hindouisme
Pierre Hillard: La Russie fait partie intégrale du mondialisme. Entretien avec Radio Lorraine engagée
Remarquable entretien avec l'analyste méta-politique certainement le plus perspicace de France avec Youssef Hindi (qui lui, connaît l'Islam et, inspiré par le sheikh Imran Hosein, son eschatologie), et ce, depuis des années. Les analyses de Pierre Hillard permettent au public, lecteurs et auditeurs, de dépasser l'antagonisme artificiel des propagandes occidentale et russo-poutinienne, cette dernière étant la plus insidieuse puisqu''elle s'adresse aux Occidentaux pro-russes, souverainistes, anti-guerre et chrétiens, voire musulmans, et respectueux des religions et de l'identité des peuples.
Je signale à propos de la swastika évoquée par Pierre Hillard au début de son entretien, que bien avant de devenir un symbole bouddhique et ésotériste, elle se rencontre en Inde dans les Védas à partir de 500 avant J.C. et que depuis elle est présente constamment dans l'hindouisme. Tournant vers la droite (dextrogyre) , rouge, ornée de quatre points placés entre les branches, elle symbolise le mouvement solaire.
La forte attraction de l'ésotérisme russe pour le bouddhisme en particulier tibétain qu'évoque Pierre Hillard se manifeste dans les recherches et certains ouvrages du fameux général géopoliticien russe Leonid Ivashov, anti-mondialiste. Cet aspect des militaires, intellectuels et religieux russes, patriotes, en général chrétiens orthodoxes mais parfois aussi musulmans, anti-mondialistes, avec des figures de très grande valeur (Douguine n'en fait pas partie), n'est pas évoqué dans cet entretien, malgré sa très grande importance, ce qui est regrettable. Dans le livre, peut-être ?
Le rôle de l'Inde n'est pas évoqué non plus. Il est aujourd'hui le pays le plus peuplé de la Terre et a dépassé la Chine. Ses religions sont extrêmement anciennes et ont une énorme importance; elles ont essaimé autrefois dans toute l'Asie et aujourd'hui dans le monde occidental. Elles n'ont pas d'antagonisme avec le christianisme spirituel (exemples: l'empereur moghol Akbar, le saint Ramakrishna, Vivekananda, le Mahatma Gandhi)... l'Inde peut changer le monde en bien et accélérer, si cela se peut, la fin du Kali Yuga, l'Âge de Fer, dont les forces maléfiques se déchaînent.
Le philosophe russe Alexandre Douguine et le symbole du Mouvement eurasiatique, une étoile à 8 branches fléchées (étoile du chaos ?). Entretien avec Pierre Hillard, 41:22. Douguine a toujours manifesté son très grand intérêt pour la Kabbale.
The series consists of eight coins with the reverse side bearing the technical characteristics that are the same for all countries participating in the single European currency. The obverse side depicts the coat of arms of Pope Francis, Sovereign of Vatican City State, the inscription “Vatican City” and twelve stars. The series is available in two versions: the first with the 20 euro silver coin and the second with the 50 euro gold coin. The 20 euro silver coin, designed by Chiara Principe, is dedicated to a current theme that is very close to Pope Francis’ heart: treatments to counter the pandemic and the need to be vaccinated. The coin depicts a doctor, a nurse and a young person who is ready to receive the vaccine. The Holy Father has repeatedly stressed the importance of vaccination, recalling that healthcare is “a moral obligation”, and it is important to “continue efforts to immunise even the poorest peoples”. The 50 euro gold coin, designed by Marco Ventura, is dedicated to Our Lady of Mercy: the Virgin Mary is shown standing with her mantle outspread under which a multitude of believers find shelter. Depicted as the protector of humanity from the evils of the world, the Madonna was also called “Our Lady of Help.” The four words that surround the figure of the Virgin Mary - “listening, love, help, welcome” - have distinguished the work of Caritas for more than 50 years
Source: https://www.cfn.va/en/home/2631-20-05-2022-euro-coin-set-proof-version-year-2022.html
Vivekananda: "Comme les différents ruisseaux..."
"As the different streams that spring from different places all mingle their waters in the sea, so, Lord, the different paths that men take through different tendencies, however diverse they may seem, tortuous or straight, all lead to Thee."
Swami Vivekananda (1893)
"Comme les différents ruisseaux qui jaillissent de différents endroits mêlent tous leurs eaux dans la mer, ainsi, Seigneur, les différents chemins que les hommes empruntent à travers différentes tendances, aussi divers qu'ils puissent paraître, tortueux ou droits, mènent tous à Toi."
