france
Nouvelles armes de France (projet du baron Hervé Pinoteau)
Projet de nouvelles armes de la France par le baron Hervé Pinoteau, historien et héraldiste français http://fr.wikipedia.org/wiki/Pinoteau_(Herv%C3%A9)
Situation désastreuse de l'armée française
"Rapport d'information par la commission de la défense nationale et des Forces armées sur l'exécution de la loi de programmation militaire pour les années 2003 à 2008 "
TELECHARGEZ LE RAPPORT http://www.lesmanantsduroi.com/articles2/article31363.php
La France d'avant 14 et celle d'après 14 (Céline)
"... La France d'avant 14 et celle d'après 14, c'est différent. Avant 14, c'est des somnanbules, après, c'est des analystes. Alors ils tombent tous dans la série
des Sartre-Camus... Ils croient qu'il vaut mieux "penser"! Tandis qu'en 14, il y avait un Devoir. Et on le faisait. Des choses que vous n'avez pas connues, vous êtes trop jeune. Il y avait la
vertu. Les femmes étaient vertueuses, les hommes braves et travailleurs."
L.F. Céline. Conversation avec Madeleine Chapsal.
Alain de Benoist: Le retour de la France dans l'OTAN, une analyse
http://www.voxnr.com/cc/politique/EkFyAEAVEAqBmxqdQE.shtml
(...)
Le général de Gaulle disait : " Je veux l'Europe pour qu'elle soit européenne, c'est-à-dire qu'elle ne soit pas américaine ". Nicolas Sarkozy, lui, fait cadeau
de la France à l'OTAN, c'est-à-dire aux Etats-Unis. Un cas exemplaire de haute trahison ?
Alain de Benoist
15 mars 2009
21 janvier 2009: anniversaire de l'exécution de Louis XVI
21 janvier1793:
Exécution du roi Louis XVI
Français,
Priez Dieu pour lui et pour la délivrance de la France !
http://www.associationlouisxvi.org/menu.php?page=messes3
"Vous ne tiendrez point le royaume de France de Dieu le Roi du ciel, fils de Sainte Marie; mais le tiendra Charles, vrai héritier ..." ( Lettre de sainte Jeanne d'Arc au duc de Bedford)
lettre de Jeanne au duc de Bedford :
JHÉSUS MARIA
Roi d’Angleterre, et vous, duc de Bedford, qui vous dites régent du royaume de France ; vous, Guillaume de la Poule (William Pole), comte de Suffolk ; Jean, sire de Talbot ; et
vous Thomas, sire de Scales, qui vous dites lieutenants dudit duc de Bedford, faites raison au Roi du Ciel. Rendez à la Pucelle, qui est ici envoyée de par Dieu, le Roi du ciel, les clefs de
toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. Elle est ici venue de par Dieu pour proclamer le sang royal. Elle est toute prête de faire paix, si vous lui voulez faire
raison, pourvu que France vous rendiez, et payiez pour l’avoir tenue. Et entre vous, archers, compagnons de guerre, gentils et autres qui êtes devant la ville d’Orléans, allez-vous-en en votre
pays, de par Dieu.
Et si ainsi ne le faites, attendez les nouvelles de la Pucelle, qui vous ira voir brièvement, à vos bien grands dommages. Roi d’Angleterre, si ainsi ne le faites, je suis chef de guerre, et en quelque lieu que j’atteindrai vos gens en France, je les en ferai en aller, qu’ils le veuillent ou ne le veuillent ; et s’ils ne veulent obéir, je les ferai tous occire. Je suis ici envoyée de par Dieu, le Roi du ciel, corps pour corps, pour vous bouter hors de toute France. Et s’ils veulent obéir, je les prendrai à merci. Et n’ayez point d’autre opinion, car vous ne tiendrez point le royaume de France de Dieu le Roi du ciel, fils de Sainte Marie ; mais le tiendra le Roi Charles, vrai héritier ; car Dieu, le Roi du ciel, le veut, et cela lui est révélé par la Pucelle, et il entrera à Paris à bonne compagnie. Si vous ne voulez croire les nouvelles, de par Dieu et la Pucelle, en quelque lieu que vous trouverons, nous frapperons dedans et ferons un si grand " hahay " qu’il y a bien mille ans qu’en France il n’en fut un si grand, si vous ne faites raison. Et croyez fermement que le Roi-du ciel enverra plus de force à la Pucelle que vous ne lui en sauriez mener avec tous assauts, à elle et à ses bonnes gens d’armes ; et aux horions on verra qui aura meilleur droit de Dieu du ciel. Vous, duc de Bedford, la Pucelle vous prie et vous requiert que vous ne fassiez plus détruire. Si vous lui faites raison, vous pourrez venir en sa compagnie, où les Français feront le plus beau fait qui oncques fut fait pour la chrétienté. Et faites réponse si vous voulez faire paix en la cité d’Orléans ; et si ainsi ne le faites, de vos bien grands dommages qu’il vous souvienne brièvement. Écrit le mardi, semaine sainte. "
L'abaissement de la France, par le baron Hervé Pinoteau ("Notre-Dame de Chartes et de France")
(...) "Il me paraît que l'essentiel est dit sur ce qui peut rappeler notre tradition nationale authentique, dont le souvenir remplit de nostalgie les honnêtes gens, effrayés du cours des choses.
