operation coronavirus
Fréderic Beltra (Verity France), un combat en mémoire de son fils Maxime, décédé le 26 juillet 2021 à 22 ans (X. Azalbert / France-Soir)
ENTRETIEN ESSENTIEL - "Fréderic Beltra est président de l’association Verity France, regroupant les familles de victimes des vaccins Covid-19. Ses apparitions médiatiques sont très rares et il n’a jamais donné d’interview à un média. Son fils Maxime est décédé lundi 26 juillet 2021, quelques heures après avoir reçu sa première dose Pfizer. Il avait 22 ans.
Dans cet entretien essentiel, Frédéric Beltra prend le temps d’évoquer le début de la pandémie. Il avait quelques interrogations sur les interdictions de certains médicaments car, intuitivement et à titre personnel, il aurait préféré avoir plus d’options. Il évoque sa situation d’entrepreneur et la mise en place des mesures et gestes barrières pour protéger ses clients. Travaillant beaucoup, il faisait confiance au gouvernement et à sa communication jusqu’au moment où s’est posé la question de la vaccination de son fils, courant 2021. S’il avait préalablement téléchargé la notice du vaccin du site de l’ANSM, il n’en prendra connaissance que trop tard. Depuis le décès de son fils, malgré le drame et la dévastation, Frédéric a dévoué son temps à sa famille et son association, Verity. L’association a mis en place des cellules de soutien aux victimes des effets secondaires devant la faillite du système à proposer une réponse adéquate dans ce domaine ou même à considérer les victimes comme tel. En tant que père d’une victime, il n’a jamais été contacté par les officiels du gouvernement. Pire encore, il a dû subir les attaques de certains médias tentant de justifier que la mort de son fils n’avait rien à voir avec l’injection. Aujourd’hui, malgré plus de 200 000 effets secondaires recensés dont 25 % de grave, les injections Covid-19 sont toujours autorisées. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau est d’ailleurs visé par une plainte de Verity France (d’autres associations lui ont emboîté le pas) en rapport avec ce qu'on peut considérer comme un délit d’extorsion du consentement libre et éclairé. Les mots de Frédéric Beltra sont tranchants, sa détermination entière. Il demande simplement à ce que le statut des victimes soit reconnu et protégé par la loi."
Source et vidéo de l'entretien:
COVIDHUB.CH: Le graphène, un matériau miracle …dangereux pour notre santé?
L'utilisation - notamment dans des produits pharmaceutiques - de ce matériau considéré comme révolutionnaire souffre d'un manque d'études indépendantes et de transparence.
(France-Soir): Situation désespérée pour les soignants suspendus non réintégrés. Le collectif Les Essentiels sonne l'alerte
ENTRETIEN ESSENTIEL - En avril dernier, des soignants semblaient enfin voir le bout du tunnel avec la fin de leur suspension, 18 mois après avoir refusé de se soumettre à l'obligation vaccinale. Pourtant, près de six mois plus tard, la réintégration se passe mal pour des milliers d'entre eux, alerte le collectif Les Essentiels, fondé par Jean-Louis. Pour certains, les conditions de retour ne sont pas tenables, puisqu’ils ne sont pas réintégrés aux postes qu’ils avaient quittés le 15 septembre 2021. Dans cet entretien, Jean-Louis est accompagné de Vincent, docteur en médecine et de Pascale, infirmière. Cette dernière est un exemple type de ce qu’il se passe actuellement. Sentant qu’elle ne pouvait pas accepter les conditions que l'on lui proposait pour sa réintégration, elle a fait le choix de se mettre en disponibilité, tout en se sentant forcée de prendre cette décision : « On a l'impression d'un véritable acharnement de certains personnels administratifs », regrette Jean-Louis, le fondateur du collectif.
Visionnez la vidéo de l'entretien sur le site de France-Soir:
Sénateur (QL, Australie): Une grande victoire vers une commission royale Covid
Le Sénat vient d'approuver ma proposition de création d'une commission d'enquête chargée de recommander le mandat d'une commission royale COVID-19.
C'est un grand pas en avant vers la création d'une commission royale COVID-19. Une fois que la
la commission produira un projet de mandat, il sera pratiquement
Il sera presque impossible pour le gouvernement de résister à la pression du public en faveur d'une Commission royale.
Le cœur de cette motion était de demander à la commission de référence des affaires juridiques et constitutionnelles de définir les termes de référence appropriés pour une telle commission royale.
Leur mission ? Veiller à ce que chaque voix, chaque partie prenante et chaque personne touchée par les décisions relatives à la pandémie ait une chance d'être entendue.
La commission doit rendre son rapport avant le 31 mars 2024.
Vous pourrez vous exprimer et soumettre des propositions à la commission. Je vous contacterai bientôt pour vous donner plus d'informations sur la marche à suivre.
Il s'agit peut-être d'une motion, mais cela n'aurait pas été possible sans votre voix et la pression que vous avez exercée sur les responsables politiques pour qu'ils rendent des comptes sur la mauvaise gestion de COVID.
Je vous remercie de votre soutien et je vous promets de continuer à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour traquer les responsables.
Le sénateur Malcolm Roberts
Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc avec Deepl
Le spectre des vaccinations aérosols secrètes (Covidhub.ch)
12 octobre 2023
Les vaccins à ARN messager directement dans les poumons, sans consentement, c’est l’objectif annoncé à l’ONU par l’agence de promotion des vaccins GAVI, financée par le milliardaire Bill Gates.
Vaccination et “objectifs de développement durable”
Lors d’une réunion en marge de l’Assemblée générale des Nations unies de cette année, l’Alliance du Vaccin (GAVI) a suggéré que les vaccinations de masse pouvaient être utiles pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (ODD).
Les 17 ODD semblent être des objectifs nobles, comme éliminer la faim et la pauvreté, mais le risque est bien réel que certains lobbies puissants, comme celui de l’industrie pharmaceutique, instrumentalisent ces objectifs pour imposer leurs produits et leurs visions dans un monde standardisé et technocratique.
Le plan “One Health” (“Une Santé”) de l’OMS, repris en coeur par l’UE, part du principe que les humains, les chiens et les chats doivent tous être vaccinés contre toutes les maladies possibles… et même pour les rendre infertiles (lire notre article au sujet de la vaccination aérosol des chats).
Mais comment y parvenir le plus simplement possible à l’échelle d’une planète ?
L’ARNm vaccinal directement dans les poumons
L’équipe dirigée par le physiologiste cellulaire et moléculaire Mark Saltzman de l’université de Yale, alliée à l’industrie pharmaceutique, a mis au point une méthode permettant de rendre inhalable l’ARN messager et l’amener directement dans les poumons par voie aérienne.
L’étude est intitulée “Polymer nanoparticles deliver mRNA to the lung for mucosal vaccination” (Des nanoparticules de polymère apportent de l’ARNm aux poumons pour la vaccination des muqueuses) et a été publiée ici.
Selon les chercheurs, cette nouvelle méthode d’administration pourrait “changer radicalement la façon dont les gens sont vaccinés” et faciliter la vaccination des personnes vivant dans des zones isolées ou qui ont peur des aiguilles. Courtney Malo, rédactrice à Science Translational Medicine, qui a publié l’étude de Yale:
La capacité de transporter efficacement l’ARNm dans les poumons offrirait des applications pour le développement de vaccins, la thérapie génique et bien plus encore.
Un vaccin transmis par voie aérienne permet une diffusion rapide au sein de la population. De plus, comme le vaccin est libéré dans l’air, il n’est pas nécessaire de vacciner chaque personne individuellement – ce qui prend non seulement du temps, mais est également difficile si une personne refuse de se faire vacciner.
Ce n’est pas le cas d’un vaccin transmis par voie aérienne, qui peut être diffusé sans le consentement ou même la connaissance de la population.
Vaccinations secrètes et fin du consentement éclairé ?
Alors que les scientifiques saluent ce développement comme un moyen simple de vaccination de masse, les critiques se demandent si le développement d’un vaccin aérosol ne pourrait pas être utilisé à des fins malhonnêtes ou éthiquement douteuses.
Un produit ARNm transmis par voie aérienne pourrait en effet être utilisé pour vacciner rapidement toutes les personnes sans leur consentement.
Des discussions sont actuellement en cours pour savoir si l’administration de vaccins jugés “essentiels” ne devrait plus être rendue obligatoire mais plutôt effectuée de manière secrète. L’objectif de santé publique étant considéré comme prépondérant sur les questions de liberté et d’intégrité physique individuelle.
C’est l’avis exprimé en 2018 dans un papier publié par Parker Crutchfield, chercheur au département d’éthique médicale, sciences humaines et droit à la Western Michigan University, qui qualifie les vaccinations d’améliorations biologiques morales :
Certains théoriciens affirment que l’amélioration biologique morale devrait être obligatoire. Je pousse cet argument un peu plus loin en affirmant que si l’amélioration biologique morale doit être obligatoire, son administration doit être secrète plutôt qu’apparente. En d’autres termes, il est moralement préférable que l’amélioration biologique morale obligatoire soit administrée sans que les bénéficiaires sachent qu’ils reçoivent l’amélioration. Mon argument est que si l’amélioration biologique morale doit être obligatoire, son administration est une question de santé publique et doit donc être régie par l’éthique de la santé publique. Je soutiens que l’administration secrète d’un programme obligatoire de bio-amélioration morale est plus conforme à l’éthique de la santé publique qu’un programme ouvertement obligatoire. En particulier, un programme obligatoire secret promeut des valeurs telles que la liberté, l’utilité, l’égalité et l’autonomie mieux qu’un programme manifeste. Par conséquent, un programme de bio-amélioration morale obligatoire et caché est moralement préférable à un programme de bio-amélioration morale manifeste.
La question reste cependant ouverte concernant les personnes pour lesquelles la vaccination est déconseillée pour des raisons de santé, une vaccination par aérosol ne faisant aucune différence. Et surtout, de qui décide – et sur quelle base – ce qui sera un produit thérapeutique essentiel sûr et efficace.
Autorisation dès 2024 ?
Ce genre de pratique se heurte pour l’heure en théorie aux principes dictés par le Code de Nuremberg, qui proscrit toute expérience médicale à large échelle sans le consentement des patients.
Cependant, une fois que les pays membres de l’OMS auront approuvé leurs traités sur les pandémies et le renforcement du Règlement sanitaire international, on peut se demander si ce n’est pas précisément ce type d’actions qui sera mis en avant et pourra être mené de manière juridiquement contraignante dans le monde entier. Voir à ce sujet nos différents articles.
Sources
- La vaccination par voie aérienne apporte l’ARNm dans les poumons, TKP.at
- Analyse du Dr Mercola :
Source et article du Dr Mercola sur COVIDHUB.CH
Sénateur Malcolm Roberts (QL, Australie) sur l'Accord sur les Pandémies de l'ONU et de l'OMS (10 octobre 2023)
10 octobre 2023
Merci pour votre courriel au sénateur Malcolm Roberts concernant la menace qui pèse sur la souveraineté de l'Australie par le biais de l'accord sur les pandémies des Nations unies et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et des changements apportés au Règlement sanitaire international (RSI) - le manuel de fonctionnement de l'OMS que l'Australie a approuvé.
Beaucoup de choses ont changé ces dernières semaines concernant cette tentative de prise de pouvoir par ces bureaucrates non élus et non responsables. Je m'attends à d'autres changements dans les prochains mois.
La proposition initiale consistait à modifier le RSI afin de donner à l'OMS le pouvoir de contraindre les États membres (y compris l'Australie) à suivre ses directives. En cas de refus d'obtempérer, des sanctions seraient prises par l'ONU, dont la plus probable serait la suspension du système de paiement SWIFT, ce qui empêcherait l'Australie de recevoir et d'envoyer de l'argent à l'étranger. Cela détruirait notre économie d'exportation et plongerait l'Australie dans une profonde dépression.
Cette proposition de RSI a été faite par les États-Unis et soutenue par les nations de l'AUKUS - Australie, Royaume-Uni et États-Unis. Le Canada et la Nouvelle-Zélande soutiennent également activement la proposition américaine.
Suite à une forte résistance à cette proposition, l'OMS a créé un comité de révision chargé d'examiner les modifications proposées au RSI. Le rapport de cette enquête a été cinglant et a remis en question la légalité des mesures proposées. Il y avait également une forte objection à ce que l'OMS s'éloigne de son rôle principal, qui est de fournir une assistance sanitaire aux pays qui en font la demande, pour jouer un nouveau rôle de police médicale mondiale.
Lors de l'Assemblée mondiale de la santé (AMS) de l'OMS de mai 2023, les deux mesures - l'accord sur les pandémies et les modifications du RSI (ainsi que le rapport cinglant de la commission) ont été débattues. Conformément au calendrier publié, le vote final aura lieu lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé en mai 2024.
L'Accord n'a pas beaucoup changé depuis l'AMS de mai. L'Accord est toujours une attaque directe contre la liberté parce qu'il inclut toujours :
- la vaccination forcée et les procédures médicales forcées pour les citoyens australiens,
la fermeture des frontières,
- des zones de quarantaine internes et des camps de quarantaine pour ceux qui résistent plutôt que pour ceux qui sont malades,
- des fermetures d'entreprises,
- des laissez-passer médicaux numériques pour accéder aux transports, à la nourriture et aux services gouvernementaux,
- la censure des voix de l'opposition
- des déclarations de pandémie par précaution (les urgences climatiques peuvent être utilisées pour justifier des urgences médicales pour le "bien-être" et bien d'autres choses encore).
La prise de pouvoir mondiale de l'Organisation mondiale de la santé repose sur le bluff
Quand je parle de prise de pouvoir, je n'exagère pas. Il s'agit d'un document terrifiant qui donnera à l'OMS le pouvoir d'un dictateur. Ce sera la fin des gouvernements démocratiques en Australie et dans les pays occidentaux, l'OMS ayant le pouvoir de maintenir le monde dans un état perpétuel de "guerre contre les pandémies". Les seuls bénéficiaires sont les entreprises pharmaceutiques qui financent l'OMS en échange de cette organisation financée par les mondialistes qui impose leurs vaccins, leurs pilules et leurs appareils.
Les modifications apportées au RSI ont été reformatées afin d'inclure deux ou trois formulations alternatives pour les sections auxquelles le comité de révision s'est opposé. Il est possible que l'Assemblée mondiale de la santé adopte la formulation la plus souple, qui permettrait à l'OMS de continuer à offrir des conseils médicaux non contraignants et un soutien à la demande d'un État membre. Toutefois, il est également possible que l'Assemblée mondiale de la santé vote en faveur de l'introduction du document original.
À la fin du mois de septembre 2023, l'ONU a convoqué une session spéciale afin d'ajouter le poids de l'ONU aux changements apportés à l'Accord sur les pandémies et au RSI. Cette session a été baptisée "Coordination internationale de haut niveau pour l'amélioration de la prévention, de la préparation et de l'intervention en cas de pandémie" (PPPR).
Cette session n'a pas abouti à un consensus, ce qui signifie qu'il n'y a pas eu de vote. Aussi incroyable que cela puisse paraître, un communiqué en faveur des changements a tout de même été publié. Ce n'est pas ainsi que les Nations unies sont censées fonctionner. Cette "déclaration politique" invitait l'OMS à faire progresser le RSI/accord, mais ne lui accordait pas les pouvoirs de contrainte nécessaires pour soutenir le RSI/accord.
Il est clair que l'OMS et les Nations unies ne disposent pas d'un consensus solide sur ces changements, mais qu'elles ont l'intention d'aller de l'avant malgré tout. Et ce, malgré les objections claires de leurs propres cadres supérieurs qui ont participé au comité d'examen des modifications du RSI. Il s'agit également d'une violation flagrante de la Constitution de l'OMS qui exige que l'OMS n'agisse qu'à titre consultatif.
Je continuerai à enquêter et à dénoncer le coup de force de l'OMS et j'invite tous les Australiens à s'élever contre la cession de notre souveraineté à une organisation corrompue.
Si vous ne l'avez pas encore fait, vous pouvez envoyer un courriel à vos représentants au gouvernement ici (faites défiler vers le bas pour les instructions) : L'Australie quitte l'OMS
Enfin, soyez prudent lorsque vous partagez des mises à jour sur l'OMS, la situation change constamment et vous risquez de partager des informations obsolètes. Veuillez vérifier les dernières nouvelles sur notre site web ici avant de les partager. Toutes les dernières nouvelles - Malcolm Roberts (malcolmrobertsqld.com.au)
Totalitarisme helvétique: un film documentaire de Daniel Küntzi sur le Covid
Le réalisateur Daniel Künzi est sur le point de sortir "Totalitarisme helvétique ?!" Interview exclusive en vidéo.
Les médias n’ont encore jamais laissé s’exprimer les milliers de citoyens suisses qui ont été durement punis dans le cadre des mesures Covid. Daniel Künzi, un cinéaste féru des thèmes qui dérangent, a créé cette opportunité dans son nouveau documentaire, “Totalitarisme helvétique ?!”, qui sortira prochainement.
Suite à son appel à témoignages en 2022, Daniel Künzi a pu récolter de nombreuses histoires et anecdotes entourant la répression en période Covid, que la presse a peut-être relatées mais dont les excès ont été passés sous silence : amendes corsées, licenciements ou encore brutalité policière.
Des personnalités comme le journaliste Jacques Pilet ou encore l’ancienne conseillère nationale et doyenne de la faculté de droit de l’Université de Lausanne, Suzette Sandoz, donnent également leur avis sur les événements qui ont entouré les mesures et la prise de pouvoir drastique de l’exécutif suisse sur l’ensemble de la vie en société.
La date de sortie exacte du documentaire n’est pas encore connue mais il est possible de s”inscrire sur le site du réalisateur pour être tenu informé.
Soutiens compliqués à obtenir
Côté coulisses, Daniel Künzi explique le parcours du combattant pour obtenir des soutiens. Il avait pourtant fait salle comble avec son documentaire précédent sur la paysannerie jurassienne.
La situation la plus cocasse étant probablement que des clauses de soutien contractuelles l’obligent à mettre à l’affiche de ce documentaire les logos d’institutions qui rechignent aujourd’hui à soutenir son nouvel opus, comme Cinéforum ou encore la SSR. Les droits perçus pour la diffusion télévisée de ses documentaires précédents doivent en effet être réinvestis dans de nouvelles productions.
Source et interview de Daniel Küntzi:
"Pour la démocratie sanitaire": entretien avec le Dr. Louis Fouché (Covidhub.ch)
La prudence est l'intelligence du courage.
Aristote
Le médecin et écrivain demandera à l'Ordre des médecins, qui le juge le 19 octobre 2023, un dialogue confraternel pluraliste pour diversifier et améliorer les réponses sanitaires.
Le Dr Louis Fouché, anesthésiste, a été convoqué pour le 19 octobre 2023 à Marseille par une commission disciplinaire de l’Ordre des médecins. Contrairement à d’autres confrères sanctionnés récemment, il ne souhaite pas faire le procès de l’Ordre. Il estime que cette institution est tout à fait nécessaire, pour autant qu’elle accepte les opinions contradictoires. Il veut plutôt profiter de sa comparution pour plaider en faveur d’un débat confraternel et scientifique sur les problèmes soulevés par la lutte contre le Covid depuis 2020, explique-t-il dans l’entretien vidéo qu’il a accordé à Covidhub.
Dans cet entretien, ce médecin qui questionne des politiques sanitaires menées jusqu’ici, s’exprime sur les prises de paroles publiques qui lui sont reprochées: sur les traitements interdits comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, les effets graves des «vaccins anti-Covid», ou encore la «mise en danger de la population».
Louis Fouché parle du «personnage médiatique caricaturé» que des journalistes ont fait de lui sans même lui demander son avis, et qui sans doute exerce une influence sur les médecins chargés de le juger. Il souhaite qu’un dialogue apaisé et confraternel puisse le mettre hors de cause, comme cela a été le cas pour le Pr Christian Perronne le 21 octobre 2022.
Il explique comment ce personnage créé par les médias a également contribué à dresser contre lui des mouvements écologistes dont il était très proche auparavant.
Le médecin convoqué par ses pairs commente aussi la récente radiation du Pr Henri Joyeux, privé d’exercice de la médecine durant deux ans. Que ferait-il en cas de sentence similaire? Quels mouvements, projets, prises de conscience, dialogues démocratiques autour de la santé pourraient naître d’une telle confrontation?
Louis Fouché y répond en détail dans le présente vidéo. Très serein avant l’échéance, il privilégie une «parole prudente», qui constitue «l’intelligence du courage». Alors que les coups de gueule, dit-il, n’ont aucun effet opérationnel dans le réel.
Source et lien vers la vidéo de l'entretien avec le Dr Louis Fouché: https://www.covidhub.ch/louis-fouche-democratie-sanitaire/
Sénateur Malcolm Roberts (QL, Australie): L'OMS a été achetée par des milliardaires prédateurs
Qu'est-ce qui n'a pas fonctionné ?
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a été créée en 1948 pour améliorer les résultats sanitaires dans les pays en développement. Depuis la nomination de Tedros Ghebreyesus au poste de directeur général en 2017, l'OMS a complètement changé de cap.
L'OMS est désormais un moyen de faire progresser la richesse et le pouvoir de milliardaires prédateurs comme Bill Gates, et de sociétés pharmaceutiques qui gagnent des sommes colossales grâce aux réponses sanitaires que l'OMS promeut.
Dans le même temps, son personnel n'est pas supervisé et certains se livrent à des abus sexuels sur des enfants, à des viols et à l'exploitation sexuelle. J'en ai parlé au Parlement (les liens vers ces discours figurent ci-dessous).
Aujourd'hui, l'OMS et ses bailleurs de fonds milliardaires intensifient leurs profits en promouvant de nouveaux pouvoirs qui permettront à l'OMS d'accroître l'utilisation des produits fabriqués par ces milliardaires.
Le traité proposé
En septembre 2022, les États-Unis, soutenus par l'Australie, le Royaume-Uni, le Canada et la Nouvelle-Zélande, ont proposé un traité donnant à l'OMS le pouvoir de prendre en charge les mesures sanitaires des États membres, ce qui permettrait à l'OMS d'imposer des mesures sanitaires directement aux Australiens.
Les mesures proposées comprennent la vaccination obligatoire par le biais de la détention obligatoire et de procédures médicales forcées. D'autres mesures comprennent le pouvoir d'ordonner la fermeture des frontières (y compris les frontières intérieures comme celles entre les États australiens), la fermeture des entreprises et des écoles, les passeports internationaux pour les vaccins, les restrictions sur les ventes de produits (tels que ceux qui peuvent concurrencer les produits pharmaceutiques approuvés) et bien d'autres choses encore.
Le traité élèverait également les propriétaires milliardaires de l'OMS au rang de membres à part entière en tant que "parties prenantes", ce qui signifie que Pfizer, par exemple, pourrait voter pour déclarer une urgence sanitaire et imposer les vaccins Pfizer.
Heureusement, la constitution de l'Organisation mondiale de la santé empêche son exécutif de signer ces nouveaux pouvoirs. Le seul organe habilité à modifier le règlement de l'OMS est une assemblée des 194 États membres, appelée Assemblée mondiale de la santé (AMS).
Règlement sanitaire international (RSI)
Tedros Ghebreyesus a répondu à la proposition en nommant un groupe de travail sur le RSI chargé de superviser les changements d'un point de vue procédural, et un comité d'examen du RSI composé d'éminents experts en santé de l'OMS du monde entier, chargé d'étoffer les détails proprement dits.
En décembre 2022, M. Ghebreyesus a convoqué une réunion spéciale de l'Assemblée mondiale de la santé pour adopter ces mesures. Toutefois, la résistance du bloc africain a empêché l'adoption des changements.
Il est important de comprendre que l'Assemblée mondiale de la santé ne vote pas, elle travaille sur la base du consensus. Alors que les 42 membres du bloc africain ne représentent que 24 % des membres, une mesure qui n'est soutenue que par 76 % de l'Assemblée ne fait pas l'objet d'un "consensus", de sorte que la proposition n'a pas été votée, mais reportée.
Le Comité de révision du RSI a ensuite été chargé d'affiner la proposition en vue d'une discussion lors de l'Assemblée mondiale de la santé de mai 2023, avant un vote final à l'Assemblée mondiale de la santé prévu pour mai 2024.
En janvier 2023, le Comité a initialement indiqué que les amendements visant à élever l'OMS au rang de "police sanitaire mondiale" devaient être adoptés. Toutefois, son rapport a été accueilli par une opposition si forte qu'il a immédiatement fait marche arrière.
En février 2023, la commission a publié un rapport final dans lequel elle a retiré les parties onéreuses des modifications de la réglementation qui avaient un impact sur les droits de l'homme et la dignité, pour ne conserver que les recommandations de bon sens fondées sur les enseignements tirés de l'expérience du COVID.
La commission a également souligné que la charte de l'OMS appelle explicitement l'OMS à être une organisation volontaire qui doit être invitée par les pays hôtes. Donner à l'OMS le pouvoir de contraindre est une violation directe de sa charte et devrait empêcher les changements proposés d'être adoptés.
La commission a poursuivi en déclarant que la proposition avait coûté à l'OMS une perte significative de bonne volonté et qu'elle l'éloignerait de son activité principale, à savoir l'aide à la santé.
Il s'agit de la "victoire" que j'ai mentionnée dans une vidéo au début du mois de février 2023 et qui est reprise par certaines personnes sur les médias sociaux six mois plus tard, comme s'il s'agissait d'une nouvelle d'actualité et sans le contexte que j'ai fourni. Il s'agit de tromper les gens pour obtenir des clics et des abonnements.
La seule partie qui a été laissée dans les amendements au RSI est la section qui permettait un certificat mondial de santé numérique. Toutefois, la formulation actuelle permet seulement à l'OMS de coopérer lorsque quelqu'un d'autre introduit un certificat numérique, elle ne permet pas à l'OMS d'en introduire un. C'est pourquoi l'OMS s'associe au certificat de santé numérique de l'Union européenne, que les pays du monde entier adoptent de leur propre chef.
Il faut donc bien comprendre que le combat pour le passeport sanitaire numérique n'est pas mené par l'OMS, mais par tout gouvernement national qui introduit une carte d'identité numérique ou un passeport vaccinal numérique.
L'OMS n'a pas le pouvoir d'imposer l'utilisation d'une carte d'identité numérique ou d'un passeport vaccinal, ce sont nos propres gouvernements qui s'en chargent, sous les encouragements de l'ONU, bien entendu.
L'Australie n'a pas encore annoncé ses projets. One Nation mènera une campagne vigoureuse contre toute forme de passeport numérique d'identité ou de santé si le gouvernement travailliste tente d'en introduire un.
Et maintenant ?
Les bonnes nouvelles s'arrêtent là. Nullement découragé par le changement d'avis de la commission, le lobby pharmaceutique a poursuivi ses tentatives d'utiliser la santé comme une arme contre la population. Une nouvelle proposition a été introduite - un "traité mondial sur les pandémies" qui donnerait à l'OMS les mêmes pouvoirs que ceux que sa propre commission vient de recommander de rejeter.
Le traité va en fait plus loin que les modifications du règlement en élargissant la définition de "pandémie" aux urgences sanitaires, sociales ou environnementales. Cela inclurait sans aucun doute le changement climatique et permettrait aux pouvoirs sanitaires mondiaux d'être exercés de manière permanente dans le cadre d'événements multiples.
L'autre problème du traité est qu'il entre en vigueur à la minute où il est signé. Il s'agit d'un nouveau concept, car auparavant, tout traité des Nations unies devait d'abord être ratifié par le Parlement de chaque État membre. Ce changement nous expose aux caprices de nos représentants à la mission permanente de l'Australie auprès des Nations unies.
L'évolution du traité sur les pandémies
En mai 2023, l'Assemblée mondiale de la santé (AMS) s'est réunie et a examiné les deux propositions - les modifications du règlement sanitaire international (RSI) et le traité sur les pandémies. Aucune décision n'a été prise. L'Assemblée a respecté le calendrier publié, à savoir un vote final en mai 2024.
Pour être clair, l'OMS n'a pas de nouveaux pouvoirs. Les amendements au RSI ne sont pas en vigueur, pas plus que le traité sur les pandémies. Le traité a été rebaptisé "instrument" pour lui donner une meilleure résonance, mais les pouvoirs permettant de contraindre les nations à suivre les mandats de l'OMS figurent toujours dans la proposition.
Pour ceux qui se demandent comment l'OMS pourrait nous obliger à faire quoi que ce soit, la réponse se trouve dans les sanctions. La Russie a récemment été sanctionnée par l'ONU en utilisant le système de paiement SWIFT, qui dépend de l'ONU, ce qui l'a empêchée d'effectuer ou de recevoir des paiements pour les exportations et les importations. La charte de SWIFT l'oblige à suivre les sanctions imposées par les Nations unies. L'Iran a été sanctionné de cette manière en 2012, ce qui a coûté cher à son économie.
Pour l'avenir, le Comité est rappelé pour examiner les réactions à tous les changements apportés lors de la récente Assemblée mondiale de la santé. Il reprendra ses travaux en novembre 2023. Nous pouvons nous attendre à voir un document de travail en janvier 2024 et une recommandation finale en mars 2024, qui sera ensuite décidée lors de l'Assemblée mondiale de la santé en mai 2024. Ce calendrier n'a pas changé.
Il convient également de noter que le médecin en chef de l'Australie a qualifié ce calendrier d'"ambitieux", de sorte qu'il n'y a aucune garantie que la question sera résolue dans ce délai.
Les Nations unies doivent avoir le sentiment que la proposition est confrontée à une bataille difficile, car elles ont maintenant introduit leur propre version d'un traité. À ce stade, il ne s'agit que d'un traité "cadre", qui définit la manière dont le traité proprement dit sera rédigé.
À près d'un an de l'AMS 2024, il est trop tôt pour lancer une campagne, étant donné que la proposition peut changer (et je m'attends à ce qu'elle change) lorsque le Comité reprendra ses travaux à la fin de l'année.
Pour l'instant, il est important de faire comprendre au public, aux médias et à nos représentants élus que l'OMS est un cancer corrompu qui gangrène la santé mondiale et qu'elle devrait être dissoute ou, à tout le moins, débarrassée de Tedros Ghebreyesus et de ses sbires.
One Nation s'oppose fermement à la cession de notre souveraineté nationale à une agence des Nations Unies non élue et corrompue.
N'hésitez pas à utiliser les informations contenues dans cet article et dans les vidéos ci-dessous, et à faire savoir à votre député et à votre sénateur ce que vous pensez de l'OMS et du terroriste qui en est responsable.
À propos du RSI: https://www.who.int/health-topics/international-health-regulations#tab=tab_1
Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc avec DeepL.
Lisez ici la suite de l'article (en anglais): https://www.malcolmrobertsqld.com.au/who-has-been-bought-by-predatory-billionaires/
Le Pr Joyeux réagit au «harcèlement» dont il est l’objet (Covidhub.ch)
Interdit de pratiquer, le célèbre cancérologue estime que l'Ordre des Médecins menace la déontologie médicale. Pétition adressée au ministre de la Santé.
22 septembre 2023·
Dernière mise à jour:24 septembre 2023
Après 7 ans de procédure, le professeur Henri Joyeux a été interdit de pratiquer la médecine pendant au moins deux ans par l’Ordre des Médecins le 1er septembre 2023 (voir notre article: Un célèbre médecin excommunié par l’ordre).
Les nombreux partisans du professeur jugent cette condamnation humiliante pour la médecine française et inquiétante pour notre démocratie. Elle vient dégrader un des plus éminents scientifiques, chirurgiens et cancérologues du pays.
Le Pr Joyeux estime avoir été puni d’avoir lancé des alertes sur plusieurs illégalités médicales pratiquées en France, notamment pour la sur-vaccination des petits enfants et sur les risques associés à plusieurs produits pharmaceutiques, comme leur teneur en aluminium.
• Une pétition exige du ministre de la Santé qu’il fasse appel de la décision de l’Ordre des Médecins
Le Pr Joyeux a décidé de s’exprimer suite à cette décision dans un communiqué que nous reproduisons intégralement ci-dessous :
Communiqué du Professeur Joyeux
«Ce communiqué s’adresse au grand public envers lequel nous avons des responsabilités d’information complète – comme en Belgique, selon la Loi de 2002 sur la protection des patients et en France selon l’article R.4127-35 du code de la santé publique -, qui nous impose, à nous médecins, d’informer nos patients de manière complète, pour obtenir leur consentement libre et éclairé. Il s’adresse aussi à tous mes collègues soignants.
LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ET DE PRESCRIPTION EN QUESTION
La médecine française serait-elle fragilisée ? Doit-on capituler ou résister ?
J’ai pris acte de la sanction de la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins, notifiée le 1er septembre 2023 :
« Interdiction d’exercer la médecine pendant 2 ans du 1er janvier 2024 à 0 h au 31 décembre 2025 à minuit ».
Je la respecterai. Je ne pourrai pas prescrire quand c’est nécessaire à ceux qui me font confiance, ni vacciner ceux qui me le demandent et qui en ont vraiment besoin, en considérant les risques épidémiques.
Je rappelle ce que savent tous les patients qui m’ont fait et me font encore confiance :
Pendant mon activité médicale à l’Institut du cancer de Montpellier durant 50 ans, j’ai toujours et exclusivement exercé dans le domaine public ; mes actes médicaux sont toujours restés gratuits depuis l’arrêt de mon activité de chirurgien du cancer à l’âge de 69 ans. Je serai donc empêché d’exercer mon métier de médecin pendant 2 ans.
Ma première réponse au harcèlement dont je suis l’objet (exposé ci-dessous) sortira prochainement dans mon ouvrage que vous trouverez sous peu en librairie :
PASSIONNÉMENT MÉDECIN, LE SENS D’UNE VIE
Réveille-toi, petit Homme
Ai-je commis la moindre erreur ou la moindre faute envers des patients ? Non ! Leur ai-je dissimulé des informations médicales ? Pas plus. Ai-je abusé d’ordonnances dites « de complaisance » ? Toujours pas. Ai-je escroqué la Sécurité sociale ? Certes non, mes actes médicaux sont gratuits depuis 2019 et je recommande l’allègement des ordonnances pléthoriques, dans les EHPAD notamment.
J’ai dénoncé certains abus vaccinaux et, par ce fait, je serais devenu ce que les médias appellent “un lanceur d’alerte”.
Une position imprudente car elle expose aux foudres institutionnelles. La confiance qui m’est faite est due à mon indépendance envers l’industrie pharmaceutique d’une part, envers les institutions politiques d’autre part.
Les abus vaccinaux… Qui désire recevoir une 4e dose de vaccin à ARN messager contre le coronavirus ? Pendant cette période de Covid-19, j’ai vacciné plus de 300 personnes contre le virus (certains en ayant besoin du fait de leur état de santé ; d’autres, pour raisons professionnelles) et beaucoup ont quand même développé la maladie en étant vaccinés.
Savez-vous qu’il est prévu jusqu’à 10 doses sur vos dossiers médicaux concernant la vaccination anti-Covid dès 2024 : 2 doses par an pour les plus de 65 ans et 1 dose annuelle pour tous les autres, enfants compris ? Y aurait-il des stocks vaccinaux à écouler ?
Pour le Conseil national de l’Ordre des médecins et – osons le dire – pour certains gros laboratoires pharmaceutiques, je représente le caillou dans la chaussure ! Ma voix dérange. Donc, on doit faire taire le Pr Joyeux : « Attention ! c’est un ANTIVAX, un complotiste ! », pour ne citer que les qualificatifs les plus absurdes…
En Belgique, la révolte gronde contre le Conseil de l’Ordre des médecins, la perte de confiance des médecins s’installe. Ils ne se sentent plus représentés par cette institution : « Pire que tout ce que nous aurions pu imaginer de la part de notre Ordre, censé défendre la déontologie médicale, nous constatons que vous continuez, avec acharnement, à persécuter des dizaines de nos confrères les plus consciencieux en les sanctionnant lourdement »(1).
En France, grand silence pour le moment : par prudence, pour éviter les ennuis, les sanctions du conseil de l’ordre, du département, de la région, du national…
Le débat scientifique peut déranger quand il ne va pas dans le sens d’immenses intérêts, économiques et/ou politiques.
Souvenez-vous comment a été traité mon collègue et ami le Pr Luc Montagnier (Prix Nobel), y compris par ses collègues de l’académie de médecine ! Que penser de ces attitudes ?
Liberté d’expression : entre science et conscience
La sanction émise à mon encontre touche essentiellement à la liberté d’expression d’un professeur de médecine (de deux disciplines : la cancérologie et la chirurgie digestive) à propos des abus vaccinaux. Les connaissances à propos de l’immunité et des vaccins sont indispensables à tout cancérologue (vaccins et immunothérapie).
L’État nous préparerait-il, sans preuves scientifiques sérieuses, au TOUT vaccinal contre toutes les maladies, sorte de « vaccination miraculeuse de toute la population » ?
Dès lors, le médecin n’aurait plus besoin de discerner les indications vaccinales face aux risques de telle ou telle pathologie. Le ministre décide pour vous chers collègues ! Est-ce cela que nous voulons ?
Contrairement aux discours gouvernementaux, préparés par des spécialistes de la communication, la vaccination au pays de Pasteur se discute.
Discuter, argumenter scientifiquement les avantages et les inconvénients des nouveaux vaccins fait partie de la démarche scientifique, parmi les missions d’un professeur de médecine (soigner, enseigner, chercher).
Certaines vaccinations sont nécessaires, aucun médecin sérieux ne pourrait le contester. D’autres en revanche restent discutables car elles mettent en question l’équilibre de la balance bénéfices-risques pour le patient et même pour le grand public. Le vaccin Covid19, empêche-t-il la transmission ? NON, c’est pourtant le bénéfice remarqué de tous les vaccins.
C’est ce que je nomme « les abus vaccinaux ».
Tous mes écrits – Les Vaccins, comment s’y retrouver, éd. Rocher (2016) et les lettres publiées sur mon site – démontrent l’efficacité des vaccins, et leur rôle central dans la relation médecin-patient.
Chronologie d’un harcèlement
Cette chronologie s’étale sur plus de 7 années. Elle est fastidieuse à lire – et sans doute non nécessaire pour un non-médecin –, mais fut plus pénible encore à subir. Je ne peux faire l’économie du jargon juridique car elle retrace un jeu de ping-pong invraisemblable entre les institutions elles-mêmes. Mes collègues médecins pourront se rendre compte d’une réalité inquiétante : l’acharnement des autorités de santé et l’incohérence de leurs jugements (radié-blanchi-reradié-reblanchi-suspendu, jusqu’où ?). L’unique cohérence serait-elle un but visé, atteint, réussi : écarter toute insoumission ?
Première alerte — 8 juillet 2016 : le Conseil national de l’Ordre des médecins ne supporte pas deux pétitions diffusées au grand public. Sur sa plainte, la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon me radie.
Première pétition – Non à la vaccination massive des enfants contre le papillomavirus. (Je précise que je n’ai pas changé d’avis en 2023 avec des arguments scientifiques solides référencés qui ne sont pas pris en compte par les autorités, pas plus que par les médecins du Conseil national de l’ordre). Certains enfants en auront besoin, d’autres non.
Deuxième pétition – Non à la présence de l’adjuvant aluminium qui n’appartient à aucune réaction biologique dans l’organisme humain (l’aluminium est persistant et accumulable dans différents organes dont le cerveau) dans 8 des 11 vaccins imposés par l’ÉTAT dès janvier 2018 à des nourrissons de 2 mois.
Je souligne que le vaccin ROR (contre la Rougeole, les Oreillons, la Rubéole) est un vaccin sûr. Il contient 3 virus vivants inactivés, et donc n’a pas besoin de contenir l’adjuvant d’aluminium. Il doit être fait à 1 an quand l’enfant est en pleine forme pour le recevoir, afin qu’il le supporte au mieux.
Je constate avec soulagement que vient de sortir le nouveau vaccin IMOVAX POLIO (contre la poliomyélite) qui ne contient pas d’aluminium. Il démontre qu’administrer séparément les vaccins (un vaccin contre chaque maladie) n’implique pas obligatoirement la présence de l’aluminium. On peut aussi avoir recours à un autre adjuvant plus naturel, le phosphate de calcium qui a fait ses preuves, ou encore à un adjuvant d’origine végétale.
C’est le rôle du médecin de poser l’indication de la vaccination selon l’état du patient, l’importance de l’épidémie et de sa transmission. Cette fonction médicale essentielle lui est de plus en plus retirée, il devient “contrôleur des vaccinations”, et reçoit une prime pour adhérer à cette fonction.
Sur le conseil de mon avocat, j’ai fait appel de ma radiation devant la chambre disciplinaire nationale, car l’appel suspend cette radiation. Cela n’a pas empêché certains grands médias de diffuser largement que « Le Pr Henri Joyeux est radié ». Ah la belle rigueur de certains journalistes !
J’ai continué à pratiquer mon métier de médecin sans rétribution supplémentaire aux émoluments de la retraite.
J’ai poursuivi ma mission de professeur de médecine : suivre jour après jour de très près les publications scientifiques les plus sérieuses pour informer le grand public dans tous les domaines de la prévention.
— 26 juin 2018 : la chambre disciplinaire nationale du Conseil de l’Ordre me blanchit totalement.
Après m’avoir entendu, mon avocat m’ayant parfaitement défendu, ainsi que le président du conseil de l’ordre de mon département, la chambre disciplinaire nationale a rendu son verdict : aucune accusation de la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon n’est acceptée.
La liberté d’expression, reconnue en juin 2018, ne le serait plus en septembre 2023 ?
Mais le Conseil national de l’Ordre n’a pas supporté que je sois blanchi par sa propre chambre disciplinaire. Il a porté l’affaire devant le Conseil d’État. Son but ? Faire annuler la décision. Cette décision qui n’avait retenu aucune faute envers moi.
— 3 juillet 2018 : devant le Conseil d’État (CE) en procédure accélérée
La personne, membre du CE et chargée d’exposer mon dossier, m’a présenté ainsi : « Vous connaissez tous Henri Joyeux : médecine naturelle. » Est-ce dans la précipitation qu’elle a omis – bien involontairement, à coup sûr – que j’étais d’abord médecin, professeur de cancérologie et chirurgie, prix international de cancérologie, avec à mon actif plusieurs centaines de publications nationales et internationales, et que j’avais opéré des milliers de patients dont aucun n’a eu à porter plainte contre moi ?
La présentation de mon dossier a ensuite été enveloppée d’un verbiage juridique dont le seul objectif était de casser le jugement précédent qui me blanchissait.
Le rapport était à tel point dévastateur à mon encontre que l’avocat du Conseil national de l’Ordre n’a rien eu à ajouter : le travail de sape était fait par le Conseil d’État lui-même.
La Science ne serait donc rien pour le Conseil d’État ?
Quelle confiance donner à cette institution chargée de conseiller l’État et de défendre les citoyens ? Le plus inquiétant est que je suis loin d’être le seul à connaître cette grave dérive institutionnelle.
— 24 juillet 2019 : le Conseil d’État obéissait donc au Conseil national de l’Ordre : le jugement qui a blanchi le Pr Henri Joyeux est annulé. La radiation n’a toujours pas lieu, mais je suis renvoyé par le Conseil d’État devant une nouvelle chambre disciplinaire nationale.
Nouvelle contrainte, nouvelle attente, jusqu’au 28 juin 2023…
Entre-temps :
— Avril 2022 : je publie « Refusez l’aluminium dans tous les produits de santé. Pour des vaccins sûrs et sans danger ».
Ce livre, visant à me défendre de façon rigoureuse, avec toutes les références scientifiques, était destiné à mes collègues et au grand public. Aucun média n’en a parlé, aucun collègue n’a osé l’attaquer point par point. Les juges du Conseil national de l’Ordre, tous médecins, ne s’y sont pas intéressés. J’y défendais pourtant la sécurité vaccinale.
Cet ouvrage est en total accord avec mon collègue britannique, le Pr Christopher Exley, numéro 1 expert mondial des méfaits de l’aluminium chez l’humain. Il a été exclu de son université, car il sort, lui aussi, de l’orthodoxie vaccinale internationale.
Je rappelle que l’aluminium a disparu des plus importants vaccins vétérinaires du fait de l’apparition de cancers graves (sarcomes) dans la zone de vaccination ou ailleurs dans le corps de l’animal. Pourtant, l’aluminium persiste dans les vaccins pour l’humain ! Si l’enfant développe un sarcome, cela n’a – bien sûr ! – aucun rapport avec les vaccins, affirme-t-on aux parents. Aucune recherche n’a été réalisée sur ce sujet… On parle de temporalité et pas question de chercher la causalité !
Le Conseil de l’Ordre, pourtant informé, ne s’intéresse pas au domaine scientifique : il sanctionne, suspend, interdit, impose des protocoles thérapeutiques élaborés par Big Pharma (une poignée de groupes détenant un très grand nombre de laboratoires pharmaceutiques), grâce à la connivence de certains collègues en liens d’intérêt, pour leur service hospitalier, leur labo, leur recherche (!?).
Souhaite-t-on transformer les médecins – généralistes et spécialistes – en bons soldats obéissant aveuglément ? Finie la liberté de prescription ? À quoi bon tant d’années d’études pour devenir médecin, si peu considéré désormais ?
— 18 avril 2023 : nouvelle comparution sur plainte du Conseil national pour avoir donné des conseils scientifiques et de bon sens pour la prévention de la Covid.
J’ai dû comparaître devant la chambre disciplinaire de la Région Occitanie, sur plainte du Conseil national, pour avoir donné ces conseils que le vice-président du National a considérés comme « charlatanesques » ! Attribuer ce qualificatif à un professeur de cancérologie et de chirurgie est insultant voire diffamatoire.
— 26 juin 2023 : le jugement a rejeté l’accusation du Conseil national du 18 avril 2023.
Encore une fois, harcèlement, le Conseil national ne supporte que j’aie pu être blanchi. Il a fait immédiatement appel devant la chambre nationale en ajoutant une autre plainte :
« Le professeur Henri Joyeux a soigné la Covid avec des médicaments qui n’avaient pas l’AMM dans ces indications ». Ceux de mes collègues Raoult et Perronne, les plus compétents en infectiologie… Je risque encore une fois la radiation.
En plus des vaccinés une ou plusieurs fois (plus de 300), j’ai effectivement soigné plus de 500 personnes : aucune des personnes atteintes du coronavirus n’a perdu la vie, ni dû être hospitalisée en réanimation.
— 28 juin 2023 : je comparais devant une nouvelle chambre disciplinaire nationale.
La commission est présidée par une conseillère d’État assistée de 5 collègues. Il s’agissait du renvoi du Conseil d’État qui avait cassé le jugement me blanchissant totalement en juin 2018.
Le verdict est tombé le 1er septembre 2023 : « interdiction d’exercer pendant 2 ans. »
Il me reste un recours : le pourvoi en cassation, retour devant le Conseil d’État.
Conclusion
La confiance en notre Ordre atteint ses limites.
Mes chers collègues médecins, posez-vous cette question : à quoi servent les cotisations que vous impose la loi, celles du Conseil de l’Ordre des médecins ?
En bonne partie à payer des avocats qui ont pour mission de vous faire radier en utilisant, à leur façon, de multiples articles du Code de santé publique. Médecins, vous n’avez plus la liberté de prescrire ce que votre science et votre conscience vous dictent.
Cette persécution m’a rappelé une époque trouble : le Conseil de l’Ordre des médecins a servi, pendant la Seconde Guerre mondiale, à ficher l’origine religieuse des médecins. Certains ont été interdits d’exercer et envoyés dans des camps de concentration. François Mitterrand avait proposé, en 1981, de dissoudre le Conseil national de l’ordre…
Qu’en est-il aujourd’hui de son indépendance face aux intérêts de la finance et de la politique ? Je pose la question, redoutant la réponse.
Plus récemment, le Conseil, à tous ses niveaux, a poursuivi des médecins COURAGEUX refusant d’être vaccinés ou de vacciner leurs patients contre la Covid, avec des vaccins qui ont prouvé leur faible efficacité et, plus récemment, leurs dangers.
Plusieurs collègues me conseillent le pourvoi en cassation devant le Conseil d’État.
Je ne l’envisage pas pour le moment. Je prends le temps d’y réfléchir.
Mon expérience m’a suffisamment exposé aux méandres de cette juridiction. Je ne dois pas ignorer non plus ce que cela représente comme poids pour mon budget familial.
Ce serait pourtant la seule solution pour porter le fer devant la Cour européenne des Droits de l’Homme et obtenir que la France soit condamnée pour non-respect de la liberté d’expression d’un professeur de médecine français.
Je vous laisse juge du harcèlement – un mot tristement d’actualité – dont je suis l’objet.
Pour ma part, j’ai des choses plus importantes à faire dans le temps qui me reste, à 78 ans (grâce à Dieu, en bonne forme) : informer le plus grand nombre et faire connaître les meilleurs moyens de prévention des maladies de civilisation qui ne cessent de gagner du terrain.
Si je perds mon titre de médecin pendant 2 ans, je reste professeur de médecine et tout ce qui est attaché à cette fonction.
Il en va de la LIBERTÉ D’EXPRESSION ET DE PRESCRIPTION»
Henri Joyeux
Pétition adressée au ministre de la Santé: https://www.leslignesbougent.org/petitions/non-a-la-condamnation-du-professeur-joyeux-15105/?source=LLB504580001&co_source1=TSA504590001&isBat=false&d=LABE%20ALL&sk=ZHdlcm11c0BibHVld2luLmNo&e=2c834971901061b9d0dab1c17de2b0945ea7d9160e0c09698900dfbb159e1828&j=2121204&l=140&b=12018&sid=8446938&senddate=2023-09-22
Source: https://www.covidhub.ch/pr-joyeux-reagit-harcelement/