Swami Vivekananda (1893)
Swami Vivekananda ( 1863-1902) a été l'un des principaux disciples de Râmakrishna Paramahamsa ( 1836-1886) et son continuateur en Inde et à l'étranger.
"La vérité est une, bien que les sages la voient sous de multiples formes."
Rig-Veda
La rare stupidité de La Esperanza, Periódico católico-monárquico
La Esperanza, Periódico católico-monárquico est un media internet espagnol carliste. Il arbore sur son portail le portrait de S.A.R. Mgr. Sixte-Henri de Bourbon-Parme, prince franco-espagnol d'une rare intelligence, malheureusement sans équivalent dans son milieu, géopolitologue, défenseur, entre autres, du colonel Kadhafi, assassiné abjectement et son pays détruit et pillé par l'OTAN et ses complices. Quant au carlisme, c'est une noble cause et il déplaît de la voir dévalorisée par la bêtise. "Avec de pareils amis, je n'ai pas besoin d'ennemis", voilà ce qui vient à l'esprit à propos du Prince.
Dans un article à propos du couronnement du roi Charles III d'Angleterre, à propos desquels (le nouveau roi et la cérémonie) on peut penser ce que l'on veut*
https://periodicolaesperanza.com/archivos/19022
l'auteur, un certain G. García-Vao, se moque de l’œcuménisme post-Vatican II (la révolution judéo-maçonnique dans l’Église) et en profite, comme si c'était la même chose, pour insulter les autres religions, dont l'hindouisme auquel appartient le Premier Ministre britannique, M. Rishi Sunak, d'origine indienne. Voici ce qu'il écrit à ce sujet:
"del Primer Ministro de Su Graciosa Majestad, hindú de religión, adorador de elefantes polibraquios y azules"... "en elefantes azules de cien brazos"... "al lado del elefantólatra", etc. Tout l'article est une diatribe violente et grossière.
Comment peut-on faire aimer et respecter le christianisme en se moquant des autres religions ? en prétendant avec mépris, haine même et arrogance, que sa religion est la seule vraie et que toutes les autres sont des "hérésies" et que leurs fidèles sont des "païens" ? comment peut-on affirmer des choses qui ne sont, ni dans la lettre ni dans l'esprit, dans les Évangiles et dans l'enseignement du Christ ? Sa conception de la religion chrétienne est seulement politique et dominatrice et n'a pas un seul atome d'intelligence et de spiritualité. une telle attitude ne peut engendrer à son tour qu'incompréhension, haine et violence.
Faut-il rappeler que les Hispaniques, qui conquirent les Amériques au XVIe siècle, la "Terre Promise", étaient uniquement motivés par le pillage et l'exploitation des richesses et des hommes, qu'il se comportèrent en outre comme des imposteurs au Mexique et au Pérou, se faisant passer pour les dieux Quetzalcoatl et Viracocha, et qu'ils se servirent du christianisme pour asseoir leur domination politique et matérielle ? avec les Hispaniques arriva l'idolâtrie de l'argent, l'usure, la dette, les notaires, les juges, les avocats, la misère, l'injustice, la faim, la destruction de la nature, le lien sacré entre les dieux, la nature et l'homme, tout ce que le Père Ernesto Cárdenal a décrit et dénoncé dans son recueil de poèmes "Homenaje a los Indios americanos".
L'hindouisme est la religion de plus d'un milliard de personnes dans le monde, c'est une religion multimillénaire, plus de deux fois plus ancienne que le christianisme, et d'une admirable sagesse, beauté et richesse pour celui qui s'y intéresse. L'Inde et la Perse sont le creuset de la vaste culture indo-européenne qui a essaimé dans le monde, surtout en Asie.
L'auteur ridiculise des symboles qu'il ne connaît et ne comprend même pas. Il a bien tort de se moquer du dieu à tête d'éléphant, Ganesha, fils de Shiva, qui est "celui qui enlève tous les obstacles et apporte la bonne chance." Ganesha est aussi le Seigneur des Lettres et de l'étude, le "mari" de l'intelligence. C'est lui qui a rédigé, sous la dictée de Vyãsa, le Mahãbhãrata, la grande épopée religieuse de l'Inde. Se moquer de celui qui aime l'intelligence n'est pas spécialement un signe d'intelligence.
Gandhi, après la Première Guerre mondiale, a déclaré: "L'Occident est satanique" (Vie de Gandhi par Romain Rolland et dénonciations de la civilisation occidentale par Gandhi dans son ouvrage Hind Swaraj). C'est ce que dénonçait aussi le Président de la Syrie Bashar Al Assad dans un discours contre le néolibéralisme:
https://pocombelles.over-blog.com/2023/04/le-president-bashar-al-assad-parle-du-neoliberalisme.html
Il est évident en effet que ce qui est contre Dieu et divise est satanique, ou, selon la conception hindouiste, le fruit de l'ignorance. C'est pourquoi, dans les représentations traditionnelles en Inde, le dieu Shiva "Nataraja" ("Seigneur de la danse) foule aux pieds le nain Apasmara, symbole de l'avidya, l'ignorance ou manque de perspicacité spirituelle.
Pas étonnant qu'avec une telle mentalité, l'Occident s'enfonce dans la déchéance et la perversion, comme son nom l'indique d'ailleurs: "Le lieu ou meurt le Soleil."
Pierre-Olivier Combelles
* Comme le fait Thierry Meyssan par exemple: "Ces fastes ne semblaient pas correspondre à l’avènement d’un roi, mais plutôt aux obsèques d’un monde. Celui de l’Occident dominant l’Humanité."
Nataraja dansant la danse cosmique de la création, de la destruction et de la moksha (libération ultime) sur le corps couché d'Apasmāra, le démon nain de l'avidya (ignorance ou manque de perspicacité spirituelle) - Bronze Chola, musée Guimet.
Détail. Shiva foule aux pieds e nain Apasmara (sanskrit : अपस्मार, romanisé : Apasmāra) qui représente l'ignorance spirituelle et le discours absurde dans l'hindouisme. Il est également connu sous le nom de Muyalaka ou Muyalakan. Shiva ne le tue pas car l'ignorance est nécessaire; il n'y a pas de connaissance sans ignorance.
Histoire de Henry le Grand, Roi de France et de Navarre, par Hardouin de Péréfixe, Paris, Didier, 1837.
Paul Philippe Hardouin de Péréfixe de Beaumont (1606-1671), évêque de Rodez puis archevêque de Paris, précepteur de Louis XIV, écrivit cette vie de Henri IV en 1661 à la demande de son illustre élève. Dans cet intéressant passage, il raconte l'échange entre Don Pèdre, ambassadeur d'Espagne et Henri IV à Fontainebleau. L'arrogance et le fanatisme des Espagnols n'ont pas changé.
Bhagavata Purana (Chant XII, 3): Le chant de la Terre Mère et le remède au Kali-yuga
Du début à la fin, avec ses histoires de détachement,
il [Bhagavata] ravit les saints et les vertueux avec le nectar de ses nombreuses Lila* de Hari**.
L'essence de toutes les Upanishads, c'est le signe que le Brahman [Dieu] est l'Atman [l'âme intérieure] de chacun,
elle illumine la réalité unique sans seconde, elle est le moyen d'atteindre Kaivalya [la Libération].
Bhagavata Purana, 12.13.11 - 12.13.12[97]
* Lila (sanskrit : लीला līlā) ou leela (/ˈliːlə/) peut être traduit librement par "jeu divin". Le concept de lila est commun aux deux écoles philosophiques indiennes, non-dualiste et dualiste, mais a une signification nettement différente dans chacune d'elles. Dans le non-dualisme, le lila est une façon de décrire toute la réalité, y compris le cosmos, comme le résultat du jeu créatif du divin absolu (Brahman). Dans les écoles dualistes du Vaishnavisme, lila fait référence aux activités de Dieu et de son dévot, ainsi qu'aux actions macrocosmiques de l'univers manifesté, comme le montre l'écriture Vaishnava Srimad Bhagavatam, verset 3.26.4 :[1
** Hari (sanskrit : हरि) est l'une des principales épithètes de la divinité protectrice hindoue Vishnu, signifiant "celui qui enlève" (les péchés) et désignant celui qui enlève l'obscurité et l'illusion, celui qui supprime tous les obstacles au progrès spirituel. Le nom Hari apparaît également comme le 650e nom de Vishnu dans le Vishnu Sahasranama du Mahabharata et est considéré comme très important dans le Vaishnavisme.
Bhagavata Purana - Chapitre 3 : Le chant de la Terre Mère et le remède au Kali-yuga
(1) S'rî S'uka dit : "Quand la Terre vit les rois occupés à la conquérir, elle rit et dit : "Ah, voyez comme ces rois, ces jouets de la mort, veulent me conquérir ! (2) Cette convoitise des maîtres de l'homme et même des sages est vouée à l'échec ; ces rois mettent leur foi dans un amas de matière qui n'est qu'une bulle d'eau. (3-4) "Conquérons d'abord le sextuple [des sens et de l'esprit], puis soumettons les principaux ministres et les conseillers. Ensuite, nous soumettrons les citoyens, les amis, les gardiens d'éléphants et les épines [les voyous]. C'est ainsi que nous conquerrons pas à pas la terre et sa ceinture de mers", mais en pensant ainsi, le cœur pris dans les attentes, ils ne réalisent pas la finalité de leur existence. (5) Après avoir conquis les terres au bord de la mer, ils pénètrent ensuite, de toutes leurs forces, dans les mers. Quelle est l'utilité d'une telle victoire sur le moi ? La libération spirituelle est le fruit de la conquête de soi-même !
Source: https://bhagavata.org/downloads/bhagavatam-canto12.html#13
Douzième chant
Kalki
Composé de 13 chapitres[95], le douzième et dernier canto complète le dialogue entre Sukadeva Gosvami et Pariksit sur les rives du Gange, et se termine par le dialogue global entre Sukadeva Gosvami et le groupe de sages dirigé par Saunaka, dans la forêt de Naimisaranya. Axé sur les prophéties et les signes du Kali Yuga, ce canto aborde notamment les sujets suivants :
- La dégradation des dirigeants, qui deviennent des menteurs et des pilleurs, et les symptômes de l'âge de Kali (athéisme, intrigues politiques, bassesse de caractère des souverains, etc.)
- Une liste des futurs dirigeants du monde et la façon dont ils ont atteint la chute.
- Instructions finales et mort de Pariksit en raison de sa malédiction (mordu par un serpent venimeux, Takshaka)
- Prières du sage Markandeya à Nara-Narayana, résistance à Kamadeva envoyé par Indra pour rompre ses vœux, et glorification par Shiva et Uma
- Quatre catégories d'anéantissement universel
- Apparition de l'avatar Kalki pour détruire le mal à la fin du Kali Yuga
- Description des petits et grands Puranas, et des dix-huit grands Puranas
- Description du Mahapurusa
- Résumé et gloire du Srimad Bhagavatam
Source: https://en.wikipedia.org/wiki/Bhagavata_Purana#CITEREFBryant2007
Traduit de l'anglais avec DeepL.
Râmakrishna et les Écritures
Le Maître m'a souvent dit : "Qu'y a-t-il dans les Écritures ? Elles sont comme des feuilles de papier sur lesquelles figure une liste de courses. La liste n'est utile que pour cocher les articles une fois achetés. Une fois cela fait, la liste est jetée. Vous devez donc vérifier vos connaissances, votre dévotion, et consulter les écritures pour voir si elles sont d'accord. Il est dit, "Quand on a la connaissance de l'Absolu, les écritures ne valent qu'une paille". La Mère Divine avait montré à Sri Ramakrishna ce qu'il y avait dans les Écritures, les Puranas et la littérature tantrique. Ainsi, bien qu'il n'était pas lettré, il était capable d'abaisser l'orgueil des pandits.
Il avait l'habitude de dire : "Si vous recevez un petit rayon de lumière de la Mère Divine, cela fait pâlir toutes les connaissances."
Traduit de l'anglais par Sudarshan avec DeepL
Source: Ramakrishna as we saw him. Edited and translated by Swami Chenanananda.
Râmakrishna sur la doctrine chrétienne du péché
Un jour, le Maître m'a dit : "Ramlal, va au marché d'Alambazar et achète du tabac, des graines de fenouil et du cubèbe". Je suis allé au marché et je suis tombé sur un missionnaire chrétien qui prêchait le christianisme dans la rue et distribuait une brochure intitulée "L'Évangile selon Matthieu", en bengali. J'en ai pris un exemplaire et je suis retourné voir le Maître. Il m'a demandé: "Quel est ce livre ? Lis-le-moi, s'il te plaît." Après avoir écouté pendant un certain temps, le Maître dit : "Arrête. Tu n'as plus besoin de lire. Ce livre ne parle que du péché et du péché. Il y a un proverbe qui dit : "Ce que l'on pense, on le devient". Il poursuit : "Dieu est le maître de cet univers et tous les êtres sont ses enfants. Ô mon esprit, sache-le avec certitude, tu es un enfant de Dieu."
Témoignage de Ramlal Chattopadhyay, 28 octobre 1931
Traduit de l'anglais par Sudarshan avec DeepL
Source: Ramakrishna as we saw him. Edited and translated by Swami Chenanananda. Chapitre: Ramlal Chattopadhyay.
Râmakrishna: Akbar et le fakir
Abu'l-Fath Jalal-ud-din Muhammad Akbar (15 octobre 1542[a] - 27 octobre 1605) plus connu sous le nom d'Akbar le Grand, et également sous le nom d'Akbar I, est le troisième empereur moghol, qui règna de 1556 à 1605. Akbar succèda à son père, Humayun, sous la direction d'un régent, Bairam Khan, qui aide le jeune empereur à étendre et à consolider les domaines moghols en Inde.