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Le Fil d'Ariane d'un voyageur naturaliste

reiner fuellmich

Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Füllmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». 27 mai- 3 juin 2022

6 Novembre 2024 , Rédigé par Le Fil d'Ariane Publié dans #Catholicisme, #Christianisme, #Mondialisme, #Reiner Fuellmich, #Vatican, #Religion, #Mgr Carlos Maria Viganò, #Opération Coronavirus, #Forum Economique Mondial, #ONU, #OTAN, #Union Européenne, #Concile Vatican II

Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Füllmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ».  27 mai- 3 juin 2022

VOTRE EXCELLENCE, beaucoup de gens vous connaissent et vous apprécient beaucoup pour avoir été une personne sincère dans un environnement souvent peu sincère, même pendant votre service au Vatican. Vous avez servi comme diplomate de haut rang, en particulier comme Nonce apostolique, aux États-Unis, représentant le Pape dans les églises nationales. C’est un grand honneur et un grand plaisir de parler avec vous aujourd’hui. Mais avant de passer au fond et de vous interroger sur votre évaluation de la situation politique mondiale, en particulier en ce qui concerne la soi-disant crise du Coronavirus, aimeriez-vous résumer votre histoire personnelle afin que les téléspectateurs qui ne vous connaissent pas encore puissent savoir qui vous êtes ?

Tout d’abord, je voudrais vous adresser, Monsieur Reiner Füllmich, ainsi qu’à tous vos collaborateurs et collègues, mes plus cordiales salutations et ma reconnaissance pour avoir donné vie à la Commission Corona. La recherche de la vérité sur la gestion de l’urgence Covid-19 et sur l’expérimentation de masse aide à recueillir des preuves pour amener devant les tribunaux et punir les responsables. Cela constitue une contribution importante en vue de la création d’une Alliance Anti-mondialiste, car les auteurs de la farce pandémique sont les mêmes qui voudraient aujourd’hui pousser le monde vers une guerre totale et une crise énergétique permanente.

Concernant ma « carrière », je ne pense pas qu’il y ait grand-chose à dire : je suis un Archevêque catholique qui a occupé des postes de responsabilité au Vatican, à la fois à la Secrétairerie d’État du Saint-Siège et dans le Gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican, puis en tant que Nonce apostolique au Nigeria et dernièrement aux États-Unis, par la volonté de Benoît XVI. Ma notoriété – totalement non voulue – est due à mes prises de positions et à mes dénonciations concernant le scandale sexuel de l’ancien cardinal américain McCarrick et d’autres cas non moins graves impliquant de hauts représentants de la Hiérarchie. En tant que Successeur des Apôtres, je ne pouvais pas me taire face aux tentatives de dissimuler ces faits honteux par la soi-disant lavender mafia, qui bénéficie du soutien et de la protection de Bergoglio.

Vous avez une vie impressionnante, mais si l’on cherche votre nom dans les anciens médias (grand public), on trouve des articles diffamatoires vous accusant, entre autres, de diffuser de la propagande du Kremlin et de faire des affirmations déroutantes. À y regarder de plus près, cela ne nous semble pas du tout être le cas, bien au contraire : vous restez fidèle à votre réputation de personne franche, même dans les environnements où le mensonge prévaut, nonobstant cela aille à votre désavantage. Où placeriez-vous la rupture dans votre vie, où cette vertu a été réinterprétée par les anciens médias comme un défaut ? Quelle ligne rouge avez-vous franchie ; sur quelle question votre franchise est-elle devenue un danger pour le récit officiel?

Les fausses accusations sont l’un des moyens utilisés par ceux qui veulent éliminer un adversaire qu’ils craignent et auquel ils ne peuvent pas s’opposer loyalement. Dans ce cas, je suis considéré comme encombrant à la fois par les représentants de l’église profonde et par la cabale bergoglienne, dont j’ai dénoncé les scandales et les dissimulations depuis l’époque de l’affaire McCarrick. Et je suis tout autant encombrant pour l’État profond, qui a pu compter sur la complicité du Saint-Siège et de presque tout l’épiscopat mondial dans les événements de ces dernières années. La voix dissonante d’un évêque, surtout lorsqu’il formule des dénonciations argumentées et fondées sur des faits irréfutables, risque de remettre en cause le récit officiel, tant sur le prétendu renouveau de l’Église sous ce « pontificat », que sur la farce pandémique et la « vaccination » de masse. La récente crise russo-ukrainienne réunit également du même côté l’élite mondialiste, l’OTAN, l’État profond américain, l’Union européenne, le Forum Économique Mondial de Davos, toute la machine médiatique et le Vatican. L’intervention de Poutine en Ukraine est considérée comme une menace pour le Nouvel Ordre Mondial qui doit être neutralisée même au prix d’un conflit mondial.

Si je dois donc indiquer le « point de rupture » sur le front ecclésial, il a certainement coïncidé avec ma dénonciation du réseau de complicité et de scandales de clercs et de prélats corrompus que Bergoglio a délibérément et obstinément tenté de dissimuler. Sur le plan civil, il me semble que la ligne rouge a été dépassée avec mon Appel pour l’Église et pour le monde, lancé il y a deux ans [mai 2020] et avec lequel j’ai dénoncé la menace posée par le coup d’État blanc mené à travers l’urgence sanitaire. L’urgence énergétique et alimentaire, en plus de l’urgence de guerre, font toujours partie de ces « scénarios » inquiétants que le Forum Économique Mondial et l’ONU ont décrits en détail bien à l’avance. Quand, un jour prochain, un tribunal jugera ces criminels et leurs complices dans les institutions de presque tous les pays occidentaux, ces documents pourront constituer la preuve de la préméditation du plus grand coup d’État de tous les temps. Et il en sera de même pour les événements ecclésiaux, démontrant que la dérive doctrinale et morale provoquée par le Concile Vatican II a créé les prémisses nécessaires à la corruption doctrinale et morale du clergé et, avec elle, à la délégitimation de l’autorité des pasteurs. N’oublions pas que la Révolution s’est toujours appuyée sur les vices et les faiblesses de ses représentants, à la fois pour détruire l’État et pour affaiblir l’Église.

Votre Excellence, la réglementation sur la crise et la pandémie de COVID-19 entrent dans leur troisième année ; pendant ce temps, la guerre en Europe de l’Est, et surtout la guerre politique et médiatique massive, ont été ajoutées au mélange. Comment évaluez-vous cette évolution ?

Clarifions un point fondamental : la crise ukrainienne a été délibérément provoquée par l’État profond pour contraindre le monde aux reformes du Great Reset, en particulier la soi-disant « transition technologique » et le « virage vert ». C’est le deuxième niveau du coup d’État des technocrates mondialistes, après la farce pandémique.

La psychopandémie a marqué le premier niveau d’une véritable attaque lancée pour s’approprier le contrôle des gouvernements. En réalité, aujourd’hui, ils ne font qu’essayer de contourner le pouvoir politique, qui jusqu’à présent servait de toute façon de simple exécuteur d’ordres. Sous prétexte de pandémie, des systèmes de contrôle capillaire de la population ont été imposés, y compris les systèmes de traçabilité des citoyens individuels, inoculés avec le sérum génique expérimental.

Lors du Forum de Davos, Albert Bourla, PDG de Pfizer, a déclaré : « Imaginez une puce biologique incluse dans une pilule qui, lorsqu’elle est avalée et va dans l’estomac, envoie un signal. […] Imaginez les applications, la capacité de faire obéir les gens. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » (ici). Et il dit ce qui se passe parce que ce sont des technologies existantes, pas des projets fantaisistes. La présence de graphène et de nanocircuits auto-assemblant est maintenant également admise par ceux qui, il y a un an, ont désigné ceux qui ont tiré la sonnette d’alarme comme « théoriciens du complot ». La population des pays adhérant à l’Agenda 2030 est pour la plupart « vaccinée », c’est-à-dire qu’elle est génétiquement modifiée et voit son système immunitaire irréversiblement compromis. Et peut-être – comme certains avocats le dénoncent – découvrira-t-on qu’avec le sérum génique, ils ont inoculé des puces qui peuvent également contrôler les réactions des gens, interférer avec leur comportement, les rendre dociles en cas d’émeutes ou violentes s’il est nécessaire d’avoir un prétexte pour des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà du coup d’État mondial : c’est l’attaque la plus grande, la plus retentissante, la plus inouïe contre la personne humaine, contre sa liberté, contre sa conscience, contre sa volonté.

Vous pouvez bien imaginer quel risque découle de la cession à l’OMS du contrôle souverain des États sur le système de santé en cas d’urgence pandémique, lorsque ceux qui doivent décider des campagnes de vaccination et des thérapies, des mesures d’endiguement et de confinement, sont financés par les sociétés pharmaceutiques et la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise la pandémie perpétuelle et le perpétuel rappel vaccinal. Même la résolution qui devait être votée à l’OMS – et qui au moins pour l’instant a été évitée – allait dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Ne soyons donc pas surpris si, dans une tentative pitoyable de cacher les effets indésirables du sérum génique expérimental, l’OMS tire maintenant la sonnette d’alarme sur la prétendue variole des singes, dont la symptomatologie est curieusement similaire à certains des effets secondaires du « vaccin » à base d’ARNm (ici). L’OMS et l’AEM (financée à 75% par BigPharma) se sont montrées en conflit d’intérêts flagrant et totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.

Quant à la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait pu être une opération de paix pour mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone en Ukraine par des extrémistes néo-nazis a été délibérément et de manière coupable transformée en guerre. Les appels répétés de Poutine à la communauté internationale pour qu’elle respecte le Protocole de Minsk sont tombés dans l’oreille d’un sourd.

Pourquoi ? Pour la simple raison que c’était une très bonne opportunité.

Tout d’abord, pour créer une crise énergétique mondiale, avec laquelle forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives avec tout le business que cela représente. Sans crise, comment justifier la hausse du prix du gaz et du pétrole comme outil pour forcer les entreprises et les individus à la fameuse « transition écologique » pour laquelle personne n’a jamais voté et qui a été imposée par des bureaucrates soumis à l’élite ?

Deuxièmement, pour détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie mondiale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites réalités qui rendent uniques les pays d’Europe et d’Italie en particulier, sont contraintes de fermer parce que, après les catastrophes causées par les confinements et les règles de la psychopandémie, une augmentation des prix du gaz et du pétrole a été provoquée, avec une spéculation criminelle de la part du « marché » et sans que la Fédération de Russie ne prenne un sou de plus. Tout cela a été voulu par l’Union Européenne sur ordre de l’OTAN, à travers des sanctions qui ont des répercussions sur ceux qui les ont imposées. La suppression de l’économie traditionnelle n’est pas une conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle préméditée d’une mafia mondiale, par rapport à laquelle la mafia traditionnelle est un partenariat bénéfique. L’avantage de cette opération subversive revient aux multinationales qui peuvent acheter des entreprises et des biens immobiliers à des prix de faillite, et aux institutions financières qui profitent de prêts usuraires pour des millions de nouveaux pauvres. Ici aussi, les objectifs idéologiques – et infernaux – des dirigeants de l’élite utilisent la complicité des potentats économiques qui n’ont que des motifs de profit. Avec la guerre, l’industrie de la guerre et celle non moins florissante des technologies de l’information et des mercenaires ont la possibilité de conclure des accords lucratifs, avec lesquels récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour envoyer des armes et des moyens en Ukraine.

Troisièmement, la guerre en Ukraine devait permettre la dissimulation du scandale de Hunter Biden, impliqué avec la société Metabiota dans le financement de biolaboratoires dans lesquels des armes bactériologiques de masse sont produites. Le siège de l’aciérie d’Azovstal était précisément motivé par la nécessité de cacher à la fois les membres des forces étrangères de l’OTAN avec les néo-nazis d’Azov et de Pravj Sektor, ainsi que les biolaboratoires interdits par les conventions internationales, et qui auraient mené des expériences sur la population locale.

Quatrièmement, parce que le récit psychopandémique, malgré la complicité du courant dominant, n’a pas empêché la vérité de fuiter et de se propager progressivement à des secteurs de plus en plus larges de l’opinion publique. La crise en Ukraine était censée être une excellente opération de distraction de masse, pour éviter la visibilité des nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets mortels du sérum expérimental et les conséquences désastreuses des mesures prises par les États pendant l’urgence pandémique. La falsification des données est maintenant manifeste ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’essai est admise par les sociétés pharmaceutiques elles-mêmes ; la prise de conscience de l’inutilité de l’utilisation des masques et des confinements est attestée par de multiples études ; les dommages causés à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier des enfants et des personnes âgées sont incalculables, tout comme est incalculable leur impact sur les étudiants suite à la mise en place de l’enseignement à distance.  Empêcher que les gens comprennent ce qui leur a été fait, les occuper devant la télévision ou sur les médias sociaux avec de la propagande anti-russe, est le moins que ces criminels fous, responsables à la fois de la pandémie et de la crise russo-ukrainienne, puissent faire.

Si l’on considère le script de ce scénario voulu par l’élite mondialiste, on constate qu’en plus du scénario pandémique il y a d’autres scénarios non moins inquiétants, que nous voyons déjà anticipés par les médias depuis l’année dernière : la crise énergétique, non pas comme une conséquence malheureuse d’un conflit imprévisible en Ukraine, mais comme un moyen par lequel d’une part imposer l’économie verte motivée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part détruire les économies nationales, mettre en faillite des entreprises au profit des multinationales, provoquer le chômage et ainsi créer du travail sous-payé, obligeant les États à s’endetter parce qu’ils sont privés de leur souveraineté monétaire ou en tout cas en déficit perpétuel dû au seigneuriage.

L’urgence alimentaire est également dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux États-Unis et en Europe et plus généralement pour le blé et les céréales dans de nombreux pays d’Afrique ou d’Asie. Ensuite, nous découvrons que Bill Gates est le plus grand propriétaire foncier des États-Unis juste au moment où il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Bill Gates est également à la tête d’une start-up qui produit du « lait maternel artificiel » juste au moment où il y a une pénurie de lait en poudre pour les enfants aux États-Unis. Et n’oublions pas que les multinationales agricoles réussissent à imposer l’utilisation de leurs semences stériles – qui doivent être rachetées chaque année – et à interdire les semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne plus dépendre d’elles.

Ceux qui ont conçu la série de crises actuelles, dont les bases ont été posées au début des années quatre-vingt-dix avec la privatisation des entreprises publiques, ont également veillé à placer dans les gouvernements, les institutions, les organismes internationaux, à la tête des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions du monde des personnages formés et modelés par le Forum Économique Mondial à cette fin. Regardez les Premiers Ministres des principaux pays européens, du Canada, de l’Australie, la Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés par le Young Global Leaders for Tomorrow, et le fait qu’ils soient au sommet de ces pays, de l’ONU et de la Banque Mondiale devrait être plus que suffisant pour les juger tous pour subversion et haute trahison. Ceux qui ont juré d’appliquer les lois dans l’intérêt de leur nation se parjurent, quand ils doivent rendre des comptes non pas aux citoyens mais à des technocrates sans visage que personne n’a élus.

Les accusations faciles de « complot » ne tiennent plus, tout comme quiconque exprime sa perplexité face à la crise russo-ukrainienne et à sa gestion au niveau international ne peut être accusé de « collaborationnisme ».

Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir persistent à nier qu’il y a un scénario et un réalisateur, qu’il y a des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais peut-on vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde accepteraient de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, avec un énorme déploiement d’énergies et de ressources, sans avoir tout planifié en détail et même en laissant tout au hasard ? S’il agit de la sorte celui qui doit planifier l’achat d’une maison ou le démarrage d’une entreprise, pourquoi devrait-il s’agir d’un « complot » de reconnaître que pour obtenir des résultats inavouables et criminels, l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie ?

Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude à l’égard des faits actuels est similaire à celle de ceux qui se retrouvent à devoir reconstruire un puzzle de milliers de pièces, sans avoir l’image finale devant eux. Qui a conçu le puzzle mondialiste l’a fait précisément pour rendre méconnaissable ce qu’il voulait réaliser. Mais celui qui voit toute l’image ou même juste une partie considérable de celle-ci, reconnait comment les différentes pièces s’emboîtent les unes dans les autres. Et qui a vu l’image finale sait également comment interpréter les silences et les connivences des dirigeants ainsi que des partis d’opposition ; comment expliquer la complicité des médecins et des paramédicaux aux crimes commis dans les hôpitaux contre toute preuve scientifique, ou celle des évêques et des curés qui en sont venus à priver des sacrements les non-vaccinés. Lorsque de grandes zones du puzzle seront clairement visibles – et c’est ce qui se passe – les pièces restantes pourront être placées plus facilement. Et à ce moment-là, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui les manœuvrent du haut de la pyramide, prendront la fuite, pour éviter d’être lynchés.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

27 mai 2022

© Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò

Source: https://www.medias-presse.info/entretien-de-mgr-vigano-avec-lavocat-reiner-fullmich-du-comite-denquete-corona-premiere-partie-27-mai-2022/156574/

Deuxième partie

 

Dans une lettre envoyée au président américain de l’époque, Donald Trump, vous faites allusion non seulement à un « État profond » – un terme largement utilisé – mais aussi à une « Eglise profonde ». Qu’entendez-vous par là et comment ces structures pourraient-elles être liées ?

L’Eglise profonde est à l’Eglise catholique tout comme l’Etat profond est à l’Etat : les deux sont la version corrompue et pervertie de l’institution qu’ils tiennent en otage et qu’ils ont infiltrée.

Les membres de l’Eglise profonde sont d’autant plus inconnus que leur pouvoir est grand : les personnalités publiques sont presque toujours des marionnettes dociles envers ceux qui tirent les ficelles. Biden et Bergoglio sont les hommes de paille de l’idéologie qui les unit : un mélange de collectivisme maoïste, de libéralisme maçonnique et d’œcuménisme conciliaire, avec des clins d’œil à l’idéologie du genre et aux instances LGBTQ.

Il faut cependant répéter que l’Etat profond et l’Eglise profonde ne sont que les deux déclinaisons de la même coupole éversive qui s’est appropriée le pouvoir en subvertissant l’autorité et en pervertissant les fins. Dans l’ordre naturel, l’Etat a pour but la bonne gouvernance et le bien commun des citoyens : les traîtres de l’Etat profond en ont fait l’ennemi des honnêtes gens et le complice des criminels. Dans l’ordre surnaturel, l’Eglise a pour but le gouvernement des fidèles et la sanctification des âmes : les traîtres de l’Eglise profonde condamnent ceux qui préservent la Foi et la Morale et louent publiquement les hérétiques, les sodomites, les avorteurs, les usuriers, les meurtriers et les criminels. Mais que cela soit clair : si dans les projets délirants de ceux-ci il y a la destruction de l’Etat et de l’Eglise moyennant la démolition ou la corruption de ceux qui détiennent l’autorité dans l’un et dans l’autre, nous savons bien que si une nation, une culture, une langue, une civilisation peuvent aussi disparaître, dans le cas de la Sainte Eglise, la promesse de Notre Seigneur reste valable pour toujours : portæ inferi non prævalebunt adversus eam. Nous ne devons pas penser que les événements terrestres de l’Eglise doivent être jugés selon des paramètres purement humains, mais plutôt avoir la certitude que le Seigneur protégera son Eglise ut pupillam oculi.

Une objection de la part de ceux qui rejettent quelque chose en la qualifiant de conspiration est la suivante : comment est-il possible que dans presque tous les pays du monde, presque tous les politiciens participent à cette farce ? Qui pourrait avoir autant de pouvoir et d’influence pour envoyer la moitié du monde en confinement ?

L’objection à ceux qui soutiennent la théorie du complot mondial est légitime et compréhensible, parce que chacun de nous a justement été éduqué à un système partagé de valeurs et de principes que nous tenons toujours pour acquis : que le fils doit faire confiance au père ; que l’élève peut faire confiance à l’enseignant ; que le patient peut compter sur le médecin pour être soigné ; que ceux qui voient un droit violé peuvent obtenir justice d’un tribunal impartial ; que les nécessiteux peuvent espérer dans la compassion et la charité des autres ; que le citoyen a en ses dirigeants ses gardiens et protecteurs ; que les fidèles peuvent écouter avec confiance la voix des Pasteurs, comme si c’était la voix même du Christ ; que le lecteur n’est pas trompé par les agents de l’information ; que le client ne doit pas craindre d’être trompé par le commerçant, ou empoisonné par le restaurateur. Dans ce système, l’autorité du père, de l’enseignant, du médecin, du juge, du dirigeant, se réfère à l’autorité de Dieu, qui est Père, Maître, Juge et Roi. Il est évident que l’œuvre de dissolution de la société chrétienne – puisqu’elle l’est encore, même si elle n’en conserve plus que quelques traces – est motivée par la haine inextinguible de Satan contre le Christ.

Mais que se passe-t-il si, avec un travail constant de plus de deux cents ans, l’ennemi infiltre les écoles, les tribunaux, les institutions, les séminaires, les entreprises et les syndicats, et conquiert progressivement le sommet, prenant des ordres du même groupe de pouvoir qui commande tout le monde, qui fait chanter ou récompense tout le monde ? Face à l’évidence d’une telle subversion, nous ne devons pas fermer les yeux parce que cela semble incroyable de ne pas l’avoir remarqué auparavant, mais plutôt avoir le courage de reconnaître que beaucoup, trop de nos silences ont permis au conseiller municipal corrompu, au curé vicieux, au soldat malhonnête, à l’assistant ignorant, au médecin sans scrupules, à l’employé apathique de devenir parlementaire, évêque, général, professeur, ministre et de s’être ainsi rendu sensible au chantage. En fin de compte, peu commandent, et les nombreux qui obéissent le font principalement par conformisme ou pour cacher de petites mesquineries. Mais ces quelques-uns – et nous le savons par les données qu’ils diffusent eux-mêmes – ont vraiment un pouvoir exorbitant, qui augmente avec chaque nouvel adepte nommé à la tête des institutions. Ce n’est pas impossible, au contraire : c’est extrêmement simple, si l’on considère qui possède les médias, qui finance les partis politiques, qui parraine les institutions internationales, qui donne les rapports de fiabilité aux budgets des nations. Ce sont toujours les mêmes, dirigés par quelques fonds d’investissement et un nombre encore plus restreint de représentants de la haute finance usuraire. Les noms sont ceux-là, et on les connaît.

Quelques années se sont écoulées depuis que vous avez vivement critiqué le pape François pour avoir révoqué les peines prononcées contre l’ancien archevêque de Washington, Theodore McCarrick, qui est l’un des principaux accusés du scandale des abus de l’Eglise catholique aux États-Unis. Un acte honteux. En tant que critique véhément d’une approche conciliante de ce problème apparemment récurrent dabus sur mineurs, que pouvez-vous dire sur la prévalence et l’importance de ce phénomène cruel dans l’Eglise catholique et la politique occidentale ?

Après ma dénonciation de l’affaire McCarrick, j’ai essayé de montrer le lien entre la corruption morale et doctrinale, en soulignant que la crise de la foi et de la liturgie qui a suivi le Concile Vatican II ne pouvait manquer d’entraîner une subversion de la Morale chez les fidèles et dans le clergé. Parce qu’une foi déviée conduit à une morale déviée. Un hérétique ne sera jamais une personne honnête, chaste, sincère : s’il embrasse les mensonges et les erreurs dans des choses qui concernent directement la Vérité de Dieu, c’est-à-dire Dieu lui-même, d’autant plus il pourra faire sa propre morale – ce que les modernistes appellent la moralité de la situation – qui s’adapte aux circonstances.

L’erreur du Concile Vatican II, d’abord déguisée pour cacher son caractère subversif – était précisément celle de penser que nous pouvions préserver la Foi intacte dans un hyperuranium, considérant obsolète et trop difficile de demander aux fidèles de l’embrasser dans sa totalité ; et dans le domaine moral, préserver la Morale comme modèle abstrait, en laissant les catholiques choisir selon leur convenance quels principes suivre et lesquels ne pas suivre. Pour l’Eglise conciliaire, la doctrine de la divinité de Notre-Seigneur reste théoriquement valable, mais on peut accepter qu’il y ait ceux qui n’y croient pas, en émettant l’hypothèse d’un chemin – qui n’est généralement jamais entrepris – de lente conversion qui devrait conduire à embrasser tout l’enseignement catholique. De même, l’avortement ou la sodomie sont des péchés qui crient vengeance devant Dieu, mais restent des notions abstraites que les Pasteurs en premier ne demandent pas aux fidèles de suivre. Ainsi donc le voleur continue à voler en vue d’une future conversion, rassuré par le fait qu’il ne tue ni ne commet d’adultère. Ceux qui commettent l’adultère se sentent rassurés par le fait qu’ils ne battent pas leurs enfants et n’exploitent pas leurs employés. Mais ce n’est pas ce que Notre Seigneur a demandé : Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande (Jn 15, 9), a-t-il dit ; et non : vous êtes mes amis si vous choisissez en quoi m’obéir. Être catholique signifie faire un choix héroïque, par lequel nous n’adhérons pas à une association philanthropique, mais sommes incorporés par le Baptême dans le Corps mystique du Christ, et par la Grâce nous sommes faits enfants de Dieu le Père en Christ. La médiocrité n’est pas possible pour un catholique, encore moins pour un prêtre ou un évêque.

Cette attitude relâchée est révélatrice d’une vision humaine de l’Eglise qui, selon eux, devrait s’adapter dans la pastorale à la mentalité du monde, en maintenant dans le magistère l’enseignement du Christ, comme dans une sorte d’archive que personne ne consultera jamais parce qu’on le considère comme utopique et irréaliste. Une façon de faire taire la conscience en préservant le depositum fidei mais pour seconder les convoitises et le péché en légitimant les déviations doctrinales et morales.

Il est évident que pour convaincre les évêques de renoncer à l’intégrité du Magistère catholique, il fallait les corrompre dans l’âme, car un prélat vicieux – et souvent l’objet de chantage – n’ose pas demander aux autres de respecter les commandements qu’il enfreint en premier. C’est pourquoi les infiltrés de l’Eglise profonde ont éliminé ou marginalisé en quelques décennies la partie saine du clergé et de l’épiscopat, la remplaçant par des vicieux, des luxurieux, des corrompus et des hérétiques. Leur simple présence au sommet de la Hiérarchie est l’outil le plus efficace pour détruire l’Eglise de l’intérieur, tout comme l’Etat profond l’a fait dans la sphère civile : un politicien corrompu ou pouvant faire l’objet d’un chantage votera pour des lois qui légitiment la corruption et le vice, et s’il ne veut pas le faire parce qu’il a quelques scrupules moraux, il le fera, autrement ses scandales personnels seront mis en lumière.

La seule façon de sortir de ce labyrinthe infernal est une action moralisatrice de l’Autorité, qu’elle soit religieuse ou civile. Celui qui commande doit savoir que son pouvoir appartient à Dieu et qu’en l’exerçant, il doit se prévaloir de toutes les vertus requises pour la bonne gouvernance et pour atteindre le but pour lequel l’autorité est constituée. Le concept d’« autorité vicaire » était très clair jusqu’à la Révolution Française, car il était inextricablement lié à la Foi : ce fut la suppression de Dieu de la société qui a ipso facto rendu les dirigeants des tyrans potentiels, car elle les a déchargés de leur responsabilité morale devant Dieu – l’unique Seigneur et Roi – limitant la question du pouvoir à la convenance de la majorité. La même chose s’est produite dans l’Eglise, qui a préféré se réconcilier avec le monde et assumer sa mentalité profane, convaincue qu’elle pourrait survivre – elle qui est une institution divine avec une fin surnaturelle – se présentant comme une institution humaine à des fins humanitaires.

Quand les Evêques – et le Pape –  reviendront à la Foi, quand ils aimeront Dieu à nouveau tel qu’Il s’est révélé à nous et dans ce qu’Il nous a enseigné ; quand ils se rendront compte que chacun de leurs manquements, chaque erreur enseignée aux simples, chaque déviation tolérée a défiguré le visage du Christ, a déchiré sa chair dans la flagellation, a transpercé ses mains et ses pieds dans la crucifixion, et qu’à cause de cela Notre Seigneur est mort pour nous racheter, ils seront prêts à mourir pour témoigner de leur fidélité à Celui qui les a constitués en autorité. Tant qu’ils essaieront de naviguer avec la logique humaine, leur ministère sera vide, tout comme leurs églises, leurs séminaires, leurs couvents sont vides. Ils disparaîtront par extinction, tandis que les bons prêtres continueront à faire ce qui a toujours été fait pour la gloire de Dieu et la sanctification des fidèles.

Bien entendu, il n’est pas possible de fournir une évaluation médicale à cet égard. Cependant, puisque vous interprétez la crise actuelle non seulement comme une crise médicale ou politique, mais vous reconnaissez une pertinence eschatologique aux événements actuels, nous serions intéressés de savoir comment vous évaluez, de votre point de vue théologique, les injections d’ARNm, qui jouent un rôle crucial dans toute l’orchestration.

La modification de l’ADN de l’individu causée par le sérum expérimental avec une nouvelle technologie d’ARNm est peut-être l’aspect le plus alarmant de cette bataille historique. S’il y a des puissances économiques qui n’ont aucun scrupule à cibler la population mondiale pour en affaiblir le système immunitaire, provoquer des morts subites et nous rendre tous malades chroniques à qui vendre leurs concoctions ou leurs services de santé, d’autre part il y a des gens qui sont voués au mal et qui sont bien conscients de travailler pour un plan infernal, pour l’avènement de l’Antéchrist à travers la synarchie du Nouveau Ordre Mondiale.

Dans la tentative de modifier génétiquement l’homme, nous voyons portée aux extrêmes conséquences l’aversion de Satan contre la Création, et en particulier contre l’homme, qui, dans l’économie du salut, a été choisi pour être le temple de la Très Sainte Trinité, l’image de Dieu.

Dans votre lettre au président de l’époque Donald Trump, vous parlez d’une confrontation entre les forces de la lumière et les forces des ténèbres. Où en sommes-nous dans cette confrontation ? Quels sont les résultats possibles de cette lutte ? Que pouvons-nous faire, nous qui voulons défendre la lumière ?

Les événements spirituels se croisent avec les événements terrestres, l’Histoire se croise avec l’éternité de Dieu, les événements humains sont le champ de bataille dans lequel les enfants des ténèbres combattent les enfants de la Lumière : une bataille qui, pour l’humanité, a commencé avec la chute d’Adam, trompé par Satan et illusionné de pouvoir être comme Dieu. Cette tentation se répète au cours des siècles à tout homme, chaque fois que l’Ennemi tente de le persuader qu’il peut décider indépendamment de ce qui est bien et de ce qui est mal, en s’arrogeant les droits souverains du Seigneur sur les créatures. C’est la bataille qui est menée encore aujourd’hui, après des siècles de rébellion contre la Loi de Dieu et de refus de reconnaître la Seigneurie de Jésus-Christ. En fin de compte, tout revient à ce discrimen, à « celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi » (Lc 11, 14), et à notre réponse libre à l’amour de Dieu, le Créateur et Rédempteur.

Juger ces événements historiques comme une simple conspiration humaine visant le pouvoir, serait réducteur ; penser que tous les partisans de la Grande Réinitialisation sont des adorateurs convaincus de Satan est une exagération. Mais précisément à cause de notre faiblesse, toute humaine, non seulement en accomplissant le bien, mais aussi en faisant le mal, nous pouvons pousser le Seigneur à la miséricorde, de sorte qu’Il confonde les desseins des méchants ne leur permettant pas de réaliser leurs projets. Les bons sont désorganisés, divisés, querelleurs ; les méchants très bien organisés, unis et toujours unis adversus Dominum, et adversus Christum ejus. Mais les bons, s’ils comprennent la dimension spirituelle de cet affrontement historique et décident de prendre parti sous les bannières du Christ Roi, pourront remporter la victoire avec Lui et voir les ennemis communs vaincus.

Permettez-moi de conclure cet entretien en vous remerciant, Maître Füllmich, de m’avoir donné l’occasion d’exprimer ma pensée sur ces questions importantes. Je souhaite à tous les membres de la Commission Corona et à tous ceux qui, dans chaque pays, combattent le Léviathan mondialiste d’être en mesure d’obtenir les résultats souhaités. Je vous bénis cordialement.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

3 juin 2022

© Traduction pour MPI de F. de Villasmundo relue et corrigée par Mgr Viganò

Source: https://www.medias-presse.info/entretien-de-mgr-vigano-avec-lavocat-reiner-fullmich-du-comite-denquete-corona-seconde-partie/156965/

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Paul Craig Roberts: La "démocratie" française instaure la tyrannie médicale

19 Février 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Forum Economique Mondial, #France, #Mondialisme, #Opération Coronavirus, #Santé, #Politique, #Reiner Fuellmich, #Paul Craig Roberts

Paul Craig Roberts: La "démocratie" française instaure la tyrannie médicale

18 février 2024

La "démocratie" française instaure la tyrannie médicale

Paul Craig Roberts

Le professeur Michel Chossudovsky, directeur de Global Research, a examiné la nouvelle loi française qui définit la dissidence par rapport aux récits médicaux officiels comme une "dérive sectaire" et criminalise la dissidence par rapport aux récits médicaux, tels que "le vaccin ARNm est sûr et efficace".  

La loi crée également un nouveau délit appelé "provocation à l'abstention de soins médicaux".  Un citoyen français se rend coupable d'un délit s'il refuse un vaccin ou un traitement médical prescrit par les autorités.  Si la loi avait été en vigueur lors de la campagne de vaccination de masse avec le "vaccin" mortel à ARNm, tous ceux qui auraient refusé auraient été condamnés à trois ans d'emprisonnement et à une amende de 45 000 euros. Cette loi garantit que la prochaine fois, tout le monde recevra le "vaccin", car si vous refusez, vous serez emprisonné et le règlement de la prison exigera que vous soyez "vacciné".  

La nouvelle loi protège également les sociétés pharmaceutiques de toute responsabilité pour les décès et les dommages sanitaires causés par leurs mensonges en criminalisant les citoyens français - y compris les médecins et les scientifiques médicaux - qui s'élèvent contre les "vaccins" Covid-19.  Cela démontre le pouvoir de Big Pharma sur la démocratie, qui, avec ce coup mortel porté à la liberté d'expression et aux faits médicaux, n'existe plus en France.

Voici le compte rendu du professeur Chossudovsky :

https://www.globalresearch.ca/frances-draft-law-citizens-who-speak-out-against-the-covid-19-vaccine-3-years-prison-and-e45000-fine/5849818

Il s'agit d'un fait très grave.  Il s'agit d'un acte officiel d'une prétendue "démocratie occidentale" qui criminalise la vérité.  Par exemple, les scientifiques médicaux français qui découvrent que les "vaccins" à ARNm entraînent des décès et des atteintes à la santé seront emprisonnés s'ils font état de leurs découvertes.  La nouvelle loi française retire la détermination des faits médicaux des mains des scientifiques médicaux.  Le "fait" est désormais celui que les représentants de Big Pharma, payés par les politiciens et les "autorités" médicales, déclarent être.

Un phénomène similaire s'est produit en Allemagne.  L'éminent avocat allemand Reiner Fuellmich était sur le point de déposer une plainte soutenue par des milliers de médecins et d'avocats contre les fabricants d'ARNm lorsqu'il a été kidnappé par l'État allemand et emprisonné en Allemagne où il est actuellement jugé sur la base d'accusations forgées de toutes pièces par ce qui semble être des "témoins" rémunérés.

Ce n'est pas ainsi que fonctionnent les démocraties.  Comme je l'ai écrit à maintes reprises, les pays occidentaux ont cessé d'être des démocraties.  Les peuples n'ont pas voix au chapitre.  Les pays sont gouvernés par les programmes des élites et des entreprises puissantes qui ont les moyens d'acheter les lois qui servent leurs programmes et leurs intérêts.  Les personnes qui se présentent aux élections sont celles qui sont approuvées par ces élites.  Trump était l'exception, et regardez ce qui lui est arrivé.  L'élite dirigeante a fait valoir son point de vue : "Traversez-nous et nous vous détruirons."

Les gouvernements occidentaux servent, aux dépens du peuple, les intérêts matériels des puissants et des idéologies telles que la "Grande Réinitialisation" du Forum économique mondial.  Les gouvernements néerlandais et irlandais dépossèdent, au nom du "réchauffement climatique", les agriculteurs de leurs troupeaux de moutons et de bovins, faisant ainsi grimper les prix des denrées alimentaires en réduisant l'offre de viande, de lait, de beurre et de fromage, tout en autorisant l'entrée de hordes d'immigrants-envahisseurs dont les peuples sont contraints d'assumer le soutien.  Aujourd'hui, une "démocratie occidentale" est une institution qui oblige les citoyens à soutenir des intérêts qui ne sont pas les leurs.

Nous assistons maintenant, avec la nouvelle loi française, avec l'enlèvement de Reiner Fuellmich par le gouvernement allemand, avec la persécution américaine des scientifiques médicaux qui ont signalé en toute sincérité le danger de l'ARNm, avec les mises en accusation staliniennes du président Trump, et avec des médias qui ne servent plus de chiens de garde du gouvernement mais de ministères de propagande pour les mensonges du gouvernement, à la légalisation et à l'institutionnalisation de la tyrannie qui a supplanté la démocratie dans le monde occidental.

Une grande partie des peuples occidentaux sont tellement endoctrinés et soumis à un lavage de cerveau qu'ils ne voient pas ce qui se passe.  En outre, les pays occidentaux ayant été transformés en tours de Babel, il n'y a pas d'unité sociale, ce qui rend impossible de s'opposer à la tyrannie, car certains des divers éléments considèrent que la tyrannie est utile pour supprimer les opposants politiques et idéologiques.  Aux États-Unis, la politique démocrate d'ouverture des frontières aux "personnes de couleur", mais pas aux Blancs, dépossède les Américains de leur propre pays.  Malgré l'opposition de l'opinion publique à cette politique, elle est passée à la vitesse supérieure avec, selon les chiffres officiels, l'entrée chaque année d'immigrants envahisseurs en nombre équivalent à 12 villes de la taille de Pittsburgh, en Pennsylvanie.  Il ne fait aucun doute que l'objectif est de remplacer la population blanche américaine, qui est impuissante à faire quoi que ce soit.

Pendant ce temps, les gouvernements occidentaux fomentent des guerres avec la Russie, la Chine et l'Iran et s'attendent à ce que les citoyens démoralisés qu'ils dépossèdent fournissent l'armée.

Le Kremlin comprend-il que son programme de dénazification ne peut se limiter à l'Ukraine mais doit s'appliquer à l'ensemble du monde occidental ?

Traduit de l'américain par Rouge et Blanc avec DeepL.

Source: https://www.paulcraigroberts.org/2024/02/18/french-democracy-establishes-medical-tyranny/

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Paul Craig Roberts: Les grandes sociétés pharmaceutiques peuvent-elles être tenues pour responsables ?

11 Janvier 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Paul Craig Roberts, #Lysenko, #Monarchie, #Médecine, #Opération Coronavirus, #Reiner Fuellmich, #Palestine

10 janvier 2024

Les grandes sociétés pharmaceutiques peuvent-elles être tenues pour responsables ?

Paul Craig Roberts

En 1935, Trofim Lysenko, un agronome frauduleux, a pris le contrôle de la génétique et de l'agronomie soviétiques et a détruit la science à l'aide d'explications politiques et idéologiques. La biologie étant dominée par Lysenko, les principes de la génétique classique de Mendel ont été bannis et les vrais scientifiques ont subi une répression politique.  

L'affaire Lysenko illustre mon point de vue selon lequel, sans vérité, il ne peut y avoir de science ni d'érudition.

Tony Fauci et ses marionnettistes ont introduit leur propre forme de lysenkisme avec la campagne Covid.  Les scientifiques indépendants ont rapidement compris que le virus était fabriqué en laboratoire et que le "vaccin" était plus dangereux que le virus.  Les éminents scientifiques qui ont tiré la sonnette d'alarme ont été réprimés, déplacés, licenciés, poursuivis en justice et privés de leur licence médicale.  Big Pharma était un Lysenko des temps modernes, et la grande partie de la profession médicale sous le contrôle de Big Pharma a discrédité d'éminents scientifiques en les qualifiant de diffuseurs de désinformation.  Les médias inutiles n'ont pas mené d'enquête.

La clinique de Cleveland a montré que le "vaccin" facilite en fait l'acquisition du virus, et la surmortalité consécutive à la vaccination de masse démontre le pouvoir de destruction et d'atteinte à la santé des "vaccins" à ARNm de Covid.

Les professeurs Angus Dalgleish et Paul Goddard viennent de publier un livre intitulé The Death of Science (La mort de la science).  Big Pharma a pris le contrôle des agences de régulation telles que la FDA, le NIH, le CDC, et contrôle, grâce à des subventions de recherche, les résultats publiés dans les revues médicales et les programmes des écoles de médecine.  La fraude est bien plus importante que celle imposée par Lysenko.

Nous risquons de perdre complètement la science médicale car les jeunes qui entrent dans la profession sont endoctrinés par Big Pharma.  Lorsque les générations plus anciennes, telles que Dalgleish et Goddard, disparaîtront, il n'y aura plus personne pour les remplacer. La science médicale mourra avec eux.

Le Congrès et les facultés de médecine ne peuvent rien y faire, car ils dépendent tous deux de l'argent de Big Pharma.  

Voici une interview du Dr Dalgleish - https://www.youtube.com/watch?v=us4N4KL7VkI

Les scientifiques ne sont pas toujours aptes à s'adresser au public.  Si vous avez des doutes sur le fait qu'une fraude mondiale mortelle a été perpétrée au service d'agendas privés, lisez The Death of Science (La mort de la science).

C'est mon seul message pour aujourd'hui.  En raison de son importance, je ne souhaite pas vous distraire avec de multiples offres.  Le Dr Reiner Fuellmich, un avocat international de renommée mondiale qui menait une action organisée pour demander des comptes aux grandes sociétés pharmaceutiques, est détenu dans une prison allemande sur la base de fausses accusations orchestrées pour mettre un terme à une campagne qui était sur le point d'être couronnée de succès. 

En d'autres termes, il n'y a pas plus de responsabilité pour les meurtres de masse de Big Pharma que pour les meurtres de masse de Palestiniens par Israël.  Lorsque les meurtriers de masse ne peuvent être tenus pour responsables, quelles sont les perspectives pour l'humanité ?

Traduit de l'américain par Rouge et Blanc avec DeepL.

Source: https://www.paulcraigroberts.org/2024/01/10/can-big-pharma-be-held-accountable/

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Paul Craig Roberts: La vérité devient-elle sans valeur ?

8 Décembre 2023 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Politique, #Paul Craig Roberts, #Julian Assange, #Reiner Fuellmich, #Désinformation, #Mondialisme, #Barry Young, #Nouvelle-Zélande, #Aotearoa, #Opération Coronavirus

Paul Craig Roberts: La vérité devient-elle sans valeur ?

8 Décembre 2023

La vérité devient-elle sans valeur ?

Paul Craig Roberts

Dans les années 1940 et 1950, les États-Unis étaient bien mieux qu'aujourd'hui. La population était homogène et, par conséquent, la cohésion sociale était bien plus grande. Les enfants pré-pubères, et tous les autres, étaient bien plus libres qu'aujourd'hui. Les jours de week-end, nous disparaissions toute la journée à vélo. Il n'y avait pas de téléphone portable pour communiquer avec nous. Nous faisions même du vélo la nuit pour assister aux matchs de baseball des Atlanta Crackers. Nos vélos étaient toujours là à la fin du match, et nous rentrions à vélo sans être enlevés et vendus pour la prostitution enfantine. Nos parents n'avaient aucune raison de s'inquiéter pour nous.

Pour nous faire de l'argent de poche et nous constituer une épargne, nous faisions la tournée des journaux. Après l'école, nous livrions le journal d'Atlanta aux maisons voisines. L'Atlanta Constitution était le journal du matin, livré avant ou au moment du réveil. C'était le journal du petit-déjeuner que les hommes lisaient avant d'aller travailler. Ce journal était livré par des adultes. Mais le dimanche, les journaux étaient combinés, et ils étaient lourds. Nous, les enfants pré-pubères, devions nous lever à 4 heures du matin, récupérer nos lourds journaux - si vous les mettiez dans le panier avant sans stabiliser le vélo, celui-ci se renversait - et après les avoir livrés, rentrer à la maison pour nous préparer à l'école du dimanche à l'église.

Le vendredi soir, vous frappiez à la porte de vos clients et collectiez 25 cents, soit un quart de dollar, pour la livraison de la semaine. Pour réduire le travail de collecte, nous nous efforcions de convertir les payeurs hebdomadaires en payeurs mensuels, ce qui représentait un dollar. C'était difficile, car un dollar était de l'argent réel, pas comme aujourd'hui. Le fait est que personne ne s'inquiétait de voir des enfants pré-pubères livrer des journaux tôt le matin, à la tombée de la nuit, ou collecter des fonds auprès de leurs clients le soir.

Nous avons été élevés avec l'obligation de dire la vérité. Une personne qui mentait était trop répréhensible pour être associée ou pour faire des affaires avec elle. Cette norme, si elle était appliquée aujourd'hui, éliminerait la totalité de la presse écrite et des médias télévisés occidentaux, la NPR, la BBC et tout le reste du ministère de la propagande, ainsi que tous les gouvernements occidentaux et un grand pourcentage des facultés universitaires, des administrateurs, des fonctionnaires et des enseignants des écoles publiques, qui mentent tous pour faire avancer des programmes maléfiques, tels que la diabolisation des gentils Blancs, la perversion sexuelle, le transgendérisme et la guerre.

Aujourd'hui, l'invasion de la vérité a atteint un point tel que le génocide du peuple palestinien par l'Israël sioniste est décrit comme le droit d'Israël à l'autodéfense, que le sauvetage des Russes du Donbass par la Russie est considéré comme une invasion de l'Ukraine et que la souveraineté nationale est qualifiée de fasciste et de raciste.

En Amérique et dans ses États fantoches occidentaux, il n'y a pas aujourd'hui de plus grand crime que d'être un diseur de vérité. En dépit de l'habeas corpus et des droits de la défense consacrés par le droit britannique et la Constitution américaine, Julian Assange est détenu illégalement depuis dix ans pour avoir dit la vérité. Reiner Fuellmich, l'avocat allemand qui était sur le point de porter plainte contre les laboratoires pharmaceutiques pour les décès et les blessures causés par le "vaccin" Covid, a été enlevé au Mexique par le gouvernement allemand et placé à l'isolement en Allemagne sur la base d'accusations manifestement fausses afin d'empêcher le procès. Barry Young*, l'administrateur néo-zélandais de la base de données Covid qui a publié les données officielles montrant que le prétendu "vaccin" était mortel, a été arrêté pour avoir révélé la vérité*.

Assurez-vous de bien comprendre ce que je vous dis. Ceux qui vous disent la vérité sont arrêtés et traités pire que des meurtriers de masse. Le meurtre n'est pas une menace pour les dirigeants corrompus, mais la vérité l'est.

Tous ceux qui disent la vérité ont une cible dans le dos, moi y compris. Pour avoir rapporté avec précision les espoirs de réconciliation de Poutine avec Washington, j'ai été qualifié d'"agent de Poutine/dupe".

Ce n'était que le début. George Soros, qui, selon Elon Musk, "semble ne vouloir rien de moins que la destruction de la civilisation occidentale", finance des "fact checkers" et des sites de "vérification", dont le but est de discréditer ceux qui disent la vérité. Le Département d'État, le FBI, la CIA, le Mossad et toutes sortes d'agences gouvernementales et d'organisations officielles en Occident font des heures supplémentaires pour discréditer ceux qui disent la vérité.

Wikipédia m'a qualifié d'"antisémite" pour avoir cité l'historien David Irving, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, dans une critique de livre. Un site web de suppression de la vérité, NewsGuard, financé par qui, décrit mon site web, qui est lu dans tous les pays du monde, comme "un site web conspirationniste qui publie régulièrement des faussetés sur les élections américaines, la pandémie de COVID-19, la guerre Russie-Ukraine et d'autres sujets".

Il est extraordinaire qu'après m'avoir décrit comme un artiste de la désinformation, NewsGuard me décrive avec précision comme secrétaire adjoint du Trésor américain, une nomination présidentielle qui nécessite la confirmation du Sénat américain pour entrer en fonction, comme rédacteur du Wall Street Journal, comme auteur de livres publiés par Harvard University Press et Oxford University Press, des éditeurs très prestigieux qui exigent de la crédibilité de la part de leurs auteurs évalués par des pairs.

Me voici donc, avec de nombreuses habilitations de sécurité top secrètes depuis de nombreuses années, confirmé dans une nomination présidentielle par le Sénat américain, rédacteur au Wall Street Journal, chroniqueur au Business Week depuis une douzaine d'années ou plus, universitaire à l'université de Stanford et occupant depuis une douzaine d'années la chaire William E. Simon d'économie politique au Centre d'études stratégiques et internationales de l'université de Georgetown, et toutes ces institutions de premier plan m'ont désigné comme un "théoricien de la conspiration".

J'ai reçu la Légion d'honneur française décernée par le président français Mitterrand, le prix du Trésor américain pour services méritoires, la médaille d'argent du Trésor américain, le prix international du journalisme décerné par le Club de la presse de Mexico.  Je figure dans le Who's Who In America et le Who's Who in the World depuis des décennies.  J'ai reçu le prix du Who's Who in America pour l'ensemble de ma carrière. J'ai siégé au conseil d'administration d'institutions financières et industrielles de plusieurs milliards de dollars.  J'ai été conseiller auprès de J.P. Morgan Guaranty Trust et d'autres grands gestionnaires de fonds. J'ai reçu un nombre incalculable d'approbations de la part d'Américains éminents. Et une organisation lamentable et non vérifiée appelée NewsGuard déclare que l'ensemble de l'establishment journalistique, universitaire, commercial et politique a nommé un "théoricien de la conspiration" aux postes les plus élevés de la société.

Non, je ne me vante pas. Je souligne que NewsGuard n'a pas honte. L'organisation déclare qu'un diseur de vérité qui a reçu les plus grands honneurs est un menteur.

Tous les intérêts corrompus, maléfiques et matériels ont de l'argent pour diaboliser la vérité. NewsGuard est l'un de leurs agents. Il s'agit de personnes dépourvues d'intégrité, mais ce type de sites est abondant en ligne et, compte tenu de l'insouciance du peuple américain, ces sites pourraient avoir plus d'influence que les diseurs de vérité.

Cela soulève des questions : la vérité peut-elle prévaloir lorsque l'argent sans fin peut la faire taire ? La vérité peut-elle survivre lorsque les gens montrent peu d'intérêt à soutenir la vérité et ceux qui la disent ?

Si vous regardez objectivement et les yeux ouverts les informations et l'endoctrinement qui passe pour de l'éducation, vous verrez que vous vivez dans un monde de mensonges construits par des récits officiels. Dans l'ensemble du monde occidental, les pouvoirs de police sont utilisés pour faire respecter les récits officiels, qui sont tous des mensonges.

Pensez à ce que cela signifie pour la science et l'érudition, lorsque les manipulateurs payés par Big Pharma peuvent faire taire et discréditer des scientifiques indépendants et honnêtes, lorsque les éducateurs peuvent transformer la fiction en faits et les faits en mensonges, lorsque nous vivons dans le monde d'Orwell où le Newspeak et le Doublethink prévalent : "La guerre, c'est la paix", "La liberté, c'est l'esclavage", "L'ignorance, c'est la force".

Beaucoup interprètent 1984 comme une mise en garde contre le stalinisme et le nazisme, mais George Orwell prédisait l'avenir du monde occidental. Cet avenir est déjà là.

Restez avec moi ou vous découvrirez bientôt que vous ne pouvez pas rester debout du tout.

Traduit de l'américain par Rouge et Blanc avec DeepL;

Source: https://www.paulcraigroberts.org/2023/12/08/is-truth-becoming-valueless/

* Barry Young, un statisticien qui a lancé l’alerte sur les lots mortels de Pfizer en Nouvelle-Zélande, a été arrêté lors d’un raid policier à son domicile, dimanche dernier. Employé au ministère de la santé, il avait révélé l’existence de lots mortels du vaccin Pfizer dans une interview explosive à sa compatriote Liz Gunn https://rumble.com/v3ynskd-operation-m.o.a.r-mother-of-all-revelations.html . Données à l’appui, l’expert avait affirmé “qu’il n’y  a aucune chance que ce vaccin ne soit pas mortel”. Conscient de la gravité de ses déclarations, l’homme qui risque sept ans de peine, a déclaré agir par devoir de conscience.

Source: https://www.covidhub.ch/nouvelle-zelande-fonctionnaire-arrete/

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