operation "rechauffement climatique"
Sénateur Malcolm Roberts (QL, Australie): Les initiatives audacieuses de Trump s'alignent sur les politiques de One Nation
6 février 2025
Au cours de ses deux premières semaines, le président Trump a sécurisé la frontière, empêché la prise de contrôle du canal de Panama par les Chinois et s'est attaqué au gaspillage du gouvernement américain. Il s'est retiré de l'OMS, du WEF et de la fraude sur le changement climatique - des mesures que One Nation soutient depuis 20 ans. Des décrets ont mis fin à l'idéologie woke DEI et transgenre tout en soutenant les Américains LGB - encore une fois une politique de One Nation.
Le président Trump n'est pas une menace pour la démocratie ici ou aux États-Unis - il est, cependant, une menace pour l'idéologie toxique des Verts. L'Australie a mené la riposte contre l'idéologie woke, et les actions de Trump s'alignent sur les politiques de One Nation.
One Nation est fière de faire passer l'Australie en premier, tout comme Trump fait passer l'Amérique en premier.
Transcription
L'élection du président Donald Trump a été certifiée dans tous les États américains, par les Démocrates comme par les Républicains et au Congrès. L'élection de 2024 a été une application classique du modèle de gouvernement républicain des États-Unis. Au cours des deux premières semaines de son mandat, le président Trump a sécurisé la frontière contre les arrivées illégales, en ajoutant du jour au lendemain des troupes mexicaines et canadiennes pour surveiller leur côté de la frontière et en levant les menaces de droits de douane. Le président Trump a empêché la Chine de s'emparer du canal stratégique de Panama, et son équipe s'est efforcée de mettre fin aux gaspillages du gouvernement américain, dont certains semblent de nature criminelle et séditieuse. Le président Trump a retiré les États-Unis de l'Organisation mondiale de la santé, du Forum économique mondial et de la tyrannie et de la fraude liées au changement climatique. Ce sont des mesures que One Nation préconise depuis 20 ans. Les décrets ont détruit l'idéologie woke DEI et transgenre tout en réaffirmant le soutien aux Américains gays, lesbiennes et bisexuels. Là encore, il s'agit de la politique de One Nation.
Le président Trump n'est pas une menace pour la démocratie ici ou aux États-Unis. Il est une menace pour les Verts, qui observent le reflux de leur politique identitaire néo-marxiste. Leur idéologie toxique est à juste titre expédiée dans les égouts de l'histoire. Le président Trump n'est pas à l'origine du reflux de l'idéologie woke ; l'Australie l'a fait lorsque les Australiens ordinaires ont rejeté la proposition Voice, et les Irlandais l'ont fait lorsqu'ils ont rejeté la fragmentation de leurs familles lors d'un référendum dans ce pays. Les actions du président Donald Trump sont en accord avec les politiques de One Nation, et nous en sommes très, très fiers. Trump fait passer l'Amérique en premier ; One Nation fait fièrement passer l'Australie en premier.
Traduit de l'anglais par Le Fil d'Ariane
Sénateur Malcolm Roberts (QL, Australie): La « crise climatique » a été déclenchée par un criminel !
La « crise climatique » a été déclenchée par un criminel !
Discours
La « crise climatique » est la plus grande fraude jamais perpétrée à l'encontre des Australiens. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat de l'ONU a été créé par un criminel et c'est pourtant sur lui que les gouvernements s'appuient pour justifier leurs politiques climatiques destructrices pour le pays.
La question qui se pose est la suivante : les personnes qui participent à cette escroquerie sont-elles des imbéciles ou des complices ?
Transcription
One Nation ne soutiendra pas cette motion de suspension du règlement. La vraie question est celle qui se cache derrière cette demande de suspension du règlement, à savoir : les Verts sont-ils des pigeons et des imbéciles, ou sont-ils complices de l'escroquerie ? Ils prétendent que l'urgence climatique s'aggrave, qu'il y a un effondrement du climat. Et c'est reparti, sans aucune donnée à l'appui. Nous savons que les Verts n'ont jamais fourni de preuves scientifiques empiriques ou de points scientifiques logiques pour étayer leur affirmation d'une escalade de l'urgence climatique.
J'ai défié la sénatrice Waters lors d'un débat public en 2010 - il y a 13 ans - et elle ne veut toujours pas débattre avec moi. Elle s'est levée d'un bond et a déclaré : « Je ne veux pas débattre avec vous ». Je l'ai à nouveau mise au défi, presque tous les jours et toutes les semaines depuis le 9 septembre.
Le sénateur Waters : Laissez-moi tranquille !
Le sénateur Roberts : Nous entendons maintenant des appels : Laissez-moi tranquille. Je n'ai pas de données. Non. Les Verts ne disposent d'aucune preuve pour étayer leurs affirmations.
Deuxièmement...
Sénateur Cox : Lisez le rapport.
Sénateur Roberts : Je parlerai du rapport dans une minute. La deuxième chose est le point a) ii) de la motion, la déclaration du Secrétaire général des Nations Unies. Savions-nous que Greta Thunberg, qui n'a pas terminé ses études secondaires, a reçu hier un doctorat honorifique en théologie de l'université d'Helsinki ? C'est une religion, cette histoire de climat, et le grand dieu, ce sont les Nations unies. Avez-vous élu le secrétaire général des Nations unies pour diriger notre pays ? Non, je ne l'ai pas élu. Ils n'ont jamais été élus.
Jetons un coup d'œil aux rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies. Le premier, datant de 1990, était fondé sur la fraude, mais même ce rapport montrait que la période de réchauffement médiévale était plus chaude que les températures actuelles. Ce constat a rapidement été retiré du rapport suivant des Nations unies, en 1995. Les scientifiques réunis sous la bannière de l'ONU ont déclaré qu'il n'y avait aucune preuve d'un réchauffement dû à la production humaine de dioxyde de carbone. Pourtant, Ben Santer, l'un des scientifiques, a modifié ce rapport et l'a présenté en 1995 sur la base d'une fraude.
En 2001, 2007, 2013 et 2020, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies a publié des rapports. Prenons le chapitre 12. Dans chacun de ces rapports, il n'y avait qu'un seul chapitre affirmant le réchauffement et l'attribuant au dioxyde de carbone provenant de l'activité humaine. En 2001, il s'agissait du chapitre 12. En 2007, c'était le chapitre 9. En 2013, c'était le chapitre 10. Aucun des chapitres de ces rapports affirmant le réchauffement et l'attribuant au dioxyde de carbone d'origine humaine ne contient la moindre preuve de cette affirmation. Il en sera de même en 2020.
Le vice-président : Sénateur Whish-Wilson, voulez-vous faire un rappel au règlement ?
Le sénateur Whish-Wilson : Je peux supporter beaucoup de choses dans cette enceinte, mais il est très difficile de supporter que le sénateur Roberts me crie dessus à un mètre cinquante de distance. Pourriez-vous lui demander de s'adresser à la présidence, comme il se doit selon les règles parlementaires ?
Le vice-président : Il s'adressait à moi, mais c'est une leçon pour nous tous de nous adresser à la présidence.
Le sénateur Roberts : Nous constatons toujours que lorsque quelqu'un n'a pas de preuves, il s'appuie sur des insultes, des insinuations et des déformations. Je vous remercie de ne pas avoir été capable de contester mon argument.
Examinons la base de ce rapport des Nations Unies. Maurice Strong était un escroc. Il est mort en 2015 après être revenu d'un exil auto-imposé en Chine.
Maurice Strong a créé le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations unies comme outil politique pour atteindre ses objectifs à l'échelle mondiale. Maurice Strong a créé le Chicago Climate Exchange. Il en était l'un des directeurs. Il a cherché à tirer des milliards de dollars de bénéfices du Chicago Climate Exchange. Il a ensuite été poursuivi pour le scandale « pétrole contre nourriture » aux Nations unies - un autre scandale aux Nations unies. Il était également recherché par les forces de l'ordre américaines pour des crimes graves aux États-Unis, dont un très grand crime dans l'ouest des États-Unis. Il s'est exilé. C'est un escroc !
C'est sur cela que les Verts fondent leur politique. C'est sur cela que le parti travailliste fonde sa politique. C'est sur cela que les libéraux et les nationaux, à quelques exceptions près - je note le sénateur Rennick - fondent leurs politiques. Ces politiques qui détruisent la vie de tous les Australiens sur le plan économique, social, mental et moral sont basées sur un escroc, et vous êtes tombés dans le panneau. Qui plus est, vous faites maintenant payer le peuple australien pour cela. C'est inhumain, irresponsable et malhonnête. Les Verts sont-ils coupables de fraude ou sont-ils simplement des boucs émissaires et des imbéciles ?
Je constate que la Chine produit 4,5 milliards de tonnes de charbon et obtient une plus grande partie de notre charbon, alors que nous ne sommes pas autorisés à utiliser les 500 millions de tonnes que nous produisons dans ce pays. Ils produisent neuf fois plus et pourtant ils n'ont pas d'accord pour 2050 net zéro.
Il s'agit d'une fraude et c'est pourquoi nous ne soutiendrons pas cette suspension.
24 mars 2023
Traduit de l'anglais par Le Fil d'Ariane
Source: https://www.malcolmrobertsqld.com.au/the-climate-crisis-was-started-by-a-criminal/
Sur le même sujet:
https://essentiel.news/cedh-condamne-suisse-inaction-climatique/
Sénateur Macolm Roberts (Queensland, Australie): La soupe aux lettres climatique
Sénateur Macolm Roberts (Queensland, Australie)
La soupe aux lettres climatique*
Il existe de nombreuses organisations gouvernementales qui se consacrent à la mise en œuvre des politiques climatiques des Nations unies, ce qui rend la vie de plus en plus difficile pour les Australiens. Il est difficile de suivre tous les projets. L’une de ces organisations est la Clean Energy Finance Corporation (CEFC). Il a des dépenses annuelles de 537 millions de dollars et des actifs d’un montant de 7,3 milliards de dollars. La masse salariale de leurs 15 employés les plus importants est de 7,4 millions de dollars par année.
Ian Learmonth, qui est l’un des responsables du CEFC et qui apparaît dans cette vidéo, a reçu une prime de 614 000 $ l’an dernier, ce qui porte sa rémunération totale pour l’année à 1 million de dollars ou 1,7 fois le salaire du premier ministre.
Il n’est pas surprenant qu’il ne voulait pas divulguer cela quand je lui ai demandé.