Certes, dans les temps anciens, il y eut des désastres climatiques, des famins, des massacres, des pestes, des guerres (certaines bien inutiles!), les Vikings, les Arabes (que l'on pense aux ravages effectués durant des siècles par ceux-ci sur les bords de la Méditerranée et même en arrière-pays, ainsi que leur incroyable brigandage maritime!), les Anglais que Dieu aimait, mais chez eux, comme le dira sainte Jeanne d'Arc à Rouen, les orgueilleux Albigeois, les gens de la prétendue religion réformée qui mirent la France à sac, les Bourguignons, les révoltés de tout poil, etc, mais on n'était pas au ciel ! Le pouvoir voulait cependant, par de bonnes institutions, ouvrir les portes du ciel afin de les remplir d'élus. C'est évidemment une chose impossible pour les gens des Lumières qui précipitèrent, avec l'aide d'un pouvoir débile, le "saint royaume", comme le disait encore Jeanne d'Arc, dans une abominable série chaotique de régimes dont nul ne sait la fin, mais qui ont mené à sa perte l'Hexagone résiduel.
On en est là, certes, car l'an 2008 voit la France immergée dans une Europe qui ne peut que faire peur aux peuples, et où, pour la première fois de son histoire, de Clovis à nos jours, l'Etat français, l'un des plus vieux du monde, devrait être coiffé par un exécutif orné d'un président placé au-dessus de cet ensemble! Depuis notre affranchissement de l'Empire, en quelque sorte ratifié par l'empereur romain siégeant à Byzance lors du triomphe de Clovis à Tours, en l'an 508, jamais un pouvoir étranger n'avait pu réussir ce tour de force de coiffer notre nation par un non-français. Quelle honte pour nos maîtres, connus et inconnus, et aussi pour ceux qui acceptent cela!
Cet abaissement n'était jamais arrivé. Pas même avec le traité de Troyes en 1420, car le roi d'Angleterre s'honorait d'être roi de France sans aucun supérieur et en écartelait ses armes de France et d'Angleterre; il plaçait nos fleurs de lis aux 1 et 4, donc à l'honneur, ce qui eut lieu en 1801; et d'ailleurs son royaume d'outre-Manche était bien moins peuplé que le nôtre.
Pas même après le plus grand désastre de notre histoire, quand un grand et vieux soldat, le couteau sous la gorge, fit de son mieux et pas toujours d'heureuse façon, pour affirmer jusqu'au bout et dans des conditions affreuses, la souveraineté de la France. Une armée nous occupa, mais le chef de l'Etat n'eut personne au-dessus de lui. Et il fut condamné à mort !
508-2008. Mille cinq cents ans, un millénaire et demi d'indépendance. Il y a des signes qui ne trompent pas. nous arrivons à la fin d'une époque et il faudra que cela change, ne serait-ce que pour l'honneur de la Fille aînée de l'Eglise et de son peuple abusé par les chimères des Lumières et de l'impiété.
Il est temps d'y réfléchir sérieusement."
Hervé Pinoteau*: Notre-Dame de Chartres et de France. François-Xavier de Guibert, 2008.
*De l'Académie internationale d'héraldique, Grand prix d'histoire de l'Académie nationale de Reims en 1990 (Fondation Paillard) pour l'ensemble de son oeuvre. Ancien secrétaire du prince Alphonse, duc de Bourbon.
Prière de Pie XII pour la France
O Mère céleste, Notre-Dame, vous qui avez donné à cette nation tant de gages insignes de votre prédilection, implorez pour elle votre divin Fils ; ramenez-la au berceau spirituel de son antique grandeur, aidez-la à recouvrer, sous la lumineuse et douce étoile de la foi et de la vie chrétienne, sa félicité passée, aidez-la à s'abreuver aux sources où elle puisait jadis cette vigueur surnaturelle, faute de laquelle les plus généreux efforts demeurent stériles, ou tout au moins bien peu féconds, qu'elle s'unisse à tous les gens de bien des autres peuples, parvienne à s'établir ici-bas dans la justice et dans la paix, en sorte que, de l'harmonie entre la patrie de la terre et la patrie du ciel, naisse la véritable prospérité des individus et de la société tout entière. Amen.
Pie XII
"La France est le four où cuit le pain intellectuel de l'humanité"
"La France est le four où cuit le pain intellectuel de l'humanité."
Parole prononcée par le cardinal Eudes de Châteauroux, qui consacra la Sainte-Chapelle, à Paris, en 1248.