mondialisme
The Dimming [L'assombrissement], documentaire complet sur l'ingénierie climatique (GeoengineeringWatch.org)
- Ne pas sentir la putréfaction du monde moderne est un indice de contamination.
- L'homme moderne traite la nature comme un dément à une idiote.
(Nicolás Gómez Dávila, Escolios a un texto implícito, traduit de l'espagnol par Michel Bibard, Anatolia-Editions du Rocher)
The Dimming*, documentaire complet sur l'ingénierie climatique
10 mars 2021
GeoengineeringWatch.org a le plaisir d'annoncer la sortie de son documentaire révolutionnaire qui expose de manière concluante l'existence des opérations d'intervention météorologique mondiale.
Les opérations d'ingénierie météorologique mondiale sont une réalité. Les tests de particules atmosphériques menés par GeoengineeringWatch.org ont prouvé que les traînées d'avions à réaction qui s'étendent et s'attardent, si souvent visibles dans nos cieux, ne sont pas simplement de la condensation, comme on nous l'a officiellement dit. Qui est responsable de la mise en œuvre de ces programmes ? Quelles seront les conséquences si les opérations de géo-ingénierie et de gestion du rayonnement solaire sont autorisées ? Le documentaire THE DIMMING apportera des réponses à ces questions et à bien d'autres encore. Il s'agit du documentaire le plus complet de GeoengineeringWatch.org sur les opérations d'ingénierie climatique. Merci de le visionner et d'informer les autres de la sortie du film The Dimming.
Nous avons tous besoin de vous dans la bataille critique pour éveiller les populations à ce qui se prépare, nous devons faire en sorte que chaque jour compte. Partagez des données crédibles provenant d'une source crédible, faites entendre votre voix.
Dane Wigington
GeoengineeringWatch.org
Source et vidéo: https://www.geoengineeringwatch.org/the-dimming-full-length-climate-engineering-documentary/
https://www.paulcraigroberts.org/2024/10/03/a-lot-of-reader-response-to-weather-weaponization/
* NDLR: Dimming: assombrissement, en anglais. Global dimming: L'assombrissement global.
L'ancien Président des USA Lyndon B. Johnson déclare dans un discours que "celui qui contrôle le climat contrôle le monde." Rappelons que Johnson a succédé à John F. Kennedy après l'assassinat de ce dernier et pour accomplir la politique que Kennedy refusait de faire(Voir: Laurent Guyénot: "The Unspoken Kennedy Truth"). On est confondu comment le pouvoir peut concentrer autant d'ignorance (au sens dharmique du terme), de cupidité et de méchanceté.
Marion Sigaut: Des Jansénistes et des Lumières à Kinsey, à la pédocriminalité et à la dépopulation
Visionnez l'entretien ici:
https://jeune-nation.com/jntv/vid/dou-vient-quon-promeut-le-sexe-a-lecole-marion-sigaut
A propos de la piraterie (et de sa promotion auprès des enfants par l'inversion des valeurs) dont les horreurs historiques réelles sont évoquées de manière judicieuse par Marion Sigaut vers la minute 54, signalons
- Le pirate français huguenot Jacques Souries (Jacques de Sores en espagnol) dit "L'Ange exterminateur", pilleur et incendiaire des Caraïbes et de Santiago de Cuba et plus tard atroce assassin de 40 missionnaires jésuites espagnols et portugais le 15 juillet 1570 au large des Canaries vers le Brésil:
https://es.wikipedia.org/wiki/Jacques_de_Sores
Le film à grand succès "Pirate des Caraïbes" en donnant une image sympathique et burlesque de ces pirates a puissamment contribué à modifier l'image des pirates dans le grand public. Il est assez évident que les pirates de notre temps sont les "ultra-riches" qui écument l'économie et les finances, pillant la nature et les peuples, organisant des guerres atroces. On voit bien que pour protéger leur impunité, voire inspirer du respect, ils truquent l'Histoire, Histoire qui n'est plus enseignée dans les écoles.
Marion Sigaut corrige son opinion exagérée sur les moeurs de Louis XV:
http://re-histoire-pourtous.com/sur-les-moeurs-de-louis-xv/
Marion Sigaut sur l'hypocrisie et la perversité des Jansénistes et sur la Constitution civile du Clergé, faite pour rendre la religion odieuse aux Chrétiens et déchristianiser la France.
http://re-histoire-pourtous.com/les-jansenistes-contre-la-societe/
Politique et "éducation" sexuelles internationales:
World Economic Forum
https://www.weforum.org/publications/global-gender-gap-report-2024/digest/
https://www.weforum.org/agenda/2024/06/global-gender-gap-2024-what-to-know/
ONU ET UNESCO (Agenda 2030)
https://unfpa.org/sites/default/files/pub-pdf/ITGSE.pdf
Le mondialisme en marche : L’ONU 2.0 est lancé pour « un futur Commun »
https://strategika.fr/2024/09/30/le-mondialisme-en-marche-lonu-2-0-est-lance-pour-un-futur-commun/
Union Européenne
https://www.europarl.europa.eu/thinktank/fr/document/IPOL_STU(2022)719998
France
https://www.education.gouv.fr/education-la-sexualite-1814
https://essentiel.news/derive-pornographique-education-nationale-une-maman-temoigne/
F. William Engdahl: Le programme vert « zéro carbone » est impossible à tous égards
Le programme vert « zéro carbone » est impossible à tous égards
Par F. William Engdahl
9 avril 2023
Pourquoi les grands gouvernements, les entreprises, les groupes de réflexion et le Forum économique mondial de Davos font-ils tous la promotion d'un programme mondial « zéro carbone » visant à éliminer l'utilisation du pétrole, du gaz et du charbon ? Ils savent que le passage à l'électricité solaire et éolienne est impossible. C'est impossible parce que la demande de matières premières, du cuivre au cobalt en passant par le lithium, le béton et l'acier, dépasse l'offre mondiale. C'est impossible en raison du coût faramineux des batteries de secours pour un réseau électrique « fiable » 100 % renouvelable. C'est également impossible sans provoquer l'effondrement de notre niveau de vie actuel et une rupture de notre approvisionnement alimentaire qui entraînera des décès massifs dus à la famine et à la maladie. Tout cela pour une fraude scientifique appelée réchauffement climatique d'origine humaine ?
(...)
L'AGENDA CACHÉ
Il est clair que les personnes à l'origine de ce programme fou de zéro carbone sont conscientes de cette réalité. Ils s'en moquent, car leur objectif n'a rien à voir avec l'environnement. Il s'agit d'eugénisme et d'abattage du troupeau humain, comme l'a fait remarquer feu le prince Philip.
Maurice Strong, fondateur du Programme des Nations unies pour l'environnement, a déclaré dans son discours d'ouverture du Sommet de la Terre de Rio en 1992 : « Le seul espoir pour la planète n'est-il pas que les civilisations industrialisées s'effondrent ? N'est-il pas de notre responsabilité d'y parvenir ? ». Lors du sommet de Rio, M. Strong a supervisé la rédaction des objectifs de l'ONU en matière d'« environnement durable », de l'Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la « grande remise à zéro » de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de l'ONU.
M. Strong, un protégé de David Rockefeller, a été de loin la personnalité la plus influente derrière ce qui est aujourd'hui l'Agenda 2030 de l'ONU. Il était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, lors du décès de M. Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit : « Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami, un conseiller indispensable et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation. »
Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc
Source et article complet: http://www.williamengdahl.com/gr9apr2023.php
''Les États-Unis pillent l'Europe depuis 1917'' : Claude Janvier sur l'État profond américain.
Après le problème, la solution:
"La grandeur de la politique réside dans son but: promouvoir le bien commun de la société en assurant à ses membres le bien vivre (bene vivere) économique, moral et spirituel."
Richard Dubreuil, préface, Saint Thomas d'Aquin - Petite somme politique. Anthologie de textes politiques traduits et présentés par Denis Sureau.
Dans la préface de ce recueil, Richard Dubreuil montre parfaitement l'intérêt d'un tel ouvrage :
"Les dirigeants politiques oublient trop souvent que leur fonction tire sa seule légitimité de la poursuite du bien commun. Beaucoup gagneraient à lire cette Petite somme politique : les textes qu'elle rassemble datent tous du XIIIe siècle et pourtant, ils sont d'une brûlante actualité. Saint Thomas d'Aquin s'y révèle un "politologue" et un "constitutionnaliste" avisé.
Sa réflexion, élaborée dans une période troublée, articule les découvertes de la raison aux vérités de la foi. Elle forme la base de la doctrine sociale de l'Église catholique et rapporte des réponses pertinentes aux problèmes des sociétés contemporaines."
Le travail minutieux de Denis Sureau est d'un intérêt remarquable : le regroupement en un recueil unique permet une consultation aisée, et rendra de grands services aux étudiants en philosophie et en sciences humaines, aux responsables politiques, économiques, syndicaux et associatifs, ainsi bien entendu qu'à tous ceux qui s'intéressent à la conception chrétienne de la politique.
https://www.chire.fr/petite-somme-politique-anthologie-de-textes-politiques-p-142382
Pascal Bernardin: L'Empire écologique ou la subversion de l'écologie par le mondialisme
"Notre civilisation est fondée sur une conception judéo-chrétienne de l’homme, que l’on soit chrétien, juif ou musulman. Ce paradigme – l’homme, un être voulu et conçu par Dieu -, est la base de notre droit."
Pascal Bernardin
L'Empire écologique ou la subversion de l'écologie par le mondialisme
Pascal Bernardin
ISBN 978-2950957016
La disparition du communisme et la promulgation simultanée du Nouvel Ordre Mondial semblent s'être produites sur un vide idéologique absolu. Pourtant l'Empire mondial qui s'édifie sous nos yeux ne saurait se priver du ciment idéologique qui pourra seul assurer sa pérennité. Les organisations internationales, dont le pouvoir augmente chaque jour, doivent d'autre part légitimer leur existence et la disparition progressive des États.
Or une idéologie révolutionnaire émerge silencieusement. L'écologie, subvertie et détournée de sa fin première, véhicule une conception totalitaire de la nature et du monde. L'homme y est considéré comme un élément du Tout et doit se soumettre aux impératifs du développement "durable". Ce renversement de perspective le prive de sa dignité naturelle et fraie la voie aux deux principaux mouvements totalitaires de notre époque : le mondialisme et le Nouvel âge. Simultanément, on met en exergue les problèmes écologiques globaux, tels l'effet de serre et le "trou" dans la couche d'ozone, qui imposeraient une collaboration de toutes les nations sous le contrôle d'institutions internationales et d'un pouvoir mondial fort.
Cette nouvelle conception qui fait passer du local au global, du national à l'international, de l'homme à la Nature, nie l'individu face au Tout, les États face aux institutions internationales et la société face au pouvoir. Ainsi voit-on apparaître les prémisses idéologiques de l'Empire écologique, dernier avatar du totalitarisme.
En s'appuyant principalement sur les publications officielles d'organisations internationales, l'auteur montre que les conséquences révolutionnaires de ce renversement de perspective se déclinent dans tous les domaines : politique, économique, démographique, mais surtout spirituel, religieux et éthique. La perestroïka et la disparition du communisme, loin d'avoir marqué l'échec de la Révolution, ont permis d'effectuer la synthèse entre le communisme et le grand capitalisme et ont fait converger toutes les forces révolutionnaires : communistes, mondialistes et "humanistes".
L'étape révolutionnaire actuelle, qui s'appuie principalement sur la conception de Dieu, de l'homme et du monde véhiculée par une écologie dévoyée, doit aboutir à l'instauration d'une nouvelle civilisation et d'une spiritualité globale ! Ainsi s'achève la subversion de la véritable écologie, respect dû à l'œuvre du Créateur.
À propos de l'auteur :
Ancien élève de l'Ecole Polytechnique, Pascal Bernardin est l'auteur de Machiavel pédagogue - Prix Renaissance 2000 - et de L'Empire écologique, ouvrages consacrés à l'exposition de la politique des institutions internationales dans les domaines de la pédagogie et de l'écologie. S’appuyant sur d’innombrables écrits, il démontre que se modifie progressivement la conception de l’homme et de Dieu au sein même du monde catholique. Ainsi prouve-t-il que des infiltrations politico-religieuses panthéistes, gnostiques et maçonniques, œuvrent en faveur d’un syncrétisme religieux, avec une spiritualité globale qui aboutit à « surnaturaliser la nature » et « naturaliser le surnaturel ». L'auteur a annoncé que cette « Spiritualité Globale », qui sera la Religion Universelle rivée au Gouvernement Mondial, fera l’objet d’un prochain ouvrage, complémentaire à celui qu’il vient de publier.
LA FACE CACHÉE DU MONDIALISME VERT I Par Pascal Bernardin
Depuis la fin du communisme, le socialisme bat en retraite en concédant davantage d’espace à des mécanismes laissant une plus grande marge de liberté aux comportements individuels. Mais la menace n’a pas disparu. S’il n’est plus question de grandes lois historiques qui feraient du Prolétariat l’instrument et le véhicule du Progrès, c’est l'Écologie – plus précisément les élites scientifiques et écologiques qui se sont auto-désignées comme les messies des temps nouveaux – qui entend imposer ses objectifs comme éléments régulateurs de la liberté des individus. Dans le texte qui suit, Pascal Bernardin, auteur de « l’Empire écologique » montre comment le problème de la gestion des « biens communs » est aujourd’hui utilisé comme alibi pour réécrire complètement les règles de la justice et de la morale, tout en prétendant rester dans le droit chemin d’une critique libérale. Ce texte est la transcription d’une conférence prononcée à l’Institut Euro 92 le 14 Avril 1999.
Permettez-moi, tout d’abord, de me présenter. Je suis polytechnicien et docteur en informatique. J’enseigne l’informatique fondamentale, c’est à dire les mathématiques de l’informatique à l’Université d’Aix-Marseille III.
Je le précise parce que je serai amené à parler de questions scientifiques maintes fois débattues, en particulier la question de l’effet de serre. Je suis venu vous parler de mon ouvrage intitulé L’Empire Écologique, paru en décembre 98 et qui traite de l’écologie dans ses principales dimensions, à l’exception notoires des aspects juridiques et éducatifs.
Au cours de cette conférence, je vais vous montrer comment et dans quel but la politique et les thèmes écologiques s’articulent avec les deux phénomènes politiques majeurs de la dernière décennie et de la fin du siècle, à savoir la perestroïka et l’émergence du nouvel ordre mondial.
Les questions écologiques sont des questions fondamentales qui touchent à tous les domaines : domaine économique, politique, constitutionnel, financier, voire éthique et religieux. Il s’agit donc pour moi d’une question véritablement centrale, qui reprend certaines idées libérales mais qui déborde très au-delà de ce seul cadre.
Tout d’abord, dans la première partie de cette intervention, je vais vous parler des objectifs soutenus par les élites post-communistes qui sont restées en place malgré la disparition du communisme et l’effondrement du mur de Berlin, et qui se retrouvent aujourd’hui intégrées dans l’ensemble des élites dites mondialistes, en place au cœur des institutions internationales. Vous noterez la différence entre mondialisme et mondialisation. Je conserve le terme de mondialisme pour décrire l’émergence de forces politiques au niveau mondial. Je réserve le terme de mondialisation pour l’émergence d’un marché global et d’institutions économiques et financières globales.
La situation politique du dernier quart de ce siècle a été marquée par la chute du mur de Berlin, et simultanément par l’instauration d’un « Nouvel ordre mondial » voulu par le président Georges Bush. J’estime que l’analyse de ces deux phénomènes est restée très incomplète. En effet, aucune explication réelle du phénomène de la perestroïka n’a été donnée. Par ailleurs, les objectifs précis de la mondialisation et du mondialisme sont restés très flous. Autrement dit, nous sommes à l’heure actuel dans un vide conceptuel absolu; vide qui touche aux deux éléments principaux de la vie politique mondiale de cette fin de siècle. Ce sont ces éléments que je vais mettre en lumière, en prenant comme fil conducteur l’écologie.
En ce qui concerne le mondialisme, je m’appuierai exclusivement sur les textes officiels des institutions internationales – et ils sont extrêmement nombreux -, comme Our Global Neighbourhood (1995 – Oxford University Press), un rapport de la Commission sur la gouvernance globale (Commission on Global Governance). C’est une commission mise en place sous l’égide de l’ONU qui comprenait des gens éminents et de très haut rang, en particulier Jacques Delors, à ce moment là Président de la Commission européenne.
Par ailleurs, nous nous référerons Ethics and Spirituals Values, rapport rédigé par la Banque mondiale, centré sur les valeurs éthiques et spirituelles pour un développement durable; c’est à dire pour un développement écologiquement sain, ou tout du moins prétendu tel.
Enfin, et non des moindres, un document issu de la conférence de Copenhague, organisée par les Nations unies (Sommet mondial pour le développement social, du 6 au 12 mars 1995), qui s’intitule Les Dimensions Ethiques et Spirituelles du Développement Social.
Pour les références à la perestroïka, je m’appuie également sur des documents publics, qui n’ont pas la même autorité puisqu’ils n’ont pas l’estampille des Nations unies, mais écrits par Gorbatchev et Chevernadze entre autres.
De la perestroïka à l’écologie
Alors d’abord qu’est ce que la perestroïka ? Contrairement à ce que les médias veulent bien nous dire, c’est autre chose que l’écroulement du mur de Berlin sous une poussée démocratique irrépressible. La perestroïka est en réalité un mouvement qui a été planifié dès la fin des années 1950. Sa description nous vient d’un certain Golitsyne, officier supérieur du KGB, passé à l’Ouest à la fin des années 1960. Nous retrouvons ses écrits dans des rapports qui étaient destinés aux Services secrets, mais aussi dans un ouvrage public paru avant 1985 et l’arrivée au pouvoir de Gorbatchev. Que dit-il ? Que la perestroïka est un processus socialiste révolutionnaire qui s’inspire de la nouvelle politique économique de Lénine; qu’il est destiné à restructurer (perestroïka signifie restructuration) le socialisme en URSS, et non l’éradiquer. Surtout, il s’agit de restructurer l’image que les Occidentaux peuvent avoir du socialisme en général.
Tout en écartant radicalement la thèse d’un complot mondial, ma conviction est que c’est l’ensemble des thèmes révolutionnaires contenus dans la perestroïka que l’on retrouve au cœur de la politique écologique qui se met en place à l’heure actuelle. Il n’y a pas de hasard. On se rappellera que Gorbatchev, dans ses écrits, dit explicitement que l’écologie est un véhicule révolutionnaire. Aujourd’hui, Gorbatchev est le Président de la Croix verte internationale.
Parlons maintenant des objectifs du pouvoir mondialiste. Ce pouvoir cherche à l’évidence à tirer parti à la fois de l’expérience démocratique et libérale – les références aux éléments libéraux sont nombreuses, mais en les considérant dans un cadre qui n’a en réalité pas grand chose à voir avec le libéralisme – afin d’en faire une synthèse guidée par un objectif en vérité collectiviste. Ce pouvoir part du principe – libéral ! – que toute coercition est vouée à l’échec, et que les méthodes non coercitives, et qui laissent aux gouvernés l’illusion de la liberté, sont celles qui doivent être utilisées pour arriver au but cherché.
L’idée de refuser la coercition pour ne faire appel qu’au sentiment de liberté est une idée fondamentale utilisée par un grand nombre de penseurs. Je pense par exemple à Antonio Gramsci, le révolutionnaire du début du siècle, qui a toujours considéré que la politique stalinienne était une erreur, et qu’elle ne pouvait mener qu’à l’échec de la Révolution, tout simplement parce qu’il fallait d’abord procéder à une révolution culturelle – une révolution de la superstructure idéologique – pour ensuite réussir à mener cette révolution dans l’infrastructure. Ceci est l’exemple typique d’une idée non coercitive, que j’appellerai aussi non aversive (pour reprendre une certaine terminologie de psychologie sociale), dont le but est de viser en priorité la culture avant de chercher à modifier la strate économique.
D’autres courants d’idées développent la même approche : comme par exemple B. Skinner, le fondateur d’une école de psychologie – le Behaviorisme – qui énonce en substance que l’homme est une machine à laquelle il suffit de donner les bons stimuli pour en obtenir les bonnes réponses. Skinner dit également, de manière encore plus explicite, que la contrainte est inutile : mais par contre que les renforcements non aversifs – c’est à dire les récompenses – sont toujours extrêmement utiles pour modifier le comportement des individus. Les renforcements aversifs, eux, provoquent l’opposition et la crispation des individus et de la société, et sont par conséquent voués à l’échec.
Une application des théories du contrôle
D’autres travaux de psychologie sociale s’appliquent à développer cette approche. Je pense à la psychologie de l’engagement, une théorie psychologie selon laquelle on modifie efficacement les comportements, et par conséquent les valeurs, en amenant les gens à s’engager (au sens du management), et donc en s’interdisant par cela toute pratique aversive.
Nous voyons ainsi apparaître une différence fondamentale entre pouvoir et contrôle. L’exercice du pouvoir est la technique traditionnellement adoptée dans tous les Etats de la planète. Elle a pour principal défaut de se heurter à la révolte latente des individus qui lui sont soumis. L’exercice du contrôle est une technique toute différente qui consiste à placer les gens dans un cadre tel qu’ils auront un sentiment de liberté, voire de grande liberté, alors que cette liberté sera en réalité étroitement canalisée dans un cadre fixé par les gouvernants. Cette opposition entre contrôle et pouvoir permet d’assurer la synthèse de nombreux travaux, et de comprendre ce qui est en train de se passer tant en Occident que dans l’ancien bloc communiste.
Les idées qui président autant à la perestroïka qu’à l’instauration du Nouvel ordre mondial sont une application des théories du contrôle. Elles visent à modifier les cadres qui organisent nos actions dans tous les domaines. Ces cadres sont nombreux : cadres religieux – les principaux cadres mentaux sont fournis par la religion -, cadres éthiques – cités dans les documents sus mentionnés -, cadres idéologiques. Plus généralement, il s’agit de réorganiser la culture et les objectifs de notre société par rapport à un « but supra-ordonné » – c’est à dire un but final de la société autour duquel tous les autres buts s’ordonnent.
Nous voici donc confrontés, pour nos problèmes écologiques, à un ennemi, qui n’est plus communiste, mais collectiviste. L’ennemi toujours socialiste est toujours vivant, et, quoiqu’il se soit immergé dans dans la culture libérale, il poursuit toujours la vieille idée de réaliser la synthèse du « socialisme de marché », mais par d’autres moyens.
Une description plus scientifique de la logique de ce mouvement révolutionnaire s’articule autour de la théorie des systèmes et de la théorie du chaos. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec ces concepts, je vais vous décrire la théorie du chaos à partir d’un exemple très simple. Si l’on place une cigarette au milieu de cette pièce, la fumée la remplira très rapidement . Pourtant la fumée vient quasiment d’un seul point, le bout de la cigarette, et cinq minutes plus tard, ces particules de fumée rempliront toute la pièce. Cet exemple signifie que des particules de fumée, qui sont initialement dans des positions très proches, peuvent au bout d’un temps relativement court se retrouver dans des positions extrêmement éloignées, voire totalement antagonistes. La caractéristique d’un système qui se trouve dans une situation de chaos est qu’il peut évoluer dans des directions radicalement opposées.
D’un point de vue constructiviste – c’est à dire du point de vue d’individus qui veulent agir sur la société pour la mener vers un état donné – cette expérience signifie que si l’on peut choisir une particule de fumée, et si l’on connait précisément l’évolution des particules de fumée, on peut choisir celle qui se retrouvera dans tel coin, là où l’on souhaiterait qu’elle arrive. Si une particule ne se trouve pas là où je désire l’amener, il suffit de la déplacer très légèrement dès le départ – aux conditions initiales, comme disent les scientifiques – pour qu’elle finisse là où je désire qu’elle soit. La caractéristique d’une situation de chaos serait ainsi de permettre de modifier radicalement l’évolution future, tout en n’apportant que de légères modifications à la situation initiale. Pour user d’un langage plus abstrait, on dira qu’une situation chaotique se contrôle avec des forces très faibles, comme le déplacement quasiment infinitésimal des particules de fumée de la mauvaise à la bonne position initiale.
Si l’on transpose cette approche au domaine social, au domaine économique ou au domaine politique, les conséquences sont bien évidemment immenses.
Selon la théorie des systèmes, si vous vous voulez modifier la trajectoire de la particule de fumée, vous qui êtes en dehors de ce système, vous devez faire partie d’un système d’ordre supérieur. Nous devons donc imaginer que le sous-système inférieur, la fumée, est soumis à un système d’ordre supérieur – par exemple l’expérimentateur ; celui-ci pouvant être lui-même soumis à un autre système, disons par exemple un système juridique conditionné lui aussi par sa dépendance à l’égard d’un quatrième système d’un ordre encore supérieur, comme le système législatif, et ainsi de suite. Nous avons donc une hiérarchie de systèmes où chacun d’entre eux peut intervenir sur le système de rang immédiatement inférieur grâce à des forces très faibles. Donc le système (la fumée) peut voir ses trajectoires modifiées grâce à des forces infinitésimales, appliquées par un opérateur dont on pourra, s’il se trouve lui-même dans une situation chaotique, modifier le comportement par des forces également très faibles, le processus se répétant indéfiniment d’un niveau à l’autre. Ainsi, si nous considérons une hiérarchie systémique d’univers chaotiques, nous pouvons les manipuler avec des forces très faibles à chaque niveau.
Concilier un libéralisme apparent avec un constructivisme toujours réel
Je ne vous décris en l’occurrence rien d’autre que les institutions de pouvoir international qui sont en train de se mettre en place, avec une hiérarchie de niveaux, d’abord mondial, puis continental, régional, national, départemental, municipal, etc.
La particularité de cette théorie des systèmes, lorsqu’elle est appliquée aux sciences sociales, est de permettre, en théorie, de concilier libéralisme – un libéralisme « apparent » – et collectivisme – mais un collectivisme bien « réel » ; ce qui, du point de vue médiatique et politique, n’est bien entendu pas neutre.
Nous avons ainsi un sous-système qui est en bas, celui des acteurs économiques, dans une situation apparemment libérale ; puis au-dessus, des institutions internationales, qui ne canalisent pas nécessairement l’action de ces acteurs économiques, mais modifient leurs anticipations en manipulant la monnaie, le budget, les législations ou les règles du commerce international. Nous avons alors un dirigisme réel en haut et, pour les besoins médiatiques, une apparence très suffisante de libéralisme en bas. Nous avons exactement la même chose dans le domaine politique, avec une démocratie apparente et un dirigisme, voire un totalitarisme, tout à fait réels. En bas on vote, mais le cadre dans lequel s’effectue ce vote est prédéterminé par le haut.
Je vous rappelle que le mondialisme est le mouvement qui s’identifie avec l’émergence de forces politiques mondiales, au premier rang desquelles l’ONU. Celle-ci représente une véritable force politique mondiale. Elle répond à une logique qui, pour une part, lui est interne. D’autre part, le mondialisme se donne pour objectif la création d’une nouvelle civilisation, comme on le verra dans la suite de mon exposé. Ne nous méprenons pas : nous avons besoin d’institutions internationales dans certains domaines ; mais ces domaines sont en fait peu nombreux.
Après avoir exposé les méthodes, je vais maintenant vous parler des objectifs.
Le premier, tel qu’il est clairement exprimé dans tous les documents cités, est de diminuer, ou tout au moins de stabiliser la population humaine, avec des chiffres variables selon les sources. Il y a des textes qui parlent de cinq cent millions d’hommes ! C’est le cas par exemple de Jacques-Yves Cousteau pour qui la population humaine ne devrait pas dépasser le demi milliard d’hommes.
Un deuxième objectif est d’imposer, grâce à l’influence des médias, mais aussi par la loi, des valeurs écologiques impliquant une modification profonde de nos valeurs. C’est ainsi que certains vont même jusqu’à envisager de créer une nouvelle religion, s’appuyant sur une nouvelle spiritualité, comme l’évoquent ouvertement certains des ouvrages auxquels j’ai fait référence.
Troisième objectif : l’égalisation mondiale des revenus. Les textes sont surabondants et totalement explicites Ils révèlent une obsession égalitariste qui tend à l’égalisation des revenus sur l’ensemble de la planète. Ce qui implique bien évidemment un contrôle de l’économie, des ressources et de la finance.
Une fois que l’on a ces objectifs bien en tête, il n’est pas difficile de comprendre que l’écologie constitue un formidable levier pour en assurer la réalisation.
Le faux procès de la couche d’ozone
J’évoquerai d’abord le trou dans la couche d’ozone, puis l’effet de serre. Et pour cela, je commencerai par la question des « buts supra-ordonnés » dont je vous ai parlé tout à l’heure.
Il s’agit d’un concept de psychologie sociale, développé par exemple dans les travaux de Mustapha Shérif. En substance, nous dit-on, deux groupes antagonistes – ou tout au moins apparemment antagonistes – ne peuvent parvenir à coopérer ou à se rapprocher que s’il existe un but susceptible de focaliser l’ensemble de leurs énergies. Ce but, qualifié de » supra-ordonné « , doit fédérer tous les autres buts, en particulier ceux des acteurs individuels, mais aussi des États, des ministères, ou de toute autre organisation dirigeante. Ceci revient à réinventer le totalitarisme si l’on se rappelle que, par le passé, les « buts supra-ordonnés » ont été ceux de la race, de la classe ou d’une caste.
Alors que le trou dans la couche d’ozone n’est encore qu’un simple galop d’essai, l’effet de serre, lui, est véritablement conçu et présenté comme un « but supra-ordonné » majeur. Je pense par exemple à Al Gore lorsqu’il dit qu’il faut créer une nouvelle civilisation dont la protection de l’environnement sera le pivot.
Interrogeons-nous d’abord sur la réalité de ces phénomènes. Le trou dans la couche d’ozone, comme vous vous en rappelez sans doute, fut le symbole d’une époque où l’ouverture du journal télévisé de 20 heures se faisait fréquemment avec une image en fausses couleurs représentant l’Antarctique et le trou, cet énorme trou qui, nous disait-on, grossissait inexorablement et menaçait de recouvrir toute la planète, de nous absorber, de nous brûler, avec pour conséquence une augmentation considérable et inéluctable du nombre de cancers de la peau, des mutations génétiques incontrôlées, ou encore la destruction inévitable la biodiversité (puisque certaines espèces y sont plus sensibles que d’autres).
Depuis lors, le souffle est retombé. Et l’on n’a plus entendu parler du trou dans la couche d’ozone depuis fort longtemps.
Que faut-il en retenir ? Un entrefilet de cinq centimètres et demi sur quatre et demi, du prix Nobel de chimie Paul Crutzen, en page vingt-quatre d’un numéro du journal Le Monde :
Lorsque des prévisions apocalyptiques furent avancées, y lit-on, on ne connaissait pas exactement l’ampleur de la détérioration de la couche d’ozone. Maintenant on sait que les dégâts seront très faibles. La démonstration a été faite que la couche d’ozone se détériore à un rythme fort ralenti. »
C’est l’avis de nombreux autres scientifiques.
On nous a dit que ce trou serait causé par les CFC (Chloro-Fluoro-Carbone), un produit chimique qui sert notamment dans les circuits de réfrigération. Ces CFC ont été fabriqués industriellement après la seconde guerre mondiale, et leur production en masse a marqué les années 1960, l’époque du grand bon économique.
Or, la communauté scientifique connaît le trou dans la couche d’ozone – la littérature scientifique en fait foi – depuis 1929; c’est à dire au moins trente ans avant que la production intensive des CFC n’ait commencé. Ils ne peuvent donc pas être la cause du phénomène.
Mais son existence servait à merveille les desseins de certaines organisations internationales – notamment l’Organisation météorologique mondiale, toujours à la recherche de budgets plus importants pour financer ses recherches. C’est elle qui a initié la grande campage de sensibilisation des opinions publiques. Pour cela, les scientifiques qui lui apportaient leur soutien – comme Paul Crutzen, avant qu’il ne change semble-t-il d’avis – ont développé des modèles mathématiques complexes qui démontraient – nous disait-on – que les CFC rejetés par l’homme détruisaient inexorablement la couche d’ozone. Mais ces modèles étaient en réalité fondés sur des bases expérimentales extrêmement fragiles et incomplètes.
Aujourd’hui il est quasiment admis et prouvé que ces modèles étaient incapables de simuler la réalité, donc qu’ils étaient faux.
Comme je vous l’ai déjà dit, la littérature scientifique montre clairement que dès 1929, donc bien avant la production en masse des CFC, le trou dans la couche d’ozone était déjà une réalité. Il résulte d’un phénomène naturel qui existe depuis toujours et qui touche des contrées extrêmement éloignées, essentiellement le Pôle Sud. Ce qui est en cause est principalement l’activité volcanique naturelle du globe. Les volcans rejettent infiniment plus de chlore dans l’atmosphère que les CFC. Par exemple, je citerai le Mont Erebus, un volcan de l’Antarctique en éruption permanente, et qui rejette en permanence des milliers de tonnes de gaz, notamment des composés chlorés, juste à l’endroit où l’on situe le fameux trou dans la couche d’ozone.
Nous disposons donc aujourd’hui de nombreux éléments qui vont dans un sens totalement incompatibles avec la thèse des médias qui désigne l’homme comme l’auteur de ce crime écologique.
Cela dit, les conséquences économiques et politiques, elles, sont bel et bien réelles.
Il y a d’abord la création d’instances internationales chargées de contrôler l’évolution du trou, et d’inciter les États à arrêter ce processus destructeur. Elles sont cependant restées relativement discrète, par rapport à ce qui se passe sur l’autre front, celui de l’effet de serre.
Il y a ensuite l’effet médiatique et psychologique qui s’est traduit par l’introduction dans la conscience collective d’un sentiment nouveau : celui d’une authentique responsabilité mondiale qui impliquerait aussi bien les Russes, les Chinois, les Américains que les Européens (car, dans l’atmosphère, tous nos déchets finissent par se mélanger). Ainsi est apparue, et s’est imposée l’idée que l’on était bel et bien en face d’un véritable problème commun, qu’il fallait nécessairement gérer en commun.
Un sentiment d’interdépendance s’est ainsi créé qui conduit les opinions publiques à considérer que leur sort est désormais lié aux rejets de CFC qui souillent l’autre côté de la planète. Refuser de l’admettre vous désigne automatiquement comme complice d’une entreprise de destruction de la planète. Se diffuse ainsi un sentiment d’allégeance, non plus à une communauté locale, nationale, voire européenne, mais à une communauté mondiale. Ce facteur psychologique représente un fait politique de première grandeur.
L’imposture de l’effet de serre
Maintenant, parlons de l’effet de serre. Il résulte, nous dit-on, du réchauffement dû au gaz carbonique rejeté dans l’atmosphère par la combustion du bois, du gaz naturel ou du pétrole. Cette menace est terrifiante puisqu’il devrait en résulter une élévation de la température terrestre moyenne comprise entre deux et cinq degrés. Le niveau des mers pourrait monter de plusieurs dizaines de centimètres. Les maladies tropicales remonteraient jusque chez nous et le cycle de l’eau potable dans son ensemble serait totalement perturbé.
Il s’agirait donc d’un problème vraiment global, touchant l’ensemble de la planète, puisque toute activité humaine implique une production d’énergie, donc des rejets de gaz carbonique. C’est un problème économique global qui touche toute la société, dans la moindre de ses activités, telle se chauffer ou se déplacer. Tout le domaine social, politique et institutionnel sera donc fatalement concerné. Même l’éthique parce que, compte tenu du danger infini que fait courir cette menace à l’ensemble de la planète, il faudra, nous dit-on, modifier tout notre système de valeurs, y compris les valeurs spirituelles.
Il faudra également adapter le droit international, modifier aussi tout le système éducatif.
On est donc en présence d’un phénomène « systémique », quasiment à l’état pur, et qui touche à tous les domaines de liberté et d’organisation des êtres humains.
La Commission trilatérale, dont les membres représentent à eux seuls à peu près soixante pour cent des forces économiques de la planète, évoque clairement l’objectif d’une réduction de la consommation d’énergie dans les pays développés comprise entre 20 et 60 %. Je vous laisse imaginer ce que cela signifie en terme économique.
Que faut-il en penser, du point de vue scientifique ? Deux écoles s’affrontent. La première, l’école des libéraux, soutenus par des savants américains de renom, parle explicitement d’imposture. La deuxième école est celle des révolutionnaires qui, depuis la fin des années soixante, ne cessent d’annoncer une catastrophe imminente. Pour eux, il est incontestable que la température a déjà commencé à augmenter ; et même que le niveau des mers subit déjà un phénomène d’élévation sensible. En réalité, ceux qui parlent ainsi se fondent encore une fois sur des modèles très incomplets, approximatifs, et donc complètement faux, de l’avis même des savants les plus rigoureux et les plus objectifs.
Toutes les prévisions déduites de ces modèles se sont jusqu’ici toujours révélées inexactes, très éloignées de la réalité. La plus belle preuve de leur erreur réside dans leur incapacité à donner une simulation acceptable des évolutions climatiques du passé. Les équations qu’ils utilisent sont très simplifiées. Notamment, elles n’intègrent pas les phénomènes d’ondes planétaires, qui jouent dans ce domaine un rôle important.
Des travaux plus rigoureux, et qui ne s’appuient pas uniquement sur des modèles de simulation mathématiques, suggèrent qu’il y a effectivement une certaine augmentation de la température dû au gaz carbonique. Ils ne nient pas que les rejets humains puissent exercer une influence sur l’évolution des climats. Mais ils montrent que cette influence est extrêmement faible – de l’ordre de 0,5 degré seulement -, qu’elle est donc à la limite de l’indécelable, et qu’elle ne représente en fait pas grand chose par rapport aux fluctuations climatiques naturelles que l’on enregistre par delà les siècles.
Nous ne devons pas oublier que le climat est un élément qui varie en permanence. Par ailleurs, un demi-degré de réchauffement serait plutôt une bonne chose car l’augmentation de la concentration en gaz carbonique qui le provoquerait bénéficierait plus qu’elle ne nuirait à la croissance des plantes, donc à l’agriculture, aux forêts, et plus généralement à la vie – puisque celle-ci se fonde d’abord sur le phénomène de photosynthèse.
Il est peut-être possible d’identifier quelques effets secondaires négatifs bien insignifiants; mais fondamentalement les écologistes ne convainquent qu’eux-mêmes, et ceux qui ont envie d’être convaincus.
En fait, l’effet de serre est principalement imputable aux modifications de l’activité solaire, le soleil étant le principal vecteur d’influence sur le climat. Les scientifiques observent cette influence depuis une cinquantaine d’années. Même si nous n’en comprenons pas encore tous les mécanismes, c’est un phénomène qui est de mieux en mieux connu. Par ailleurs, il est bien connu également que des éléments contingents, comme la modulation du rayonnement galactique, exercent une influence sur l’évolution de la couverture nuageuse et ainsi modifient la manière dont une partie des rayons solaires est renvoyée vers l’espace.
Alors qu‘en dire, sinon que ce à quoi nous avons affaire n’est qu’une grosse » escroquerie « . La majorité des savants s’efforcent de résister à cette double imposture médiatique, et politique (parce que les hommes politiques, s’ils le voulaient vraiment, auraient tous les éléments à leur disposition pour savoir ce qu’il en est véritablement).
Le principe de précaution, retour à la pensée magique
Les conséquences de cette imposture sont gigantesques car elles touchent à tous les domaines, qu’ils soient économiques, éthiques et spirituels. Il faut donc bien comprendre ce qui est en cause. Notamment tout ce qui découle de la mise en pratique de ce fameux « principe de précaution » auquel tout le monde se réfère aujourd’hui de plus en plus ouvertement.
Ce principe dit en substance que toute action doit être interdite dont il n’est pas prouvé de manière certaine qu’elle n’entraînera pas d’effets négatifs.
Fait essentiel, ce principe de précaution se trouve d’ores et déjà, de facto, intégré dans le droit, tant dans le droit international que dans le droit français. Il ne s’agit pas seulement d’une lubie d’intellectuels. Mais d’un instrument extrêmement puissant qui nous replonge directement dans l’univers de la pensée magique. En effet, si on le suit à la lettre il en découle que dès que quiconque envisage un danger, aussi imaginaire soit-il, se crée une règle de droit qui nous interdit tout ce qui pourrait concrétiser ce danger (imaginaire) et nous enjoint ce qui pourrait l’écourter. Ainsi, si un écologiste prétend, de manière convaincante (mais purement rhétorique) que brûler du pétrole augmente la température de l’atmosphère, même si personne en fait n’en sait rien, et s’il n’en existe aucune preuve scientifique, il résulte du principe de précaution que cette assertion devient ipso facto vraie du point de vue du droit, et entraîne des effets juridiques.
L’aboutissement d’une telle approche est, logiquement, de conduire à l’arrêt de toute activité économique, et de toute activité tout court ! Concrètement, il s’agit seulement de limiter l’activité économique des pays développés, de manière, nous dit-on, à favoriser le rattrapage des pays sous-développés. Je suis bien entendu favorable au développement des pays sous-développés, mais pourquoi freiner le développement des autres ?
Pour terminer, je voudrais revenir sur les objectifs du mouvement mondialiste et évoquer un instant un texte extraordinaire. Il s’agit du "Report From The Iron Mountain » (1967, trad. française de 1984 sous le titre La Paix Indésirable ? – rapport sur l’utilité des guerres ). Son sujet : l’utilité économique des guerres. Plus exactement, dans la perspectives de la convergence entre le système soviétique et le système américain – donc de la disparition des guerres – comment remplacer le rôle économique que remplissait le système militaro-économique par quelque chose d’autre ?
Sur bien des aspects, c’est un rapport délirant. Mais il a tout de même fait l’objet, en son temps, d’un très vif débat aux États Unis, auquel ont participé les plus grands intellectuels du pays. Il a notamment bénéficié d’une couverture médiatique maximale.
Parmi les solutions proposées comme substitution au système militaro-industriel figurait la création d’une menace écologique fictive qui permettrait de remplir une » mission « . Quelle mission ? Dans l’esprit des auteurs, il s’agissait de trouver le moyen de conserver à l’Etat un minimum de contrôle effectif sur l’appareil économique. Autrement dit, d’utiliser la réglementation écologique pour maintenir dans les mains de l’Etat une capacité d’action économique (mais aussi psychologique) qui se substituerait à celle dont il disposait dans le passé du fait des dépenses d’armement.
Ce texte remonte aux années 1965-1967. Mais nous subissons sa postérité. Dans L’Empire Écologique , je montre comment tout un courant, représenté aujourd’hui par le vice-président américain Al Gore, s’inspire de cette problématique.
La conséquence de tout ceci, aujourd’hui, ce sont les protocoles adoptés lors de la conférence de Kyoto : quotas de gaz carbonique, vente et revente de ces quotas…Il en résultera que la production baissera dans les pays développés et augmentera dans les pays sous-développés. On aura des délocalisations massives d’industries, de capitaux, de technologie, voire même de main d’œuvre et de compétences. Autrement dit, le point d’arrivée de toute cette manipulation scientifique, médiatique, et politique, correspond très directement à ce qu’étaient les objectifs de départ formulés dans les années 1970 par les tenants du « Nouvel ordre mondial ».
Mais tout cela se fait aujourd’hui sous le couvert d’un langage soit disant libéral, au nom du libéralisme. La caractéristique de cette nouvelle idéologie au pouvoir est de nous affirmer que, depuis la disparition du communisme, nous sommes libres de faire ce que nous voulons ; mais, attention, seulement à l’intérieur de certaines limites, déterminées par le niveau de rejets de gaz carboniques acceptable ! Ainsi se trouve conciliés une certaine apparence de libéralisme, avec un constructivisme et un dirigisme tout à fait réels, puisque ce que l’on y retrouve est une approche « systémique » caractérisée où les acteurs économiques de niveau inférieur sont libres de faire ce qu’ils veulent, mais dans un cadre pré-déterminé par les institutions internationales, en particulier celles qui ont en charge les questions de l’effet de serre.
L’écologie, levier d’un détournement de l'État de droit
Quels sont les éléments de libéralisme que ce système conserve ? Le premier, psychologiquement le plus important, est l’illusion de la liberté individuelle. C’est l’héritage de tous les travaux de psychologie sociale qui ont établi de manière certaine que l’on ne peut gouverner un pays ou faire fonctionner une économie, ni en fonctionnant comme les soviétiques, ni en autorisant une trop grande autonomie des acteurs. Le système actuel intègre cette critique, puisque vous y trouvez une liberté individuelle qui est tout à fait considérable, avec une apparence de pluralisme, mais qui intègre un point qu’il n’est pas permis de remettre en cause : la question de l’effet de serre.
Vous avez donc un système complexe, auto-organisé, sans contrôle apparent, avec un ordre social spontané. Vous avez également un Etat de droit, autre élément fondamental. Donc, apparemment et du point de vue des médias, nous sommes dans un Etat de droit. Nous sommes gouvernés par des lois, et non par des hommes ou des dictateurs. Mais ces lois, règles abstraites, s’inscrivent au sein d’un cadre qui est prédéterminé par les institutions internationales, en particulier celles qui ont en charge l’effet de serre, et sont donc en mesure d’exercer une influence décisive sur toutes les activités économiques.
Nous sommes donc gouvernée par des lois. La contrainte est réduite au minimum. Nous nous sommes affranchis de tout système totalitaire pour rentrer dans quelque chose qui a les apparences d’une société de droit. Mais ce ne sont que les apparences d’une société ouverte, parce que cette société, encore une fois, s’inscrit dans un cadre qui a été pré-fixé. Il y a en quelque sorte instrumentalisation, détournement des idées libérales par le biais du caractère central donné à la gestion collective de certains « biens communs » tels l’atmosphère. La gestion de ces « biens communs » est l’alibi, le levier qui permet aujourd’hui d’aller jusqu’à réécrire complètement les règles de la justice et de la morale, tout en prétendant rester dans le droit chemin de la critique libérale. Cela permet de manipuler les valeurs ou les attitudes, de manipuler les normes sociales et la sensibilité.
A l’instar de la conception marxiste évoquée au début de mon intervention, nous avons affaire à la modification de la superstructure par la modification des règles qui s’appliquent à la société.
Cette synthèse « systémique » offre, au niveau inférieur, un semblant de société ouverte, mais avec un échelon supérieur qui s’emploie à générer des règles finalisées d’où découle une société qui n’a plus que les apparences de l’ouverture. Nous ne sommes plus dans une société ouverte. Nous n’en avons que l’ apparence. C’est une société fermée qui s’inscrit dans la logique d’une telle approche.
L’objectif, j’y reviens, est rien moins que de créer une nouvelle civilisation. De manière globale, on a quelque chose qui ressemble fort à une manipulation de la conception de Dieu.
Là encore, les textes des institutions internationales sont explicites. Ils nous montrent que l’écologie se résume souvent à une volonté de ramener les individus vers une conception païenne de la nature, où c’est la nature qui est la divinité. Ce qui est ainsi clairement recherché est une modification explicite de la conception de l’homme, de Dieu, de la nature, du monde … donc une modification des conceptions culturelles de fond de notre civilisation.
Notre civilisation est fondée sur une conception judéo-chrétienne de l’homme, que l’on soit chrétien, juif ou musulman. Ce paradigme – l’homme, un être voulu et conçu par Dieu -, est la base de notre droit.
Dès lors que l’on comprend que la conception de l’homme dans l’Univers est fondamentalement mise en cause – « l’homme, cet être néfaste et polluant » -, on a également compris que l’écologie vise finalement rien moins qu’au renversement de cette conception pour lui substituer la collectivité. L’homme ne vient plus qu’en second. On passe de l’homme en tant qu’individu, à l’homme comme membre de la collectivité. Le totalitarisme n’est pas mort.
Pascal Bernardin
Pascal Bernardin est aussi l'auteur de "Machiavel pédagogue
Quelles sont les raisons profondes de la crise de l'école ? Faut-il y voir une tare inscrite dans les gènes de notre société et de son système éducatif ? Ou doit-on conclure à une redéfinition du rôle de l'école et de ses priorités ? Nos enfants sont-ils condamnés à l'ignorance et à l'illettrisme ?
De nombreux parents et enseignants, témoins stupéfaits de la révolution en cours, s'interrogent sur les mutations profondes qu'a subi et que subit encore notre système éducatif. Mais aucun gouvernement, tant de droite que de gauche, ne les a jamais éclairés en exposant les fondements idéologiques de ces réformes et en faisant ressortir leur cohérence et leurs objectifs.
Les réponses à ces interrogations existent pourtant : la philosophie générale de la révolution pédagogique est exposée sans détour dans les publications des organisations internationales (Unesco, OCDE, Conseil de l'Europe, Commission de Bruxelles... ). S'appuyant sur ces textes, l'auteur montre dans cet ouvrage qu'aujourd'hui l'objectif prioritaire de l'école n'est plus de donner aux élèves une formation intellectuelle ni de leur faire acquérir les savoirs élémentaires. Au terme d'une redéfinition du rôle de l'école, celle-ci devient le véhicule d'une révolution culturelle et éthique destinée à modifier les valeurs, les attitudes et les comportements des peuples à l'échelle de la planète. Les techniques de manipulation psychologique, qui ne se distinguent guère des techniques de lavage de cerveau, sont utilisées à tout niveau. Les élèves en sont naturellement les premières victimes. Mais les enseignants et le personnel administratif (directeurs, etc.) ne sont guère épargnés.
Cette révolution silencieuse, antidémocratique et totalitaire, veut faire des peuples des masses ignorantes et soumises. Elle illustre de manière exemplaire la philosophie manipulatoire et dictatoriale qui sous-tend le Nouvel Ordre Mondial et les modes d'action subtils et indirects, mais d'autant plus puissants, qu'il utilise. Aussi cet ouvrage pourrait-il s'intituler Abrégé d'esclavagisme.
Ancien élève de l'École Polytechnique, l'auteur a enseigné les mathématiques dans le secteur privé, en classe préparatoire aux concours des écoles de commerce.
Sénateur Malcolm Roberts (Queensland, Australie): Les milliardaires prédateurs corrompent la libre entreprise
Les riches ne sont inoffensifs que là où ils sont exposés au dédain d’une aristocratie.
Nicolás Gómez Dávila
One Nation est le parti de la libre entreprise, qui a permis au monde occidental de sortir de la pauvreté et de bénéficier d'un niveau de vie élevé dans des sociétés pacifiques.
Ces dernières années, des milliardaires prédateurs - qui possèdent déjà plus que leur juste part - ont utilisé leur richesse pour compromettre l'industrie, les médias et la politique. La raison en est simple : pour ces individus, aucun montant n'est jamais suffisant. Ils convoitent chaque centime que vous possédez et chaque liberté dont vous jouissez.
Le résultat final n'est pas la libre entreprise, mais le capitalisme de connivence, une corruption de la véritable libre entreprise. Ce système corrompu ne sert qu'à enrichir l'élite tout en asservissant les citoyens ordinaires dans un piège à dettes et, plus récemment, dans une prison numérique conçue pour garantir la protection de leur transfert de richesses.
Vanessa Hudson, PDG de Qantas, a récemment déclaré qu'aucune nouvelle compagnie aérienne ne pourrait survivre en Australie ; il s'agissait de Bonza. Depuis, nous avons assisté à la disparition de Rex, laissant deux compagnies à la tête de trois grandes compagnies aériennes sur un marché de 20 milliards de dollars par an.
One Nation estime que la concurrence de la libre entreprise permet d'offrir au plus grand nombre un produit de la plus haute qualité au prix le plus bas. C'est la concurrence qui répond le mieux aux besoins des gens. En Australie, nous n'avons pas de concurrence entre les entreprises, mais un capitalisme de copinage. Ce n'est pas la même chose ; ce sont des ennemis.
Le capitalisme de connivence se produit lorsqu'une cabale d'entreprises agit de concert pour s'emparer de la production, de la fabrication et de la livraison, afin de fournir le produit de la plus basse qualité au prix le plus élevé possible. Cette domination organisée du marché entraîne inévitablement une baisse des salaires et un transfert de richesse des travailleurs australiens vers les capitalistes de connivence.
Quiconque fait ses courses dans un Coles ou un Woolies détenu et contrôlé par des étrangers aura remarqué que tout est plus petit, moins cher et ne fonctionne plus comme avant. C'est le capitalisme de connivence qui est à l'œuvre. Les plus grands fonds d'investissement du monde ont racheté l'Australie et transformé nos entreprises autrefois appréciées en armes d'exploitation massive. Nos entreprises ne sont plus à notre service. Au lieu de cela, nous servons le secteur des entreprises, y compris par l'achat forcé de faux produits médicaux pendant le COVID.
One Nation estime que la réglementation gouvernementale - y compris pour les compagnies aériennes, les banques et le secteur médical - ne protège pas le public contre les entreprises ; elle protège les entreprises contre la nouvelle concurrence et, par conséquent, contre le peuple. Des niveaux élevés de réglementation constituent des barrières à l'entrée pour les nouveaux acteurs, permettant aux grandes entreprises de prospérer tandis que les petits acteurs locaux comme Rex sont étranglés et anéantis. Les masses de réglementations protègent les entreprises avec des avocats coûteux contre les procès.
Si vous pensez qu'il est temps de réduire la réglementation, de réduire la présence des entreprises et des gouvernements étrangers dans notre économie ; si vous pensez qu'il est temps de libérer une véritable concurrence, de résoudre la crise du coût de la vie et d'offrir de meilleurs choix, alors bienvenue dans la lumière. Bienvenue à One Nation.
Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc
Rapport du Forum économique mondial sur l'écart entre les hommes et les femmes ou l'état du Lit de Procuste de la Révolution mondiale
Ce qui n'est pas semblable ne peut pas être égal.
Aristote, Politique.
"Le rapport du Forum économique mondial sur l'écart entre les hommes et les femmes montre que la parité se fait attendre depuis 134 ans
La parité mondiale entre les hommes et les femmes est de 68,5 % et, au rythme actuel, la parité totale n'est pas attendue avant 2158. L'Inde se classe au troisième rang des pays d'Asie du Sud."
Source:
https://www.weforum.org/publications/global-gender-gap-report-2024/digest/
Céramique grecque illustrant le Lit de Procuste. Thésée tue le bandit Procuste qui racourcissait ou allongeait les passants pour les mettre de force à la mesure de son lit. La véritable mesure de toutes choses, et donc de l'homme, n'est pas l'homme comme prétendait le sophiste Protagoras, mais Dieu. Par son acte, Thésée a donc accompli la justice divine, "dharma"
La mise à mort médicale arrive en France
«Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre de plus l’avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie.»
Albert Camus, Hommage à un journaliste exilé (1955).
L'euthanasie active, cheval de bataille de la franc-maçonnerie, doit être votée à l'automne
1 août 2024.
Le 8 novembre 2023, le chef de l’État français Emmanuel Macron se rend au siège du Grand Orient de France. Pour marquer le 250ème anniversaire de la plus ancienne obédience maçonnique française, il prononce un discours dans lequel il promet un projet de loi pour permettre une «aide active à mourir», un thème «auquel la franc-maçonnerie porte une attention particulière.»
Il tient parole et le 10 avril 2024 c’est chose faite: le projet de loi 2462 est soumis à l’Assemblée nationale. Le texte entend légaliser l’euthanasie active. Deux jours plus tard, le Figaro titre, sans complexe et dans une indifférence relative: «Euthanasie : la dernière croisade des francs-maçons.»
Et le journal de nous expliquer que pour le grand maître du Grand Orient de France, Guillaume Trichard, ce projet de loi est «un soulagement.» En effet, la loi facilite grandement la mise à mort en autorisant le recours à une substance létale.
Le 17 mai 2024, les députés réunis en commission adoptent un texte allant encore plus loin que la version originale. Désormais, il n’est plus nécessaire que le candidat à la mort soit atteint «d’une affection grave et incurable», au pronostic vital engagé «à court ou moyen terme»; la nouvelle mouture autorise l’euthanasie pour une personne simplement «atteinte d’une affection grave et incurable en phase avancée ou terminale.»
Autre ajout majeur au texte: l’instauration d’un «délit d’entrave au suicide assisté». Un amendement prévoit en effet une peine d’un an d’emprisonnement et de 15’000 euros d’amende pour quiconque se rendrait coupable «d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer ou de s’informer sur l’aide à mourir par tout moyen.»
Par suite de son adoption en commission, l’hémicycle débat ensuite du projet de loi en première lecture jusqu’au 7 juin 2024, avant de s’interrompre suite à la dissolution de l’assemblée nationale. Les travaux doivent reprendre à l’automne.
(...)
Source et suite de l'article: https://essentiel.news/la-mise-a-mort-medicale-arrive-en-france/
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Le passeport vaccinal européen débarque dans 5 pays pilotes: le projet EUVABECO à la loupe
https://essentiel.news/passeport-vaccinal-europeen-euvabeco-5-pays-pilotes/
Paul Craig Roberts: La honte est morte dans le monde occidental
La honte est morte dans le monde occidental
Paul Craig Roberts
Quel genre de personnes dirigent les Jeux olympiques et l'Association internationale de boxe pour permettre aux hommes de brutaliser les femmes ?
Une boxeuse, Angela Carina, a été opposée à un homme, Imane Khelif, dans un combat de boxe qui a duré 46 secondes. Il est honteux que les Jeux olympiques et l'Association internationale de boxe soutiennent l'abus physique des femmes. Ces organisations sont criminelles lorsqu'elles autorisent un homme à se déclarer femme et à monter sur un ring de boxe avec une femme.
Quel genre d'excrément est Khelif qui est fier de battre une femme ?
Ce à quoi nous assistons avec l'abandon du genre biologique et l'entrée des hommes dans les compétitions entre femmes, c'est à la mort de la honte.
Khelif n'a pas honte.
L'association olympique n'a pas honte.
L'association de boxe n'a pas honte.
L'existence de la boxe féminine est déjà une honte, car il s'agit d'une activité qui n'est pas digne d'une femme. La boxe est une violence, pas un sport.
Les féministes devraient considérer que les organisateurs des Jeux olympiques glorifient la violence masculine à l'égard des femmes.
Il est étonnant que tout le monde ne boycotte pas les Jeux olympiques alors que les jeux eux-mêmes sont utilisés pour boycotter les pays qui refusent les ordres de l'Occident. Les jeux olympiques, qui étaient autrefois des compétitions d'amateurs, sont maintenant des cirques corrompus par l'argent, comme tout ce qui se passe dans le monde occidental.
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2024/08/02/shame-is-dead-in-the-western-world/