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Paul Craig Roberts: Les taux de décès et les blessures de santé en hausse causés par le COVID-19 ne peuvent plus être couverts
3 décembre 2024
Les taux de décès et les blessures de santé en hausse causés par le COVID-19 ne peuvent plus être couverts
Paul Craig Roberts
L’Irlande se joint à une initiative internationale de 11 États appelant à la suspension des vaccins à ARNm mod, invoquant de graves préoccupations sanitaires.
Le Dr Francis Boyle, auteur de la loi américaine « Biological Weapons Anti-Terrorist Act of 1989 », se joint à l’appel de l’Irlande.
https://substackcdn.com/image/fetch/f_auto,q_auto:good,fl_progressive:steep/https%3A%2F%2Fsubstack-post-media.s3.amazonaws.com%2Fpublic%2Fimages%2Ff0982900-d3a9-4c5d-befb-62281dd85029_2048x1024.jpeg
Vous souvenez-vous de moi et de quelques autres personnes qui vous ont averti d’éviter le « vaccin » contre la COVID? Nous avons été accusés de diffuser des informations erronées qui auraient pour effet d’accroître la létalité du COVID-19 en décourageant les gens de se protéger avec un « vaccin sûr et efficace », pour reprendre les mots des menteurs Tony Fauci et Joe Biden.
Aujourd’hui, les experts médicaux et les autorités publiques appellent à l’arrêt de toute vaccination par ARNm. La hausse des décès et l’augmentation énorme des maladies mortelles et des conditions de santé à la suite des vaccinations de masse ne peuvent plus être niées.
La profession médicale est contrôlée par les grandes sociétés pharmaceutiques, et les grandes sociétés pharmaceutiques ne pensent qu’en termes de profits, notre santé est condamnée. Peut-être que quelque chose peut être fait maintenant que Bobby Kennedy a été nommé secrétaire à la santé et aux services sociaux de Trump, en supposant que les grandes sociétés pharmaceutiques ne bloquent pas sa confirmation au Sénat, et maintenant que Trump a nommé Jay Bhattacharya à la tête du NIH. Bhattacharya, professeur à l’École de médecine de l’Université de Stanford, a été un des premiers critiques des mesures de confinement et des vaccins contre les pandémies. La communauté médicale contrôlée par les grandes sociétés pharmaceutiques a tenté de qualifier Bhattacharya de « non scientifique » et de détruire sa carrière. Big Pharma, une industrie de gangsters, sera certainement là pour bloquer la confirmation de Bhattacharya.
Le public américain a progressivement pris conscience que tout ce que les gouvernements leur disent est un mensonge. Il a fallu 50 ans à la majorité des Américains pour réaliser que le président John F. Kennedy avait été tué par la CIA et les chefs d’état-major interarmées. Les soupçons sont apparus beaucoup plus tôt avec la tentative d’assassinat de Trump en Pennsylvanie. Le récit de la COVID, qui était ancré en 2020-2021, s’est effondré en 2024. Tout le récit était un mensonge total.
Si les Big Pharma réussissent à bloquer Kennedy et Bhattacharya et que les néoconservateurs sionistes peuvent bloquer Tulsi Gabbard, nous saurons que l’administration Trump est terminée avant même qu’elle ne commence et que rien ne peut être fait pour restaurer le gouvernement auprès du peuple.
Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane
Fuites RKI: intervention historique au Bundestag allemand (Essentiel News)
Fuites RKI: intervention historique au Bundestag allemand
Le Prof. Stefan Homburg récapitule devant les législateurs les révélations qui provoquent une onde de choc en Allemagne
21 novembre 2024
https://essentiel.news/fuites-rki-intervention-historique-au-bundestag-allemand/
En avril de cette année, Essentiel News avait été parmi les premiers médias francophones à faire état de l’affaire dite des «RKI Files». En cause, des procès-verbaux, d’abord obtenus par le magazine allemand Multipolar à l’issue d’une bataille judiciaire longue de deux ans, faisant le compte rendu des réunions tenues pendant la soi-disant «crise sanitaire» de 2020-2022 par l’Institut Robert Koch (RKI), l’agence allemande de santé publique.
