passé, qui reviendra
Platanthera chlorantha (Orchidaceae), entre St Benoît et la D 906. Photo: Pierre-Olivier Combelles, mai 2016.
Comme Linné l'avait compris et démontré*, la botanique est une science amoureuse. À un certain degré, elle devient poésie.
Pierre-Olivier Combelles
* Carl von Linné: Voyage en Laponie https://www.ladifference.fr/media/feuilleteuse/extrait-978-2-7291-1412-1.pdf
Cet article est une republication. Source: http://pocombelles.over-blog.com/2016/06/les-belles-de-mai-la-platanthere-platanthera-chlorantha-orchidaceae.html
Jacques Lacroix: Les mots gaulois du Français
Sur le site de l'organisation Défense de la langue française
http://www.langue-francaise.org/
découvrez la passionnante exploration de Jacques Lacroix à la découverte des mots gaulois de la langue française:
http://www.langue-francaise.org/mots_gaulois_jacques_lacroix.mp4
Mots de la forêt et de la terre, mots du travail du fer et du bois, d'origine indo-européenne encore plus ancienne, ils nous relient à nos ancêtres et à notre lointain passé.
Mon nom de famille paternel, originaire du Tarn (région de Réalmont), Combelles, est purement gaulois, composé de deux mots: combe, qui signifie vallon, val, petite vallée, et belles, le féminin pluriel de beau, brillant, resplendissant d'où vient aussi le nom du dieu du soleil Bélénos, bel étant lui-même d'origine indo-européenne.
Pierre-Olivier Combelles
Paul Craig Roberts: L'Occident est devenu une tyrannie
24 avril 2023
Le monde occidental a abandonné toutes ses anciennes valeurs
Paul Craig Roberts
Soyons honnêtes et regardons les choses en face. Les pays occidentaux ne sont plus des démocraties avec la liberté d'expression, l'État de droit et des gouvernements responsables. Ce sont des tyrannies.
Où que l'on regarde, la liberté d'expression est étouffée. Vous voyez la loi utilisée comme une arme contre des journalistes comme Julian Assange et un président américain comme Donald Trump et ses partisans. Le régime de Biden a mis mille Américains en prison pour avoir assisté à un rassemblement en faveur de Trump en affirmant sans aucune preuve que ce rassemblement était une insurrection. Les médias occidentaux sont un ministère de la propagande. La politique étrangère de l'Occident consiste à faire la guerre.
Le professeur de droit Jonathan Turley l'exprime ainsi :
"Après que Musk a décidé d'acheter Twitter, Hillary Clinton a appelé les pays européens à forcer les entreprises de médias sociaux à censurer les Américains. L'Union européenne a rapidement réagi en menaçant Musk et d'autres dirigeants. Aujourd'hui, la secrétaire britannique à la technologie et aux sciences, Michelle Donelan, a annoncé son intention d'emprisonner les dirigeants des médias sociaux s'ils ne parviennent pas à censurer les contenus dits "préjudiciables" sur leurs sites web. Bien entendu, c'est le gouvernement qui déterminera ce qui est jugé trop nuisible pour que les citoyens le voient ou l'entendent."
Les démocrates veulent emprisonner Matt Taibbi pour avoir examiné les fichiers Twitter publiés par Elon Musk et montré que Twitter a été contraint par le gouvernement américain de censurer la vérité sur de nombreux sujets. En d'autres termes, comme je l'avais annoncé, dire la vérité est déjà une infraction pénale de facto et le sera bientôt de jure.
De plus en plus, les dirigeants qui se présentent comme des démocrates agissent comme des dictateurs. Le président français a récemment ignoré le parlement élu et décrété une modification de l'âge de la retraite à laquelle le peuple français s'est opposé. Le président canadien a décrété des injections obligatoires d'une substance non testée, en violation des lois de Nuremberg, et a puni les camionneurs pour avoir protesté. Les présidents américains Bush et Obama ont délivré des diplômes anticonstitutionnels en suspendant l'habeas corpus et en ordonnant des exécutions sur la seule base de soupçons, sans procédure régulière. Aujourd'hui, le gouvernement britannique envisage d'arrêter Elon Musk pour avoir autorisé la liberté d'expression sur Twitter.
Même les crimes sont légalisés, les villes contrôlées par les démocrates refusant d'appliquer les crimes contre la propriété s'ils sont commis par des Noirs.
Et seuls les Français protestent. Les Américains sont des moutons. Le dernier sondage, peut-être un morceau de désinformation concocté comme le sont souvent les sondages, révèle que la plupart des Américains ne veulent pas que Biden ou Trump se présente à l'élection présidentielle. On peut comprendre Biden, dont les principales réalisations sont de normaliser la perversion sexuelle et d'engager les États-Unis sur la voie de la guerre avec la Russie et la Chine. Mais Trump a défendu le peuple américain contre l'oligarchie au pouvoir. S'il est vrai que les Américains veulent abandonner le seul dirigeant qui parle en leur nom, le peuple américain a acquiescé à la tyrannie.
Traduit de l'américain par Rouge et Blanc avec Deepl
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2023/04/24/the-western-world-has-forsaken-all-of-its-former-values/
Seuls les Français protestent.
Paul Craig Roberts
26 avril 2023 |
Fox News La décision de régler le procès de Dominion pour plus de trois quarts de milliard de dollars n'a pas de sens.
Paul Craig Roberts
Il y a là quelque chose de louche.
Tout d'abord, les dirigeants d'entreprise ne donnent pas 787 millions de dollars de l'argent des actionnaires sans que la plainte ait été examinée par un tribunal. Le montant non contesté est si élevé que l'on peut se demander si Fox News l'a lui-même payé ou si ces presque 800 millions de dollars n'ont pas été un cadeau que nos élites dirigeantes ont fait passer par un procès non contesté pour financer Dominion. Une fois que les élections sont déterminées par la programmation des machines à voter, le peuple est privé de ses droits.
Deuxièmement, ce n'est pas de la diffamation que de rapporter les nouvelles. Tucker Carlson a rapporté les affirmations d'experts. Il s'agit d'un reportage. Le procès en diffamation de Dominion aurait dû être intenté contre les experts. Cela n'a pas été le cas, car les experts disposaient des preuves.
Troisièmement, les experts ont fourni des preuves que les machines à voter de Dominion pouvaient être programmées pour compter les votes différemment de la manière dont les votes ont été exprimés ; les experts ont fourni des preuves que les machines pouvaient être piratées ; les experts ont fourni des preuves que les machines à voter étaient connectées à l'Internet. Fox News aurait pu appeler ces experts à témoigner. En acceptant de régler l'affaire, Fox News a refusé que ces preuves soient présentées devant un tribunal. Pourquoi ?
Une explication possible est que Fox News, volontairement ou involontairement, a participé à une orchestration qui a établi le précédent selon lequel le fait de rapporter des nouvelles différentes de la narration, ou des nouvelles défavorables à une personne, une entreprise ou une institution gouvernementale, constitue une diffamation. Réfléchissez à ce que cela signifie. Un procureur qui accuse une personne d'un crime l'a diffamée. La vérité devient impossible à rapporter. Le journaliste d'investigation Seymour Hersh pourrait être accusé de diffamation et d'être un agent russe pour avoir rapporté que le gouvernement américain avait détruit le gazoduc Nord Stream.
Lorsque nous voyons les quelques diseurs de vérité qui sont les vedettes de leurs organisations se faire jeter - Tucker Carlson de Fox News, Matt Taibbi de Rolling Stone, Glenn Greenwald de The Intercept, James O'Keefe de Project Veritas, le président Trump inculpé en vertu d'une loi inexistante et Julian Assange de Wikileaks emprisonné pendant une décennie sans procédure régulière - nous devons nous rendre à l'évidence qu'il existe une conspiration organisée visant à supprimer la vérité. Nous sommes en train de vivre l'achèvement de la Matrice, dans laquelle les doutes exprimés ou même les soupçons non exprimés à l'égard des récits officiels constituent des infractions pénales.
Les diseurs de vérité ne reçoivent pratiquement aucun soutien. La conclusion inéluctable est que dans le monde occidental, la vérité n'a pas d'avenir.
La tyrannie est à nos portes.
Traduit de l'américain par Rouge et Blanc avec www.DeepL
Henri Guillemin: la Monarchie et la République
"L'autorité est la force qui obtient une obéissance librement consentie."
Henri Guillemin.