NdT: en anglais: "The Climate Alphabet Soup". La soupe alphabet est cette soupe rapide qui se prépare avec des pâtes de très petite taille en forme de lettres de l'alphabet ou de chiffres, pour amuser les enfants.
NDLR: On voit bien que l'escroquerie planétaire du "Réchauffement climatique anthropique" sert non seulement à imposer une politique qui sert les intérêts de la ploutocratie et à contrôler le reste de la population (et in fine la dépopulation), mais aussi à entretenir toute une bureaucratie grassement payée, ce qui est d'autant plus insupportable que les classes moyennes sont condamnées à l'appauvrissement et à la misère. C'est le sujet de cette enquête du sénateur Roberts auprès de la CEFC.
Transcription
Le sénateur ROBERTS : Il y a une soupe aux organismes et ministères impliqués dans la transition énergétique. De façon aussi simple et précise que possible, que faites-vous à la Clean Energy Finance Corporation, quelles sont vos responsabilités de base et quelles qualités uniques apportez-vous?
M. Learmonth : Le but du CFPC, tel qu’il est énoncé dans la loi, est de faciliter les flux de fonds d’investissement dans le secteur de l’énergie propre et de réaliser les objectifs climatiques du gouvernement. Nous utilisons une quantité importante de capitaux déployés dans l’économie australienne pour décarboniser l’Australie. C’est vraiment ce que nous faisons. Nous avons 165 personnes, dont la plupart sont très qualifiées pour aller sur le marché et trouver des endroits où nous pouvons utiliser ce capital catalytique pour réduire les émissions.
Le sénateur ROBERTS : Quelle est la masse salariale totale de tous les employés? Avez-vous des travailleurs occasionnels et des entrepreneurs ou sont-ils tous permanents à temps plein?
M. Learmonth : Nous venons de déposer notre rapport annuel qui contient toutes ces informations. Si vous souhaitez obtenir d’autres détails qui ne sont pas évidents ou disponibles dans le rapport annuel, je suis très heureux de les prendre en note.
Le sénateur ROBERTS : Il n’y a pas eu de changements depuis la publication du rapport annuel?
Mr Learmonth : Non.
Le sénateur ROBERTS : Quel est le budget total de la Clean Energy Finance Corporation, y compris les subventions ou programmes que vous administrez?
Mr Learmonth : Voulez-vous dire au-delà des prévisions? Quelle période?
Le sénateur ROBERTS : Pour l’exercice en cours, et si vous voulez le faire figurer dans le budget des dépenses, ce serait utile aussi.
M. Learmonth : Encore une fois, je vais prendre note de cela. C’est probablement la meilleure façon de procéder. Mon directeur financier pourrait être en mesure de vous fournir ce chiffre. Nous avons certainement ce qui est dans les documents budgétaires.
Le sénateur ROBERTS : Pour revenir aux bons mots du président, dernière question : quel est le salaire total de tous les employés qui sont ici en ce moment?
M. Learmonth : Encore une fois, c’est dans le rapport annuel. Bien sûr, Andrew et moi-même sommes explicitement à la page 215 du rapport annuel. Si vous désirez obtenir plus d’information à ce sujet, nous pouvons faire un suivi.
Le sénateur ROBERTS : Pourquoi ne pas partager?
Mr Learmonth : C’est là et il y a toute une série de mesures incitatives à court terme.
Le sénateur ROBERTS : Si cela ne répond pas à nos besoins, nous pouvons vous envoyer une lettre pour obtenir les détails? Est-ce exact?
Mr Learmonth : Je le placerais dans l’autre sens. S’il y a quelque chose qui ne figure pas dans ce document public concernant la rémunération
Traduit de l'anglais par Le Fil d'Ariane
Source et rapport (236 pages) du CEFC:
Le rôle du Soleil dans le changement climatique / une évidence que refuse le GIEC, par Patrice Gibertie
7 décembre 2024
Source : pgibertie.com – 25 novembre 2024 – Patrice Gibertie
Le rôle du Soleil dans le changement climatique est vivement débattu. Certaines études suggèrent que son impact est important, tandis que d’autres suggèrent qu’il est minime. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) soutient ce dernier point de vue et suggère que près de 100 % du réchauffement de surface observé entre 1850-1900 et 2020 est dû aux émissions anthropiques.
Cependant, les conclusions du GIEC se fondent uniquement sur des simulations informatiques réalisées avec des modèles climatiques mondiaux (MCG) forcés par un enregistrement de l’irradiance solaire totale (TSI) montrant une faible variabilité multidécennale et séculaire.
Les mêmes modèles supposent également que le Soleil affecte le système climatique uniquement par le biais du forçage radiatif – comme le TSI – même si le climat pourrait également être affecté par d’autres processus solaires.
Dans cet article, je propose trois modèles multi-proxy « équilibrés » de l’activité solaire totale (TSA) qui prennent en compte tous les principaux proxys solaires proposés dans la littérature scientifique.
Leur signature optimale sur les enregistrements de température globale et de surface de la mer est évaluée conjointement avec celles produites par les fonctions de forçage radiatif anthropique et volcanique adoptées par les GCMs CMIP6.
Cela est fait en utilisant un modèle de bilan énergétique de base calibré avec une méthodologie de régression multilinéaire différentielle, qui permet au système climatique de répondre à l’apport solaire différemment qu’aux seuls forçages radiatifs, et d’évaluer également la réponse temporelle caractéristique du climat.
La méthodologie proposée reproduit les résultats des GCMs CMIP6 lorsque leurs fonctions de forçage d’origine sont appliquées dans des conditions physiques similaires, indiquant que, dans un tel scénario, la plage probable de la sensibilité climatique à l’équilibre (ECS) pourrait être de 1,4 °C à 2,8 °C, avec une moyenne de 2,1 °C (en utilisant l’enregistrement de température HadCRUT5), ce qui est compatible avec le groupe de GCMs CMIP6 à faible ECS.
Cependant, si les enregistrements solaires proposés sont utilisés comme proxys TSA et que la sensibilité climatique à ces enregistrements est autorisée à différer de la sensibilité climatique aux forçages radiatifs, on constate un impact solaire beaucoup plus important sur le changement climatique, ainsi qu’un effet radiatif considérablement réduit.
Dans ce cas, l’ECS est de 0,9 à 1,8 °C, avec une moyenne d’environ 1,3 °C. Des plages d’ECS plus basses (jusqu’à 20 %) sont trouvées en utilisant HadSST4, HadCRUT4 et HadSST3.
Le résultat suggère également qu’au moins environ 80 % de l’influence solaire sur le climat pourrait ne pas être induite par le seul forçage TSI, mais plutôt par d’autres processus Soleil-climat (par exemple, par une modulation magnétique solaire des rayons cosmiques et d’autres flux de particules, et/ou autres), qui doivent être étudiés en profondeur et compris physiquement avant que des modèles de circulation générale fiables puissent être créés.
Ce résultat explique pourquoi les études empiriques ont souvent constaté que la contribution solaire aux changements climatiques tout au long de l’Holocène a été significative, alors que les études basées sur les modèles de circulation générale, qui n’adoptent que les forçages radiatifs, suggèrent que le Soleil joue un rôle relativement modeste.
Document de recherche : Evaluation empirique du rôle du soleil dans le changement climatique à l’aide d’enregistrements solaires multi-proxy équilibrés. Arthur Corentin, Ph.D.
En juin 2023, sortait dans la revue Geoscience Frontiers de l’éditeur Elsevier, un article du géophysicien Nicolas Scafetta, intitulé « Evaluation empirique du rôle du Soleil dans le changement climatique à l’aide d’enregistrements solaires multi-proxy équilibrés ». Si pour bon nombre de climato-réalistes il est évident que le Soleil est à l’origine des changements climatiques, il reste à essayer de le démontrer solidement pour que cette affirmation puisse être prise au sérieux.
C’est à cette tâche que se sont attelés Nicolas Scafetta et bien d’autres géophysiciens depuis de nombreuses années, mais cette publication de juin 2023 constitue, selon moi, un tournant et elle ne peut pas être ignorée.
Comme il le dit dans son article, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) suggère que près de 100 % du réchauffement de la surface observé entre 1850-1900 et 2020 est dû aux émissions anthropiques de gaz à effet de serre. Cependant, les conclusions du GIEC reposent uniquement sur des simulations informatiques réalisées à l’aide de modèles climatiques globaux forcés par un enregistrement de l’irradiation solaire totale (TSI), qui montre en fait une faible variabilité multidécennale et séculaire. Ces mêmes modèles supposent également que le Soleil n’affecte le système climatique que par le biais de ce forçage radiatif, alors que le climat pourrait également être affecté par d’autres processus solaires ». Ces processus sont regroupés sous le terme d’Activité Solaire Totale ou TSA, dont la TSI ne constitue qu’une partie. La TSA considère aussi l’effet du champ magnétique du Soleil, qui module les flux de rayons cosmiques à l’origine de la formation des nuages ou les changements de rayonnement UV qui ont un impact sur les concentrations en ozone dans la stratosphère, et probablement d’autres mécanismes.
Nicolas Scafetta, spécialiste du Soleil, a donc essayé de prendre en compte la TSA à l’aide, de jeux de données incluant trois nouveaux enregistrements de TSI allant de 1700 à 2022, déjà utilisés pour des études sur les changements climatiques. L’un d’eux, proposé il y a 30 ans, présente de fortes variations multidécennales et il a été complété par des données plus récentes acquises avec le radiomètre ACRIM de la NASA.
Pour modéliser l’effet de ces jeux de données, il a considéré que les températures terrestres globales et les températures de surface de la mer (SST) nommées T(t), sont déterminées par trois composantes : l’activité anthropique, l’activité volcanique et l’activité solaire. Puis, il a dérivé la fonction T dépendante du temps t, par rapport à ces trois composantes pour déterminer leurs coefficients de sensibilité respectifs, fonctions essentielles pour discriminer l’impact de chacune des composantes sur l’évolution de la température. Il s’est ensuite servi de ses trois jeux de données pour simuler des variations de température et observer la corrélation avec les enregistrements de T(t).
Pour s’assurer de la validité de ses simulations, il a reproduit tout d’abord, la simulation du GIEC à partir des données de son dernier rapport. Sans surprise, il est arrivé à la même conclusion : le rôle du Soleil est mineur et la composante anthropique est prépondérante sur les autres, du fait de la faible variabilité de la TSI du jeu de données utilisé.
En utilisant les trois jeux prenant en compte la TSA, sa modélisation suggère qu’elle pourrait avoir un impact 4 à 7 fois plus important que l’impact de la TSI seule, ce qui implique que l’effet du Soleil sur le climat pourrait être dû à d’autres mécanismes que ceux du forçage par la TSI.
Les personnes avisées le savaient déjà, mais il fallait le démontrer. Cette simulation montre aussi que l’effet des variations de l’activité solaire pourraient être comparable à la composante anthropique et que sa corrélation avec les enregistrements de température globale et de SST est meilleure que celle obtenue par le GIEC. Enfin, elle montre que la sensibilité climatique à l’équilibre ou ECS (résultat d’un doublement de la concentration en CO2), serait située entre 0,8 et 1,8 °C en prenant pour la simulation, uniquement les températures terrestres, et 0,6 à 1,6 °C avec uniquement les SST, alors que pour le GIEC, l’ECS est « probablement » situé entre 2,5 et 4 °C.
Cette publication vient donc en opposition frontale avec le sixième rapport du GIEC sur l’évaluation des changements climatiques, et elle ne peut être ignorée. Attendons les arguments qui lui seront opposés.
https://www.climato-realistes.fr/laction-du-soleil-sur-le-climat-2eme-partie-la-periode-recente
https://www.climato-realistes.fr/laction-du-soleil-sur-le-climat-3eme-partie
Commentaire de Annwyn sur le site Strategika, 7 décembre 2024
Le « Développement durable » concerne surtout celui du mensonge.
Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale.
Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992 (grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays), lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Est-il utile de rappeler que c’est Aurelio Peccei, ancien affilié du Groupe « Bilderberg » (et fondateur du Club de Rome, cette organisation technocratique), qui est à l’origine de l’émergence du concept de « développement durable » ?
Le FEM accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
Notons que l’on observe dans la Nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ». Cette seconde cause de mouvement engendre des déplacements qui déterminent la plupart des phénomènes météorologiques en dérangeant la stabilité de l’enveloppe gazeuse de la terre. Nous voyons que c’est cette cause qui détermine la chute des corps à la surface terrestre. Cette pesanteur planétaire (force que l’on a si mal expliquée jusqu’ici, et qui ne répond nullement à la cause qu’on lui a assignée) est le résultat de la pression exercée par l’Azote qui forme l’atmosphère des planètes sur les corps qui constituent leur surface ou sur ceux qui sont libres autour d’elles. Cette réaction constante de l’Azote vers la terre, qui lui a pris sa place dans l’espace, n’est pas la seule réaction qu’il exerce. Il tend aussi à se dilater dans une autre direction, c’est-à-dire vers les régions célestes de l’infini. De ce côté il est contenu par l’action dynamique des radiations qui le frappent incessamment. Mais les radiations ne sont ni immuables ni éternelles, elles sont, au contraire, dans un état constant de variabilité. Or, chacun des changements qui surviennent dans leur mode d’action se traduit, dans les profondeurs de notre atmosphère, par un changement d’état de la réaction de l’Azote.
L’Azote (appelé « Ether » dans l’antiquité) est donc une substance qui n’est pas seulement dans notre atmosphère, mais au-delà, partout, et dans l’univers entier, sous des états de condensation ou de raréfaction qui dépendent du milieu dans lequel elle s’épand :
– Si la pression des radiations devient moins forte, l’Azote se dilate dans l’atmosphère ; tous les corps qu’il comprimait se dilatent aussi : c’est la chaleur ;
– Si la pression devient plus forte, l’Azote augmente sa réaction vers la terre, il comprime plus fortement les corps qui en occupe la surface : c’est le froid ;
– Si la pression en plus ou en moins est accidentelle, si elle n’intéresse qu’un seul point de l’atmosphère, il en résulte un changement de densité qui, en se propageant aux couches les plus voisines y détermine « un courant ». C’est le vent ;
– Si un seul faisceau de radiation vient à manquer subitement, c’est un vide subit qui est offert au besoin d’expansion de l’Azote et dans lequel il se précipite en tournoyant : c’est une trombe, une tornade, un cyclone. Le mouvement commencé dans les régions élevées de l’atmosphère se propage de haut en bas. Lorsqu’il atteint la surface terrestre, le bouleversement des éléments atmosphériques, qui en résulte, détermine toutes sortes de ravages.
Ainsi, tout ce qui se passe sur la terre à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère. L’esprit de l’homme, perdant de vue l’Univers, s’est confiné dans son petit monde et a voulu y trouver la cause de tout ce qui existe. C’est là une méthode mesquine que la science de l’Univers détruira.
Disons également deux mots à propos du Carbone et de sa désassimilation, c’est-à-dire sa présence dans l’organisme à l’état d’acide carbonique qui est la forme ultime qu’il prend et sous laquelle il est expulsé du corps ; opération qui s’effectue aussi dans les plantes et dans les animaux. Le carbone subit dans l’organisme mille modifications en s’unissant aux divers éléments qu’il rencontre ; finalement, il est rejeté du corps et, alors, remis en liberté dans l’atmosphère où, après fort peu de temps, et sous différentes actions physiques et chimiques, l’acide carbonique est décomposé en ses éléments, c’est-à-dire retourne à son état primitif et rentre dans le grand réservoir commun d’Azote et d’Oxygène. L’acide carbonique se décompose par la chaleur. C’est pourquoi, en été, alors que la vie végétale a le plus d’activité, la chaleur est presque toujours assez élevée pour décomposer l’acide carbonique de l’atmosphère. C’est parce qu’en été tout l’acide carbonique jeté dans l’air par les hommes, les animaux, les plantes et par les foyers de combustion est promptement décomposé et rendu à son état primitif, que l’air est pur, tandis qu’à basse température cette décomposition ne s’opère pas ; donc, en hiver l’air est moins pur. Rappelons que les partisans des causes finales expliquent l’apparition des végétaux sur la terre avant celle des hommes et des animaux par la nécessité de purifier l’atmosphère par leur respiration, en lui enlevant l’acide carbonique qu’ils supposent y avoir régné, et en fabriquant des tissus qui puissent servir de nourriture aux herbivores, lesquels, plus tard, pourront servir de nourriture à l’homme. Donc, pour eux, il existe un Créateur qui, dès l’origine du monde, a eu en vue la création de l’homme, but et fin de toutes choses, qui a préparé, longtemps à l’avance, cette création ultime par une série de création préparatoires, qui a façonné un monde pour pouvoir, un jour, inviter cet être privilégié à venir en prendre possession. Et pour soutenir de pareilles extravagances, on invoque des faits scientifiques, on torture la pauvre science qui sert de prétexte à tant de divagations. C’est pour soutenir cette idée absurde qu’on a imaginé de dire qu’il fallait des végétaux pour enlever à l’air un excès d’acide carbonique que l’on a inventé pour la circonstance, afin que l’homme et les animaux pussent venir, plus tard, vivre dans cette atmosphère primitivement impure. De cette manière on fait servir les conclusions d’une théorie qui est fausse, à la confirmation d’une idée qui n’est pas moins fausse. Tout cela est de la fable et constitue la mythologie scientifique des « Lactance » et « Arnobe » modernes.
Pour revenir au Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), soulignons que, à l’origine, il est issu du « 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages » (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par la Banque Rothschild, et le Baron Edmond de Rothschild lui-même. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès qui était présidé par l’homme politique, membre de la haute finance canadienne et agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, Maurice Strong (1929-2015). Co-fondateur du WWF, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et co-directeur de l’Aspen Institute, Maurice Strong était aussi membre fondateur du GIEC (créé en 1988) et de l’« Earth Council », dont il deviendra le Directeur. Créé en 1992, au Costa Rica, pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », l’« Earth Council » a aussi comme membre fondateur Klaus Schwab, accessoirement « Monsieur Great Reset », mais surtout fondateur du « World Economic Forum », les Symposiums annuels qui depuis 1971 réunissent à Davos, en Suisse, les hommes du « Big Business ».
Enfin, rappelons que Al Gore, ancien sénateur et vice-président des États-Unis sous l’ère « Clinton », qui a évoqué l’environnement en tant que question politique, et qui est donc surtout connu pour sa « lutte », avec l’aide du GIEC, contre les effets du réchauffement climatique, est aussi le cofondateur (avec le chef de la gestion d’actifs de Goldman Sachs, David Blood) de « Generation Investment Management LPP », fonds d’investissements dans « l’économie durable », qui recueille des capitaux d’investisseurs du monde entier et en particulier de nombreux fonds de pension américains. Al Gore s’est lancé également dans le négoce de certificats d’émissions de CO2, et est aujourd’hui membre du conseil d’administration d’Apple, important actionnaire et conseiller de Google, et membre du conseil d’administration du Forum économique mondial de Davos.
On constate dans cet exemple, et au-delà des beaux discours trompeurs mais « nobélisés » (Al Gore, avec le GIEC, a reçu le prix Nobel de la paix en 2007) et « oscarisés » (« Une vérité qui dérange » a été récompensé par 2 Oscars en 2007) par les promoteurs du « système », toute l’hypocrisie et le caractère toujours bassement mercantile de tous ces médiocres individus au service de l’oligarchie.
F. William Engdahl: Cyclones-bombes et rivières atmosphériques : Quelqu'un joue-t-il avec la météo ?
[Publié pour la première fois le 17 janvier 2023, ce texte exceptionnel de F. William Engdahl permet de comprendre les techniques de modification des conditions météorologiques].
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Ces derniers mois [2023], le monde entend des termes inhabituels pour décrire les phénomènes météorologiques extrêmes. Des termes tels que « cyclone-bombe » ou « rivières atmosphériques » sont désormais utilisés dans les bulletins météorologiques quotidiens à la télévision pour décrire le déversement de volumes records de pluie ou de neige dans certaines régions du monde, de manière extrêmement destructrice. La mafia verte prétend, sans l'ombre d'une preuve factuelle, que tout cela est dû à la trop grande « empreinte carbone » de l'homme. Elle s'en sert comme d'une excuse pour justifier l'abandon progressif du pétrole, du gaz, du charbon et de l'énergie nucléaire au profit d'une « énergie verte » inapplicable et subventionnée par les contribuables, à savoir l'énergie éolienne ou solaire peu fiable. Se pourrait-il que ces calamités météorologiques exceptionnelles soient effectivement « d'origine humaine », mais qu'elles ne soient pas dues aux émissions de CO2 ?
Depuis la fin du mois de décembre, les États-Unis ont subi des phénomènes météorologiques violents, notamment la tempête Bomb Cyclone qui a enseveli une grande partie de la côte Est sous une neige record, de Buffalo jusqu'à la Floride. Dans le même temps, la côte ouest des États-Unis, de l'État de Washington à la Californie, a subi des inondations extrêmes dues à des vagues successives de rivières océaniques transportant d'énormes volumes d'eau en provenance du Pacifique et provoquant de graves inondations. Sans apporter la moindre preuve scientifique, les idéologues verts ont affirmé que tout cela était dû à un réchauffement planétaire d'origine humaine - aujourd'hui appelé « changement climatique » pour brouiller les pistes - et ont plaidé en faveur d'une transition accélérée vers les énergies renouvelables.
Il est tout à fait possible d'affirmer que ce phénomène pourrait bien être d'origine humaine. Mais pas à cause d'une trop grande quantité de CO2 ou d'autres émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine. Il pourrait s'agir d'une manipulation délibérée et malveillante de nos principaux phénomènes météorologiques.
La géoingénierie ?
La technologie de manipulation des conditions météorologiques est l'un des domaines les plus secrets et les moins débattus depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elle est souvent appelée géo-ingénierie ou, plus récemment, « intervention climatique », un terme moins inquiétant. Quel que soit son nom, elle implique que l'homme joue avec les complexités du climat de la Terre, avec des résultats potentiellement catastrophiques. Que savons-nous des possibilités qui s'offrent à nous ?
À la suite de la conférence de Paris sur le climat de 2015 et de l'accord de Paris qui a suivi, Peter Wadhams, professeur de physique des océans à l'université de Cambridge, ainsi que d'autres éminents scientifiques spécialistes du réchauffement climatique, ont lancé un appel à la géo-ingénierie pour « résoudre » la prétendue crise climatique et empêcher le réchauffement de la planète de dépasser 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels, un objectif tout à fait arbitraire. Les scientifiques de l'après-Paris affirment que « nous sommes au pied du mur et nous devons maintenant commencer à nous préparer à la géo-ingénierie. Nous devons le faire en sachant que ses chances de succès sont faibles et que les risques de sa mise en œuvre sont importants ». [Ce qu'ils ne disent pas, c'est que la géo-ingénierie est développée dans le secret par l'armée et les agences de renseignement des États-Unis depuis des décennies.
(...)
Traduit de l'américain par le Fil d'Ariane
Source et suite de l'article (en américain):
https://www.globalresearch.ca/bomb-cyclones-atmospheric-rivers-someone-messing-weather/5804879
Les inondations espagnoles soulèvent de nombreuses questions (essentiel.news/Nexus)
Les inondations espagnoles soulèvent de nombreuses questions
Ensemencement des nuages, suppression des barrages, apathie des autorités: les catastrophes favoriseraient-elles un objectif caché?
Les pluies diluviennes et inondations espagnoles récentes ont été tellement soudaines et spectaculaires, et l’apathie des pouvoirs publics tellement patente, qu’elles soulèvent de nombreuses questions au-delà de leur explication officielle.
De surcroît, certaines similitudes avec les catastrophes récentes causées par l’ouragan “Helen” aux États-Unis, mais également les incendies spectaculaires de Lahaina à Hawaï en 2023, ajoutent aux interrogations.
Dans tous ces cas, des observateurs sérieux ont allégué que ces catastrophes auraient été volontairement produites par des expériences dites de “géo-ingénierie”, dont l’objectif serait de convaincre l’opinion que le dérèglement climatique ainsi causé serait effectivement dû à un réchauffement de l’atmosphère; et contre lequel les solutions se trouvent toutes prêtes, sous forme notamment d’un impôt mondial sur le gaz carbonique.
Nous incluons ci-dessous la vidéo récente de nos confrères de Nexus, qui couvre tous ces points, et qui en fait un exposé intéressant de 27 minutes.
La question est ainsi posée: est-ce que les expériences d’ensemencement des nuages au Maroc, reconnues et avérées, auraient pu jouer un rôle? Rappelons que l’ensemencement de nuages a déjà été soupçonné d’avoir causé de graves inondations à Dubaï, et que les soupçons avaient été tellement persistants que les médias de masse s’étaient sentis après les faits obligés de citer des experts pour le nier.
Au minimum, si on n’admet pas que les inondations espagnoles aient pu être délibérément provoquées, peut-on se demander si l’élimination de certains barrages aurait favorisé la catastrophe, et qu’une telle catastrophe sert le pouvoir mondial et ses projets pour l’humanité? Ou alors, que les avertissements aient été volontairement ignorés par la région de Valence, pour les mêmes raisons?
Pour alimenter le débat, voici donc la vidéo de Nexus, qui contient des opinions et des positions qui n’appartiennent résolument pas à l’orthodoxie.
Source: https://essentiel.news/inondations-espagnoles-soulevent-nombreuses-questions/
Pierre-Antoine Plaquevent: "Le projet des mondialistes est un test spirituel”.
Invité spécial de la rencontre des donateurs 2024 d’Essentiel News, Pierre-Antoine Plaquevent, auteur, analyste politique et créateur de Strategika, groupe de recherche indépendant ("think tank"), nous a livré une présentation du “projet” des mondialistes tel un test auquel nous faisons tous face.
S’informer pour comprendre
Dans son exposé, le fondateur de Strategika revient sur la manière dont le projet ou “complot” de la minorité au pouvoir est devenu perceptible et visible pour une grande partie de la population au moment de la crise sanitaire:
Le Covid nous l’a montré, c’est d’abord par l’information que cela se passe. Si on a accès à une bonne information, ou en tout cas à une information différente, on peut résister au rouleau compresseur. Au niveau du Covid, cela nous a même sauvé la vie ou sauvé la vie de proches. Quand on a vu arriver le Covid, le fait d’avoir déjà des connaissances sur ce qu’est le mondialisme et sur ce que sont capables de faire ces gens-là, nous a permis d’anticiper et de comprendre très vite ce qu’ils étaient en train de faire.
La première étape est de comprendre leur projet, d’où l’importance fondamentale des sites de réinformation.
Un projet pour les contrôler tous
Pierre-Antoine Plaquevent met en exergue la tendance chez les gens intelligents qui ont du pouvoir à vouloir créer un système parfait et l’imposer:
Le fait de savoir qu’il existe un projet, cela nous aide à nous défendre et à savoir qu’en face nous avons des gens qui ont réellement une idée en tête, qui veulent gouverner, et qui ont mis en place tous les instruments pour cela.
Dès les années 1920, Aldous Huxley montre ce que serait ce projet s’il était réalisé, c’est à dire une forme de fédération mondiale du genre humain, organisée par caste génétique. Huxley faisait partie de ces familles qui se transmettent, en plus d’un héritage, un projet de société mondialiste.
Le cas de Soros est emblématique car il s’agit d’un financier multimilliardaire. Il nous montre que leur but n’est pas uniquement l’argent. Une fois qu’ils ont atteint un certain niveau de richesse, leur but est le contrôle et le pouvoir. Et au-delà du pouvoir, il existe une question spirituelle. Ayant bouché tous les horizons d’attentes spirituelles, ils travaillent à la restauration d’un paradis terrestre sans Dieu et l’accomplissement d’une immortalité matérielle. C’est le sens du transhumanisme dans lequel il existe une forme de révolte fondamentale contre la Création et le Créateur.
La question de la spiritualité
Selon l’écrivain, la question de la spiritualité est une clé essentielle pour comprendre le projet de l’élite mondialiste auquel nous faisons face, et surtout pour être en mesure de lui résister.
L’intelligence est une faculté spirituelle qui nous permet de connecter les éléments entre eux. Souvent nous nous étonnons de voir des gens qui nous paraissent très intelligents mais n’ont pas compris des choses essentielles. Et bien, c’est parce qu’ils ne sont pas sages. Ils n’ont pas eu cette sagesse d’utiliser cette faculté présente en l’homme et qui a autant à voir avec l’esprit qu’avec le cœur. Il faut faire descendre l’intelligence dans le cœur. Ces gens-là ont fermé leur cœur, ils sont dans le rationalisme pur et veulent combler ce vide intérieur par le contrôle extérieur du monde.
L’orgueil humain fait qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de nous exposer leurs croyances, leur “religion”. Cela rejoint la question spirituelle car à un moment il faudra choisir. Cela n’est plus une question d’intelligence, c’est un choix spirituel. À un certain niveau, être bête cela devient un péché. On n’a plus le droit d’être bête face à ce qui arrive, et il faudra choisir, soit le camp de la Bête comme le nommait les premiers chrétiens, soit le camp de la Liberté, de l’Esprit.
Face à ce test à la fois individuel et général, Pierre-Antoine Plaquevent est persuadé qu’il existera toujours des poches d’humanité qui résisteront quoi qu’il arrive.
Livre de Pierre-Antoine Plaquevent: "SOROS et la société ouverte : "Métapolitique du globalisme."
Visionnez sur essentiel.news l'entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent:
https://essentiel.news/plaquevent-projet-mondialistes-test-spirituel/
NDLR: Il y a un mot que Pierre-Antoine Plaquevent a oublié de prononcer: le mot "guerre". La ploutocratie (car il faut éviter d'utiliser le mot "élite" ou "élites", qui est incorrect, trop flatteur, car il s'agit seulement d'une oligarchie et essentiellement de la ploutocratie) est en guerre contre le peuple, le Grand Peuple, l'Humanité, la Nature et la Création, dans la négation de Dieu. Elle veut les détruire, les asservir, les robotiser. Comprendre que l'on est en guerre, qu'il y a un ennemi qui s'est emparé des leviers du pouvoir et qui veut nous détruire est la première étape de la libération. La deuxième étape, conséquence directe de cette prise de conscience, est la résistance et la lutte pour détruire cet ennemi.
Il faut savoir que la guerre est partout, que la lutte est justice, et que tout est en devenir par la lutte, selon l'ordre normal des choses. (Héraclite d'Éphèse)
Entretien avec le Pr Martin Zizi: explosion des turbo-cancer, vaccinations Covid, sociabilité et conformisme humains, fourmis exploratrices, primates descendus des arbres dans la savane et que faire ? Suivi de: Pierre Chaillot et Philippe Bobola; DIALOGUE TOUS AZIMUTS: Le virtuel et le réel
Présentation:
Présentation:
"La pensée calculable a remplacé la pensée méditante."
Martin Heidegger, cité par Philippe Bobola