Ces documents avaient prouvé que les décideurs allemands avaient été informés, dès le début, que le Covid était moins dangereux qu’une épidémie de grippe; que les injections étaient au mieux inutiles; et que toutes les mesures de contrainte avaient été ordonnées par les politiciens et les militaires, sans aucun débat scientifique, et contre des avis d’experts.
Ces révélations avaient provoqué une onde de choc en Allemagne et avaient forcé beaucoup de politiciens et de ministres allemands à prendre position; soit pour se défendre, soit pour réclamer une commission d’enquête.
En Suisse, l’affaire avait fait dresser un réquisitoire à la Neue Zurcher Zeitung (NZZ) contre les «mesures sanitaires» et l’hystérie collective de 2020-2022.
Et pourtant, ces documents du RKI étaient, dans ce premier temps, encore censurés.
Trois mois plus tard, tous les documents décensurés avaient été fuités par un lanceur d’alerte. Essentiel News en a fait état et a proposé l’intégralité des documents en téléchargement.
Cet acte 2 de l’affaire des «RKI Files» est celui qui a véritablement ouvert la boîte de Pandore, et permis à l’opinion de se rendre compte de l’étendue du scandale. En Autriche, ces nouvelles révélations avaient été jusqu’à faire titrer à l’Agence de presse principale du pays que «les protocoles RKI montrent que les mesures liées au coronavirus étaient une mise en scène sans preuve de la part des politiques et de l’armée.»
Or plus le temps passe, plus les journalistes indépendants se penchent sur le contenu de ces fuites, et plus les révélations qui en sortent sont accablantes pour le pouvoir allemand; et par extension ce sont toutes les contre-vérités du Covid qui se trouvent exposées au niveau mondial.
L’affaire est donc loin d’être terminée. Justement, le dernier évènement en date est une intervention historique du professeur Stefan Homburg devant le parlement (Bundestag) allemand.
Avec une précision remarquable et un calme olympien, cet éminent intellectuel et économiste allemand présente succinctement aux législateurs de son pays les révélations issues des fichiers RKI.
Ci-dessous figure une vidéo intégrale de son intervention, traduite et sous-titrée en français par Viviane Cuendet:
Emission spéciale de Jean-Dominique Michel
En surcroît de ce qui précède, les lecteurs intéressés trouveront ci-dessous une excellente émission de Jean-Dominique Michel, diffusée le 19 novembre 2024, et consacrée à cette affaire:
Paul Craig Roberts: "Je suis convaincu que le « vaccin » a été intentionnellement conçu pour réduire la population mondiale par la mort précoce et l'infertilité."
21 novembre 2024
Le gouvernement américain a financé la création du coronavirus
Paul Craig Roberts
Robert Redfield, ancien directeur des Centers for Disease Control, a révélé que les agences gouvernementales américaines ont financé la création du Coronavirus. « Ils ont financé la recherche, à la fois par le NIH [National Institutes of Health], l'USAID du département d'État et le département de la défense.
Selon l'ancien responsable du CDC, le « cerveau scientifique de la recherche » était le Dr Ralph Baric, largement considéré comme l'un des plus grands experts mondiaux en matière de coronavirus. Redfield a déclaré que le virus avait été « conçu intentionnellement dans le cadre d'un programme de biodéfense ». Je suis convaincu que le « vaccin » a été intentionnellement conçu pour réduire la population mondiale par la mort précoce et l'infertilité. C'est ce qui a motivé la pression exercée pour vacciner toute la population de la Terre. https://www.rt.com/news/607966-us-covid-origin-claim/
Les ignobles médias américains et le système médical américain corrompu dominé par Big Pharma continuent de tromper les Américains avec leurs mensonges selon lesquels le Covid provient de chauves-souris et le « vaccin » Covid, qui n'est pas un vaccin, est sûr et efficace. Big Pharma utilise ses contributions aux campagnes électorales pour maintenir le Congrès américain dans le silence. Des meurtres et des blessures d'une ampleur plus grande que le génocide israélien de la Palestine ont été couverts par les médias américains prostitués et le lâche Congrès américain.
Comment Trump peut-il "rendre sa grandeur" à la pourriture ?
Si Trump veut que Bobby Kennedy soit confirmé au poste de secrétaire à la santé et aux services sociaux, il doit commencer dès maintenant ses discours pour avertir le Sénat et le peuple américain que Big Pharma achètera du Sénat un vote de non-confirmation. Des millions de lettres doivent être envoyées au Sénat, promettant de chasser les sénateurs de leurs fonctions s'ils continuent à protéger l'assaut de Big Pharma contre la vie et la santé des Américains. Trump peut-il le faire alors que son chef de cabinet est un ancien lobbyiste de Big Pharma ?
Le grand danger de la présidence Trump est qu'il ne parviendra à rien, et la déception démoralisera le peuple américain qui lui a fait confiance. Une fois que les Américains auront baissé les bras, la tyrannie aura raison d'eux.
Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2024/11/21/us-government-funded-creation-of-the-coronavirus/
Danger de la 5G : 13 raisons pour lesquelles la technologie sans fil 5G sera une catastrophe pour l'humanité, par Makia Freeman (GlobalResearch)
[Article important publié pour la première fois le 24 septembre 2019]
On ne saurait trop insister sur le danger que représente la 5G.
La 5G (5e génération) est maintenant activement déployée dans de nombreuses villes à travers le monde. Simultanément, à mesure que l'on prend conscience de ses terribles effets sur la santé et la vie privée, de nombreux endroits décrètent des moratoires ou l'interdisent, comme l'ensemble de la Belgique, la ville de Vaud (Suisse) et San Francisco (États-Unis). Les rayonnements de radiofréquence (RF ou RFR) et les champs électromagnétiques (CEM) sont de plus en plus reconnus comme de nouveaux types de pollution - la pollution environnementale. Voici 13 raisons exposant le danger de la 5G, qui pourrait se transformer en une véritable catastrophe pour la santé et la vie privée si un nombre suffisant de personnes ne se mobilise pas pour l'arrêter.
PLUS JAMAIS ÇA ! par Léo Dubois, étudiant de 22 ans en biologie
« Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années ».
Corneille, Le Cid.
Léo Dubois est un étudiant en licence de biologie à l’université d’Aix-Marseille. Après 4 ans de recherche, plus de 750 références, il vient de sortir son premier livre sur la période Covid : PLUS JAMAIS ÇA ! aux éditions Résurgence, préfacé par le professeur Perronne.
Dans ce débriefing, Léo Dubois vient présenter son travail, ses recherches ainsi que la démarche qui l’a amené, avec une grande détermination, à essayer de comprendre les divers éléments de gestion de la crise sanitaire. Des confinements, masques et injections aux injonctions paradoxales et aux approximations des décideurs, tout y passe.
Sur le même sujet, sur France-Soir:
LES PRODUITS CHIMIQUES VOUS STÉRILISENT. Entretien avec Corinne Lalo (GPTV)
- La modernité tente d'élaborer avec la luxure, la violence et l'infamie l'innocence d'un paradis infernal.
- Celui qui se respecte ne peut vivre aujourd'hui que dans les interstices de la société.
- Ne pas sentir la putréfaction du monde moderne est un indice de contamination.
- Le Progrès se réduit finalement à voler à l’homme ce qui l’ennoblit, pour lui vendre au rabais ce qui l’avilit.
- Un pays industrialisé est un pays où les rivières ne noient pas, mais empoisonnent, celui qui s'y baigne.
- La civilisation moderne : cette invention d’ingénieur blanc pour roi nègre.
Nicolás Gómez Dávila, moraliste colombien (1913-1994)
Entretien avec le Pr Martin Zizi: explosion des turbo-cancer, vaccinations Covid, sociabilité et conformisme humains, fourmis exploratrices, primates descendus des arbres dans la savane et que faire ? Suivi de: Pierre Chaillot et Philippe Bobola; DIALOGUE TOUS AZIMUTS: Le virtuel et le réel
Présentation:
Présentation:
"La pensée calculable a remplacé la pensée méditante."
Martin Heidegger, cité par Philippe Bobola
Dr Ana Mihalcea MD., PH.D./Children's Health Defense/essentiel.news: Qu'y a-t-il dans les vaccins Covid et dans notre sang ?
Qu’y a-t-il dans les vaccins Covid et dans notre sang?
Dr Ana Mihalcea expose ses travaux sur les nanotechnologies auto-assemblantes et l'agenda transhumaniste
Article de Senta Depuydt d’Essentiel News
Doublage et sous-titrage par Jeanne Traduction.
https://essentiel.news/qu-y-a-t-il-dans-vaccins-covid-et-notre-sang/
Introduction: le contenu des vaccins, un sujet essentiel
Lorsqu’il s’agit d’aborder la vaccination, l’un des sujets les plus importants et paradoxalement les moins discutés est celui du contenu des vaccins. À en croire les diverses autorités sanitaires, “rien n’est autant contrôlé que les vaccins” et le mot rigueur est toujours répété dans un ton où se mêlent à la fois assurance et indignation face aux mécréants.
En réalité, c’est tout l’inverse. Pour avoir exploré sur ce sujet depuis plusieurs années, bien avant le Covid, il paraît évident qu’une enquête approfondie sur cette question devrait définitivement mettre fin au mythe de la vaccination “sûre et efficace”.
Que contiennent les fioles vaccinales? Comment et par qui sont-elles contrôlées? Et que peut-on inférer à partir des observations indépendantes? S’agit-il simplement de produits de mauvaise qualité, ou y a-t-il une volonté d’injecter des éléments censés avoir des effets spécifiques à l’insu des personnes qui les reçoivent?
Que l’on soit favorable ou opposé à la vaccination, tout le monde tombera d’accord sur le fait que l’on doit pouvoir se fier au contenu de ces fioles. Or, contrairement à ce que l’on imagine, il n’existe pratiquement aucun contrôle des vaccins. C’est le fabricant lui-même qui est censé effectuer ses propres tests pour fournir la documentation requise aux organismes de contrôle.
Or, ces tests sont minimalistes, et contrairement aux produits alimentaires, il n’y a jamais d’inspecteur qui vient prélever une fiole au hasard pour en analyser le contenu. Tous les ingrédients sont-ils déclarés? Le contenu correspond-il à ce qui est décrit sur la notice? En réalité, la seule chose que l’on sait, c’est que l’on ne sait pas vraiment ce qu’il y a dans une dose de vaccin.
Ces questions doivent être abordées, c’est pourquoi la rédaction d’Essentiel News consacrera différents articles au contenu et à la qualité des vaccins.
La vidéo que nous avons fait traduire est un entretien mené par l’avocate Mary Holland – présidente de l’association Children’s Health Defense (CHD, défense de la santé des enfants) qui a été fondée par Robert Kennedy Jr – avec la Dr Ana Mihalcea, interniste, pathologiste et auteure d’articles sur le contenu des vaccins Covid.
Dès le début de la pandémie, l’association CHD a agi comme une plateforme internationale d’échange d’informations et de discussion sur tous les aspects de la crise sanitaire. Des réunions hebdomadaires informelles ont rassemblé des experts, des médecins, des avocats, journalistes et lanceurs d’alerte du monde entier. Leurs échanges ont parfois nourri d’intenses débats, parfois donné lieu à des conclusions unanimes.
Le tableau que dresse Dr Ana Mihalcea semble tout simplement inimaginable, mais ses arguments et ses données sont nombreux et reflètent le travail d’autres équipes. Il sera intéressant de présenter des contre-arguments par la suite, mais l’on se doit de se pencher sur ses observations, en particulier dans le contexte actuel d’accélération du transhumanisme.
Les images inédites
Durant la pandémie, plusieurs groupes de médecins et de scientifiques indépendants ont cherché à analyser le contenu des vaccins. Dr Mihalcea s’est jointe aux recherches et a pu observer par elle-même à l’aide de la microscopie sur fond noir ce qui semble aujourd’hui être interprété comme des nanotechnologies auto-assemblantes. Elle a alors complété ses recherches par l’analyse du sang où elle a détecté des anomalies telles que des formations en rouleaux et des caillots de composition anormale.
Préalablement à ces observations, Dr Ana Mihalcea a travaillé plus de 30 ans sur le phénomène des morgellons, souvent décrit comme le résultat d’expériences de biologie synthétique (il s’agit de filaments de type plastique qui sont excrétés par la peau).
Formation de nanocircuits
Selon la médecin et les dizaines de chercheurs impliqués dans ce sujet (notamment le Dr David Nixon), ce que l’on peut détecter dans les vaccins Covid s’apparente à des micropuces. Celles-ci sont constituées de minuscules particules magnétiques, émettent des flash lumineux (principalement bleus) et seraient capables de réagir à des signaux électromagnétiques.
Mihalcea affirme que ce type d’assemblage avec des nanomatériaux est présenté de manière parfaitement claire dans les projets concernant l’internet des Bio-Nano Things (objets, IoNT). Des matériaux tels que le graphène permettent actuellement de combiner les instruments provenant de la nanotechnologie et de la biologie synthétique pour réaliser l’intégration de dispositifs informatiques à l’intérieur du corps humain.
Selon Mihalcea, de tels dispositifs intracellulaires ont d’ailleurs été expérimentés par Pfizer dans un médicament nommé Enbrel. Des études à l’hôpital du Mont Sinaï ont permis de recueillir les données émises par ondes électromagnétiques générées par des capteurs insérés chez les patients.
Particules métalliques
La quasi totalité des groupes de recherche sur les vaccins Covid ont signalé une présence importante de particules métalliques. Leur présence intrigue d’autant plus que certains métaux sont assez rares.
Deux scientifiques de l’université de Comahue auraient détecté jusqu’à 55 éléments chimiques non déclarés dans la composition des vaccins. Il s’agit entre autres du groupe des lanthanides, des éléments dont les propriétés magnétiques sont particulièrement importantes.
(note: cette publication est critiquée pour son manque de rigueur scientifique)
Shedding – transmission aérienne
Ana Mihalcea a ensuite observé le sang des vaccinés et des non-vaccinés. Elle constate que des nanostructures sont aussi présentes dans le sang des non-vaccinés. Ceci s’expliquerait à la fois par le phénomène du shedding, une excrétion par la peau ou une dissémination par voie aérienne lors de contacts rapprochés.
Filaments synthétiques auto-répliquants
Les morgellons seraient le résultat d’opérations de géoingénierie menées depuis 30 ans, qui consistent à disperser un mélange de métaux (notamment du baryum) et de polymères. Ils ont été documentés depuis de nombreuses années, notamment par les travaux de Clifford Carnicum.
Ana Mihalcea et ses collègues ont identifié des signatures chimiques similaires entre les morgellons et les filaments d’apparence caoutchouteuse trouvés dans les caillots prélevés sur les corps des personnes décédées après avoir été vaccinées. L’on y retrouve des matières plastiques, notamment des polyamides et des polyvynils.
Ces matériaux seraient d’ailleurs mentionnés dans les brevets concernant les particules nanolipidiques utilisées dans le vaccin Moderna (brevet du 11 avril 2023).
“Dans certaines présentations, les nanoparticules décrites ici sont des particules furtives (stealth) à cible spécifique” similaires au brevet… Ces particules furtives peuvent comprendre une “matrice polymère” incluant des matériaux tels que polyamides, polyéthylènes, polyuréthane, polyesters, polyvynils, polyacrylates, etc. (la liste est longue).
Selon elle, les activités d’auto-assemblage et d’auto-réplication persistent après le décès des personnes, même deux ans plus tard.
Les nanorobots
Ces nanorobots qu’elle identifie comme des dispositifs à micropuce mésogènes (“Mesogen microchip devices”) sont équipés de senseurs/capteurs qui leur permettent de naviguer par biotélémétrie. Certains seraient capables d’envoyer des signaux que l’on peut capter avec certains types de téléphones portables vers un “cloud” (nuage) de données. Ces procédés et matériaux sont similaires à ce qui est actuellement utilisé dans les expériences de connection “ordinateur-cerveau” (ndlr: Neuralink et Cie).
Pour alimenter leur fonctionnement, ces nanorobots puisent l’énergie électrique des cellules humaines, ce qui a un effet destructeur sur l’organisme. Une fois assemblés, ils restent agglomérés de manière insoluble.
Stopper l’activité des nanoparticules, améliorer la santé des patients
En partant du brevet des nanoparticules lipidiques de Moderna qui mentionne aussi comment inhiber l’adduction des nanoparticules, Ana Mihalcea a testé l’utilisation d’agents antioxydants et d’agents chélateurs pour améliorer la condition de ses patients. Elle mentionne entre autres de bons résultats avec une combinaison de vitamine C à haute dose et un chélateur classique tel que l’EDTA (acide EthylèneDiamineTétraAcétique).
Elle affirme aussi avoir vérifié l’efficacité de cette combinaison sur un vaccin Pfizer, dont les nanoparticules ont été neutralisées en seulement 10 minutes.
La clé serait donc avant tout d’éliminer les métaux présents dans le corps.
Toute la biosphère est polluée
Pour le Dr Mihalcea, il ne s’agit pas seulement que du contenu des vaccins. Elle met aussi en garde contre d’autres produits, comme les anesthésiants dentaires et contre les opérations de géoingénierie qui consistent à larguer des nuages chargés de particules métalliques (chemtrails).
On l’aura compris, ce qui est décrit dans cette vidéo est la mise en œuvre d’un plan transhumaniste, qui vise à transformer la population humaine et animale en un parc d’êtres de “technologie vivante” contrôlés par signaux électromagnétiques.
Commentaire :
Ces analyses évoquent les travaux sur les nanoparticules dans les vaccins pédiatriques effectués par Antonietta Gatti et Stefano Montanari. Si leur microscope n’avait pas décrit de ‘micropuces”, ou de particules auto-assemblantes, la présence importante de métaux, y compris de métaux rares avait beaucoup intrigué.
Ce couple de chercheurs, dont d’autres travaux avaient servi de référence au Parlement italien et à la Commission européenne, avait été victime de persécutions: perquisition, confiscation du matériel et des données, fermeture du laboratoire, menace sur la vie. Le pharmacien Serge Rader avait publié un ouvrage “vaccins, oui ou non” pour présenter leurs travaux en France et avait également subi un grand nombre de pressions.
Leurs travaux montraient a minima que les vaccins étaient “pollués” de nanoparticules métalliques capables de pénétrer à l’intérieur des cellules et de provoquer des troubles auto-immuns. En revanche, les images des vaccins Covid décrites ici semblent porter les choses bien plus loin. Des nanoparticules auto-assemblantes ne peuvent pas être le fruit d’une simple négligence, elles sont là par dessein et l’on peut en concevoir la nature.
Concernant les hypothèses d’une technologie transhumaniste, l’ on connaît aujourd’hui les déclarations des figures notoires de la gouvernance mondiale telles que Klaus Schwab ou Yuval Harari qui décrivent la fusion prochaine de l’homme entre le biologique, le technologique et le numérique. Et les projets d’interface humain-cerveau en sont à leurs premiers essais concluants.
Le fait que ce soit le marocain Moncef Slaoui (qui opérait chez GSK en Belgique) qui ait été recruté en tant que scientifique en chef de l’Opération Warp Speed est un signal d’alerte tout aussi important.
Slaoui est justement un spécialiste de la bioélectronique. En 2020, il était président de Galvani Bioelectronics, de Sutro Vax et de MédiciX investment, membre du conseil d’administration chez Artisan Biosciences, Human vaccines Project et Moderna therapeutics, en somme toute une série de Pharma impliquées dans le développement de technologies innovantes, en particulier liées à la bioélectronique.
Galvani Bioelectronics est un partenariat financé par Verily (anciennement Google), Life Sciences et GSK. L’entreprise a pour vocation de produire “des dispositifs miniaturisés et implantables capables de modifier les signaux électriques qui passent le long des nerfs dans le corps, y compris les impulsions irrégulières ou altérées qui se produisent dans de nombreuses maladies”.
Ces indices doivent aujourd’hui nous inciter à poursuivre l’enquête, car les enjeux liés à la vaccination semblent aller bien au-delà de la prétendue protection face à un coronavirus.
Suivre Dr Ana Mihalcea sur sa lettre Substack
Extraits – VO, VF, VOSTFR
SOURCE ET VIDEO DE L'ENTRETIEN: https://essentiel.news/qu-y-a-t-il-dans-vaccins-covid-et-notre-sang/
Sénateur Malcolm Roberts (QL, Australie): De nouvelles données montrent que les injections d'ARNm de COVID sont nocives et mortelles
De nouvelles données montrent que les injections d'ARNm de COVID sont nocives et mortelles
Cela fait maintenant cinq fois que je m'adresse au Sénat pour expliquer les dernières données qui montrent les dommages causés à tous les Australiens par notre réponse au COVID, y compris les injections d'ARNm.
Il s'agit de ma sixième mise à jour sur la science du COVID, qui s'appuie sur de nouveaux articles publiés et examinés par des pairs, référencés par l'auteur principal. (Références détaillées sur mon site web).
Les données choquantes montrent que les injections d'ARNm COVID ont une efficacité négative et qu'elles nuisent à plus de personnes qu'elles n'en protègent. Plus inquiétant encore, le dernier rapport montre que les enfants auxquels on a injecté des « vaccins » à ARNm ont non seulement tous contracté le COVID, mais qu'ils sont désormais plus susceptibles de développer un cancer au cours de leur vie.
Il est temps de demander une commission royale d'enquête !
Je reviendrai sur ce crime du siècle en décembre lors de ma troisième enquête sur le COVID, intitulée « COVID on Trial », à laquelle participeront d'éminents médecins et avocats australiens et internationaux, et qui sera présentée devant des députés de tous les partis.
Transcription
Il y a trois ans, j'ai promis de traquer ceux qui ont perpétré le plus grand crime de l'histoire australienne, et je continuerai à le faire. Voici les dernières preuves que le COVID-19 est le crime du siècle, tirées de nouveaux articles publiés, évalués par des pairs et référencés à l'auteur principal. Dans la publication polonaise Annals of Medicine, le FIRN procède à une revue limitée de la littérature sur l'évolution et la notification des effets indésirables graves (EIG) du vaccin COVID-19 dans les revues scientifiques, et fait les constatations suivantes : La littérature est passée de l'affirmation selon laquelle les vaccins à base d'ARNm ne provoquent absolument aucun effet indésirable grave en 2021 à la reconnaissance d'un nombre important d'effets indésirables graves en 2024. Ces effets indésirables comprennent des complications neurologiques, des myocardites, des péricardites et des thromboses ». Le FIRN a déclaré : « Cela montre que la science ne doit pas être totalement objective lorsqu'elle évalue les risques pour la santé, car les considérations sociales et économiques ont souvent une influence ».
Pourquoi a-t-il fallu trois ans à la communauté médicale pour se faire entendre ? Tout d'abord, il faut du temps pour produire une étude évaluée par des pairs, en particulier une étude critique à l'égard de ses maîtres de l'industrie pharmaceutique. Deuxièmement, l'argent parle. L'argent de la recherche, les subventions, les fausses conférences et les destinations somptueuses des grandes sociétés pharmaceutiques sont autant d'influences difficiles à surmonter. L'argent des grandes sociétés pharmaceutiques va aujourd'hui dans de nombreuses directions différentes. Comme le garçon proverbial qui a le doigt dans la digue, des fissures apparaissent enfin. C'est la raison pour laquelle le projet de loi sur la désinformation a été présenté : pour se débarrasser de ces vérités embarrassantes à temps pour la prochaine collecte de fonds de l'industrie pharmaceutique.
Ce n'est que l'année dernière que les scientifiques ont pu publier des articles reconnaissant un nombre élevé d'effets indésirables graves, ou EIG, liés aux vaccins à base d'ARNm. Il y a tant de choses dans les publications scientifiques récentes que la plupart des gens ignorent en raison du contrôle exercé par l'industrie pharmaceutique. Voici les 10 principales raisons récentes d'enfermer ces salauds. Il y a l'étude Thacker. La rapidité a pu se faire au détriment de l'intégrité des données et de la sécurité des patients, la FISA ayant falsifié et déformé des données. Il y a l'étude Facsova. Une étude portant sur 99 millions de doses a clairement prouvé l'existence de myocardites, de péricardites et de thromboses cérébrales, et l'étude n'a duré que 42 jours après chaque dose, alors que nous savons que des personnes meurent subitement des années après avoir reçu une dose dans le bras pour le compte des grandes sociétés pharmaceutiques. L'étude Fraiman a révélé que l'excès de risque d'événements indésirables graves d'intérêt particulier était plus élevé que la réduction du risque d'hospitalisation liée au COVID-19 par rapport au groupe placebo dans les essais de Pfizer et de Moderna, mais ils n'ont jamais dit que plus de personnes tomberaient gravement malades à la suite des injections. L'étude Benn n'a pas constaté de diminution statistiquement significative du nombre de décès dus au COVID-19 dans les essais du vaccin ARNm, alors que le nombre total de décès a en fait légèrement augmenté.
L'étude de Doshi et Lataster a mis en évidence les défaillances de la fenêtre de comptage, c'est-à-dire le temps écoulé après l'injection avant qu'un événement indésirable ne soit compté. Pfizer et ses acolytes n'ont pas comptabilisé les effets indésirables au cours de la première semaine suivant l'injection, alors qu'ils sont nombreux à s'être produits, et ont cessé de le faire au bout de six semaines. Cela a probablement conduit à une efficacité exagérée et à des déclarations trompeuses sur la sécurité, y compris des effets indésirables graves attribués à des personnes non vaccinées. L'étude de Raethke a relevé un taux d'effets indésirables graves des vaccins d'environ un pour 400 personnes, ce qui est étonnant !
L'étude de Mostert a attiré l'attention sur le problème déconcertant des personnes qui meurent subitement des années après l'injection, suggérant que c'est peut-être la substance qui leur a été injectée qui en est la cause. L'étude de Lataster, de l'université de Sydney, qui a contribué à ce discours, a démontré qu'il existe des corrélations entre la vaccination contre le COVID-19 et la surmortalité en Europe et que les injections de COVID augmentent le risque d'infection par le COVID-19 et même le risque de décès par le COVID-19. L'étude de Furst a apporté la preuve qu'un biais lié à la participation à un vaccin en bonne santé est en jeu. L'étude n'a porté que sur des personnes en bonne santé. Cela implique que l'efficacité des vaccins COVID-19 est exagérée, au-delà des effets de la fenêtre de comptage et d'autres manipulations de données.
Cela nous amène au dernier article publié et évalué par des pairs, rédigé par Robin Kobbe et d'autres chercheurs. Il a étudié des enfants âgés de 5 à 11 ans un an après avoir reçu des vaccins ARNm de Pfizer, montrant un risque élevé de développer un cancer tout au long de leur vie. Publié le 30 juillet 2024 dans le Pediatric Infectious Disease Journal, ce rapport a étudié des enfants allemands ayant reçu deux injections de Pfizer. Il s'agit d'une étude longitudinale qui suit des enfants en bonne santé après deux doses de vaccinations, les dommages qui en résultent étant clairement attribués aux injections d'ARNm.
Je reviendrai sur ce crime du siècle en décembre, lorsque je mènerai une troisième enquête sur le COVID, intitulée « COVID à l'épreuve », avec des médecins, des avocats et des hommes politiques australiens et internationaux de premier plan, qui se déroulera devant des députés de tous les partis. Je promets de traquer les auteurs de ce crime, et c'est exactement ce que je ferai.
Références
https://okaythennews.substack.com/p/covid-vaccine-science-catching-up
https://doi.org/10.29089/paom/1938
Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc