operation coronavirus
Clayton Morris x Tucker Carlson: sur le suicide de l'Europe, l'Opération Covid, la guerre d'Ukraine, Soros, le Christianisme, USS Liberty, etc.
NDLR:
S'appuyant sur les travaux d'Augustin Cochin (link), Igor Chafarevitch analyse dans son lumineux ouvrage "Russophobie" la captation du pouvoir, dans les États et les systèmes politiques issus de la Révolution française, par un "petit peuple" tyrannique aux intérêts indépendants du "grand peuple" (majorité) qu'il est censé représenter.
Paul Craig Roberts: Le système de santé américain est un ensemble de centres de profit sans rapport avec les soins de santé
26 février 2025
Le système de santé américain est un ensemble de centres de profit sans rapport avec les soins de santé
Paul Craig Roberts
Le canular de la « pandémie de Covid » nous a appris à quel point le système médical américain est mauvais. Il est pire que mauvais. Il est terrible. Les Américains ont le système médical le plus cher et le moins efficace du monde occidental.
Au cours de ma vie, j'ai écouté la propagande selon laquelle la médecine privée est supérieure à la médecine socialisée. C'est peut-être le cas, mais les États-Unis n'ont plus de médecine privée depuis des décennies. Les prix payés pour les services médicaux sont fixés par Medicare et les compagnies d'assurance privées et sont bien inférieurs aux factures. De plus, les prix sont fixés de manière à éliminer la pratique médicale privée et à forcer les médecins à devenir des employés des « organisations de maintenance de la santé ». La pratique privée est en train de disparaître en Amérique, en particulier au niveau des médecins de famille. Par principe, les organisations de maintien de la santé - la médecine d'entreprise - sont remboursées à un taux plus élevé que les médecins exerçant en cabinet privé. Cela incite les médecins libéraux à capitaliser la valeur de leur pratique en la vendant aux HMO et en devenant des employés soumis à un directeur titulaire d'un MBA dont le travail consiste à maximiser le profit de l'unité médicale. En d'autres termes, la maximisation des profits prend le pas sur les soins de santé.
J'ai connu deux médecins qui ont été contraints d'abandonner leur pratique privée en raison des disparités de facturation qui favorisent la médecine d'entreprise. Dans la médecine d'entreprise, le médecin n'est pas le patron. C'est un employé susceptible d'être licencié s'il ne suit pas les traitements ordonnés par son employeur. C'est la raison pour laquelle tant de personnes ont été assassinées et ont vu leur santé endommagée de façon permanente par le « vaccin Covid ».
Mon médecin, un employé de la médecine d'entreprise, a compris que le virus Covid fabriqué en laboratoire ne représentait qu'un faible danger pour les personnes dont la santé n'était pas déjà en cause. Il a traité les patients dont l'état de santé les rendait vulnérables au Covid avec de l'Ivermectine et a guéri leur maladie. Son employeur l'a convoqué et l'a informé qu'il serait licencié s'il continuait à traiter avec de l'Ivermectine. Il devait envoyer ses patients Covid à l'hôpital où ils seraient ventilés et traités au Remdesivir, et donc assassinés, car les hôpitaux étaient payés 39 000 dollars pour chaque décès Covid. Maximiser les décès, et non sauver des vies, est le résultat de la motivation du profit que les libertariens et les économistes du marché libre vénèrent. La raison pour laquelle on a maximisé le nombre de décès en refusant un traitement efficace et en gonflant le taux d'infection à l'aide du test PCR était de créer une panique qui amènerait des millions de personnes à se faire vacciner contre le Covid, ce qui maximiserait les profits de Big Pharma.
Nous savons désormais que le « vaccin » Covid a tué plus de personnes que le virus Covid, mais les médias prostitués continuent d'étouffer l'information, tout comme les sociétés médicales corrompues soutenues par les subventions de Big Pharma...
Big Pharma domine la médecine américaine. Les subventions qu'elles accordent aux écoles de médecine influencent l'enseignement médical. Les subventions qu'elles accordent aux scientifiques médicaux déterminent les résultats des recherches. Il y a quelques années, les anciens rédacteurs en chef des deux revues médicales les plus prestigieuses, The New England Journal of Medicine et The Lancet, ont écrit qu'ils n'avaient aucune confiance dans les articles qu'ils publiaient, car 70 % d'entre eux étaient rédigés par des scientifiques soutenus par des subventions de Big Pharma.
En ce sens, la médecine américaine est privatisée. Elle appartient à Big Pharma, tout comme Tony Fauci, avec qui Big Pharma a partagé des brevets. Les « régulateurs » de la FDA, du CDC et des NIH sont à la fois des cadres de Big Pharma et des « régulateurs » de Big Pharma.
La conséquence de cette énorme corruption des pratiques de santé est que les vaccins ont laissé 75 % des enfants américains avec des maladies qui n'existaient pas quand j'étais jeune. À mon époque, parce que nous courions pieds nus en été, que nous marchions sur des clous rouillés et que nous nagions dans les ruisseaux et les lacs, nous étions vaccinés contre le lockjaw et la typhoïde. C'est tout. Aujourd'hui, je comprends que les enfants reçoivent plus de 60 vaccins avant d'atteindre l'adolescence. Ces vaccins détruisent leur système immunitaire et les exposent à des maladies qui, à mon époque, étaient supprimées par notre système immunitaire.
Robert F. Kennedy Jr, Secrétaire à la santé et aux services sociaux du président Trump, tentera de rétablir la santé. Cela l'aligne contre le pouvoir des profits de Big Pharma. Il sera dénoncé sans fin par les Démocrates corrompus dont la réélection dépend des contributions de Big Pharma aux campagnes électorales. Il sera dénoncé sans cesse par des « scientifiques médicaux » soutenus par les subventions de Big Pharma. Il sera dénoncé sans cesse par les médias prostitués dont l'existence même dépend de la publicité de Big Pharma. Il sera dénoncé sans cesse par les HMO corrompues qui ne sont rien d'autre que des extensions de Big Pharma et dont les profits dépendent de l'extermination de la pratique privée de la médecine.
Ne les écoutez pas. Ils mentent. Ils comptent sur les conservateurs pour protéger leurs profits illégitimes en s'opposant à Trump et à l'« attaque contre la médecine privée » de Robert Kennedy.
Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane
More Americans Died Due to Covid 19 Injections Than in WWI, WWII, and the Vietnam War Combined. By Dr. Joseph Sansone
More Americans Died Due to Covid 19 Injections Than in WWI, WWII, and the Vietnam War Combined
By Dr. Joseph Sansone
Mind Matters and Everything Else
January 18, 2025
More Americans died due to COVID 19 injections than in WWI, WWII, and the Vietnam War combined. This simple fact is astounding. There are approximately 38,000 reported deaths from COVID 19 injections in the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) system. Based on studies, the under reporting in VAERS can be anywhere from 1 of 30, to 1 of 100 cases reported. This could put the number of Americans murdered via COVID 19 injections at 3.8 million.
In World War I there were approximately 116,516 American military deaths. In World War II there were approximately 405,399 American military deaths. In the Vietnam War there were approximately 58,220 American military deaths. In total, the combined American military deaths from all three wars were 580,135. So even the low end death projections from the COVID 19 injections exceeded the total American military deaths from all three wars.
It should be pointed out that the death toll from the COVID 19 injections may be much higher. The VAERS statistics are only reports of acute cases early on. In other words, the people dying one, two, or three years later, for instance, from cancer, heart disease, and so on, are not being reported at all. As the years roll on, these deaths will not be reported. Someone dying from complication or disease or disorder, five, ten, or twenty years after being injected, will not likely be attributed to an injection they received years earlier even though that was primary the cause.
We can see this already with people we know. While some recognize that their cancer or other disease or disorder was caused by the injection, others are oblivious to this reality. Imagine the disconnect if the death occurs a decade after being injected.
The only possible way to adequately measure the full devastation of the bioweapon injections impact on humanity is to conduct a comprehensive study of the ‘vaccinated’ and ‘unvaccinated’ and compare all cause mortality of each group as well as prevalence of diseases and disorders in each group. There is a limited window of time to do such a study. Over time the projection of deaths for each year will be adjusted to absorb the increase in deaths due to the shots. This means that even though deaths are increasing each year, there will no longer be excess deaths as the projections have changed. In other words, they will cheat on the projections to accommodate the excess deaths. Also, as time goes on more people will be injured by the shedding. This means that even the disparity between the two groups will dwindle to a degree without cheating on the projections. Since the damage appears does dependent it is likely that the injected will see greater fatalities and more diseases than the uninjected do from the shedding, even as more uninjected get sick and die.
Will there be monuments in the future to the fallen in this campaign of global extermination? Will the victims of this biowarfare campaign be recognized as casualties of war?
Time will tell.
As it stands now, the deafening silence and prohibition regarding talking about the bioweapon injection injuries and deaths is astounding. We just witnessed a presidential campaign where none of the primary or general election candidates were allowed to speak of the massive deaths and disabilities caused by the mRNA injections. With 70-75% of television advertising coming from the pharmaceutical industry, this media blackout on the truth about the biowarfare campaign against the human race, does not appear to be on the verge of changing anytime soon.
The mRNA nanoparticle injections are associated with a 112,000% increase in brain clots compared to the flu shots. This is based on data collected from the U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC) and Food and Drug Administration (FDA) Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) database from January 1, 1990, to December 31, 2023. Researchers concluded, “There is an alarming breach in the safety signal threshold concerning cerebral thrombosis AEs after COVID-19 vaccines compared to that of the influenza vaccines and even when compared to that of all other vaccines. An immediate global moratorium on the use of COVID-19 vaccines is necessary with an absolute contraindication in women of reproductive age.”
There is a 1236% increase in cardiac arrest deaths, and One in 35 or 2.8% of those injected got heart damage. Approximately 270,227,181 people or 81% of the U.S. population have received at least one dose of the COVID-19 bioweapon injection. This means that almost 8 million Americans got heart damage due to the injections.
Basically, the mRNA nanoparticle injections are shown to cause harm, including death, and to have a negative effectiveness. This means that not only do the shots not work, but you are also more likely to get infected if injected.
Furthermore, the mRNA nanoparticle injections have been shown to injure people via shedding of the technology. A recent study showed that being in close proximity to the ‘vaccinated’ (bioweapon injected) was strongly associated with abnormalities with a woman’s menstrual cycle. I know multiple physicians that have told me about patients that were unvaccinated, but were dating or married to an injected person, and ended up having heart issues. I personally know of people as well where this occurred. This appears time sensitive from when the person was injected.
Les liaisons dangereuses du pape François, par Edouard Husson (2022)
Le pape François a rencontré secrètement le PDG de Pfizer avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican
par Édouard Husson
17 janvier 2022
Le pape François a rencontré deux fois secrètement le PDG de Pfizer, Albert Bourla, en 2021, avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican: telle est l’information explosive recueillie auprès de sources internes par le National Catholic Register, un média américain d’information catholique. On appréciera à sa juste mesure le fait que le pape qui a pris le nom de Saint François d’Assise, apôtre de la pauvreté, pousse jusqu’à fréquenter le PDG d’une entreprise qui a gagné des milliards durant la pandémie. Et même, qu’il se soit fait lobbyiste de l’industrie vaccinale en expliquant que la vaccination contre le COVID était en « acte d’amour ». La parution de cette information malgré la crainte qu’inspire le pape jésuite révèle que l’Eglise est à la veille d’une remise en cause profonde du pontificat de Jorge Maria Bergoglio.
Selon des sources vaticanes, qui se sont confiées au National Catholic Register, le Saint-Père a rencontré à deux reprises le PDG de Pfizer, Albert Bourla, au Vatican, bien que les détails précis de ces rencontres qui ont eu lieu en 2021, ne soient pas connus.
Contrairement à la plupart des audiences privées du pape, ces rencontres n’ont pas été annoncées par le bureau de presse du Saint-Siège, qui n’a pas répondu aux demandes répétées de confirmation de ces rencontres.
Un porte-parole de Pfizer a déclaré : “Nous ne pouvons ni confirmer ni démentir car, selon notre politique, les mouvements de nos cadres sont considérés comme confidentiels.”
Les rencontres d’Albert Bourla avec le pape ne seraient pas la première rencontre papale secrète de ce type ces dernières années. En novembre 2019, le pape a reçu en privé Melinda Gates. La rencontre, bien connue au Vatican, n’a jamais été reconnue officiellement.
En mai dernier, Bourla a pris part à une conférence en ligne du Vatican sur la santé intitulée “Unite to Prevent & Unite to Cure” à l’occasion de laquelle il a pu – et d’autres participants avec lui, faire l’éloge de la vaccination dans la lutte contre le COVID-19.
Se vacciner contre le COVID, un acte d’amour?
Le PDG de PFlZER s’adresse aux non-vaccinés comme un prédicateur religieux et les désigne comme des coupables et des imbéciles. Quid des victimes d’effets secondaires graves, persistants ou mortels ?
@ComploTisss pic.twitter.com/sJzEwjVOIM
— JDLM (@NicolasPichot6) January 17, 2022
Prenez le temps d’écouter ce passage d’Albert Bourla à la télévision française. Il y explique que la seule façon de surmonter la peur de se faire injecter le vaccin, c’est “l’amour” (sic!). Pour lui, la vaccination n’a pas seulement une valeur individuelle mais sociale: il faut le faire pour nos proches et le reste de la société.
ça ne vous rappelle rien? Le pape François déclarant à l’été 2021: “La vaccination est un moyen simple, mais profond de promouvoir le bien commun et de prendre soin les uns des autres, en particulier des plus vulnérables. Je prie Dieu pour que chacun puisse apporter son petit grain de sable, son petit geste d’amour”
Impossible de dire lequel des deux hommes a le plus influencé l’autre. Mais force est de constater que le pape qui a pris le nom du “Pauvre d’Assise” se trouve de connivence avec le PDG d’une entreprise pharmaceutique qui a gagné des milliards grâce aux vaccins contre le COVID. Une entreprise représentative des dérives du capitalisme contemporain que le Pape aime par ailleurs fustiger.
Le Pape parle du capitalisme inclusif; mais en l’occurrence il fraye avec un représentant du capitalisme de connivence, l‘une des entreprises les plus condamnées au monde. Où seraient les profits de Pfizer sans l’argent public qui sert à financer la recherche puis l’achat des vaccins?
Comment ne pas être profondément gêné par le fait que le Pape ait pu recevoir deux fois le PDG de Pfizer puis choisir cette entreprise pour la vaccination au Vatican? Une vaccination rendue obligatoire!
Comment expliquer qu’un pape qui dit lutter pour un ordre plus juste accepte le petit jeu d’un capitalisme de connivence qui a fait écarter médicaments existants (tombés dans le domaine public) au profit d’un produit nouveau, fabriqué trop vite et vendu très cher? Comment comprendre que le pape de l’encyclique Laudato Si fasse aussi peu attention aux dégâts causés par les effets secondaire du vaccin. Ou bien l’écologie humaine est-elle sans importance?
Évidemment, en homme de pouvoir, François a cessé de parler “d’amour” en évoquant la vaccination dans son discours de vœux 2022 aux ambassadeurs. Il sent le vent tourner et se contente de parler d’un choix raisonnable en attendant d’autres médicaments. Mais cela ne peut pas dissiper la désagréable impression que le Pape sert de caution religieuse à la gouvernance internationale.
L’Église a besoin d’un « Père Elijah »
Si vous ne l’avez jamais lu, plongez-vous dans l’extraordinaire roman de Michael D. O’Brien, Père Elihjah. Le héros est un frère carme qui fut David Schäfer, rescapé de la Shoah puis promis à devenir Premier ministre d’Israël; mais il avait tout lâché pour se convertir et entrer en religion. Un pape qui est un mélange de Jean-Paul II et de Benoît XVI demande au Père Elijah d’aller affronter spirituellement le “Président de la Fédération des Etats européens”, qui tenait à la fois (prophétiquement, quand le roman a été écrit à la fin des années 1990) de Mario Draghi et d’Emmanuel Macron. Ce président d’une Europe devenue fédérale est immensément populaire car il agit au nom d’une religion de l’Amour, destinée à devenir une religion mondiale. Et le Père Elijah doit aller l’affronter car l’homme fait pression sur le Saint-Siège, pour que ce dernier se joigne au nouveau syncrétisme.
Ce morceau central d’une trilogie romanesque commencée dans Varsovie occupée et se finissant à Jérusalem a le souffle d’un roman de Chesterton ou de C.S. Lewis.
La différence entre le roman et la réalité d’aujourd’hui, c’est que François se juge assez fort pour ne pas avoir besoin d’un “Père Elijah”. Il pense pouvoir frayer avec les hommes de la gouvernance mondiale sans faire courir de danger à l’Eglise. Il accompagne en partie le syncrétisme ambiant et s’engage pour une “Maison d’Abraham” à Abu Dhabi ou joue avec l’idée d’une version “amazonienne” du christianisme. François décrit la vaccination comme un “acte d’amour” et il approuve la censure sur les réseaux sociaux. Il pactise avec la Chine communiste au risque de sacrifier l’Eglise clandestine chinoise. Et il adhère à un “Pacte mondial pour l’Education” en faisant entrer à l’Académie des Sciences un économiste aussi controversé que Jeffrey Sachs, ancien néolibéral converti à l’écologie et dont le fil directeur a toujours été l’adhésion sans fard au malthusianisme le plus radical.
La fuite concernant les entrevues avec Albert Bourla est le signe qu’au Saint-Siège on commence à juger contre-productive la façon de faire de l’actuel Souverain Pontife. Il est certes redouté; mais on le dit malade ; et les grandes manœuvres ont commencé pour sa succession.
Ce qui est sûr, c’est que le renouveau dont aura besoin l’Eglise se trouve plutôt dans les romans de Michael D. O’Brien que dans les liaisons dangereuses du Pape François avec les puissants de ce monde, d’Albert Bourla à Bill Gates.
Source:
Jean-Domininique Michel: USA : un nouveau rapport qui fait très mal !
Le point de saturation est atteint !
Paul Craig Roberts: Les taux de décès et les blessures de santé en hausse causés par le COVID-19 ne peuvent plus être couverts
3 décembre 2024
Les taux de décès et les blessures de santé en hausse causés par le COVID-19 ne peuvent plus être couverts
Paul Craig Roberts
L’Irlande se joint à une initiative internationale de 11 États appelant à la suspension des vaccins à ARNm mod, invoquant de graves préoccupations sanitaires.
Le Dr Francis Boyle, auteur de la loi américaine « Biological Weapons Anti-Terrorist Act of 1989 », se joint à l’appel de l’Irlande.
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Vous souvenez-vous de moi et de quelques autres personnes qui vous ont averti d’éviter le « vaccin » contre la COVID? Nous avons été accusés de diffuser des informations erronées qui auraient pour effet d’accroître la létalité du COVID-19 en décourageant les gens de se protéger avec un « vaccin sûr et efficace », pour reprendre les mots des menteurs Tony Fauci et Joe Biden.
Aujourd’hui, les experts médicaux et les autorités publiques appellent à l’arrêt de toute vaccination par ARNm. La hausse des décès et l’augmentation énorme des maladies mortelles et des conditions de santé à la suite des vaccinations de masse ne peuvent plus être niées.
La profession médicale est contrôlée par les grandes sociétés pharmaceutiques, et les grandes sociétés pharmaceutiques ne pensent qu’en termes de profits, notre santé est condamnée. Peut-être que quelque chose peut être fait maintenant que Bobby Kennedy a été nommé secrétaire à la santé et aux services sociaux de Trump, en supposant que les grandes sociétés pharmaceutiques ne bloquent pas sa confirmation au Sénat, et maintenant que Trump a nommé Jay Bhattacharya à la tête du NIH. Bhattacharya, professeur à l’École de médecine de l’Université de Stanford, a été un des premiers critiques des mesures de confinement et des vaccins contre les pandémies. La communauté médicale contrôlée par les grandes sociétés pharmaceutiques a tenté de qualifier Bhattacharya de « non scientifique » et de détruire sa carrière. Big Pharma, une industrie de gangsters, sera certainement là pour bloquer la confirmation de Bhattacharya.
Le public américain a progressivement pris conscience que tout ce que les gouvernements leur disent est un mensonge. Il a fallu 50 ans à la majorité des Américains pour réaliser que le président John F. Kennedy avait été tué par la CIA et les chefs d’état-major interarmées. Les soupçons sont apparus beaucoup plus tôt avec la tentative d’assassinat de Trump en Pennsylvanie. Le récit de la COVID, qui était ancré en 2020-2021, s’est effondré en 2024. Tout le récit était un mensonge total.
Si les Big Pharma réussissent à bloquer Kennedy et Bhattacharya et que les néoconservateurs sionistes peuvent bloquer Tulsi Gabbard, nous saurons que l’administration Trump est terminée avant même qu’elle ne commence et que rien ne peut être fait pour restaurer le gouvernement auprès du peuple.
Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane