religion
Gandhi: la Vérité
Pour moi, la Vérité est le principe souverain, qui inclut de nombreux autres principes. Cette vérité n'est pas seulement la véracité des mots, mais aussi la véracité des pensées, et pas seulement la vérité relative de notre conception, mais la Vérité Absolue, le principe Éternel, c'est-à-dire Dieu. Il existe d'innombrables définitions de Dieu, car ses manifestations sont innombrables. Elles me remplissent d'émerveillement et d'admiration et m'étourdissent un instant. Mais je n'adore Dieu qu'en tant que Vérité. Je ne l'ai pas encore trouvé, mais je le cherche. Je suis prêt à sacrifier les choses qui me sont les plus chères pour poursuivre cette quête. Même si le sacrifice exigé est ma vie même, j'espère être prêt à le donner.
Mais tant que je n'ai pas réalisé cette Vérité Absolue, je dois m'en tenir à la vérité relative telle que je l'ai conçue. Cette vérité relative doit, en attendant, être mon phare, mon bouclier et ma cuirasse. Bien que ce chemin soit droit, étroit et tranchant comme le fil du rasoir, il a été pour moi le plus rapide et le plus facile. Même mes bévues himalayennes m'ont semblé insignifiantes parce que je me suis tenu strictement à ce chemin. En effet, le chemin m'a permis d'éviter le chagrin, et j'ai avancé selon ma lumière. Souvent, au cours de ma progression, j'ai eu de faibles aperçus de la Vérité Absolue, Dieu, et je suis de plus en plus convaincu que Lui seul est réel et que tout le reste est irréel.
Gandhi, Introduction à l'autobiographie, (1966), p. 11.
Traduit de l'anglais par Sudarshan
Pierre Dortiguier: La franc-maçonnerie
« Issa (Jésus), Fils de Marie, a dit: "Ce monde est un pont. Passez dessus, mais n'y construisez pas de maisons. Celui qui espère une heure peut espérer l'éternité. Le monde ne dure qu'une heure. Consacrez-la à la prière, car le monde est invisible. »
Empereur moghol Akbar le Grand (1556-1605).
Paroles gravées en persan sur la porte Buland Darwaze, à Fatehpur Sikri (Agra, Uttar Pradesh, India).
Pierre Michel Dortiguier est né le 24 mai 1941 à Toulouse. Il a obtenu ses titres d’enseignement à l’ancienne Sorbonne et étudié la philosophie austro-allemande antipositiviste de Christian Ehrenfels aux archives de Graz, et à Vienne. Il s’est opposé inflexiblement à la décadence provoquée par la révolution libertaire de 1968 dans la culture française. En réaction à ce séisme dévastateur, il publia, avec l’assentiment du général de Gaulle, qui lui apprit que son propre père avait été professeur aussi de philosophie, des morceaux choisis ; rédigea des articles dans la Revue des deux Mondes et aux éditions L'Âge d’Homme. Il est depuis dix ans consultant à radio Téhéran. Son présent livre est une apologie de Wagner et de Schopenhauer, et comme ce dernier une ligne de résistance acharnée sur un front allant de Platon à Kant, comprenant Voltaire, brandissant le drapeau de la régénérescence nécessaire à la survie. Il voit en Nietzsche un égaré dans ce combat, dont la réputation est surfaite, un arbre qui cache la forêt allemande de la philosophie.
Consulter aussi:
Dortiguier contre Nietzsche par Paul-Éric Blanrue
http://www.lelibrepenseur.org/dortiguier-contre-nietzsche-par-paul-eric-blanrue/
Annwn/Livresdefemmes: Signification du "Vendredi"
Souvenons-nous que, suivant l’ancienne Loi qui régnait aussi bien chez les Celtes que chez les Israélites, le mot « AGAPE » désignait les réunions données le 7ème jour. Ce 7ème jour était un temps de repos ; c’était un jour CONSACRÉ, c’est-à-dire donné aux unions.
Cette consécration du 7ème jour laissé aux divertissements, aux agapes et au sacrifice eucharistique, a joué un grand rôle dans le premier culte, puisqu’elle a été imitée et parodiée par toutes les religions.
A propos des festins du vendredi et des noces qui étaient les agapes des Mystères, dans son ouvrage, « La République des Champs Elysées », Charles Joseph de Grave montre comment cette fête religieuse entra dans les mœurs : « Après avoir consacré les six premiers jours à des travaux et des devoirs, les législateurs ont proclamé le septième jour « libre ». « Vrydag », nom du vendredi, signifie « libre jour » (en allemand « Freytag », en anglais « Friday »). Le 7e jour était destiné à la célébration des noces. Sous ce rapport, l’amour présidait aussi à ce jour. C’est de là que le mot Vry a donné naissance au verbe Vryen (en Néerlandais) qui, dans l’usage du peuple moderne, signifie « faire l’amour ». Et on donne aussi le nom de « frayer », Vryen, à « l’amour des poissons ».
