"Cause inconnue" (Cause Unknown) : L'ancien gérant de BlackRock Edward Dowd détaille "l'épidémie de morts subites" dans son nouveau livre.

12 Décembre 2022 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Children's Health Defense, #Opération Coronavirus, #USA

Edward Dowd. Capture d'écran de la vidéo de l'entretien avec J. Mercola

12/12/22

COVID

Cause inconnue : L'ancien gérant de BlackRock détaille "l'épidémie de morts subites" dans son nouveau livre.

Dans "Cause inconnue : l'épidémie de décès soudains en 2021 et 2022", l'ancien gestionnaire de fonds BlackRock Edward Dowd détaille les données du secteur de l'assurance montrant qu'en 2021, les titulaires de polices d'assurance-vie collective âgés de 25 à 64 ans - un sous-ensemble de la population générale en bien meilleure santé que les personnes n'appartenant pas à ce groupe d'âge - ont soudainement connu une surmortalité de 40 %, contre 32 % dans la population générale.
Par
Dr Joseph Mercola

L'histoire en bref :

    Dans son nouveau livre, " Cause inconnue : l'épidémie de morts subites en 2021 et 2022 ", l'ancien gestionnaire de fonds BlackRock Edward Dowd détaille les données montrant que les injections de COVID-19 sont un crime contre l'humanité.
    Une recherche menée par le secteur de l'assurance en 2016 a conclu que les titulaires de polices d'assurance-vie collective meurent à un tiers du taux de la population américaine générale, ce qui signifie qu'ils sont les plus sains d'entre nous. Les titulaires de polices d'assurance-vie collective sont ceux qui travaillent dans les entreprises du Fortune 500, qui ont tendance à être plus jeunes et plus instruits.
    En 2020, la population générale des États-Unis présentait une surmortalité supérieure à celle des détenteurs de polices d'assurance-vie collective, mais en 2021, la situation s'est inversée. Les détenteurs de polices d'assurance vie collective âgés de 25 à 64 ans ont soudainement connu une surmortalité de 40 %, contre 32 % pour la population générale. En bref, un sous-ensemble de la population en bien meilleure santé est soudainement décédé à un taux plus élevé que la population générale.
    Les statistiques américaines sur l'invalidité sont tout aussi révélatrices. Dans les cinq années précédant COVID-19, le taux mensuel d'invalidité se situait entre 29 et 30 millions. Après les injections de COVID-19, la tendance des invalidités a changé de façon spectaculaire. En septembre, on comptait 33,2 millions d'Américains handicapés - soit 3,2 à 4,2 millions de plus - un taux de variation de trois écarts types depuis mai 2021.
    Depuis mai 2021, la population américaine globale a connu une augmentation de 11% des handicaps, tandis que les employés - qui sont environ 98 millions sur une population totale d'environ 320 millions - ont connu un taux d'invalidité accru de 26%. Donc, quelque chose a été introduit dans la population active qui a provoqué la mort des personnes en âge de travailler.

Dans la vidéo ci-dessous, j'interviewe mon invité habituel, Edward (Ed) Dowd, ancien analyste et gestionnaire de fonds chez BlackRock, le plus grand gestionnaire d'actifs au monde.

Avec plus de 10 000 milliards de dollars d'actifs, BlackRock dispose d'un pouvoir financier supérieur à celui de n'importe quel pays du monde, à l'exception des États-Unis et de la Chine.

M. Dowd a le don de déceler les tendances et a réussi à faire passer les actifs qu'il gérait chez BlackRock de 2 à 14 milliards de dollars. Il y a dix ans, il a quitté BlackRock, s'est installé à Maui et est devenu entrepreneur.

Plus récemment, il a dénoncé les plans COVID-19 et la corruption de Big Pharma.

Dans notre dernière interview, nous avons discuté de la certitude mathématique d'un effondrement financier, et de la façon dont le COVID-19 a fourni un écran de fumée pratique pour cacher cette réalité.

Les données révèlent des crimes contre l'humanité

Dowd a maintenant publié un livre, "Cause inconnue : l'épidémie de morts subites en 2021 et 2022", dans lequel il détaille les données montrant que les injections sont un crime contre l'humanité.

"Lorsque ce produit [les piqûres de COVID] est arrivé sur le marché, j'étais très méfiant, car je connais bien les soins de santé", explique Dowd. "J'étais à Wall Street et j'avais l'habitude d'analyser les actions du secteur de la santé. Je savais que les vaccins normaux mettaient sept à dix ans à prouver leur efficacité et leur innocuité.

"Il s'agissait d'un vaccin expérimental, d'une thérapie génique non traditionnelle qui n'avait jamais été testée sur des humains. J'ai lu la littérature sur les tests sur les animaux et c'était une abomination.

"Puis, ce truc a été approuvé en 28 jours. Ils se sont débarrassés du groupe de contrôle. Je savais que c'était l'opération Warp Speed, donc j'étais très méfiant de toute cette histoire dès le départ.

"Puis, au début de 2021, j'ai commencé à entendre des anecdotes selon lesquelles des personnes tombaient malades et/ou se blessaient, ou mouraient, de la part d'amis et de parents éloignés. J'ai commencé à lire des articles sur les décès soudains d'athlètes, [et] j'ai tout de suite soupçonné le vaccin. Je n'avais pas les données que j'ai maintenant, mais je me suis dit : 'Vous savez, je vais regarder les résultats des compagnies d'assurance, les résultats des pompes funèbres'.

Cela m'a finalement conduit aux statistiques sur la surmortalité... On m'appelle maintenant "le spécialiste de la surmortalité". Ce que j'ai appris par mon expérience personnelle, c'est que l'industrie pharmaceutique est, dans l'ensemble, essentiellement frauduleuse. La plupart des médicaments qui ont été approuvés par la FDA [Food and Drug Administration] ne sont pas vraiment sûrs et efficaces.

"Ils doivent rappeler tellement de médicaments chaque année. La FDA a été entièrement capturée par l'industrie pharmaceutique. Soixante-dix à 75 % des fonds alloués à la branche pharmaceutique de la FDA pour l'approbation des médicaments proviennent des honoraires de l'industrie pharmaceutique, directement des entreprises, et sont donc corrompus depuis longtemps.

"La situation est maintenant exposée principalement parce que [le vaccin COVID] blesse et tue un si grand nombre de personnes. Il est difficile de la cacher... Cette fraude est dévoilée et visible pour les gens, mais elle n'existe que dans la chambre d'écho. Les médias grand public sont toujours redevables à Big Pharma en raison de toutes les dépenses publicitaires et des décideurs gouvernementaux ... [qui] veulent que cela disparaisse.

"En ce qui me concerne, il y a une énorme dissimulation en cours. Les données dont je vais parler aujourd'hui sont là pour que les autorités sanitaires mondiales les voient. Elles voient ce que je vois, et à ce stade, c'est de la négligence, de la malfaisance, une dissimulation et un crime.

"C'est pourquoi je suis ici, car je ne crois pas que quiconque ait le droit de me dire ce que je dois faire de mon corps, et je ne peux pas croire que cela se soit réellement produit. Les chiffres que je vais vous révéler sont maintenant une préoccupation de sécurité nationale."

(...)

L'espérance de vie s'est effondrée

À la fin du mois d'août, nous avons également découvert que l'espérance de vie aux États-Unis a chuté de façon vertigineuse en 2020 et 2021, ce qui confirme l'hypothèse selon laquelle les piqûres tuent prématurément les gens.

Alors que je préparais mon entretien avec Ed, j'ai réalisé que je voulais discuter avec lui de la pire baisse de l'espérance de vie aux États-Unis depuis plus de 100 ans, car il n'en avait pas parlé dans son livre.

J'ai utilisé quelques moteurs de recherche autres que Google et je n'ai rien trouvé. J'ai alors réalisé que j'avais sauvegardé une copie de l'histoire dans l'une de mes conférences PowerPoint (voir ci-dessous).