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Rouge et Blanc, ou le Fil d'Ariane d'un voyageur naturaliste

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Parole du Prophète Mohammad (Loué soit Son Nom): le pain et la fleur

11 Octobre 2022 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Islam, #Nature, #Photographie, #Poésie, #Religion

Delostoma integrifolium (Bignoniaceae). Andes méridionales du Pérou, versant Pacifique.  Pitunilla (Chumpi-Parinacochas-Ayacucho), Pérou. 2700m d'altitude. Photo: Pierre-Olivier Combelles.

Delostoma integrifolium (Bignoniaceae). Andes méridionales du Pérou, versant Pacifique. Pitunilla (Chumpi-Parinacochas-Ayacucho), Pérou. 2700m d'altitude. Photo: Pierre-Olivier Combelles.

Si un homme se retrouve avec du pain dans les deux mains, il devrait échanger une miche contre des fleurs, car la miche nourrit le corps, mais la fleur nourrit l'âme.

Prophète Mohammad (Loué soit Son Nom)

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Omixochitl, la tubéreuse

19 Mai 2022 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Mexique, #Nature, #Photographie, #Poésie

Omixochitl, la tubéreuse

Omixochitl

 


J’ai photographié ce bouquet de tubéreuses il y a longtemps.
C’était à Lima, sur la côte du Pérou, en 2020 ou en 2021.
Au Pérou, on appelle la tubéreuse « Vara de San José » ou « Nardo ».
Ces fleurs sont mortes et leur parfum aussi.
Mais elles restent toujours présentes dans ma mémoire.
Le parfum capiteux de la tubéreuse est unique, inoubliable.
Il paraît qu’à Versailles, le roi Louis XIV et la Cour en raffolaient.
Les Espagnols l’avaient rapportée du Mexique, où les Aztèques la cultivaient dans leurs jardins.
Elle était originaire du désert mexicain où elle poussait à l’état sauvage. Elle semble y avoir disparu.
Son nom en nahuatl est omixochitl: fleur d’os.
Omi: os
Xochitl: fleur
à cause de la couleur blanc crème de ses fleurs.
Les Aztèques ont été effacés de la Terre et de leurs os il ne reste presque plus rien.
Mais omixochitl, la fleur d’os, fleurit et embaume toujours, ici et là.
Le parfum du cœur immortel des Aztèques.


Pierre-Olivier Combelles

Pitunilla (Andes du Pérou), 9 mars 2022.

 

Omixochitl, la tubéreuse
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« Siempre mantén la distancia social »

26 Mars 2022 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Bill Gates, #Economie, #Opération Coronavirus, #Photographie, #Politique, #Santé

Habitants des quartiers pauvres de Lima ("barrios, conos") fuyant le confinement pour rejoindre, à travers le désert côtier, leurs terres des Andes. Capture d'écran d'une vidéo.

Habitants des quartiers pauvres de Lima ("barrios, conos") fuyant le confinement pour rejoindre, à travers le désert côtier, leurs terres des Andes. Capture d'écran d'une vidéo.

L'immonde presse péruvienne, qui a terrorisé systématiquement la population.

L'immonde presse péruvienne, qui a terrorisé systématiquement la population.

« Siempre mantén la distancia social »
« Siempre mantén la distancia social »
« Siempre mantén la distancia social »
« Siempre mantén la distancia social »

Depuis la psycho-plandémie du Covid, il y a deux ans, cette phrase est le message d’accueil de Claro, la société de télécommunications (espagnole) la plus répandue au Pérou, celle qu’utilisent la majorité de ceux qui ont un téléphone portable, c’est-à-dire presque tout le monde aujourd’hui. Lorsque vous appelez quelqu’un, vous entendez à chaque fois, avant d’être mis en relation avec votre correspondant, ce message lancinant, atroce pour celui qui le comprend: « Siempre mantén la distancia social »: «  Maintenez toujours la distance sociale ». Il exprime ce qui veut être une vérité permanente et universelle: pour ne pas être contaminé ou contaminer, pour la « sécurité commune », éloignez-vous les uns les autres, évitez la proximité, la promiscuité, le contact. Portez un masque sur le visage, voire deux superposés, avec en plus un « protecteur facial », sorte de pare-brise et plastique transparent; sortez dans la rue avec une combinaison de laboratoire ou de centrale atomique, portez en sautoir, attaché au cou, un flacon pulvérisateur d’alcool avec lequel vous désinfecterez tout ce que les autres ont touché. Car dans la psycho-plandémie du Covid, l’autre (ce que le christianisme appelait justement « le prochain ») est devenu un ennemi. D’où l’urgence, la nécessité absolue de virtualiser le plus possible les relations humaines et sociales et l’économie. Le "téléphone" portable est l’outil qui incarne ce nouveau monde, en permettant un nouveau type d’échanges entre les hommes dans la société covidienne. Outil dont chacun va être totalement dépendant, qu’il vaut acheter, avec un abonnement mensuel, annuel ou des « recharges » régulières et qui vous permettra d’exister dans la société virtualisée: téléphoner, utiliser les « réseaux sociaux », naviguer sur internet, consulter et gérer vos comptes bancaires, faire vos démarches administratives, étudier à l’école, faire vos achats par « delivery », comme on dit en Amérique dite latine, savoir ce qui se passe dans votre pays, dans le monde (enfin, comme on vous le présente…), photographier, filmer, faire et diffuser des enregistrements sonores, participer à des jeux en ligne. Tout cela coûte cher, très cher, car évidemment c’est indispensable mais surtout pas gratuit. Les fabricants sortent constamment de nouveaux modèles plus séduisants, plus performants, plus chers aussi et qui vous localisent et contrôlent toujours mieux. Pour un jeune aujourd’hui, le téléphone portable -le « smartphone »- symbolise le niveau social. Quel enrichissement vertigineux pour les fabricants, pour les sociétés de télécommunication et les propriétaires de programmes informatiques, internet et de réseaux sociaux !
Comme par magie, c’est la « pandémie du Covid » qui a accéléré et généralisé fabuleusement ce passage dans le monde virtualisé, « The Great Reset », « La Grande réinitialisation » ou « La Grande Remise à Zéro », titre du livre-programme de Klaus Schwab, le fondateur et directeur du Forum Économique Mondial de Davos, en Suisse. Une grande partie des dirigeants politiques majeurs, dans de nombreux pays, sont des « Young Leaders » du FEM. Remarquons au passage que le mot « économie », qui vient du grec « eco », habitat, et « nomos », règle, et dont le vrai sens, originel est « le bon usage des ressources et du patrimoine » a été entièrement perverti, dévoyé et que son sens actuel est « la recherche du profit et du pouvoir financiers », ce que les Grecs et notamment Aristote nommaient « chresmatique ». Économie signifie aujourd'hui, uniquement: fabrication d'argent.
Tout cela repose sur un mensonge, une escroquerie. La société humaine, comme toutes les sociétés animales et même végétales, repose sur les échanges et les contacts directs et permanents. Les expressions du visage servent à communiquer, les gestes physiques pour se toucher, tout cela variant selon les pays, les usages. Les abolir, c’est détruire la société ou plutôt les différents types de sociétés humaines, fruit de millions d’années d’évolution et de traditions et c’est ce qu’exprime exactement le message de Claro « Mantén la distancia social », un mensonge total qui se veut vérité universelle. La société n’est pas dans la distance mais dans la proximité, le contact. C’est la distance qui la détruit, justement. Avez-vous remarqué que le nouveau salut apparu avec la « pandémie du Covid » et qui tend à remplacer le traditionnel serrement de mains dans les sociétés occidentales, c’est le poing fermé qui touche celui de l’interlocuteur ? Les imbéciles qui veulent paraître « branchés » l’ont immédiatement adopté. Mais le poing fermé exprime le contraire de la main ouverte: au lieu de l’accueil, le conflit, l’opposition: on se bat avec les poings fermés. La main ouverte qui touche une autre main ouverte montre aussi qu’il n’y a pas d’arme dedans. C’est un geste pacifique, amical. Un poing fermé est agressif et peut cacher quelque chose dedans. C’est d’ailleurs le symbole de nombre de partis et de mouvements de protestation, de combat.
Au Pérou, début 2020, lorsque le gouvernement, obéissant aux directives de l’OMS (financée en grande partie par Bill Gates) déclarant mensongèrement le Covid « pandémie », a ordonné le confinement généralisé de la population, les petits commerçants, les petites entreprises, les artisans, les vendeurs ambulants ont du fermer alors que les chaînes de supermarchés  (Wong, Plaza Vea) restaient ouvertes et que les gens riches se faisaient livrer à domicile par téléphone portable ou par internet. Beaucoup de petits commerçants ont fait faillite, certains se sont suicidés et une partie des gens qui vivaient dans les « barrios » de Lima, les quartiers pauvres dans le désert, ont du fuir à pied la capitale pour rejoindre leurs terres agricoles dans les Andes. Bien entendu, le gouvernement et l’Assemblée péruviens, et les médias qui avaient semé la terreur, n’ont assumé aucune responsabilité dans cette tragédie, jamais vue dans toute l’histoire du pays et même dans celle de l’humanité. Il n'y a eu aucune poursuite pénale contre les responsables de ces crimes.
Cette escroquerie, cette supercherie, ce « Hold-up » planétaire et génocidaire n’auraient pas été possibles sans la corruption et l'obéissance des gouvernements (presque tous mais pas tous, comme le Président de Tanzanie, John Magufuli, assassiné depuis), des parlements, des Églises (et notamment de du Vatican), des grands médias, de la bureaucratie et de la police. Non plus sans le règne général et absolu de l’argent, de l’usure et de la marchandisation de tout.
Nous voyons bien que les symboles covidiens sont des symboles d’inversion: faire croire que le mal est le bien et le bien est le mal. On détruit la société en faisant croire qu’on la protège, tout cela pour servir un programme et des intérêts secrets, inconnus de l’immense partie de la population. Orwell, Huxley n’étaient pas des « lanceurs d’alerte » mais des initiés et leurs célèbres livres « 1984 » et « Le meilleur des mondes » étaient des programmes destinés à être réalisés. Et cela n’est peut-être pas un hasard si, selon l’écrivain russe d’origine juive (converti au christianisme orthodoxe) Israël Adam Shamir, le mot Covid signifie en hébreu, lorsqu’on le lit de droite à gauche: « Dikoud »; c’est-à-dire « esprit malfaisant » ?

Pierre-Olivier Combelles

Photos de l'auteur

Le président du Pérou Pedro Castillo Terrones (à gauche, avec un chapeau) donne l'exemple de la salutation covidienne à poing fermé. Les politic(h)iens agissent comme des robots du Great Reset.

Le président du Pérou Pedro Castillo Terrones (à gauche, avec un chapeau) donne l'exemple de la salutation covidienne à poing fermé. Les politic(h)iens agissent comme des robots du Great Reset.

Protocolo ou plutôt "Protoloco" ?

Protocolo ou plutôt "Protoloco" ?

« Siempre mantén la distancia social »
Dans l'une des très rares café-pâtisseries de Lima, restée ouverte.

Dans l'une des très rares café-pâtisseries de Lima, restée ouverte.

« Siempre mantén la distancia social »
« Siempre mantén la distancia social »
Les plages de Lima et du Pérou interdites, gardées par des soldats en armes, malgré la chaleur écrasante..

Les plages de Lima et du Pérou interdites, gardées par des soldats en armes, malgré la chaleur écrasante..

« Siempre mantén la distancia social »
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Un colibri vesper s'invite dans le viseur de mon appareil photo

13 Mars 2022 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Photographie, #Nature, #Pérou

Clinanthus incarus (plante) et Rhodopis vesper (colibri). Pitunilla (Andes méridionales du Pérou, versant Pacifique, janvier 2022, saison des pluies, vers 2800 m d'altitude. Photo: Pierre-Olivier Combelles. Appareil: Fujifilm X100T (mono-objectif 23mm équivalent à 35mm).

Clinanthus incarus (plante) et Rhodopis vesper (colibri). Pitunilla (Andes méridionales du Pérou, versant Pacifique, janvier 2022, saison des pluies, vers 2800 m d'altitude. Photo: Pierre-Olivier Combelles. Appareil: Fujifilm X100T (mono-objectif 23mm équivalent à 35mm).

Cette photo tient du miracle. J'avais gravi en ojotas (sandales) une pente abrupte pour photographier cette plante en fleur(Clinanthus incarus, nommée localement Cebollín). Je venais de la cadrer et j'allais prendre la photo lorsque j'ai entendu soudain un vrombissement et un colibri (Rhodopis vesper) est apparu soudain dans le champ de mon viseur. Certainement, il venait pour butiner les fleurs. J'ai pressé le déclencheur. L'oiseau, effrayé par ma présence, a disparu aussitôt. Mais son image est restée dans l'appareil photo. La scène a duré 1 à 2 secondes.

Clinanthus incarus (Amaryllidacée) apparaît et fleurit brièvement pendant la saison des pluies dans les Andes méridionales du Pérou, versant Pacifique, vers 2800 m. Le colibri vesper (Trochilidés) est présent toute l'année dans la région et butine les fleurs tubiformes.

Pour les Aztèques (au Mexique et donc non pas au Pérou), les colibris étaient les réincarnations des guerriers morts au combat.

En effet, l'un de leurs principaux dieux était Huitzilopochtli ("Colibri de Gauche"), le dieu de la guerre, des sacrifices et du Soleil, dont le culte s'est éteint après la conquête espagnole.

Dans les Andes du Pérou, colibri se dit "jencho" en quechua. Au Mexique: "huitztzillin", en nahuatl.

 

Pour en savoir plus sur Huitzilopochtli: https://fr.wikipedia.org/wiki/Huitzilopochtli

Un colibri vesper s'invite dans le viseur de mon appareil photo
Colibris et montagnes. Tissage bolivien (détail). Coll. et photo: P.O. Combelles

Colibris et montagnes. Tissage bolivien (détail). Coll. et photo: P.O. Combelles

Plume de colibri (certainement Colibri coruscans). Irpavi (La Paz, Bolivie). Coll. et photo: PO. Combelles

Plume de colibri (certainement Colibri coruscans). Irpavi (La Paz, Bolivie). Coll. et photo: PO. Combelles

Huitzilopochtli représenté dans le codex Telleriano-Remensis. Source: Wikipedia.

Huitzilopochtli représenté dans le codex Telleriano-Remensis. Source: Wikipedia.

Guerrier aztèque "aigle". Statue. Musée ethnographique national, Mexico. Source: Wikipedia.

Guerrier aztèque "aigle". Statue. Musée ethnographique national, Mexico. Source: Wikipedia.

Costume de guerrier "jaguar". Codex Mendoza.

Costume de guerrier "jaguar". Codex Mendoza.

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Vivian Maier, photographer

30 Décembre 2020 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Photographie

L'appareil photo argentique Rolleiflex 6x6 de Vivian Maier.

L'appareil photo argentique Rolleiflex 6x6 de Vivian Maier.

C'était aussi celui du génial photographe portraitiste Sir Cecil Beaton (Beaton=Bethune en écossais)

C'était aussi celui du génial photographe portraitiste Sir Cecil Beaton (Beaton=Bethune en écossais)

Vivian Maier, photographer

Pour en savoir plus sur le Rolleiflex:

Le Rolleiflex et son image, par Philippe Bigler

https://galerie-photo.com/rolleiflex-image.html

Vivian Maier, photographer
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Miguel Covarrubias (Island of Bali): “No feast is complete in Bali without music and elaborate dramatic and dance performances"

27 Novembre 2020 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Art, #Asie, #Pacifique, #Exploration, #Histoire, #Musique, #Photographie, #Société, #Voyage

“It is plain that the refined and sensitive Balinese make the most of their daily routine, leading a harmonious and exciting, although simple existence, making an art of the elemental necessities of daily life – dress, food, and shelter.”

Miguel Covarribias

 

“No feast is complete in Bali without music and elaborate dramatic and dance performances,” he tells us. Every village and neighborhood has one or more gamelan ensembles, in which they take great pride. Unlike Colin McPhee’s fascinating but complex and detailed classic Music in Bali, Covarrubias’s descriptions are relatively non-technical: “In a general way, a Balinese composition is divided into four parts: a light solo to introduce the piece (geginaman); an introductory theme (pengunkab); a central motif (pengawak), the ‘body’ of the piece; and a rhapsodical finale in which the motives are developed (pengetjet).” He talks briefly about the many styles of gamelan, including the virtuosic kebyar, perhaps the most famous, as well as the pelelangan (which accompanies the legong, a dance specialized in by young girls), the portable angklung, and the gender wayang of the beloved shadow puppet theater called wayang kulit – “the medium of their classical poetry, for their ribald humour; and, most important of all … the greatest factor in the spiritual education of the masses.”

https://32minutes.wordpress.com/2011/10/04/miguel-covarrubias-island-of-bali/

Miguel Covarrubias (Island of Bali): “No feast is complete in Bali without music and elaborate dramatic and dance performances"
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La Voie des fleurs

23 Novembre 2020 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Art, #Photographie

La Voie des fleurs
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L'ange et la forêt

26 Juin 2020 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Photographie

L'ange et la forêt. Abbaye des Vaux de Cernay (Yvelines). Photo: Pierre-Olivier Combelles

L'ange et la forêt. Abbaye des Vaux de Cernay (Yvelines). Photo: Pierre-Olivier Combelles

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Les fleurs sont les étoiles de la terre

26 Juin 2020 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Photographie

Les fleurs sont les étoiles de la terre. Gentianes printanières dans une prairie. Montagne de Moutier (Suisse, canton de Berne) vers 1200m d'altitude, Pâques 2015. Photo: Pierre-Olivier Combelles

Les fleurs sont les étoiles de la terre. Gentianes printanières dans une prairie. Montagne de Moutier (Suisse, canton de Berne) vers 1200m d'altitude, Pâques 2015. Photo: Pierre-Olivier Combelles

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La fenêtre (Justine Jérémie)

24 Février 2018 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Justine Jérémie, #Musique, #Poésie, #Photographie

Le ciel par la fenêtre. Photo: Pierre-Olivier Combelles

Le ciel par la fenêtre. Photo: Pierre-Olivier Combelles

Justine Jérémie chante, à l'accordéon. Thibaut à la guitare.

Refrain: J'ai ouvert la fenêtre, envole-toi. Mais vite, d'un coup d'ailes, que j'te voie pas. J'ai ouvert la fenêtre, envole-toi, mais vite d'un coup d'ailes, que j'te rattrape pas.

J'ai ouvert la fenêtre, tu me le l'as demandé. Un geste d'amour, juste comme ça, de plus beau, y'en a pas. je serai là pour toi autant que tu voudras, quand t'auras besoin de moi, ou que t'auras un peu froid.

Refrain

J'ai ouvert la fenêtre, fais un très beau voyage et à la prochaine si t'as un bon vent. Si t'as un bon vent et du joli temps, viens faire un p'tit détour, pour me dire bonjour.

Refrain

Et quand tes ailes se seront déployées, à la fin du voyage, quand tu seras bien sage, je voudrais qu'à ton tour, tu fermes ma fenêtre, me voilà rassurée, à toi de voler.

 

Merci à Justine Jérémie qui m'a communiqué les paroles de sa si belle chanson, dont elle prépare une nouvelle interprétation avec d'autres musiciens.

Pierre-Olivier Combelles

Déjà posté en juin 2017 sur ce même blog, mais sans les paroles: http://pocombelles.over-blog.com/2017/06/la-fenetre.barbe.html

Abbaye des Vaux de Cernay (Yvelines). Photo: Pierre-Olivier Combelles

Abbaye des Vaux de Cernay (Yvelines). Photo: Pierre-Olivier Combelles

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