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La ministre néerlandaise de la santé Fleur Agema admet : « Nous devons suivre les ordres de l'OTAN, des États-Unis et du NCTV ; Covid est une opération militaire ».
La ministre néerlandaise de la santé Fleur Agema admet : « Nous devons suivre les ordres de l'OTAN, des États-Unis et du NCTV ; Covid est une opération militaire ».
La nouvelle ministre néerlandaise de la santé admet : « Nous devons suivre les ordres de l'OTAN, des États-Unis et de la NCTV ; Covid est une opération militaire »
Le ministre néerlandais de la santé a révélé un fait accablant sur la tromperie Covid :
Le ministre néerlandais de la santé a révélé que Covid était une tromperie publique bien plus grave et bien plus importante que les critiques ne l'avaient réalisé. Il s'agissait d'une « opération militaire » contre la population. Il ne s'agit pas d'une théorie du complot. Il s'agit d'une réalité. Aux Pays-Bas, le programme de diffusion de Covid était géré par l'agence de renseignement NCTV.
L'un des premiers à commenter l'apparition d'Agema sur X a été le chercheur de Woo Cees van den Bos. Sous le titre « le coup d'État », il a qualifié la NCTV de « bamiluk » de l'OTAN : « Ce pays ne sera libre que si la NCTV est complètement supprimée et que ce genre de gouvernement fantôme ne peut plus jamais s'implanter. C'est le plus grand obstacle qui se dresse sur le chemin de la démocratie », a-t-il déclaré. Il a ajouté qu'il n'y avait aucun contrôle sur la NCTV : « La NCTV a carte blanche, comme on l'a vu pendant la période de la Corona. Selon M. Van den Bos, les personnes qui pensent que la corona est terminée (« arrêtons d'en parler ») attendent un autre « retour à la réalité ». Il a remercié Agema pour sa « franchise ».
Van den Bos avait déjà souligné - également dans ce journal - que le NCTV était aux commandes pendant la crise du coronavirus, en la personne de Pieter-Jaap Aalbersberg, qui avait succédé à Dick Schoof en tant que patron du NCTV au début de 2019. Fin 2022, Van den Bos a accusé le NCTV d'avoir commis un « coup d'État ». La gestion de la crise était presque partout entre les mains des militaires et des services de renseignement, et dans notre pays, elle revenait à la NCTV. Outre la gestion quotidienne de l'organisation de la crise, la NCTV avait même pour mission de coordonner le processus parlementaire (« timing et congruence mutuelle »). Selon un rapport datant de la mi-mars 2020, le service de renseignement a mis en place une équipe distincte à cet effet. Il a commenté le vote parlementaire en ces termes : « L'ambition et l'accord ne sont pas surprenants ». Il s'agissait vraisemblablement d'empêcher les motions ou les amendements inattendus à la nouvelle législation.
Début 2023, la journaliste Elze van den Hamelen décrit le rôle de l'OTAN dans ce journal, sur la base d'un travail d'enquête mené par Van den Bos : « Les documents montrent que depuis au moins 2019, plus d'un an avant la pandémie de coronavirus, le gouvernement a mis en place une grande organisation pour « lutter contre la désinformation ». L'initiative est venue de l'OTAN et de l'UE, montre Van den Bos : « Il s'agissait d'une opération militaire visant sa propre population. Il ne s'agissait pas d'éteindre les gens, mais d'influencer leur comportement. » Lors de la pandémie de coronavirus, l'OTAN a établi les lignes directrices de la réponse à la grippe aviaire et a coordonné le « Stratcom » (communication stratégique). « Les directives ont été diffusées par les ministres des affaires étrangères des États membres. Cela explique-t-il pourquoi la Suède, qui n'a rejoint l'OTAN que cette année, a été le seul pays d'Europe à adopter une politique plus souple lors de la crise du coronavirus ?
Les critiques du monde médical ont entre-temps réagi vivement à la révélation d'Agema, notamment l'éthicienne médicale Wendy Mittemeijer : « Pour la première fois en quatre ans, j'entends un aveu public selon lequel le NCTV était responsable de la crise du coronavirus et qu'il fallait la mener à bien. Il s'agissait d'une opération militaire. Cela n'a pas pu être dit pendant quatre ans. C'était une théorie de la conspiration. J'apprécie l'honnêteté du ministre, qui admet que cela a été dit et qu'il n'était pas responsable.
Les nouvelles d'Agema s'inscrivent également dans le droit fil des déclarations répétées de Robert F. Kennedy Jr. sur la production des vaccins contre le coronavirus aux États-Unis. Selon lui, il s'agissait d'une opération militaire, à laquelle participaient étroitement le ministère américain de la défense et le complexe militaro-industriel. Selon lui, le ministère de la défense était entièrement responsable et payait les sociétés pharmaceutiques pour leurs noms de marque, afin que les gens pensent qu'ils recevaient quelque chose de Pfizer ou de Moderna.
Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane
Le coordinateur national pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme ( Nationaal Coördinator Terrorismebestrijding en Veiligheid), abrégé en NCTV, est la principale unité néerlandaise de lutte contre le terrorisme. Elle a été créée en janvier 2005 sous le nom de Nationaal Coördinator Terrorismebestrijding (NCTb). L'unité a été élargie et renommée en octobre 2012.
Le NCTV est placé sous la responsabilité du ministre de la Justice et de la Sécurité, Dilan Yeşilgöz-Zegerius, qui a succédé à Ferdinand Grapperhaus en 2022. En charge de la sécurité de l'aviation civile et de la cybersécurité, il analyse également les menaces terroristes afin de déterminer le niveau de menace (minimal, limité, substantiel ou critique) aux Pays-Bas. L'unité travaille en étroite collaboration avec le Service général de renseignement et de sécurité (AIVD) et le Service militaire de renseignement et de sécurité (MIVD).
Article source original complet:
Sur le même sujet:
https://odysee.com/@Feerika:d/Colonel-Vladimir-Kvachkov:d
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Füllmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». 27 mai- 3 juin 2022
VOTRE EXCELLENCE, beaucoup de gens vous connaissent et vous apprécient beaucoup pour avoir été une personne sincère dans un environnement souvent peu sincère, même pendant votre service au Vatican. Vous avez servi comme diplomate de haut rang, en particulier comme Nonce apostolique, aux États-Unis, représentant le Pape dans les églises nationales. C’est un grand honneur et un grand plaisir de parler avec vous aujourd’hui. Mais avant de passer au fond et de vous interroger sur votre évaluation de la situation politique mondiale, en particulier en ce qui concerne la soi-disant crise du Coronavirus, aimeriez-vous résumer votre histoire personnelle afin que les téléspectateurs qui ne vous connaissent pas encore puissent savoir qui vous êtes ?
Tout d’abord, je voudrais vous adresser, Monsieur Reiner Füllmich, ainsi qu’à tous vos collaborateurs et collègues, mes plus cordiales salutations et ma reconnaissance pour avoir donné vie à la Commission Corona. La recherche de la vérité sur la gestion de l’urgence Covid-19 et sur l’expérimentation de masse aide à recueillir des preuves pour amener devant les tribunaux et punir les responsables. Cela constitue une contribution importante en vue de la création d’une Alliance Anti-mondialiste, car les auteurs de la farce pandémique sont les mêmes qui voudraient aujourd’hui pousser le monde vers une guerre totale et une crise énergétique permanente.
Concernant ma « carrière », je ne pense pas qu’il y ait grand-chose à dire : je suis un Archevêque catholique qui a occupé des postes de responsabilité au Vatican, à la fois à la Secrétairerie d’État du Saint-Siège et dans le Gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican, puis en tant que Nonce apostolique au Nigeria et dernièrement aux États-Unis, par la volonté de Benoît XVI. Ma notoriété – totalement non voulue – est due à mes prises de positions et à mes dénonciations concernant le scandale sexuel de l’ancien cardinal américain McCarrick et d’autres cas non moins graves impliquant de hauts représentants de la Hiérarchie. En tant que Successeur des Apôtres, je ne pouvais pas me taire face aux tentatives de dissimuler ces faits honteux par la soi-disant lavender mafia, qui bénéficie du soutien et de la protection de Bergoglio.
Vous avez une vie impressionnante, mais si l’on cherche votre nom dans les anciens médias (grand public), on trouve des articles diffamatoires vous accusant, entre autres, de diffuser de la propagande du Kremlin et de faire des affirmations déroutantes. À y regarder de plus près, cela ne nous semble pas du tout être le cas, bien au contraire : vous restez fidèle à votre réputation de personne franche, même dans les environnements où le mensonge prévaut, nonobstant cela aille à votre désavantage. Où placeriez-vous la rupture dans votre vie, où cette vertu a été réinterprétée par les anciens médias comme un défaut ? Quelle ligne rouge avez-vous franchie ; sur quelle question votre franchise est-elle devenue un danger pour le récit officiel?
Les fausses accusations sont l’un des moyens utilisés par ceux qui veulent éliminer un adversaire qu’ils craignent et auquel ils ne peuvent pas s’opposer loyalement. Dans ce cas, je suis considéré comme encombrant à la fois par les représentants de l’église profonde et par la cabale bergoglienne, dont j’ai dénoncé les scandales et les dissimulations depuis l’époque de l’affaire McCarrick. Et je suis tout autant encombrant pour l’État profond, qui a pu compter sur la complicité du Saint-Siège et de presque tout l’épiscopat mondial dans les événements de ces dernières années. La voix dissonante d’un évêque, surtout lorsqu’il formule des dénonciations argumentées et fondées sur des faits irréfutables, risque de remettre en cause le récit officiel, tant sur le prétendu renouveau de l’Église sous ce « pontificat », que sur la farce pandémique et la « vaccination » de masse. La récente crise russo-ukrainienne réunit également du même côté l’élite mondialiste, l’OTAN, l’État profond américain, l’Union européenne, le Forum Économique Mondial de Davos, toute la machine médiatique et le Vatican. L’intervention de Poutine en Ukraine est considérée comme une menace pour le Nouvel Ordre Mondial qui doit être neutralisée même au prix d’un conflit mondial.
Si je dois donc indiquer le « point de rupture » sur le front ecclésial, il a certainement coïncidé avec ma dénonciation du réseau de complicité et de scandales de clercs et de prélats corrompus que Bergoglio a délibérément et obstinément tenté de dissimuler. Sur le plan civil, il me semble que la ligne rouge a été dépassée avec mon Appel pour l’Église et pour le monde, lancé il y a deux ans [mai 2020] et avec lequel j’ai dénoncé la menace posée par le coup d’État blanc mené à travers l’urgence sanitaire. L’urgence énergétique et alimentaire, en plus de l’urgence de guerre, font toujours partie de ces « scénarios » inquiétants que le Forum Économique Mondial et l’ONU ont décrits en détail bien à l’avance. Quand, un jour prochain, un tribunal jugera ces criminels et leurs complices dans les institutions de presque tous les pays occidentaux, ces documents pourront constituer la preuve de la préméditation du plus grand coup d’État de tous les temps. Et il en sera de même pour les événements ecclésiaux, démontrant que la dérive doctrinale et morale provoquée par le Concile Vatican II a créé les prémisses nécessaires à la corruption doctrinale et morale du clergé et, avec elle, à la délégitimation de l’autorité des pasteurs. N’oublions pas que la Révolution s’est toujours appuyée sur les vices et les faiblesses de ses représentants, à la fois pour détruire l’État et pour affaiblir l’Église.
Votre Excellence, la réglementation sur la crise et la pandémie de COVID-19 entrent dans leur troisième année ; pendant ce temps, la guerre en Europe de l’Est, et surtout la guerre politique et médiatique massive, ont été ajoutées au mélange. Comment évaluez-vous cette évolution ?
Clarifions un point fondamental : la crise ukrainienne a été délibérément provoquée par l’État profond pour contraindre le monde aux reformes du Great Reset, en particulier la soi-disant « transition technologique » et le « virage vert ». C’est le deuxième niveau du coup d’État des technocrates mondialistes, après la farce pandémique.
La psychopandémie a marqué le premier niveau d’une véritable attaque lancée pour s’approprier le contrôle des gouvernements. En réalité, aujourd’hui, ils ne font qu’essayer de contourner le pouvoir politique, qui jusqu’à présent servait de toute façon de simple exécuteur d’ordres. Sous prétexte de pandémie, des systèmes de contrôle capillaire de la population ont été imposés, y compris les systèmes de traçabilité des citoyens individuels, inoculés avec le sérum génique expérimental.
Lors du Forum de Davos, Albert Bourla, PDG de Pfizer, a déclaré : « Imaginez une puce biologique incluse dans une pilule qui, lorsqu’elle est avalée et va dans l’estomac, envoie un signal. […] Imaginez les applications, la capacité de faire obéir les gens. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » (ici). Et il dit ce qui se passe parce que ce sont des technologies existantes, pas des projets fantaisistes. La présence de graphène et de nanocircuits auto-assemblant est maintenant également admise par ceux qui, il y a un an, ont désigné ceux qui ont tiré la sonnette d’alarme comme « théoriciens du complot ». La population des pays adhérant à l’Agenda 2030 est pour la plupart « vaccinée », c’est-à-dire qu’elle est génétiquement modifiée et voit son système immunitaire irréversiblement compromis. Et peut-être – comme certains avocats le dénoncent – découvrira-t-on qu’avec le sérum génique, ils ont inoculé des puces qui peuvent également contrôler les réactions des gens, interférer avec leur comportement, les rendre dociles en cas d’émeutes ou violentes s’il est nécessaire d’avoir un prétexte pour des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà du coup d’État mondial : c’est l’attaque la plus grande, la plus retentissante, la plus inouïe contre la personne humaine, contre sa liberté, contre sa conscience, contre sa volonté.
Vous pouvez bien imaginer quel risque découle de la cession à l’OMS du contrôle souverain des États sur le système de santé en cas d’urgence pandémique, lorsque ceux qui doivent décider des campagnes de vaccination et des thérapies, des mesures d’endiguement et de confinement, sont financés par les sociétés pharmaceutiques et la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise la pandémie perpétuelle et le perpétuel rappel vaccinal. Même la résolution qui devait être votée à l’OMS – et qui au moins pour l’instant a été évitée – allait dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Ne soyons donc pas surpris si, dans une tentative pitoyable de cacher les effets indésirables du sérum génique expérimental, l’OMS tire maintenant la sonnette d’alarme sur la prétendue variole des singes, dont la symptomatologie est curieusement similaire à certains des effets secondaires du « vaccin » à base d’ARNm (ici). L’OMS et l’AEM (financée à 75% par BigPharma) se sont montrées en conflit d’intérêts flagrant et totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.
Quant à la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait pu être une opération de paix pour mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone en Ukraine par des extrémistes néo-nazis a été délibérément et de manière coupable transformée en guerre. Les appels répétés de Poutine à la communauté internationale pour qu’elle respecte le Protocole de Minsk sont tombés dans l’oreille d’un sourd.
Pourquoi ? Pour la simple raison que c’était une très bonne opportunité.
Tout d’abord, pour créer une crise énergétique mondiale, avec laquelle forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives avec tout le business que cela représente. Sans crise, comment justifier la hausse du prix du gaz et du pétrole comme outil pour forcer les entreprises et les individus à la fameuse « transition écologique » pour laquelle personne n’a jamais voté et qui a été imposée par des bureaucrates soumis à l’élite ?
Deuxièmement, pour détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie mondiale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites réalités qui rendent uniques les pays d’Europe et d’Italie en particulier, sont contraintes de fermer parce que, après les catastrophes causées par les confinements et les règles de la psychopandémie, une augmentation des prix du gaz et du pétrole a été provoquée, avec une spéculation criminelle de la part du « marché » et sans que la Fédération de Russie ne prenne un sou de plus. Tout cela a été voulu par l’Union Européenne sur ordre de l’OTAN, à travers des sanctions qui ont des répercussions sur ceux qui les ont imposées. La suppression de l’économie traditionnelle n’est pas une conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle préméditée d’une mafia mondiale, par rapport à laquelle la mafia traditionnelle est un partenariat bénéfique. L’avantage de cette opération subversive revient aux multinationales qui peuvent acheter des entreprises et des biens immobiliers à des prix de faillite, et aux institutions financières qui profitent de prêts usuraires pour des millions de nouveaux pauvres. Ici aussi, les objectifs idéologiques – et infernaux – des dirigeants de l’élite utilisent la complicité des potentats économiques qui n’ont que des motifs de profit. Avec la guerre, l’industrie de la guerre et celle non moins florissante des technologies de l’information et des mercenaires ont la possibilité de conclure des accords lucratifs, avec lesquels récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour envoyer des armes et des moyens en Ukraine.
Troisièmement, la guerre en Ukraine devait permettre la dissimulation du scandale de Hunter Biden, impliqué avec la société Metabiota dans le financement de biolaboratoires dans lesquels des armes bactériologiques de masse sont produites. Le siège de l’aciérie d’Azovstal était précisément motivé par la nécessité de cacher à la fois les membres des forces étrangères de l’OTAN avec les néo-nazis d’Azov et de Pravj Sektor, ainsi que les biolaboratoires interdits par les conventions internationales, et qui auraient mené des expériences sur la population locale.
Quatrièmement, parce que le récit psychopandémique, malgré la complicité du courant dominant, n’a pas empêché la vérité de fuiter et de se propager progressivement à des secteurs de plus en plus larges de l’opinion publique. La crise en Ukraine était censée être une excellente opération de distraction de masse, pour éviter la visibilité des nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets mortels du sérum expérimental et les conséquences désastreuses des mesures prises par les États pendant l’urgence pandémique. La falsification des données est maintenant manifeste ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’essai est admise par les sociétés pharmaceutiques elles-mêmes ; la prise de conscience de l’inutilité de l’utilisation des masques et des confinements est attestée par de multiples études ; les dommages causés à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier des enfants et des personnes âgées sont incalculables, tout comme est incalculable leur impact sur les étudiants suite à la mise en place de l’enseignement à distance. Empêcher que les gens comprennent ce qui leur a été fait, les occuper devant la télévision ou sur les médias sociaux avec de la propagande anti-russe, est le moins que ces criminels fous, responsables à la fois de la pandémie et de la crise russo-ukrainienne, puissent faire.
Si l’on considère le script de ce scénario voulu par l’élite mondialiste, on constate qu’en plus du scénario pandémique il y a d’autres scénarios non moins inquiétants, que nous voyons déjà anticipés par les médias depuis l’année dernière : la crise énergétique, non pas comme une conséquence malheureuse d’un conflit imprévisible en Ukraine, mais comme un moyen par lequel d’une part imposer l’économie verte motivée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part détruire les économies nationales, mettre en faillite des entreprises au profit des multinationales, provoquer le chômage et ainsi créer du travail sous-payé, obligeant les États à s’endetter parce qu’ils sont privés de leur souveraineté monétaire ou en tout cas en déficit perpétuel dû au seigneuriage.
L’urgence alimentaire est également dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux États-Unis et en Europe et plus généralement pour le blé et les céréales dans de nombreux pays d’Afrique ou d’Asie. Ensuite, nous découvrons que Bill Gates est le plus grand propriétaire foncier des États-Unis juste au moment où il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Bill Gates est également à la tête d’une start-up qui produit du « lait maternel artificiel » juste au moment où il y a une pénurie de lait en poudre pour les enfants aux États-Unis. Et n’oublions pas que les multinationales agricoles réussissent à imposer l’utilisation de leurs semences stériles – qui doivent être rachetées chaque année – et à interdire les semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne plus dépendre d’elles.
Ceux qui ont conçu la série de crises actuelles, dont les bases ont été posées au début des années quatre-vingt-dix avec la privatisation des entreprises publiques, ont également veillé à placer dans les gouvernements, les institutions, les organismes internationaux, à la tête des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions du monde des personnages formés et modelés par le Forum Économique Mondial à cette fin. Regardez les Premiers Ministres des principaux pays européens, du Canada, de l’Australie, la Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés par le Young Global Leaders for Tomorrow, et le fait qu’ils soient au sommet de ces pays, de l’ONU et de la Banque Mondiale devrait être plus que suffisant pour les juger tous pour subversion et haute trahison. Ceux qui ont juré d’appliquer les lois dans l’intérêt de leur nation se parjurent, quand ils doivent rendre des comptes non pas aux citoyens mais à des technocrates sans visage que personne n’a élus.
Les accusations faciles de « complot » ne tiennent plus, tout comme quiconque exprime sa perplexité face à la crise russo-ukrainienne et à sa gestion au niveau international ne peut être accusé de « collaborationnisme ».
Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir persistent à nier qu’il y a un scénario et un réalisateur, qu’il y a des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais peut-on vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde accepteraient de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, avec un énorme déploiement d’énergies et de ressources, sans avoir tout planifié en détail et même en laissant tout au hasard ? S’il agit de la sorte celui qui doit planifier l’achat d’une maison ou le démarrage d’une entreprise, pourquoi devrait-il s’agir d’un « complot » de reconnaître que pour obtenir des résultats inavouables et criminels, l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie ?
Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude à l’égard des faits actuels est similaire à celle de ceux qui se retrouvent à devoir reconstruire un puzzle de milliers de pièces, sans avoir l’image finale devant eux. Qui a conçu le puzzle mondialiste l’a fait précisément pour rendre méconnaissable ce qu’il voulait réaliser. Mais celui qui voit toute l’image ou même juste une partie considérable de celle-ci, reconnait comment les différentes pièces s’emboîtent les unes dans les autres. Et qui a vu l’image finale sait également comment interpréter les silences et les connivences des dirigeants ainsi que des partis d’opposition ; comment expliquer la complicité des médecins et des paramédicaux aux crimes commis dans les hôpitaux contre toute preuve scientifique, ou celle des évêques et des curés qui en sont venus à priver des sacrements les non-vaccinés. Lorsque de grandes zones du puzzle seront clairement visibles – et c’est ce qui se passe – les pièces restantes pourront être placées plus facilement. Et à ce moment-là, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui les manœuvrent du haut de la pyramide, prendront la fuite, pour éviter d’être lynchés.
+ Carlo Maria Viganò, archevêque
27 mai 2022
© Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò
Deuxième partie
Dans une lettre envoyée au président américain de l’époque, Donald Trump, vous faites allusion non seulement à un « État profond » – un terme largement utilisé – mais aussi à une « Eglise profonde ». Qu’entendez-vous par là et comment ces structures pourraient-elles être liées ?
L’Eglise profonde est à l’Eglise catholique tout comme l’Etat profond est à l’Etat : les deux sont la version corrompue et pervertie de l’institution qu’ils tiennent en otage et qu’ils ont infiltrée.
Les membres de l’Eglise profonde sont d’autant plus inconnus que leur pouvoir est grand : les personnalités publiques sont presque toujours des marionnettes dociles envers ceux qui tirent les ficelles. Biden et Bergoglio sont les hommes de paille de l’idéologie qui les unit : un mélange de collectivisme maoïste, de libéralisme maçonnique et d’œcuménisme conciliaire, avec des clins d’œil à l’idéologie du genre et aux instances LGBTQ.
Il faut cependant répéter que l’Etat profond et l’Eglise profonde ne sont que les deux déclinaisons de la même coupole éversive qui s’est appropriée le pouvoir en subvertissant l’autorité et en pervertissant les fins. Dans l’ordre naturel, l’Etat a pour but la bonne gouvernance et le bien commun des citoyens : les traîtres de l’Etat profond en ont fait l’ennemi des honnêtes gens et le complice des criminels. Dans l’ordre surnaturel, l’Eglise a pour but le gouvernement des fidèles et la sanctification des âmes : les traîtres de l’Eglise profonde condamnent ceux qui préservent la Foi et la Morale et louent publiquement les hérétiques, les sodomites, les avorteurs, les usuriers, les meurtriers et les criminels. Mais que cela soit clair : si dans les projets délirants de ceux-ci il y a la destruction de l’Etat et de l’Eglise moyennant la démolition ou la corruption de ceux qui détiennent l’autorité dans l’un et dans l’autre, nous savons bien que si une nation, une culture, une langue, une civilisation peuvent aussi disparaître, dans le cas de la Sainte Eglise, la promesse de Notre Seigneur reste valable pour toujours : portæ inferi non prævalebunt adversus eam. Nous ne devons pas penser que les événements terrestres de l’Eglise doivent être jugés selon des paramètres purement humains, mais plutôt avoir la certitude que le Seigneur protégera son Eglise ut pupillam oculi.
Une objection de la part de ceux qui rejettent quelque chose en la qualifiant de conspiration est la suivante : comment est-il possible que dans presque tous les pays du monde, presque tous les politiciens participent à cette farce ? Qui pourrait avoir autant de pouvoir et d’influence pour envoyer la moitié du monde en confinement ?
L’objection à ceux qui soutiennent la théorie du complot mondial est légitime et compréhensible, parce que chacun de nous a justement été éduqué à un système partagé de valeurs et de principes que nous tenons toujours pour acquis : que le fils doit faire confiance au père ; que l’élève peut faire confiance à l’enseignant ; que le patient peut compter sur le médecin pour être soigné ; que ceux qui voient un droit violé peuvent obtenir justice d’un tribunal impartial ; que les nécessiteux peuvent espérer dans la compassion et la charité des autres ; que le citoyen a en ses dirigeants ses gardiens et protecteurs ; que les fidèles peuvent écouter avec confiance la voix des Pasteurs, comme si c’était la voix même du Christ ; que le lecteur n’est pas trompé par les agents de l’information ; que le client ne doit pas craindre d’être trompé par le commerçant, ou empoisonné par le restaurateur. Dans ce système, l’autorité du père, de l’enseignant, du médecin, du juge, du dirigeant, se réfère à l’autorité de Dieu, qui est Père, Maître, Juge et Roi. Il est évident que l’œuvre de dissolution de la société chrétienne – puisqu’elle l’est encore, même si elle n’en conserve plus que quelques traces – est motivée par la haine inextinguible de Satan contre le Christ.
Mais que se passe-t-il si, avec un travail constant de plus de deux cents ans, l’ennemi infiltre les écoles, les tribunaux, les institutions, les séminaires, les entreprises et les syndicats, et conquiert progressivement le sommet, prenant des ordres du même groupe de pouvoir qui commande tout le monde, qui fait chanter ou récompense tout le monde ? Face à l’évidence d’une telle subversion, nous ne devons pas fermer les yeux parce que cela semble incroyable de ne pas l’avoir remarqué auparavant, mais plutôt avoir le courage de reconnaître que beaucoup, trop de nos silences ont permis au conseiller municipal corrompu, au curé vicieux, au soldat malhonnête, à l’assistant ignorant, au médecin sans scrupules, à l’employé apathique de devenir parlementaire, évêque, général, professeur, ministre et de s’être ainsi rendu sensible au chantage. En fin de compte, peu commandent, et les nombreux qui obéissent le font principalement par conformisme ou pour cacher de petites mesquineries. Mais ces quelques-uns – et nous le savons par les données qu’ils diffusent eux-mêmes – ont vraiment un pouvoir exorbitant, qui augmente avec chaque nouvel adepte nommé à la tête des institutions. Ce n’est pas impossible, au contraire : c’est extrêmement simple, si l’on considère qui possède les médias, qui finance les partis politiques, qui parraine les institutions internationales, qui donne les rapports de fiabilité aux budgets des nations. Ce sont toujours les mêmes, dirigés par quelques fonds d’investissement et un nombre encore plus restreint de représentants de la haute finance usuraire. Les noms sont ceux-là, et on les connaît.
Quelques années se sont écoulées depuis que vous avez vivement critiqué le pape François pour avoir révoqué les peines prononcées contre l’ancien archevêque de Washington, Theodore McCarrick, qui est l’un des principaux accusés du scandale des abus de l’Eglise catholique aux États-Unis. Un acte honteux. En tant que critique véhément d’une approche conciliante de ce problème apparemment récurrent d’abus sur mineurs, que pouvez-vous dire sur la prévalence et l’importance de ce phénomène cruel dans l’Eglise catholique et la politique occidentale ?
Après ma dénonciation de l’affaire McCarrick, j’ai essayé de montrer le lien entre la corruption morale et doctrinale, en soulignant que la crise de la foi et de la liturgie qui a suivi le Concile Vatican II ne pouvait manquer d’entraîner une subversion de la Morale chez les fidèles et dans le clergé. Parce qu’une foi déviée conduit à une morale déviée. Un hérétique ne sera jamais une personne honnête, chaste, sincère : s’il embrasse les mensonges et les erreurs dans des choses qui concernent directement la Vérité de Dieu, c’est-à-dire Dieu lui-même, d’autant plus il pourra faire sa propre morale – ce que les modernistes appellent la moralité de la situation – qui s’adapte aux circonstances.
L’erreur du Concile Vatican II, d’abord déguisée pour cacher son caractère subversif – était précisément celle de penser que nous pouvions préserver la Foi intacte dans un hyperuranium, considérant obsolète et trop difficile de demander aux fidèles de l’embrasser dans sa totalité ; et dans le domaine moral, préserver la Morale comme modèle abstrait, en laissant les catholiques choisir selon leur convenance quels principes suivre et lesquels ne pas suivre. Pour l’Eglise conciliaire, la doctrine de la divinité de Notre-Seigneur reste théoriquement valable, mais on peut accepter qu’il y ait ceux qui n’y croient pas, en émettant l’hypothèse d’un chemin – qui n’est généralement jamais entrepris – de lente conversion qui devrait conduire à embrasser tout l’enseignement catholique. De même, l’avortement ou la sodomie sont des péchés qui crient vengeance devant Dieu, mais restent des notions abstraites que les Pasteurs en premier ne demandent pas aux fidèles de suivre. Ainsi donc le voleur continue à voler en vue d’une future conversion, rassuré par le fait qu’il ne tue ni ne commet d’adultère. Ceux qui commettent l’adultère se sentent rassurés par le fait qu’ils ne battent pas leurs enfants et n’exploitent pas leurs employés. Mais ce n’est pas ce que Notre Seigneur a demandé : Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande (Jn 15, 9), a-t-il dit ; et non : vous êtes mes amis si vous choisissez en quoi m’obéir. Être catholique signifie faire un choix héroïque, par lequel nous n’adhérons pas à une association philanthropique, mais sommes incorporés par le Baptême dans le Corps mystique du Christ, et par la Grâce nous sommes faits enfants de Dieu le Père en Christ. La médiocrité n’est pas possible pour un catholique, encore moins pour un prêtre ou un évêque.
Cette attitude relâchée est révélatrice d’une vision humaine de l’Eglise qui, selon eux, devrait s’adapter dans la pastorale à la mentalité du monde, en maintenant dans le magistère l’enseignement du Christ, comme dans une sorte d’archive que personne ne consultera jamais parce qu’on le considère comme utopique et irréaliste. Une façon de faire taire la conscience en préservant le depositum fidei mais pour seconder les convoitises et le péché en légitimant les déviations doctrinales et morales.
Il est évident que pour convaincre les évêques de renoncer à l’intégrité du Magistère catholique, il fallait les corrompre dans l’âme, car un prélat vicieux – et souvent l’objet de chantage – n’ose pas demander aux autres de respecter les commandements qu’il enfreint en premier. C’est pourquoi les infiltrés de l’Eglise profonde ont éliminé ou marginalisé en quelques décennies la partie saine du clergé et de l’épiscopat, la remplaçant par des vicieux, des luxurieux, des corrompus et des hérétiques. Leur simple présence au sommet de la Hiérarchie est l’outil le plus efficace pour détruire l’Eglise de l’intérieur, tout comme l’Etat profond l’a fait dans la sphère civile : un politicien corrompu ou pouvant faire l’objet d’un chantage votera pour des lois qui légitiment la corruption et le vice, et s’il ne veut pas le faire parce qu’il a quelques scrupules moraux, il le fera, autrement ses scandales personnels seront mis en lumière.
La seule façon de sortir de ce labyrinthe infernal est une action moralisatrice de l’Autorité, qu’elle soit religieuse ou civile. Celui qui commande doit savoir que son pouvoir appartient à Dieu et qu’en l’exerçant, il doit se prévaloir de toutes les vertus requises pour la bonne gouvernance et pour atteindre le but pour lequel l’autorité est constituée. Le concept d’« autorité vicaire » était très clair jusqu’à la Révolution Française, car il était inextricablement lié à la Foi : ce fut la suppression de Dieu de la société qui a ipso facto rendu les dirigeants des tyrans potentiels, car elle les a déchargés de leur responsabilité morale devant Dieu – l’unique Seigneur et Roi – limitant la question du pouvoir à la convenance de la majorité. La même chose s’est produite dans l’Eglise, qui a préféré se réconcilier avec le monde et assumer sa mentalité profane, convaincue qu’elle pourrait survivre – elle qui est une institution divine avec une fin surnaturelle – se présentant comme une institution humaine à des fins humanitaires.
Quand les Evêques – et le Pape – reviendront à la Foi, quand ils aimeront Dieu à nouveau tel qu’Il s’est révélé à nous et dans ce qu’Il nous a enseigné ; quand ils se rendront compte que chacun de leurs manquements, chaque erreur enseignée aux simples, chaque déviation tolérée a défiguré le visage du Christ, a déchiré sa chair dans la flagellation, a transpercé ses mains et ses pieds dans la crucifixion, et qu’à cause de cela Notre Seigneur est mort pour nous racheter, ils seront prêts à mourir pour témoigner de leur fidélité à Celui qui les a constitués en autorité. Tant qu’ils essaieront de naviguer avec la logique humaine, leur ministère sera vide, tout comme leurs églises, leurs séminaires, leurs couvents sont vides. Ils disparaîtront par extinction, tandis que les bons prêtres continueront à faire ce qui a toujours été fait pour la gloire de Dieu et la sanctification des fidèles.
Bien entendu, il n’est pas possible de fournir une évaluation médicale à cet égard. Cependant, puisque vous interprétez la crise actuelle non seulement comme une crise médicale ou politique, mais vous reconnaissez une pertinence eschatologique aux événements actuels, nous serions intéressés de savoir comment vous évaluez, de votre point de vue théologique, les injections d’ARNm, qui jouent un rôle crucial dans toute l’orchestration.
La modification de l’ADN de l’individu causée par le sérum expérimental avec une nouvelle technologie d’ARNm est peut-être l’aspect le plus alarmant de cette bataille historique. S’il y a des puissances économiques qui n’ont aucun scrupule à cibler la population mondiale pour en affaiblir le système immunitaire, provoquer des morts subites et nous rendre tous malades chroniques à qui vendre leurs concoctions ou leurs services de santé, d’autre part il y a des gens qui sont voués au mal et qui sont bien conscients de travailler pour un plan infernal, pour l’avènement de l’Antéchrist à travers la synarchie du Nouveau Ordre Mondiale.
Dans la tentative de modifier génétiquement l’homme, nous voyons portée aux extrêmes conséquences l’aversion de Satan contre la Création, et en particulier contre l’homme, qui, dans l’économie du salut, a été choisi pour être le temple de la Très Sainte Trinité, l’image de Dieu.
Dans votre lettre au président de l’époque Donald Trump, vous parlez d’une confrontation entre les forces de la lumière et les forces des ténèbres. Où en sommes-nous dans cette confrontation ? Quels sont les résultats possibles de cette lutte ? Que pouvons-nous faire, nous qui voulons défendre la lumière ?
Les événements spirituels se croisent avec les événements terrestres, l’Histoire se croise avec l’éternité de Dieu, les événements humains sont le champ de bataille dans lequel les enfants des ténèbres combattent les enfants de la Lumière : une bataille qui, pour l’humanité, a commencé avec la chute d’Adam, trompé par Satan et illusionné de pouvoir être comme Dieu. Cette tentation se répète au cours des siècles à tout homme, chaque fois que l’Ennemi tente de le persuader qu’il peut décider indépendamment de ce qui est bien et de ce qui est mal, en s’arrogeant les droits souverains du Seigneur sur les créatures. C’est la bataille qui est menée encore aujourd’hui, après des siècles de rébellion contre la Loi de Dieu et de refus de reconnaître la Seigneurie de Jésus-Christ. En fin de compte, tout revient à ce discrimen, à « celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi » (Lc 11, 14), et à notre réponse libre à l’amour de Dieu, le Créateur et Rédempteur.
Juger ces événements historiques comme une simple conspiration humaine visant le pouvoir, serait réducteur ; penser que tous les partisans de la Grande Réinitialisation sont des adorateurs convaincus de Satan est une exagération. Mais précisément à cause de notre faiblesse, toute humaine, non seulement en accomplissant le bien, mais aussi en faisant le mal, nous pouvons pousser le Seigneur à la miséricorde, de sorte qu’Il confonde les desseins des méchants ne leur permettant pas de réaliser leurs projets. Les bons sont désorganisés, divisés, querelleurs ; les méchants très bien organisés, unis et toujours unis adversus Dominum, et adversus Christum ejus. Mais les bons, s’ils comprennent la dimension spirituelle de cet affrontement historique et décident de prendre parti sous les bannières du Christ Roi, pourront remporter la victoire avec Lui et voir les ennemis communs vaincus.
Permettez-moi de conclure cet entretien en vous remerciant, Maître Füllmich, de m’avoir donné l’occasion d’exprimer ma pensée sur ces questions importantes. Je souhaite à tous les membres de la Commission Corona et à tous ceux qui, dans chaque pays, combattent le Léviathan mondialiste d’être en mesure d’obtenir les résultats souhaités. Je vous bénis cordialement.
+ Carlo Maria Viganò, Archevêque
3 juin 2022
© Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò
Pierre-Antoine Plaquevent: "Le projet des mondialistes est un test spirituel”.
Invité spécial de la rencontre des donateurs 2024 d’Essentiel News, Pierre-Antoine Plaquevent, auteur, analyste politique et créateur de Strategika, groupe de recherche indépendant ("think tank"), nous a livré une présentation du “projet” des mondialistes tel un test auquel nous faisons tous face.
S’informer pour comprendre
Dans son exposé, le fondateur de Strategika revient sur la manière dont le projet ou “complot” de la minorité au pouvoir est devenu perceptible et visible pour une grande partie de la population au moment de la crise sanitaire:
Le Covid nous l’a montré, c’est d’abord par l’information que cela se passe. Si on a accès à une bonne information, ou en tout cas à une information différente, on peut résister au rouleau compresseur. Au niveau du Covid, cela nous a même sauvé la vie ou sauvé la vie de proches. Quand on a vu arriver le Covid, le fait d’avoir déjà des connaissances sur ce qu’est le mondialisme et sur ce que sont capables de faire ces gens-là, nous a permis d’anticiper et de comprendre très vite ce qu’ils étaient en train de faire.
La première étape est de comprendre leur projet, d’où l’importance fondamentale des sites de réinformation.
Un projet pour les contrôler tous
Pierre-Antoine Plaquevent met en exergue la tendance chez les gens intelligents qui ont du pouvoir à vouloir créer un système parfait et l’imposer:
Le fait de savoir qu’il existe un projet, cela nous aide à nous défendre et à savoir qu’en face nous avons des gens qui ont réellement une idée en tête, qui veulent gouverner, et qui ont mis en place tous les instruments pour cela.
Dès les années 1920, Aldous Huxley montre ce que serait ce projet s’il était réalisé, c’est à dire une forme de fédération mondiale du genre humain, organisée par caste génétique. Huxley faisait partie de ces familles qui se transmettent, en plus d’un héritage, un projet de société mondialiste.
Le cas de Soros est emblématique car il s’agit d’un financier multimilliardaire. Il nous montre que leur but n’est pas uniquement l’argent. Une fois qu’ils ont atteint un certain niveau de richesse, leur but est le contrôle et le pouvoir. Et au-delà du pouvoir, il existe une question spirituelle. Ayant bouché tous les horizons d’attentes spirituelles, ils travaillent à la restauration d’un paradis terrestre sans Dieu et l’accomplissement d’une immortalité matérielle. C’est le sens du transhumanisme dans lequel il existe une forme de révolte fondamentale contre la Création et le Créateur.
La question de la spiritualité
Selon l’écrivain, la question de la spiritualité est une clé essentielle pour comprendre le projet de l’élite mondialiste auquel nous faisons face, et surtout pour être en mesure de lui résister.
L’intelligence est une faculté spirituelle qui nous permet de connecter les éléments entre eux. Souvent nous nous étonnons de voir des gens qui nous paraissent très intelligents mais n’ont pas compris des choses essentielles. Et bien, c’est parce qu’ils ne sont pas sages. Ils n’ont pas eu cette sagesse d’utiliser cette faculté présente en l’homme et qui a autant à voir avec l’esprit qu’avec le cœur. Il faut faire descendre l’intelligence dans le cœur. Ces gens-là ont fermé leur cœur, ils sont dans le rationalisme pur et veulent combler ce vide intérieur par le contrôle extérieur du monde.
L’orgueil humain fait qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de nous exposer leurs croyances, leur “religion”. Cela rejoint la question spirituelle car à un moment il faudra choisir. Cela n’est plus une question d’intelligence, c’est un choix spirituel. À un certain niveau, être bête cela devient un péché. On n’a plus le droit d’être bête face à ce qui arrive, et il faudra choisir, soit le camp de la Bête comme le nommait les premiers chrétiens, soit le camp de la Liberté, de l’Esprit.
Face à ce test à la fois individuel et général, Pierre-Antoine Plaquevent est persuadé qu’il existera toujours des poches d’humanité qui résisteront quoi qu’il arrive.
Livre de Pierre-Antoine Plaquevent: "SOROS et la société ouverte : "Métapolitique du globalisme."
Visionnez sur essentiel.news l'entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent:
https://essentiel.news/plaquevent-projet-mondialistes-test-spirituel/
NDLR: Il y a un mot que Pierre-Antoine Plaquevent a oublié de prononcer: le mot "guerre". La ploutocratie (car il faut éviter d'utiliser le mot "élite" ou "élites", qui est incorrect, trop flatteur, car il s'agit seulement d'une oligarchie et essentiellement de la ploutocratie) est en guerre contre le peuple, le Grand Peuple, l'Humanité, la Nature et la Création, dans la négation de Dieu. Elle veut les détruire, les asservir, les robotiser. Comprendre que l'on est en guerre, qu'il y a un ennemi qui s'est emparé des leviers du pouvoir et qui veut nous détruire est la première étape de la libération. La deuxième étape, conséquence directe de cette prise de conscience, est la résistance et la lutte pour détruire cet ennemi.
Il faut savoir que la guerre est partout, que la lutte est justice, et que tout est en devenir par la lutte, selon l'ordre normal des choses. (Héraclite d'Éphèse)
Entretien avec le Pr Martin Zizi: explosion des turbo-cancer, vaccinations Covid, sociabilité et conformisme humains, fourmis exploratrices, primates descendus des arbres dans la savane et que faire ? Suivi de: Pierre Chaillot et Philippe Bobola; DIALOGUE TOUS AZIMUTS: Le virtuel et le réel
Présentation:
Présentation:
"La pensée calculable a remplacé la pensée méditante."
Martin Heidegger, cité par Philippe Bobola
Dr Ana Mihalcea MD., PH.D./Children's Health Defense/essentiel.news: Qu'y a-t-il dans les vaccins Covid et dans notre sang ?
Qu’y a-t-il dans les vaccins Covid et dans notre sang?
Dr Ana Mihalcea expose ses travaux sur les nanotechnologies auto-assemblantes et l'agenda transhumaniste
Article de Senta Depuydt d’Essentiel News
Doublage et sous-titrage par Jeanne Traduction.
https://essentiel.news/qu-y-a-t-il-dans-vaccins-covid-et-notre-sang/
Introduction: le contenu des vaccins, un sujet essentiel
Lorsqu’il s’agit d’aborder la vaccination, l’un des sujets les plus importants et paradoxalement les moins discutés est celui du contenu des vaccins. À en croire les diverses autorités sanitaires, “rien n’est autant contrôlé que les vaccins” et le mot rigueur est toujours répété dans un ton où se mêlent à la fois assurance et indignation face aux mécréants.
En réalité, c’est tout l’inverse. Pour avoir exploré sur ce sujet depuis plusieurs années, bien avant le Covid, il paraît évident qu’une enquête approfondie sur cette question devrait définitivement mettre fin au mythe de la vaccination “sûre et efficace”.
Que contiennent les fioles vaccinales? Comment et par qui sont-elles contrôlées? Et que peut-on inférer à partir des observations indépendantes? S’agit-il simplement de produits de mauvaise qualité, ou y a-t-il une volonté d’injecter des éléments censés avoir des effets spécifiques à l’insu des personnes qui les reçoivent?
Que l’on soit favorable ou opposé à la vaccination, tout le monde tombera d’accord sur le fait que l’on doit pouvoir se fier au contenu de ces fioles. Or, contrairement à ce que l’on imagine, il n’existe pratiquement aucun contrôle des vaccins. C’est le fabricant lui-même qui est censé effectuer ses propres tests pour fournir la documentation requise aux organismes de contrôle.
Or, ces tests sont minimalistes, et contrairement aux produits alimentaires, il n’y a jamais d’inspecteur qui vient prélever une fiole au hasard pour en analyser le contenu. Tous les ingrédients sont-ils déclarés? Le contenu correspond-il à ce qui est décrit sur la notice? En réalité, la seule chose que l’on sait, c’est que l’on ne sait pas vraiment ce qu’il y a dans une dose de vaccin.
Ces questions doivent être abordées, c’est pourquoi la rédaction d’Essentiel News consacrera différents articles au contenu et à la qualité des vaccins.
La vidéo que nous avons fait traduire est un entretien mené par l’avocate Mary Holland – présidente de l’association Children’s Health Defense (CHD, défense de la santé des enfants) qui a été fondée par Robert Kennedy Jr – avec la Dr Ana Mihalcea, interniste, pathologiste et auteure d’articles sur le contenu des vaccins Covid.
Dès le début de la pandémie, l’association CHD a agi comme une plateforme internationale d’échange d’informations et de discussion sur tous les aspects de la crise sanitaire. Des réunions hebdomadaires informelles ont rassemblé des experts, des médecins, des avocats, journalistes et lanceurs d’alerte du monde entier. Leurs échanges ont parfois nourri d’intenses débats, parfois donné lieu à des conclusions unanimes.
Le tableau que dresse Dr Ana Mihalcea semble tout simplement inimaginable, mais ses arguments et ses données sont nombreux et reflètent le travail d’autres équipes. Il sera intéressant de présenter des contre-arguments par la suite, mais l’on se doit de se pencher sur ses observations, en particulier dans le contexte actuel d’accélération du transhumanisme.
Les images inédites
Durant la pandémie, plusieurs groupes de médecins et de scientifiques indépendants ont cherché à analyser le contenu des vaccins. Dr Mihalcea s’est jointe aux recherches et a pu observer par elle-même à l’aide de la microscopie sur fond noir ce qui semble aujourd’hui être interprété comme des nanotechnologies auto-assemblantes. Elle a alors complété ses recherches par l’analyse du sang où elle a détecté des anomalies telles que des formations en rouleaux et des caillots de composition anormale.
Préalablement à ces observations, Dr Ana Mihalcea a travaillé plus de 30 ans sur le phénomène des morgellons, souvent décrit comme le résultat d’expériences de biologie synthétique (il s’agit de filaments de type plastique qui sont excrétés par la peau).
Formation de nanocircuits
Selon la médecin et les dizaines de chercheurs impliqués dans ce sujet (notamment le Dr David Nixon), ce que l’on peut détecter dans les vaccins Covid s’apparente à des micropuces. Celles-ci sont constituées de minuscules particules magnétiques, émettent des flash lumineux (principalement bleus) et seraient capables de réagir à des signaux électromagnétiques.
Mihalcea affirme que ce type d’assemblage avec des nanomatériaux est présenté de manière parfaitement claire dans les projets concernant l’internet des Bio-Nano Things (objets, IoNT). Des matériaux tels que le graphène permettent actuellement de combiner les instruments provenant de la nanotechnologie et de la biologie synthétique pour réaliser l’intégration de dispositifs informatiques à l’intérieur du corps humain.
Selon Mihalcea, de tels dispositifs intracellulaires ont d’ailleurs été expérimentés par Pfizer dans un médicament nommé Enbrel. Des études à l’hôpital du Mont Sinaï ont permis de recueillir les données émises par ondes électromagnétiques générées par des capteurs insérés chez les patients.
Particules métalliques
La quasi totalité des groupes de recherche sur les vaccins Covid ont signalé une présence importante de particules métalliques. Leur présence intrigue d’autant plus que certains métaux sont assez rares.
Deux scientifiques de l’université de Comahue auraient détecté jusqu’à 55 éléments chimiques non déclarés dans la composition des vaccins. Il s’agit entre autres du groupe des lanthanides, des éléments dont les propriétés magnétiques sont particulièrement importantes.
(note: cette publication est critiquée pour son manque de rigueur scientifique)
Shedding – transmission aérienne
Ana Mihalcea a ensuite observé le sang des vaccinés et des non-vaccinés. Elle constate que des nanostructures sont aussi présentes dans le sang des non-vaccinés. Ceci s’expliquerait à la fois par le phénomène du shedding, une excrétion par la peau ou une dissémination par voie aérienne lors de contacts rapprochés.
Filaments synthétiques auto-répliquants
Les morgellons seraient le résultat d’opérations de géoingénierie menées depuis 30 ans, qui consistent à disperser un mélange de métaux (notamment du baryum) et de polymères. Ils ont été documentés depuis de nombreuses années, notamment par les travaux de Clifford Carnicum.
Ana Mihalcea et ses collègues ont identifié des signatures chimiques similaires entre les morgellons et les filaments d’apparence caoutchouteuse trouvés dans les caillots prélevés sur les corps des personnes décédées après avoir été vaccinées. L’on y retrouve des matières plastiques, notamment des polyamides et des polyvynils.
Ces matériaux seraient d’ailleurs mentionnés dans les brevets concernant les particules nanolipidiques utilisées dans le vaccin Moderna (brevet du 11 avril 2023).
“Dans certaines présentations, les nanoparticules décrites ici sont des particules furtives (stealth) à cible spécifique” similaires au brevet… Ces particules furtives peuvent comprendre une “matrice polymère” incluant des matériaux tels que polyamides, polyéthylènes, polyuréthane, polyesters, polyvynils, polyacrylates, etc. (la liste est longue).
Selon elle, les activités d’auto-assemblage et d’auto-réplication persistent après le décès des personnes, même deux ans plus tard.
Les nanorobots
Ces nanorobots qu’elle identifie comme des dispositifs à micropuce mésogènes (“Mesogen microchip devices”) sont équipés de senseurs/capteurs qui leur permettent de naviguer par biotélémétrie. Certains seraient capables d’envoyer des signaux que l’on peut capter avec certains types de téléphones portables vers un “cloud” (nuage) de données. Ces procédés et matériaux sont similaires à ce qui est actuellement utilisé dans les expériences de connection “ordinateur-cerveau” (ndlr: Neuralink et Cie).
Pour alimenter leur fonctionnement, ces nanorobots puisent l’énergie électrique des cellules humaines, ce qui a un effet destructeur sur l’organisme. Une fois assemblés, ils restent agglomérés de manière insoluble.
Stopper l’activité des nanoparticules, améliorer la santé des patients
En partant du brevet des nanoparticules lipidiques de Moderna qui mentionne aussi comment inhiber l’adduction des nanoparticules, Ana Mihalcea a testé l’utilisation d’agents antioxydants et d’agents chélateurs pour améliorer la condition de ses patients. Elle mentionne entre autres de bons résultats avec une combinaison de vitamine C à haute dose et un chélateur classique tel que l’EDTA (acide EthylèneDiamineTétraAcétique).
Elle affirme aussi avoir vérifié l’efficacité de cette combinaison sur un vaccin Pfizer, dont les nanoparticules ont été neutralisées en seulement 10 minutes.
La clé serait donc avant tout d’éliminer les métaux présents dans le corps.
Toute la biosphère est polluée
Pour le Dr Mihalcea, il ne s’agit pas seulement que du contenu des vaccins. Elle met aussi en garde contre d’autres produits, comme les anesthésiants dentaires et contre les opérations de géoingénierie qui consistent à larguer des nuages chargés de particules métalliques (chemtrails).
On l’aura compris, ce qui est décrit dans cette vidéo est la mise en œuvre d’un plan transhumaniste, qui vise à transformer la population humaine et animale en un parc d’êtres de “technologie vivante” contrôlés par signaux électromagnétiques.
Commentaire :
Ces analyses évoquent les travaux sur les nanoparticules dans les vaccins pédiatriques effectués par Antonietta Gatti et Stefano Montanari. Si leur microscope n’avait pas décrit de ‘micropuces”, ou de particules auto-assemblantes, la présence importante de métaux, y compris de métaux rares avait beaucoup intrigué.
Ce couple de chercheurs, dont d’autres travaux avaient servi de référence au Parlement italien et à la Commission européenne, avait été victime de persécutions: perquisition, confiscation du matériel et des données, fermeture du laboratoire, menace sur la vie. Le pharmacien Serge Rader avait publié un ouvrage “vaccins, oui ou non” pour présenter leurs travaux en France et avait également subi un grand nombre de pressions.
Leurs travaux montraient a minima que les vaccins étaient “pollués” de nanoparticules métalliques capables de pénétrer à l’intérieur des cellules et de provoquer des troubles auto-immuns. En revanche, les images des vaccins Covid décrites ici semblent porter les choses bien plus loin. Des nanoparticules auto-assemblantes ne peuvent pas être le fruit d’une simple négligence, elles sont là par dessein et l’on peut en concevoir la nature.
Concernant les hypothèses d’une technologie transhumaniste, l’ on connaît aujourd’hui les déclarations des figures notoires de la gouvernance mondiale telles que Klaus Schwab ou Yuval Harari qui décrivent la fusion prochaine de l’homme entre le biologique, le technologique et le numérique. Et les projets d’interface humain-cerveau en sont à leurs premiers essais concluants.
Le fait que ce soit le marocain Moncef Slaoui (qui opérait chez GSK en Belgique) qui ait été recruté en tant que scientifique en chef de l’Opération Warp Speed est un signal d’alerte tout aussi important.
Slaoui est justement un spécialiste de la bioélectronique. En 2020, il était président de Galvani Bioelectronics, de Sutro Vax et de MédiciX investment, membre du conseil d’administration chez Artisan Biosciences, Human vaccines Project et Moderna therapeutics, en somme toute une série de Pharma impliquées dans le développement de technologies innovantes, en particulier liées à la bioélectronique.
Galvani Bioelectronics est un partenariat financé par Verily (anciennement Google), Life Sciences et GSK. L’entreprise a pour vocation de produire “des dispositifs miniaturisés et implantables capables de modifier les signaux électriques qui passent le long des nerfs dans le corps, y compris les impulsions irrégulières ou altérées qui se produisent dans de nombreuses maladies”.
Ces indices doivent aujourd’hui nous inciter à poursuivre l’enquête, car les enjeux liés à la vaccination semblent aller bien au-delà de la prétendue protection face à un coronavirus.
Suivre Dr Ana Mihalcea sur sa lettre Substack
Extraits – VO, VF, VOSTFR
SOURCE ET VIDEO DE L'ENTRETIEN: https://essentiel.news/qu-y-a-t-il-dans-vaccins-covid-et-notre-sang/
Paul Craig Roberts: Le régime Biden vient d'émettre une directive très suspecte autorisant l'intervention militaire dans les affaires intérieures des États-Unis
14 octobre 2024
Le régime Biden vient d'émettre une directive très suspecte autorisant l'intervention militaire dans les affaires intérieures des États-Unis
Paul Craig Roberts
Le ministère de la sécurité intérieure a signalé les personnes remettant en cause l'origine du COVID-19, l'efficacité du vaccin et l'intégrité des élections comme des menaces potentielles de terrorisme intérieur.
Un coup d'État est-il en train de se mettre en place ?
Une nouvelle directive 5240.01 du ministère de la défense, publiée le 27 septembre 2024, juste avant l'élection présidentielle de novembre, autorise l'armée américaine à recourir à la force meurtrière contre des citoyens américains, en aidant les autorités policières à faire face à des troubles intérieurs.
Un rapport sur cette évolution énumère les préoccupations en matière de libertés civiles :
- Droit de manifester : On craint qu'une autorité élargie ne permette de réprimer des manifestations légitimes.
- Droit à la vie privée : L'implication accrue de l'armée dans la collecte de renseignements à l'intérieur du pays pourrait porter atteinte à la vie privée.
- Droit à une procédure régulière : Le rôle de l'armée dans l'application de la loi pourrait contourner les garanties habituelles d'une procédure régulière.
- Liberté d'expression : La définition large des « menaces pour la sécurité nationale » pourrait cibler des individus en raison de leurs convictions politiques.
- Contrôle civil : L'élargissement du rôle de l'armée pourrait éroder le contrôle civil de l'armée.
Voici quelques préoccupations d'ordre constitutionnel :
Remise en cause de la loi Posse Comitatus : Cette loi limite traditionnellement les pouvoirs du gouvernement fédéral dans l'utilisation du personnel militaire pour le maintien de l'ordre au niveau national. La nouvelle directive du ministère de la défense, en autorisant l'utilisation de la force létale par le biais de l'assistance militaire au maintien de l'ordre civil, pourrait repousser les limites de ces limitations.
Préoccupations potentielles liées au Premier Amendement : Les défenseurs de la santé naturelle et d'autres personnes exerçant leurs droits au titre du Premier Amendement, tels que la remise en question de la réponse du gouvernement au COVID-19 ou de l'intégrité des élections, ont été qualifiés d'extrémistes et/ou de terroristes nationaux potentiels par certaines agences. Cette directive pourrait étendre ces classifications à des scénarios impliquant des interventions de force létale, ce qui risquerait d'entraver la liberté d'expression sous couvert de sécurité nationale.
Considérations relatives au Quatrième Amendement : Cette directive permet également le partage de renseignements entre l'armée et les forces de l'ordre dans des conditions d'urgence, ce qui soulève des questions sur le droit à la vie privée et la possibilité d'une surveillance accrue.
Implications en matière de respect de la légalité Cinquième Amendement) : La possibilité pour l'armée de recourir à la force meurtrière dans des scénarios domestiques soulève des questions quant à la manière dont les garanties d'une procédure régulière pourraient être maintenues avant que des décisions susceptibles d'affecter la vie des personnes ne soient prises.
Pourquoi ces changements inquiétants un mois avant les élections ? Quelque chose se prépare-t-il ? Pourquoi ce changement de politique ne fait-il l'objet d'aucun rapport ni d'aucun débat ?
Voici la directive :
Voici le rapport :
https://stateofthenation.co/?p=256688
Depuis que la CIA a utilisé le Washington Post et les médias pour dissimuler l'assassinat du président John F. Kennedy, le terme « théorie du complot », introduit par la CIA, a été utilisé par les instituts de presse et le gouvernement pour diaboliser la vérité et ceux qui la disent, et pour protéger les récits officiels, tels que « les armes de destruction massive de Saddam Hussein ».
À moins que Trump ne passe un accord avec les Démocrates pour ne pas leur demander des comptes et un accord avec l'élite dirigeante pour ne pas interférer avec leur contrôle, je ne vois pas comment l'un ou l'autre permettra à Trump d'être président.
Le régime de Biden et le ministère de la Justice (sic) et le FBI de Trump sont des opérations criminelles. Je peux voir des mises en accusation et des arrestations pour ceux qui ont armé l'application de la loi. L'élite dirigeante et les principaux Démocrates tels que Hillary Clinton et John Kerry peuvent tous être arrêtés, honnêtement contrairement à Trump et à ses partisans, pour insurrection car ils ont ouvertement appelé au renversement des États-Unis en exigeant le renversement du Premier Amendement de la Constitution américaine. Il ne faut pas se leurrer, c'est de la trahison. Les États-Unis, c'est la Constitution. Préconiser le renversement de la Constitution, c'est préconiser le renversement des États-Unis.
Il s'agit d'une question majeure de notre époque, et elle n'est pas mentionnée - ce qui montre le contrôle que l'élite exerce sur ce qui pourrait être une question sujette à notification et à discussion.
Le fait qu'un mois avant l'élection présidentielle, le régime corrompu de M. Biden ait publié une directive autorisant l'armée américaine, purgée de ses officiers patriotes, à utiliser la force meurtrière contre les citoyens américains est un signe que quelque chose se prépare. Pourquoi une telle directive est-elle soudainement nécessaire, une directive qui va à l'encontre de toutes les politiques antérieures ?
Voici un scénario possible : si, malgré l'assaut des médias prostitués contre Trump et les procédures de vol d'élection légalisées en place dans les États clés, les Démocrates et l'élite dirigeante concluent que l'élection ne peut être ni gagnée ni volée, une insurrection sous fausse bannière orchestrée est mise en scène et active la directive 5240.01 du ministère de la défense, publiée le 27 septembre 2024. Trump, ses partisans, le Parti républicain, en épargnant probablement les RINO car un faux parti d'opposition sera nécessaire pour maintenir l'illusion de la démocratie sous le régime du parti unique, seront arrêtés en tant qu'insurgés. Les tribunaux seront impuissants car ils n'ont aucun pouvoir d'exécution, et toute intervention contre le coup d'État sera dénoncée comme « prenant parti pour les insurgés ».
Absurde ! Extrême ! Cinglé ! Non, je ne suis rien de tout cela. Il suffit de penser à toutes les violations du droit américain et du droit international commises par les responsables démocrates. Ils sont susceptibles d'être arrêtés au niveau national et international. Trump, à moins qu'il ne passe les accords que j'ai mentionnés, est une menace pour l'establishment dirigeant car il peut mettre la plupart d'entre eux en prison. Comment les démocrates et l'élite dirigeante peuvent-ils laisser un homme et un mouvement aussi dangereux pour eux devenir président ? Ils ne le peuvent pas.
À moins que Trump ne se vende, il est engagé dans un combat à mort. Elon Musk le sait. Musk s'est demandé sur Tucker Carlson quelle serait la durée de sa peine de prison si Trump perdait l'élection. La plupart des Américains, cependant, sont trop insouciants pour réaliser que si Trump perd les élections, ou si elles lui sont volées, ou si elles sont empêchées, il n'y aura plus jamais d'élections aux États-Unis d'Amérique. Une élection de type stalinien, peut-être, où 99,9 % des voix sont prises par le personnage au pouvoir.
Un pays dont le gouvernement, les intellectuels et l'élite dirigeante ne croient pas en la Constitution ne croient pas en ce pays.
Un pays dont le gouvernement, les intellectuels et l'élite dirigeante ne croient pas à la famille, aux frontières, au mal, qui utilise l'éducation pour endoctriner les Blancs contre eux-mêmes en les considérant comme des racistes, des misogynes et des terroristes nationaux, qui utilise la censure pour empêcher l'émergence de contestations des récits officiels qui sont des mensonges, a un programme qu'il sait que le peuple américain n'acceptera pas. Ce programme est donc laissé en suspens et imposé à la population en contrôlant les explications.
Au cours de ma vie, j'ai assisté à l'effondrement de la vie spirituelle et de la moralité sexuelle. La pudeur et la chasteté féminines n'existent plus. Les mères font prendre des pilules contraceptives à leurs filles de 12 ans. Les étudiantes s'entretiennent sur des sites pornographiques où elles copulent au vu et au su de tout le monde. Qui veut épouser une prostituée publique ?
Les Démocrates ont fait de la haine leur étendard. Les haineux sont des hétérosexuels blancs qui ont un code moral traditionnel.
Les hétérosexuels blancs vont perdre, car pour eux, ce n'est qu'une théorie du complot.
John Kerry appelle à la création d'un ministère de la vérité : « Le Premier Amendement est un obstacle majeur pour nous en ce moment ».
https://x.com/EndWokeness/status/1840223221120979211?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1840223221120979211%7Ctwgr%5E71707a5f7310aded72cbd2002c82015d77b91234%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.rt.com%2Fnews%2F604922-free-speech-disinformation-kerry%2F
Hillary déclare que le premier amendement signifie que « nous perdons le contrôle total ».
https://www.lewrockwell.com/2024/10/no_author/we-lose-total-control-clinton-continues-her-censorship-campaign-on-cnn/
Craignant l'opinion publique, les dirigeants occidentaux se tournent vers la censure
https://sputnikglobe.com/20241007/fearful-of-the-public-western-leaders-turn-to-censorship-1120465265.html
Emma Tucker, rédactrice en chef du Wall Street Journal, a déclaré : « Nous possédions les informations. Nous étions les gardiens et nous possédions également les faits ».
Elle a ajouté que les gens apprennent qu'ils ne peuvent pas faire confiance aux médias prostitués et que, par conséquent, les presstitués ont du mal à protéger les récits officiels, qui sont des mensonges permettant à une poignée d'élites corrompues d'imposer leurs agendas.
https://www.zerohedge.com/political/hillary-clinton-desperation-warns-well-lose-total-control-if-social-media-stops-censoring
Sénateur Malcolm Roberts (QL, Australie): De nouvelles données montrent que les injections d'ARNm de COVID sont nocives et mortelles
De nouvelles données montrent que les injections d'ARNm de COVID sont nocives et mortelles
Cela fait maintenant cinq fois que je m'adresse au Sénat pour expliquer les dernières données qui montrent les dommages causés à tous les Australiens par notre réponse au COVID, y compris les injections d'ARNm.
Il s'agit de ma sixième mise à jour sur la science du COVID, qui s'appuie sur de nouveaux articles publiés et examinés par des pairs, référencés par l'auteur principal. (Références détaillées sur mon site web).
Les données choquantes montrent que les injections d'ARNm COVID ont une efficacité négative et qu'elles nuisent à plus de personnes qu'elles n'en protègent. Plus inquiétant encore, le dernier rapport montre que les enfants auxquels on a injecté des « vaccins » à ARNm ont non seulement tous contracté le COVID, mais qu'ils sont désormais plus susceptibles de développer un cancer au cours de leur vie.
Il est temps de demander une commission royale d'enquête !
Je reviendrai sur ce crime du siècle en décembre lors de ma troisième enquête sur le COVID, intitulée « COVID on Trial », à laquelle participeront d'éminents médecins et avocats australiens et internationaux, et qui sera présentée devant des députés de tous les partis.
Transcription
Il y a trois ans, j'ai promis de traquer ceux qui ont perpétré le plus grand crime de l'histoire australienne, et je continuerai à le faire. Voici les dernières preuves que le COVID-19 est le crime du siècle, tirées de nouveaux articles publiés, évalués par des pairs et référencés à l'auteur principal. Dans la publication polonaise Annals of Medicine, le FIRN procède à une revue limitée de la littérature sur l'évolution et la notification des effets indésirables graves (EIG) du vaccin COVID-19 dans les revues scientifiques, et fait les constatations suivantes : La littérature est passée de l'affirmation selon laquelle les vaccins à base d'ARNm ne provoquent absolument aucun effet indésirable grave en 2021 à la reconnaissance d'un nombre important d'effets indésirables graves en 2024. Ces effets indésirables comprennent des complications neurologiques, des myocardites, des péricardites et des thromboses ». Le FIRN a déclaré : « Cela montre que la science ne doit pas être totalement objective lorsqu'elle évalue les risques pour la santé, car les considérations sociales et économiques ont souvent une influence ».
Pourquoi a-t-il fallu trois ans à la communauté médicale pour se faire entendre ? Tout d'abord, il faut du temps pour produire une étude évaluée par des pairs, en particulier une étude critique à l'égard de ses maîtres de l'industrie pharmaceutique. Deuxièmement, l'argent parle. L'argent de la recherche, les subventions, les fausses conférences et les destinations somptueuses des grandes sociétés pharmaceutiques sont autant d'influences difficiles à surmonter. L'argent des grandes sociétés pharmaceutiques va aujourd'hui dans de nombreuses directions différentes. Comme le garçon proverbial qui a le doigt dans la digue, des fissures apparaissent enfin. C'est la raison pour laquelle le projet de loi sur la désinformation a été présenté : pour se débarrasser de ces vérités embarrassantes à temps pour la prochaine collecte de fonds de l'industrie pharmaceutique.
Ce n'est que l'année dernière que les scientifiques ont pu publier des articles reconnaissant un nombre élevé d'effets indésirables graves, ou EIG, liés aux vaccins à base d'ARNm. Il y a tant de choses dans les publications scientifiques récentes que la plupart des gens ignorent en raison du contrôle exercé par l'industrie pharmaceutique. Voici les 10 principales raisons récentes d'enfermer ces salauds. Il y a l'étude Thacker. La rapidité a pu se faire au détriment de l'intégrité des données et de la sécurité des patients, la FISA ayant falsifié et déformé des données. Il y a l'étude Facsova. Une étude portant sur 99 millions de doses a clairement prouvé l'existence de myocardites, de péricardites et de thromboses cérébrales, et l'étude n'a duré que 42 jours après chaque dose, alors que nous savons que des personnes meurent subitement des années après avoir reçu une dose dans le bras pour le compte des grandes sociétés pharmaceutiques. L'étude Fraiman a révélé que l'excès de risque d'événements indésirables graves d'intérêt particulier était plus élevé que la réduction du risque d'hospitalisation liée au COVID-19 par rapport au groupe placebo dans les essais de Pfizer et de Moderna, mais ils n'ont jamais dit que plus de personnes tomberaient gravement malades à la suite des injections. L'étude Benn n'a pas constaté de diminution statistiquement significative du nombre de décès dus au COVID-19 dans les essais du vaccin ARNm, alors que le nombre total de décès a en fait légèrement augmenté.
L'étude de Doshi et Lataster a mis en évidence les défaillances de la fenêtre de comptage, c'est-à-dire le temps écoulé après l'injection avant qu'un événement indésirable ne soit compté. Pfizer et ses acolytes n'ont pas comptabilisé les effets indésirables au cours de la première semaine suivant l'injection, alors qu'ils sont nombreux à s'être produits, et ont cessé de le faire au bout de six semaines. Cela a probablement conduit à une efficacité exagérée et à des déclarations trompeuses sur la sécurité, y compris des effets indésirables graves attribués à des personnes non vaccinées. L'étude de Raethke a relevé un taux d'effets indésirables graves des vaccins d'environ un pour 400 personnes, ce qui est étonnant !
L'étude de Mostert a attiré l'attention sur le problème déconcertant des personnes qui meurent subitement des années après l'injection, suggérant que c'est peut-être la substance qui leur a été injectée qui en est la cause. L'étude de Lataster, de l'université de Sydney, qui a contribué à ce discours, a démontré qu'il existe des corrélations entre la vaccination contre le COVID-19 et la surmortalité en Europe et que les injections de COVID augmentent le risque d'infection par le COVID-19 et même le risque de décès par le COVID-19. L'étude de Furst a apporté la preuve qu'un biais lié à la participation à un vaccin en bonne santé est en jeu. L'étude n'a porté que sur des personnes en bonne santé. Cela implique que l'efficacité des vaccins COVID-19 est exagérée, au-delà des effets de la fenêtre de comptage et d'autres manipulations de données.
Cela nous amène au dernier article publié et évalué par des pairs, rédigé par Robin Kobbe et d'autres chercheurs. Il a étudié des enfants âgés de 5 à 11 ans un an après avoir reçu des vaccins ARNm de Pfizer, montrant un risque élevé de développer un cancer tout au long de leur vie. Publié le 30 juillet 2024 dans le Pediatric Infectious Disease Journal, ce rapport a étudié des enfants allemands ayant reçu deux injections de Pfizer. Il s'agit d'une étude longitudinale qui suit des enfants en bonne santé après deux doses de vaccinations, les dommages qui en résultent étant clairement attribués aux injections d'ARNm.
Je reviendrai sur ce crime du siècle en décembre, lorsque je mènerai une troisième enquête sur le COVID, intitulée « COVID à l'épreuve », avec des médecins, des avocats et des hommes politiques australiens et internationaux de premier plan, qui se déroulera devant des députés de tous les partis. Je promets de traquer les auteurs de ce crime, et c'est exactement ce que je ferai.
Références
https://okaythennews.substack.com/p/covid-vaccine-science-catching-up
https://doi.org/10.29089/paom/1938
Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc
MPox, on prend les mêmes et on recommence. Debriefing avec le Professeur Christian Perronne (France Soir)
Quatre ans après la Covid, ce virus qui a consacré la peur dans la vie des Français entrainant des modifications inhabituelles du comportement de bien d’entre nous, le professeur Perronne décrypte la variole du singe avec son franc-parler habituel et des mots simples. Il déplore une nouvelle forme d’instrumentalisation de la peur pour conduire les Français à se conformer à un narratif.
Visionnez ici l'entretien du Pr Christian Perronne avec Xavier Azalbert (France Soir)
Paul Craig Roberts: La révolution numérique est l'arme maîtresse de Satan
La révolution numérique est l'arme maîtresse de Satan
15 août 2024
(...)
Les Américains ne semblent pas avoir conscience de ce qui est interdit si la liberté doit survivre. Je suis convaincu que, quelles que soient les intentions de ses partisans, l'intelligence artificielle aura pour conséquence d'évincer les humains des fonctions humaines et de nous livrer tous à la domination de tyrans. Les rares et infimes avantages de l'IA ne valent pas la destruction de l'indépendance et de la liberté humaines.
(...)
Paul Craig Roberts
https://www.paulcraigroberts.org/2024/08/15/the-digital-revolution-is-satans-master-weapon/
Consulter aussi:
Le passeport vaccinal européen débarque dans 5 pays pilotes: le projet EUVABECO à la loupe
https://essentiel.news/passeport-vaccinal-europeen-euvabeco-5-pays-pilotes/
La mise à mort médicale arrive en France
«Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre de plus l’avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie.»
Albert Camus, Hommage à un journaliste exilé (1955).
L'euthanasie active, cheval de bataille de la franc-maçonnerie, doit être votée à l'automne
1 août 2024.
Le 8 novembre 2023, le chef de l’État français Emmanuel Macron se rend au siège du Grand Orient de France. Pour marquer le 250ème anniversaire de la plus ancienne obédience maçonnique française, il prononce un discours dans lequel il promet un projet de loi pour permettre une «aide active à mourir», un thème «auquel la franc-maçonnerie porte une attention particulière.»
Il tient parole et le 10 avril 2024 c’est chose faite: le projet de loi 2462 est soumis à l’Assemblée nationale. Le texte entend légaliser l’euthanasie active. Deux jours plus tard, le Figaro titre, sans complexe et dans une indifférence relative: «Euthanasie : la dernière croisade des francs-maçons.»
Et le journal de nous expliquer que pour le grand maître du Grand Orient de France, Guillaume Trichard, ce projet de loi est «un soulagement.» En effet, la loi facilite grandement la mise à mort en autorisant le recours à une substance létale.
Le 17 mai 2024, les députés réunis en commission adoptent un texte allant encore plus loin que la version originale. Désormais, il n’est plus nécessaire que le candidat à la mort soit atteint «d’une affection grave et incurable», au pronostic vital engagé «à court ou moyen terme»; la nouvelle mouture autorise l’euthanasie pour une personne simplement «atteinte d’une affection grave et incurable en phase avancée ou terminale.»
Autre ajout majeur au texte: l’instauration d’un «délit d’entrave au suicide assisté». Un amendement prévoit en effet une peine d’un an d’emprisonnement et de 15’000 euros d’amende pour quiconque se rendrait coupable «d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur l’aide à mourir par tout moyen.»
Par suite de son adoption en commission, l’hémicycle débat ensuite du projet de loi en première lecture jusqu’au 7 juin 2024, avant de s’interrompre suite à la dissolution de l’assemblée nationale. Les travaux doivent reprendre à l’automne.
(...)
Source et suite de l'article: https://essentiel.news/la-mise-a-mort-medicale-arrive-en-france/
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