Le vendredi s’exprime en latin par le mot « dies Veneris », « jour de Vénus », « jour de la Femme » car « Vénus » à la signification de Femme. Alors, sans doute, Femme Divine. Notons à propos de « dies Veneris », devenu « vendre-di », que « Port-Vendres », cette ville située au pied des Pyrénées orientales, s’appelait autrefois « Portus Veneris » : le port de Vénus.
On a jeté tant de défaveur sur le vendredi, qu’il en est résulté un préjugé singulier contre ce jour, préjugé qui se soutient encore par l’effet d’une tradition sourde, quoiqu’on en ait perdu la raison. Dans l’opinion vulgaire, le vendredi est devenu un jour funeste et de mauvais augure. Et le vendredi, « jour de Vénus », a été remplacé par le dimanche, « jour du Seigneur ». Toujours la substitution des sexes accompagnée du renversement des idées. L’ancienne Loi donnait un jour sur sept à l’union ; la loi masculine fera du dimanche un jour d’abstinence et donnera à la licence masculine six jours sur sept.
Les relations sexuelles n’ayant plus été réglementées par LA RELIGION, la licence masculine, dès lors, entraîna un accroissement anarchique de la population mondiale. Ainsi, en cette fin de Cycle, l’explosion démographique planétaire inédite du XXème siècle a vu la population mondiale multipliée par 2,4, et passée de 2.5 milliards d’habitants en 1950, à 6 milliards en 1999 ; elle est de plus de 8 milliards en 2023.
Robert McNamara, ancien secrétaire d’État à la Défense des États-Unis d’Amérique (celui qui ordonna le bombardement massif du Vietnam) et ancien président de la Banque Mondiale (qui imposa aux pays dits « en voie de développement » l’utilisation de moyens contraceptifs comme condition sine qua non pour obtenir des aides financières), membre également du « Council on Foreign Relations » (CFR), de la Commission « Trilatérale », du « groupe Bilderberg » et du « Lucis Trust », puissante association reconnue par l’ONU, et dont dépendent les mouvements pseudo spiritualistes du « New Age », déclarera : « On doit prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations… Pour réduire la population terrestre il faut augmenter le nombre de décès et diminuer le nombre de naissances… Cela aura lieu, soit par le biais de mesures humaines soit par un coup d’arrêt malthusien ».
Ainsi se développera, s’intensifiera et se banalisera l’usage des contraceptifs, des avortements, de la stérilisation et peut-être, bientôt, de l’euthanasie. Et pourquoi ne pas, dans le même temps, augmenter la souffrance des gens et les pousser au désespoir et au suicide, encourager la sodomie, défendre la pédophilie, provoquer des famines, des épidémies, voire même des pandémies fictives qui justifieraient un empoisonnement médical « scientifiquement correct », ou bien encore, comme tous les grands « bouchers » de l’histoire, déclencher des guerres ici où là, des conflits mondiaux… nucléaires… apocalyptiques ?
Aussi, pour ce genre d’individu, la société c’est le malheur, c’est la misère, le néant, la mort ; ils la veulent ainsi.
Nous, nous la voulons autrement. Nous voulons la vie et tout l’épanouissement de l’être.
On le voit, le mystère de la Chute a une importance capitale, c’est le nœud de notre condition qui prend ses replis et ses retours dans cet abîme.
NB : Aucune question ne présente un aussi grand intérêt que l’étude comparée de la psychologie de l’homme et de la femme. C’est dans cette étude que l’on trouve l’origine de la discorde ou des malentendus qui règnent trop souvent entre les deux sexes et gâtent l’existence. L’homme ne connait pas la femme dans sa physiologie et dans sa psychologie, c’est pourquoi, souvent, il la blesse sans le savoir et sans le vouloir ; la femme ignore également la nature intime de l’homme et la conduite qu’elle tient à son égard, croyant bien faire, est souvent la cause réelle de tous les maux dont ils souffrent l’un et l’autre. Il est donc de la plus grande utilité de faire connaître à tous les bases scientifiques de la « Loi des sexes », et de répandre le plus de lumière possible sur cette question qui est appelée à servir de base à la vraie morale.
LIEN :
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/psychologieetloidessexes.html
NDLR: Ce texte a été publié en commentaire ici: