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Le Fil d'Ariane d'un voyageur naturaliste

agriculture

(Grande-Bretagne) Musk dit à Starmer : Votre raid fiscal sur les agriculteurs est une erreur

3 Novembre 2024 , Rédigé par Le Fil d'Ariane Publié dans #Agriculture, #Angleterre, #Elon Musk, #Agenda ONU 2030, #Opération Réchauffement climatique

Le milliardaire de la technologie s'exprime sur les changements en matière d'héritage, alors que le gouvernement est confronté à la colère des électeurs ruraux.

Elon Musk s'en est pris à la taxe sur les successions imposée aux agriculteurs par Sir Keir Starmer, faisant ainsi pression sur le Trésor pour qu'il fasse marche arrière.

L'homme le plus riche du monde a déclaré « nous devrions laisser les agriculteurs tranquilles » en réponse à un message posté sur X critiquant les projets du gouvernement d'imposer des droits de succession sur les terres agricoles.

Le Telegraph est en mesure de révéler que les députés travaillistes souhaitent que le Trésor envisage de relever le seuil à partir duquel l'impôt est appliqué à partir d'un million de livres sterling, après avoir été inondés d'appels furieux de la part d'électeurs agriculteurs.

(...)

Le Royaume-Uni est déjà tributaire des importations pour une grande partie de ses fruits et légumes. À la suite de la pandémie de Covid, les députés ont plaidé pour que le pays devienne plus autosuffisant. Selon les chiffres de 2023 du ministère de l'environnement, de l'alimentation et des affaires rurales, l'autosuffisance du Royaume-Uni en légumes frais est à son niveau le plus bas depuis le début des relevés en 1988, soit 53 %.

(...)

https://archive.ph/2024.11.01-210435/https://www.telegraph.co.uk/politics/2024/11/01/elon-musk-tells-starmer-tax-raid-on-farmers-is-wrong/#selection-2319.4-2323.106

et

https://www.bbc.co.uk/news/articles/c1ml5zm9lz5o

NDLR: pour réaliser l'Agenda 2030 de l'ONU dont l'objectif est la dépopulation massive de la planète et l'asservissement et la robotisation des autres au service de la ploutocratie, il faut détruire la petite agriculture familiale et regrouper tous les hommes dans des mégapoles. Ceci pas seulement en Grande-Bretagne bien sûr, mais partout dans le monde.

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Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016

25 Septembre 2024 , Rédigé par Pierre-Olivier Combelles Publié dans #Agriculture, #Auffargis, #Environnement, #France, #Nature, #Yvelines

La prairie de la rue Creuse au clair de lune, fin septembre. Photo: P.O. Combelles. 


La prairie de la rue Creuse au clair de lune, fin septembre. Photo: P.O. Combelles. 


Sous la rubrique Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis, j'ai écrit ces articles et les ai publiés sur le site de l'association Auffargis-Environnement dont j'ai fait partie de 2014 à 2016. Ils ont disparu avec la suppression brutale du site par son ancienne présidente et fondatrice Madame Sophie Noël, sans avertissement préalable ni excuses. Les rescapés, retrouvés dans mes archives, sont incomplets pour certains. L'association commençait à gêner beaucoup d'intérêts privés ou pseudo-publics: projets immobiliers abusifs, pollution par l'agriculture industrielle, pollution par les ondes électro-magnétiques, coupes à blanc de l'ONF, destruction de sites naturels et d'espèces protégées, mettant en cause la responsabilité de la Mairie, du PNR, tout cela dans l'indifférence et l'individualisme quasi-absolus des habitants de ce petit village bourgeois des Yvelines dans la forêt de Rambouillet et du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse, PNR dont la bureaucratie n'a jamais rien fait pour améliorer la situation et nous aider. Depuis mes articles, par exemple, la belle prairie située entre la rue Creuse et le bois des Vindrins a été lotie, une aberration à tous les points de vue (la partie basse étant en plus une zone humide). Un projet signé... Nexity.

Pierre-Olivier Combelles

Dimanche 18 janvier 2015

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis

Le biologiste, moraliste et académicien Jean Rostand (1894-1977) a écrit un jour : « Je n'ai jamais eu besoin de voyager. J'ai toujours trouvé assez d'exotisme dans mon petit jardin pour me dépayser». Pour découvrir la faune et la flore sauvages, pour admirer les étoiles, nul n'est besoin de quitter Auffargis. Dans les forêts, les prairies et les jardins qui nous entourent, mille espèces sont là pour nous rappeler que nous ne sommes pas seuls au monde. Même si les animaux paient un tribut toujours plus lourd à la circulation automobile. Même si les populations d'oiseaux diminuent sans cesse à cause des pesticides répandus dans les champs et de la pollution chimique, sonore, lumineuse et électro-magnétique(1).
C'est pourquoi nous ne parlerons pas des tristes champs des environs, ou presque pas, dans cette nouvelle chronique, mais plutôt des prairies, comme celles qui bordent notre village entre la rue Creuse, la rue de Saint Benoît et la forêt. Prairies où courent les enfants, où volent les papillons, où chantent les grillons, où fleurissent les belles orchidées, où paissent les chevreuils le soir et où brament les cerfs en automne. Prairies menacées par des projets immobiliers… Cette année, fin septembre, un jeune et vigoureux six-cors y avait établi ses quartiers avec son petit troupeau de biches. On l'entendait bramer le soir à coups brefs et entrecoupés, répondant à d'autres cerfs invisibles dans la forêt environnante, du côté des Vindrins et du ru des Vaux de Cernay.
Caché dans la haie de chênes de la rue Creuse, mes jumelles nocturnes à la main, j'ai regardé les cerfs sortir de la forêt, se faufiler prudemment, tête basse, le long de la lisière, émerger du brouillard pour s'avancer dans la prairie au fur et à mesure que la nuit s'épaississait.
Les biches broutaient tranquillement l'herbe. Le six-cors bramait à côté d'elles puis disparaissait. Dans les bois on entendait alors les bruits furieux des branches brisées et des chocs sourds : les cerfs qui se battent, se poursuivent ou qui attaquent violemment les arbustes avec leurs bois, déchiquetant les branches.
La nuit était maintenant là, les étoiles brillaient dans le ciel, voilées par endroits par le brouillard. Les Pléiades prenaient leur envol à l'est comme un cerf-volant scintillant, comme une broche de diamants agrafée sur le manteau de la nuit. L'automne, les Pléiades et Cernunnos(2) étaient de retour dans notre forêt de Rambouillet, vestige de l'antique forêt des Carnutes…

Pierre-Olivier Combelles (octobre 2014)

(1) Voir par exemple les rapports de la Société d'Études ornithologiques de France (SEOF) à ce sujet :
http://seofalauda.wix.com/seof
(2) Cernunnos : dieu gaulois de la prospérité et des saisons, vraisemblablement Dis Pater, le dieu Père des Gaulois évoqué par César dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules.

 

 

Les Pléiades. Photographie par Gilles Chapdelaine (Québec

Les Pléiades. Photographie par Gilles Chapdelaine (Québec

Monoculture de colza aux alentours d'Auffargis dans un champ cultivé chaque année en blé ou en colza (donc sans jachère) et arrosé de pesticides et d'engrais chimiques (YaraBela Extran). On voit que rien ne pousse en dehors du colza. Photo: Pierre-Olivier Combelles, avril 2015

Monoculture de colza aux alentours d'Auffargis dans un champ cultivé chaque année en blé ou en colza (donc sans jachère) et arrosé de pesticides et d'engrais chimiques (YaraBela Extran). On voit que rien ne pousse en dehors du colza. Photo: Pierre-Olivier Combelles, avril 2015

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis

Mercredi 21 janvier 2015

Pour une campagne propre autour d'Auffargis

Chaque année, les champs de céréales (blé, colza) qui entourent Auffargis sont couverts de montagnes d'engrais chimiques et arrosés de déluges de pesticides. C'est visible: la terre est morte, blanchie, et sent mauvais. Tous les promeneurs qui empruntent la route des Cinq Cents Arpents qui va des Essarts à l'abbaye des Vaux de Cernay ou les cyclistes qui vont à Vieille-Eglise ou au Perray en ont fait l'expérience. L'eau de pluie ruisselle et forme des mares toujours plus grandes sur le sol tassé par les énormes engins agricoles (plusieurs dizaines de tonnes). Pas besoin de l'analyse des célèbres microbiologistes des sols Claude et Lydia Bourguignon ou de l'agronome japonais Manasobu Fukuoka, pionnier de la permaculture, pour le constater.  Les populations d'oiseaux sont aussi en baisse constante en Ile-de-France à cause des pesticides, tout le monde s'en rend compte et les organismes scientifiques le prouvent (SEOF, CORIF, LPO(1)). Les abeilles et les insectes pollinisateurs sont menacés.
A grand renfort d'affiches, certaines communes de la région, comme Les Essarts-le-Roi, se targuent de ne plus utiliser de pesticides sur les parterres publics. Mais quid des cultures qui nous environnent et nous polluent ? Il ne s'agit plus là de quelques ares de plates-bandes fleuries d'espèces horticoles exotiques, mais de milliers d'hectares qui, de plus, alimentent directement les nappes phréatiques et les cours d'eau. Ces cultures sont-elles OGM ? Quels sont les pesticides employés ? Le Roundup(2) ? Les habitants de la région doivent être informés.
On le sait, l'agriculture industrielle sert moins à nourrir (mal) les gens qu'à produire des profits financiers, notamment au secteur agro-chimique, aux grands semenciers, aux constructeurs de matériel agricole et aux banques. Dans ce système où le consommateur est captif, le petit agriculteur est le pot de terre : un tous les deux jours se suicide au doux pays de France.
Ce que dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est d'une agriculture de proximité et d'une sylviculture(3) écologiques, consacrées en priorité à la consommation nationale et non plus à l'exportation, responsables, démocratiques, respectueuses des terroirs et de la biodiversité et organisées sur le long-terme. Dans les communes voisines du Parc, il y a des fermes biologiques qui produisent et vendent des fruits et des légumes sains. Pourquoi n'y en a-t-il pas à Auffargis ? Pourquoi l'épicerie du village ne vend-elle pas en priorité les produits frais locaux ? Pourquoi, en dehors des forêts et des zones humides à protéger, l'espace serait-il obligatoirement consacré à l'agriculture industrielle, à l'urbanisation et aux infrastructures routières ? 
Il n'y a pas la politique et la gestion de collectivités d'une part et l'environnement de l'autre. Il n'y a qu'une seule et même attitude compréhensive, responsable et « citoyenne » à l'égard des hommes et de la nature dont nous faisons humblement partie.

Pierre-Olivier Combelles


(1) Société d'Etudes Ornithologiques de France, Centre Ornithologique de la Région d'Ile de France, Ligue pour la Protection des Oiseaux. Sur le déclin des oiseaux, des papillons et des chauves-souris en Ile de France: http://www.paris.fr/pratique/paris-au-vert/nature-et-biodiversite/le-point-sur-la-biodiversite-en-ile-de-france/rub_9233_stand_92511_port_22522
(2) D'après le Pr. Gilles-Eric Seralini, le Roundup, l'herbicide le plus utilisé au monde est responsable « de graves perturbations hépatiques et rénales, ainsi que des hormones sexuelles et l'apparition de tumeurs mammaires ». (http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/06/24/toxicite-du-roundup-et-d-un-ogm-seralini-republie-son-etude-controversee_4444396_3244.html9
(3) Forêts naturelles diversifiées et non plus monocultures d'espèces, souvent étrangères, à croissance rapide (pin sylvestre, chêne d'Amérique) ANNEXE
(...) La volonté de notre Chambre (commerce-industrie, métiers de l’agriculture) c'est de représenter un corps vivant, dont les différentes composantes se vivifient l'une l'autre. On ne peut faire cohabiter des parties vivantes et des parties moribondes. La terre est faite pour nourrir les gens du pays avec les produits du pays, c'est à dire pour assurer l'autosuffisance alimentaire. Un gel généralisé serait suicidaire. Et l'insolvabilité de l'agriculture ne peut qu'ébranler toute l'économie. Si l'on ne veut plus que notre société fabrique des exclus, il faut revenir à la ferme de polyculture qui entretenait naturellement l’environnement par l'assolement et l'association culture-élevage, petite entreprise familiale qui crée plus d'emplois que la grande. C'est vraiment un comble de voir l’agriculture devenir une nuisance. Les solutions ne peuvent être que multiples et variées. Selon les régions et les latitudes, il faut encourager les productions sous contrat, les productions liées à la clientèle de proximité, l'agriculture biologique, etc.
 
Nos pays se prêtent bien aussi à l'alternance des tâches par un travail mi agricole, mi industriel, où nos PME et nos artisans peuvent jouer un rôle essentiel de relais sans déracinement. Si nous voulons défendre la préférence communautaire contre un mondialisme qui est une idée fausse, il faut conserver à l'Europe ses originalités, ses particularismes, ses " pays ", avec leur incomparable qualité de vie. Une civilisation est aussi la rencontre entre un peuplement et un territoire. En face d'une trop grande concentration urbaine, nous avons besoin d'une meilleure irrigation géographique. Alors, l'économie, de maîtresse, deviendra servante. Nos Capétiens n'étaient-ils pas des paysans rassembleurs de terres et faiseurs d'enfants ? " (...)

Henri Eschbach, Lettre n° 111 de la Chambre de commerce du Jura – 2e trimestre 1992 (H. Eschbach était Président de la Chambre de Commerce du Jura à cette époque). Source: http://pocombelles.over-blog.com/page-4634309.html

 

 

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis

Mardi 2 juin 2015

Orchidées et fleurs des prairies.

Les vastes et belles prairies qui bordent Auffargis à l'est et au sud entre le Bois des Vindrins, la rue Creuse et la rue de St. Benoît, pâturage des chevreuils, des cerfs et des sangliers de la forêt, abritent au printemps plusieurs espèces d'Orchidées et de fleurs remarquables. En voici quelques-unes, qu'il faut admirer avant qu'elles ne disparaissent, détruites par la fauche ou le broyage intempestifs ou par les projets immobiliers*.
Admirez-les, mais ne les cueillez pas. Elles sont protégées !

Pierre-Olivier Combelles

* En France, la surface d'un département est artificialisée tous les 7 ans: http://www.reporterre.net/Artificialisation-des-sols-les N.B. Toutes les photos ont été prises dans et autour des prairies d'Auffargis.

 

La prairie de la rue Creuse début juin, en fin d'après-midi. La Croix St-Jacques est un peu plus loin, à droite des maisons qu'on aperçoit au fond. Au crépuscule,  les cerfs et les chevreuils sortiront de la forêt pour pâturer. Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015)

La prairie de la rue Creuse début juin, en fin d'après-midi. La Croix St-Jacques est un peu plus loin, à droite des maisons qu'on aperçoit au fond. Au crépuscule,  les cerfs et les chevreuils sortiront de la forêt pour pâturer. Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015)

Orchis pourpre (Orchis purpurea). Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015.

Orchis pourpre (Orchis purpurea). Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015.

Les fées de la prairie 
 Orchis pourpre (Orchis purpurea). Détail. Photo: Gérard La Ferté (2010)

Les fées de la prairie 
 Orchis pourpre (Orchis purpurea). Détail. Photo: Gérard La Ferté (2010)

Lychnis Fleur-de-Coucou (Lychnis Flos-Cuculi). Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015).

Lychnis Fleur-de-Coucou (Lychnis Flos-Cuculi). Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015).

Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Les fleurs exhalent, surtout la nuit, un délicieux parfum de vanille.C'est pour attirer les papillons de nuit qui aspirent avec leur trompe le nectar contenu dans les longs éperons. Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015)

Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Les fleurs exhalent, surtout la nuit, un délicieux parfum de vanille.C'est pour attirer les papillons de nuit qui aspirent avec leur trompe le nectar contenu dans les longs éperons. Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015)

 Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Détail. Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015)

 Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Détail. Photo: Pierre-Olivier Combelles (2015)

Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Détail.
Photo: Pierre-Olivier Combelles (juin 2015).

Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha). Détail.
Photo: Pierre-Olivier Combelles (juin 2015).

Ophrys abeille (Ophrys apifera). Photo: Gérard La Ferté (2010).

Ophrys abeille (Ophrys apifera). Photo: Gérard La Ferté (2010).

Ophrys abeille (Ophrys apifera). Détail.  Photo: Gérard La Ferté (2010)

Ophrys abeille (Ophrys apifera). Détail.  Photo: Gérard La Ferté (2010)

Ophrys abeille (Ophrys apifera). Détail. Photo: Pierre-Olivier Combelles, 13 juin 2015.

Ophrys abeille (Ophrys apifera). Détail. Photo: Pierre-Olivier Combelles, 13 juin 2015.

Une autre Ophrys abeille, quelques mètres plus loin. Ces Orchidées vivent souvent en petites colonies de 5 ou 6 exemplaires, comme ici, sur les pelouses sèches et bien exposées. Comme leur nom l'indique, les Ophrys imitent certains insectes pour les attirer et assurer leur pollinisation. Mais elles peuvent aussi s'auto-féconder. Les graines minuscules privées de réserves nutritives ne peuvent germer qu'en présence d'une espèce spéciale de champignon.
Photo: Pierre-Olivier Combelles, Auffargis, 14 juin 2015.

Une autre Ophrys abeille, quelques mètres plus loin. Ces Orchidées vivent souvent en petites colonies de 5 ou 6 exemplaires, comme ici, sur les pelouses sèches et bien exposées. Comme leur nom l'indique, les Ophrys imitent certains insectes pour les attirer et assurer leur pollinisation. Mais elles peuvent aussi s'auto-féconder. Les graines minuscules privées de réserves nutritives ne peuvent germer qu'en présence d'une espèce spéciale de champignon.
Photo: Pierre-Olivier Combelles, Auffargis, 14 juin 2015.

Orchis bouc (Himantoglossum hircinum). Photo: Pierre-Olivier Combelles (13 juin 2015)

Orchis bouc (Himantoglossum hircinum). Photo: Pierre-Olivier Combelles (13 juin 2015)

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Coccinelle sur une marguerite. Photo: Francois Combelles Humala-Tasso.

Coccinelle sur une marguerite. Photo: Francois Combelles Humala-Tasso.

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016

Les orchidées sont menacées en France Les quatre espèces d'orchidées (160 espèces en France, sur un total de 779 genres et 22500 espèces dans le monde) que nous avons rencontrées dans les prairies d'Auffargis et aux alentours immédiats: la Platanthère à fleurs verdâtres (Platanthera chlorantha), l'Orchis pourpre (Orchis purpurea), l'Orchis bouc (Himantoglossum hircinum) et l'Ophrys abeille (Ophrys apifera), sont inscrites sur la liste des espèces menacées sur le territoire national.  Communiqué de l'UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature):

La Liste rouge des orchidées de France métropolitaine

Selon l’état des lieux effectué, une espèce d’orchidées sur six pourrait disparaître du territoire métropolitain.
La première analyse jamais réalisée sur les 160 espèces d’orchidées présentes en France métropolitaine montre que 27 d’entre elles sont menacées de disparition du territoire, et que 36 autres sont proches de le devenir sans une attention particulière portée à leur situation.
Ces résultats sont le fruit d’un travail commun mené par le Comité français de l’UICN, le Muséum national d’Histoire naturelle, la Fédération des conservatoires botaniques nationaux (FCBN) et la Société française d’orchidophilie (SFO).
Communiqué de l'UICN avec le lien vers la Liste rouge des espèces menacées en France: http://www.uicn.fr/Liste-rouge-orchidees.html
 

Bibliographie

Orchidées d'Europe. Coll. Petits atlas N°83-84, Payot, Lausanne (Suisse). Flore forestière française (1: Plaines et collines), par Jean-Claude Rameau et al. I.D.F:, 1989.
The Illustrated Flora of Britain and Northern Europe, by Marjorie Blamey, Christopher Grey-Wilson. Hodder & Stoughton, London, 1989.
Soul of Japan - The Visible Essence. Photography by Katsuhiko Mizuna and Hidehiko Mizuno, text by Yoji Yamakuse. IBC Publishing, Tokyo, 2012.

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis

Mercredi 17 juin 2015

Adieu les orchidées et les fleurs de la prairie


Les prairies de la rue Creuse et de la rue de St Benoît ont été fauchées*, ou plutôt broyées, hier au tracteur. Les orchidées et les fleurs magnifiques que je montrais dans mon dernier article sont détruites, rasées, hachées.
Bien entendu il ne faut pas remettre en question le principe de la fauche annuelle des prairies (qui ne seraient plus des prairies sans cela, mais des forêts), mais on peut s'interroger sur l'époque la plus opportune, surtout lorsqu'il s'agit de broyage. Ce n'est certainement pas au au moment de la floraison des plantes herbacées sauvages, qui attirent et nourrissent beaucoup d'insectes et donc d'oiseaux. Les Plantanthères par exemple, dont j'ai remarqué l'abondance dans cette prairie, étaient encore en fleur  et par conséquent leurs graines n'étaient pas encore formées. Les orchidées** sont menacées sur le territoire national. Les quatre espèces que l'on rencontre dans notre prairie et aux alentours immédiats (Platanthera chlorantha, Orchis purpurea, Ophrys apifera et Himantoglossum hircinum) figurent sur la Liste rouge des espèces menacées de France (communiqué de l'UICN ci-dessous). Il faut donc attendre plus tard pour faucher ou broyer, pour ne pas bouleverser l'ordre de la nature. Notons que malheureusement la législation et notamment la  règlementation du Parc naturel régional ne sont pas contraignantes sur ce point. Car la prairie d'Auffargis est l'exemple type de la prairie permanente dont l'importance écologique, paysagère et pour la qualité de l'environnement est connue depuis longtemps***. C'est en tant que telle que la nôtre doit être reconnue et protégée.

Pierre-Olivier Combelles

* En principe on parle de fauche ou fauchage  lorsque l'herbe est coupée et laissée à sécher (foin, fourrage) et emportée pour être donnée plus tard en nourriture aux animaux d'élevage (bovins, chevaux, chèvres, etc.).
** 160 espèces en France métropolitaine sur un total de 779 genres et 22500 espèces connues dans le monde, divisées en deux catégories: terrestres et épiphytes (vivant sur les arbres). On les rencontre depuis l'Arctique et les hautes montagnes jusque sous les Tropiques.
 *** Voir l'article Wikipedia: https://fr.wikipedia.org/wiki/Prairie_permanente

A propos des orchidées d'Auffargis et de celles de Mantes-Rosny: http://lautreechoduquartierfluvial.over-blog.fr/article-les-orchidees-sont-de-retour-117926159.html

La Liste rouge des orchidées de France métropolitaine

Selon l’état des lieux effectué, une espèce d’orchidées sur six pourrait disparaître du territoire métropolitain.
La première analyse jamais réalisée sur les 160 espèces d’orchidées présentes en France métropolitaine montre que 27 d’entre elles sont menacées de disparition du territoire, et que 36 autres sont proches de le devenir sans une attention particulière portée à leur situation.
Ces résultats sont le fruit d’un travail commun mené par le Comité français de l’UICN, le Muséum national d’Histoire naturelle, la Fédération des conservatoires botaniques nationaux (FCBN) et la Société française d’orchidophilie (SFO). (Communiqué de l'UICN, avec le lien vers la Liste rouge des espèces menacées en France): http://www.uicn.fr/Liste-rouge-orchidees.html
"Publiée en partenariat avec Natureparif, l’agence régionale pour la nature et la biodiversité en Île-de-France, cette Liste rouge régionale de la flore vasculaire d’Île-de-France a permis d’établir que 85 espèces végétales (6 %) semblent avoir disparu de la région depuis le XVIIIe siècle et 400 autres (26 %) sont aujourd’hui menacées.
Parmi celles-ci, 128 courent un risque majeur d’extinction (8 %) dans les prochaines années.
La destruction et la dégradation des habitats naturels représentent la principale cause de régression des espèces végétales. L’urbanisation et les changements de pratiques agricoles sont responsables de la disparition progressive de nombreuses espèces (...)
http://cbnbp.mnhn.fr/cbnbp/ressources/publications.jsp#21  Orchisauvage - Société francaise d'Orchidophilie: http://www.orchisauvage.fr/    L'exemple de la Suisse:
chaque agriculteur doit réserver le 7% de sa surface cultivable à la biodiversité = faucher après le 1er juillet.
les paiements versés à l'agriculteur varient en fonction de la richesse florale de la parcelle, indicatrice de bonne ou très bonne santé.

 

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Platanthera chloranta, la Platanthère à fleurs verdâtres. Détail. Chaque fleur est fixée à la hampe florale par une petite tige qui est l'ovaire. Il est torsadé pour permettre à la fleur épanouie d'être en bonne position pour la pollinisation par les papillons de nuit, qui aspirent avec leur trompe le nectar contenu dans le long éperon. L'ovaire va alors grossir, les graines se développant à l'intérieur, puis à maturité il devient une capsule déhiscente qui se déchirera pour libérer les graines minuscules (il y en a des milliers dans une seule capsule) qui se répandront alentour. Ne possédant pas de réserves nutritives, elles ont besoin pour germer d'un champignon spécial dans le sol. Photo: Pierre-Olivier Combelles (juin 2015).

Platanthera chloranta, la Platanthère à fleurs verdâtres. Détail. Chaque fleur est fixée à la hampe florale par une petite tige qui est l'ovaire. Il est torsadé pour permettre à la fleur épanouie d'être en bonne position pour la pollinisation par les papillons de nuit, qui aspirent avec leur trompe le nectar contenu dans le long éperon. L'ovaire va alors grossir, les graines se développant à l'intérieur, puis à maturité il devient une capsule déhiscente qui se déchirera pour libérer les graines minuscules (il y en a des milliers dans une seule capsule) qui se répandront alentour. Ne possédant pas de réserves nutritives, elles ont besoin pour germer d'un champignon spécial dans le sol. Photo: Pierre-Olivier Combelles (juin 2015).

Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
Par les bois, les prairies et les jardins d'Auffargis. Articles de Pierre-Olivier Combelles sur la nature et l'environnement à Auffargis (Yvelines, France) 2014-2016
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(Essentiel.news) L’entomophagie ou la guerre du WEF contre la santé et le goût

24 Juin 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #5G, #Agenda ONU 2030, #Agriculture, #Davos, #Forum Economique Mondial, #Génétique, #Insectophagie, #NET ZERO, #OGM, #Opération "réchauffement climatique", #Opération Réchauffement climatique, #Politique, #Santé, #Tranhumanisme, #Union Européenne, #Vaccination, #World Economic Forum

Consommation d’insectes* pour cause de «changement climatique», dernier chapitre en date de la destruction de la culture.

Le 2 mai dernier 2023, le journal financier américain Wall Street Journal titrait: «la Suisse veut que les enfants mangent moins de chocolat, plus d’insectes». Et de se féliciter qu’en 2017 la Suisse soit devenue le premier pays en Europe à autoriser la vente d’insectes comme aliment pour les humains.

«Novel food»

Dès 2021, l’Union européenne a suivi l’exemple suisse, et a commencé à autoriser différents types d’insectes pour la consommation humaine. A ce jour, sont permis les larves de ténébrion meunier (espèce de coléoptère qui affectionne notamment les farines de céréales), la locuste migratoire, le grillon domestique (acheta domesticus), et les larves d’alphitobius diaperinus.

Ces insectes peuvent être utilisés sous forme de poudre pour la production de pâtes, de pain, de biscuits, de barres, de crackers, de sauces, de plats à base de légumineuses, de soupes, etc.

L’anglicisme apaisant que les planificateurs, législateurs, bureaucrates, potentats et autres partisans de l’entomophagie emploient pour rassurer le public est celui de «novel food». Sous cette appellation, on comprend que le fait d’ingérer ce qui était récemment considéré comme relevant de l’infestation alimentaire doit être vu comme une pratique moderne, branchée, dans l’ère du temps; et que, très certainement, tous ceux qui y sont réfractaires sont non seulement arriérés mais probablement aussi racistes, puisque des humains semblent s’en délecter sous d’autres latitudes.

C’est ainsi qu’en préambule de sa page intitulée «les insectes comme denrée alimentaire», la Confédération suisse écrit que «dans certaines cultures, la consommation d’insectes est autorisée», et qu’en Suisse, «les insectes sont considérés comme des nouvelles sortes de denrées alimentaires». L’Office fédéral de la sécurité alimentaire désigne ensuite sans surprise la consommation d’insectes par l’anglicisme susmentionné.

Changement climatique

Cependant les observateurs avisés ne sont pas dupes: ils font remarquer que l’entomophagie ne progresse pas parce qu’on s’ouvre à quelque pratique exotique, mais bien à cause de la profession de foi dans le «changement climatique.»

D’ailleurs, les propagandistes ne s’en cachent pas. Dans son Davos Agenda 2022, le World Economic Forum (WEF) conclut son article intitulé «5 raisons pour lesquelles la consommation d’insectes pourrait réduire le changement climatique» de la façon suivante:

Il y a tant de façons de réduire son empreinte carbone dans la consommation alimentaire, et elles ne nécessitent pas de manger des grillons au petit-déjeuner, mais comme le dit le proverbe, “ne critiquez pas le scorpion enrobé de chocolat tant que vous ne l’avez pas essayé”.

(...)

Lisez ici la suite:

https://essentiel.news/entomophagie-guerre-wef-contre-sante-et-gout/

* NDLR: La carapace des insectes contient de la chitine qui est une substance conductrice d'électricité. Elle peut donc jouer un  rôle dans l'interconnexion et la manipulation de l'organisme humain via la 5G.

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Alliance for Natural Health: “Notre pandémie, c’est d’être déconnectés de la nature”

24 Juin 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Alliance for Natural Health, #Agriculture, #Agenda ONU 2030, #Biologie, #Economie, #Environnement, #Europe, #Génétique, #Mondialisme, #OGM, #Opération Réchauffement climatique, #Opération Coronavirus, #Royaume-Uni, #Santé, #Médecine

Alliance for Natural Health (ANH) est une ONG internationale basée au Royaume-Uni, qui veut protéger et promouvoir des approches naturelles pour se soigner. Elle regroupe de nombreux professionnels de santé, scientifiques, avocats et entreprises de produits naturels.

La Dre Meleni Aldridge, coordinatrice et le Dr Robert Verkerk, directeur exécutif et scientifique d’ANH, sont venus à Genève lors de l’Assemblée mondiale de la santé pour témoigner devant l’OMS: la santé, ce n’est pas la guerre contre des virus, mais la paix avec la nature.

Le bio et les remèdes naturels toujours plus attaqués

“Il est toujours plus difficile d’obtenir des produits réellement naturels pour se soigner comme pour se nourrir. L’agriculture biologique et les remèdes naturels sont de plus en plus attaqués”, explique Bob Verkerk dans cette vidéo. L’industrie alimentaire fonce vers une nourriture artificielle, alors que les pharmas contrôlent une médecine dominante qui fonctionne comme un parti unique, estime-t-il.

Même beaucoup d’écologistes qui dénonçaient bruyamment le symbole de l’agro-business Monsanto sont tombés dans le piège de Pfizer. Ils hurlaient contre les aliments OGM, et aujourd’hui ils acceptent sans rien dire des injections pseudo-vaccinales tout aussi expérimentales et risquées.*

Mais la vraie pandémie, “c’est que nous sommes déconnectés de la nature”, conclut cet expert international renommé en agriculture, santé et durabilité.

La nature a toutes les clés

“Nous, les humains, somme des êtres multidimensionnels, affirme Meleni Aldridge. Nous avons besoin d’approches différentes, et pas seulement d’un système qui nous martèle: médoc, médoc, médoc! (drug, drug, drug)”.

Bien sûr, elle n’est pas opposée à la médecine allopathique en cas d’urgence. Mais face aux maladies chroniques qui touchent la majorité des gens, cette médecine dominante ne s’adresse pas aux causes. Et là, c’est la nature qui a toutes les clés, dit-elle.

Ces clés se trouvent dans le mode de vie, le mouvement, l’alimentation, les relations: “C’est nous qui les avons, c’est nous qui avons le pouvoir sur notre santé,” rappelle avec force la Dre Meleni Aldridge.

Site : https://www.anhinternational.org

Source: https://essentiel.news/pandemie-etre-deconnectes-de-la-nature/

* NDLR: car les "vaccins" ont pour but de transformer l'être humain en organisme OGM programmable à distance avec la 5G.

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Sénateur Malcolm Roberts (Queensland, Australie): Le projet de loi de démolition de l'agriculture des travaillistes et des verts

17 Janvier 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Agriculture, #Australie, #Mondialisme, #Forum Economique Mondial, #OMS, #ONU, #One Nation, #Politique

En 2016, j'ai pris la parole au Sénat pour la première fois et j'ai averti que les Nations Unies voulaient réduire les Australiens de tous les jours au statut de serfs par le biais de la politique climatique. J'ai dit à l'époque que nous avions besoin d'un #AusExit, que nos valeurs et notre mode de vie étaient menacés par les dangereux programmes socialistes de l'ONU. Et voilà où nous en sommes aujourd'hui.

Il y a de plus en plus de lois qui passent par la chambre d'examen de l'Australie, le Sénat, sans examen ou débat approprié. Le parti travailliste conclut d'autres accords douteux au nom des objectifs de développement durable des Nations unies. Le parti travailliste a également introduit une motion permettant aux Verts d'amender la loi sur la protection de l'environnement et la conservation de la biodiversité dans le cadre de ce projet de loi. Cela permet aux Verts d'ajouter un projet de loi de leur cru à la fin du projet de loi du gouvernement et de le voter en une seule fois. Un projet de loi que nous ne pouvons ni examiner, ni amender, ni débattre. Ce n'est pas un processus parlementaire conventionnel. Il s'agit d'une dictature antidémocratique.

Le projet de loi sur la "réparation de la nature" permet aux grandes entreprises d'écologiser leur image en tirant parti des avantages en termes de relations publiques des projets de réparation de la nature qu'elles achètent. Il fournit les moyens de restreindre la capacité de production en prenant des terres agricoles productives et en les rendant à Gaia. Il empêchera les Australiens et les visiteurs de notre pays de sortir et de profiter de nos magnifiques parcs nationaux parce qu'il donne plus de contrôle sur les propriétaires traditionnels.

Le programme mondialiste est mis en œuvre dans l'intérêt des fonds d'investissement prédateurs du monde entier. Il est mis en œuvre par l'intermédiaire des Nations Unies, de l'Organisation mondiale de la santé et du Forum économique mondial, ainsi que dans le cadre d'une législation bâclée et précipitée telle que celle proposée par ce projet de loi.

One Nation est fière de s'opposer à tout ce que ce projet de loi représente et j'offre le même conseil que celui que j'ai donné en 2016. Nous devons quitter les Nations Unies #AusExit !

Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc avec DeepL.

Source: https://www.malcolmrobertsqld.com.au/the-labor-greens-agriculture-wrecking-bill/

Transcription

Sénateur ROBERTS (Queensland) (20:06) : En tant que serviteur des nombreuses personnes différentes qui composent notre unique communauté du Queensland, il est de mon devoir de m'assurer que je traite chaque projet de loi soumis au Sénat de manière complète et appropriée. Trop souvent, ce gouvernement conclut des accords douteux avec les " Sarcelles" (Teals), les partisans de l'opposition et les Verts pour faire passer des lois sans examen approfondi. Il s'agit d'une législation rédigée pour des raisons idéologiques et non pour répondre à des besoins humains, ce qui a pour conséquence d'aggraver la situation. Il s'agit d'une législation qui doit être adoptée sans débat, de peur que l'électorat ne soit informé de ce que le gouvernement leur fait réellement au nom des objectifs de développement durable des Nations unies.

Je parle du projet de loi 2023 sur la réparation de la nature, à seulement 30 minutes du vote, et pourtant je parle d'un projet de loi provisoire. Les amendements massifs à ce projet de loi, dont je sais maintenant qu'ils sont substantiels, n'ont pas été révélés au Sénat il y a à peine une heure. Il semble que le gouvernement ait l'intention de présenter les amendements et d'exiger ensuite un vote immédiat. C'est exactement ce que nous avons vu. Ce n'est pas ainsi que fonctionne la chambre de révision, notre Sénat.

Ce qui est encore plus troublant, c'est que le gouvernement a maintenant une motion qui permettrait aux Verts d'amender la Loi sur la protection de l'environnement et la conservation de la biodiversité dans le cadre de ce projet de loi - une nouvelle pour nous il y a encore une heure. Cela signifie que les Verts, avec le soutien du sénateur "Sarcelles" Pocock, sont autorisés à ajouter un projet de loi de leur cru à la fin du projet de loi du gouvernement, puis à le voter - un projet de loi que nous ne pouvons ni lire, ni amender, ni débattre. Une convention de longue date au Sénat veut que nous examinions un projet de loi à la fois et que nous n'amendions que le projet de loi en question, une règle que le gouvernement est heureux d'ignorer lorsqu'il est suffisamment désespéré pour conclure un accord avec les Verts et Sarcelles. Il ne s'agit pas d'un processus parlementaire, mais d'une dictature antidémocratique. C'est une plaisanterie, et les citoyens en paieront le prix. Lorsque nous appelons les Verts des pastèques - vertes à l'extérieur et rouges à l'intérieur - c'est pour cette raison. C'est la Russie soviétique qui ferait un tel coup, pas l'Australie démocratique.

J'ai récemment expliqué à plusieurs reprises que le gouvernement travailliste était le meilleur ami des milliardaires parasites prédateurs du monde entier. Ce projet de loi en est un parfait exemple. À l'instar du marché national de l'électricité, qui est un véritable racket, ce projet de loi permet aux grandes entreprises de faire de l'écoblanchiment. Pour expliquer, l'écoblanchiment permet à une entreprise - très probablement une multinationale étrangère - d'affirmer qu'elle est "net zéro friendly" (respectueuse de l'environnement). Ce n'est tout simplement pas vrai. Elle trompe ainsi les investisseurs et les clients. Elles atteignent le niveau zéro en achetant des certificats verts ou des crédits de dioxyde de carbone pour compenser les coûts environnementaux prétendument encourus dans le cadre de leurs activités commerciales. Un rapport de l'Union européenne a révélé que 95 % des crédits de dioxyde de carbone provenaient de projets qui ne faisaient aucune différence pour l'environnement, et Europol a déclaré il y a quelques années que 95 % d'entre eux étaient des escrocs. En d'autres termes, il s'agit d'une escroquerie.

L'industrie minière s'est prononcée en faveur des compensations, qu'elle appelle "compensations des pertes évitées". Ces compensations se produisent après l'achat et l'amélioration d'une zone de terre avec le même habitat que celui qui est détruit ou endommagé par le développement. Cela peut sembler favorable à l'exploitation minière, mais il s'agit en fait d'une dépense supplémentaire et d'une bureaucratie plus verte qui serait mieux gérée par le système existant de restauration - remettre les lieux dans l'état où ils se trouvaient, ou mieux, ce qui est le cas actuellement.

En effet, on pourrait craindre que ces compensations de pertes évitées ne constituent une alternative à l'assainissement. J'espère que ce n'est pas le cas.

Le projet de loi aide les éoliennes à résoudre l'horrible problème du matraquage des koalas sur la propriété des koalas - le matraquage à mort ! Elles pourraient littéralement tuer 10 koalas et acheter ensuite un certificat de biodiversité nationale pour 10 nouveaux koalas élevés ailleurs. À l'heure où nous parlons, l'étude de l'Australian Carbon Credit Unit est en cours. Il s'agit d'examiner un millier de projets générateurs de crédits de dioxyde de carbone pour voir s'ils étaient justes et s'ils ont été respectés. Les leçons tirées de cet examen devaient être ajoutées à ce projet de loi afin de garantir la légitimité du système national de certificats de biodiversité. La présentation de ce projet de loi ruine en fait ce processus.

One Nation s'oppose à l'écoblanchiment, même si, dans la plupart des cas, nous suggérons que la meilleure option serait que nos industries minières et manufacturières utilisent d'abord des techniques respectueuses de l'environnement, comme elles le font habituellement. Ensuite, elles pourraient être fières de leur rôle dans le développement de l'économie, la création d'emplois et la fourniture des matériaux dont les gens ont besoin pour vivre dans l'abondance. C'est peut-être là la seule façon pour nous, conservateurs, de prendre soin de l'environnement naturel et de l'être humain. Certaines contributions à l'enquête sénatoriale ont demandé au gouvernement d'acheter lui-même les certificats afin de garantir qu'en cas de réalisation d'un projet, il y aurait quelqu'un pour acheter le certificat qui en résulterait. Le ministre Plibersek a exclu cette possibilité - la seule décision de tout ce processus que One Nation peut soutenir.

J'ai été amusé par la soumission des socialistes champagne du conseil du comté de Byron, qui ont déclaré que - je cite - "le marché libre à lui seul pourrait ne pas faciliter l'adoption rapide de ce système", et ont appelé le gouvernement fédéral à donner un coup de fouet au marché en s'engageant à acheter lui-même les certificats. Cela ne s'arrêtera jamais. Je pense que le gouvernement fédéral ferait mieux de dépenser de l'argent pour réduire les impôts des Australiens qui travaillent et pour rembourser notre dette afin que les taux d'intérêt baissent, mais il s'agit encore une fois de valeurs conservatrices - des valeurs humaines ; de vraies valeurs environnementales.

Le ministre Plibersek a décrit ce projet de loi comme la création d'un "Wall Street vert". Wall Street permet de financer les entreprises pour qu'elles développent leur capacité de production. Ce projet de loi permet de restreindre la capacité de production en prenant des terres agricoles productives et en les rendant à Gaia. Je ne vois pas la comparaison avec un véritable produit financier, à moins que le ministre ne fasse une comparaison avec Bernie Madoff. Dans ce cas, ce serait exact. Le produit lui-même, les crédits de biodiversité, est subjectif et, avec le temps, il faudra de plus en plus de personnel pour assurer la conformité d'un nombre toujours croissant de projets, tout comme le marché national de l'électricité - le racket. Cela n'augmente pas la capacité de production. Cela augmente la bureaucratie aux dépens du public, bien sûr. De nombreuses soumissions se sont opposées à l'utilisation de ces certificats pour des compensations environnementales, y compris celle des Verts, et je note que leurs amendements suppriment les compensations pour l'objectif de ces certificats. Il semble qu'il y ait là un conflit important entre l'intention du ministre et celle des Verts. Quel gâchis ! Le Nature Repair Market Bill 2023 est une solution à un problème qui n'a pas encore été défini et qui ne répond pas aux besoins réels, tout comme le marché national de l'électricité qui a échoué.

Le gouvernement travaille sur une mise à jour de l'ensemble de la loi sur la protection de l'environnement et la conservation de la biosécurité (Environmental Protection and Biosecurity Conservation Act - EPBC), en s'inspirant de l'étude Samuels sur la législation réalisée il y a trois ans. Ces amendements encadreront le problème que ce projet de loi est censé résoudre. C'est un point que le sénateur Thorpe a correctement souligné dans l'amendement de deuxième lecture, que je soutiendrai. Comment peut-on adopter un projet de loi comme celui-ci avant la mise en œuvre du rapport Samuels ? Comment savoir quels projets doivent être soutenus et lesquels ne sont pas nécessaires ou, pire encore, quels projets sont des conneries, comme ce qui sort de l'extrémité sud d'un taureau qui se dirige vers le nord, car la plupart des projets sur le climat sont des fraudes climatiques ?

En ce qui concerne l'intégrité de l'utilisation des compensations, le gouvernement australien travaille à l'introduction d'une nouvelle norme environnementale nationale pour les actions et les contributions à la restauration. Cette nouvelle norme devrait inclure une exigence selon laquelle les compensations doivent apporter un gain net pour les matières protégées touchées et que les projets de biodiversité certifiés dans le cadre du Nature Repair Market Bill ne pourront être utilisés comme compensations que s'ils satisfont à la nouvelle norme. Quelle nouvelle norme ? Oh, attendez, vous ne l'avez pas encore rédigée ! C'est très bien. Le ministre Plibersek tente de faire passer un projet de loi qui met en œuvre une norme qui n'a pas encore été rédigée. Quelqu'un peut-il, s'il vous plaît, remettre la roue en chocolat de la législation du gouvernement en rotation et nous pourrons recommencer à faire les choses correctement - vous savez, dans le bon ordre.

Cette législation met en œuvre ce que l'on appelle le Plan Nature Positive. Cela sonne bien. Il s'agit du plan d'ensemble du gouvernement en matière d'environnement. Je remarque qu'à la page 32, ce plan comprend une disposition selon laquelle les propriétaires traditionnels auront plus de contrôle sur les parcs nationaux du Commonwealth.
les propriétaires traditionnels auront plus de contrôle sur les parcs nationaux du Commonwealth. Plus de contrôle !

Les Australiens qui ont l'habitude de faire de la randonnée, du camping et de profiter des magnifiques parcs nationaux australiens n'ont pas de chance avec ce gouvernement travailliste. Pas de nature pour vous. Retournez dans vos villes de 15 minutes". C'est exactement ce que font les objectifs de développement durable des Nations unies : ils réduisent les Australiens au statut de serfs, emprisonnés dans leurs villes de 15 minutes, enfermés dans une prison d'identité numérique, ne possédant rien et mangeant des insectes plutôt que de la vraie nourriture. J'ai dit cela pour la première fois au Sénat en 2016, et les ricanements étaient évidents. Eh bien, plus personne ne ricane aujourd'hui. Maintenant, vous essayez tous de justifier l'abomination que vos maîtres mondialistes s'efforcent d'imposer.

Jusqu'à la fin du gouvernement Albanese, les membres de cette chambre devront faire face à la réalité de l'agenda mondialiste de ce gouvernement. Il ne s'agit pas d'un programme rédigé dans l'intérêt des Australiens ordinaires ou du cœur du parti travailliste. Il s'agit d'un programme qui sert les intérêts des fonds d'investissement prédateurs du monde entier, mis en œuvre par des groupes de pression tels que les Nations unies, l'Organisation mondiale de la santé et le Forum économique mondial, et mis en œuvre de manière répétée dans des législations comme celle-ci. Il s'agit d'un programme qui rendra la vie misérable aux Australiens ordinaires, les renvoyant au servage. One Nation s'oppose à tout ce que représente ce projet de loi. Elle s'oppose fièrement à tout ce que représente ce projet de loi.

Le 29 décembre 2023

Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc avec DeepL.

Source: https://www.malcolmrobertsqld.com.au/the-labor-greens-agriculture-wrecking-bill/

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(Covidhub.ch) Artemisia, la plante médicinale antique qui effraie la pharma

11 Janvier 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Artemisia, #Afrique, #Agriculture, #Occident, #OMS, #Santé

Plusieurs études démontrent l'efficacité antivirale de cette plante ancestrale, pourtant la commercialisation de tisanes en contenant est freinée en Suisse. Voici les alternatives pour s'en procurer.

Juan W.* vit en Suisse. Il connait comme sa poche le monde des plantes médicinales, une passion pour lui. Nous le rencontrons pour nous parler d’un sujet qui le préoccupe : l’interdiction progressive et arbitraire de préparations à base de plantes médicinales, pourtant utilisées par l’humanité depuis la nuit des temps pour lutter contre certains troubles.

Le prétexte le plus souvent avancé par les autorités est la “protection des consommateurs”, nous dit-il. Lui y décèle plutôt l’influence des lobbys pharmaceutiques qui, ne parvenant pas à imiter artificiellement les vertus thérapeutiques d’une plante, s’efforcent à coup de lobbying politique de limiter au maximum la capacité des gens de s’en procurer.

Utilisée en Chine depuis 2000 ans contre la fièvre jaune

Un exemple qui l’a frappé est le témoignage d’agriculteurs sénégalais ayant participé à un des projets de lutte contre la malaria de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Venus en Suisse pour apprendre à cultiver l’artemisia annua, une cousine chinoise de l’absinthe, voici ce qu’ils lui ont raconté :

Leur récolte était expédiée en Belgique pour en extraire un principe actif, l’artémisinine, et fabriquer des pilules qui leur ont été renvoyées pour les soigner. Alors que les premières boîtes de médicaments étaient offertes, les suivantes leur étaient vendues. Mais beaucoup trop cher par rapport à leur salaire. Ce projet “philanthro-capitaliste” a donc vite été abandonné.

“On leur a dit qu’il était dangereux de consommer la plante sans la transformer, ce qui est absolument faux. La plante entière est même plus efficace car elle contient un cocktail de substances actives” poursuit notre interlocuteur. Ceci a été confirmé par Klaus Osterrieder, professeur de virologie à la Freie Universität de Berlin, cité dans un article de Paris Match de 2020 fort intéressant rétrospectivement, à un moment de la pandémie du SARS-CoV-2 où aucune solution n’était taboue :

J’étais surpris de constater que les extraits d’Artemisia annua fonctionnent mieux que les dérivés d’artémisinine pure et qu’en ajoutant du café l’activité est stimulée.

Ce n’est pas la première fois d’ailleurs que cette famille de plantes a été utilisée en Suisse lors d’une pandémie puisque l’absinthe – artemisia absinthium, aussi connue sous le nom d’armoise – avait été prescrite par des médecins à l’époque de la grippe espagnole.

Coup de projecteur lors de la crise Covid

Alors qu’avant le Covid l’usage d’artemisia annua était plutôt confidentiel, la crise sanitaire a mis cette plante sous les projecteurs comme un traitement efficace, bien avant l’arrivée des injections. “C’est principalement à Madagascar que son usage a été officialisé et très répandu”, précise Juan W., avant d’ajouter :

Les Chinois avaient déjà remarqué que la plante était efficace contre le SARS-CoV-1, ce qui avait fait prédire à de nombreux chercheurs, dont le Pr Raoult, que les pays traitant leur population contre la malaria s’en sortiraient mieux avec le Covid, ce qui s’est avéré vrai.

D’autres pays, notamment en Afrique et au Mexique, ont prôné son usage contre le Covid. “Que s’est-il passé lorsque les résultats positifs de Madagascar ont été médiatisés ? La plante a été interdite en France !” s’emporte notre interlocuteur.

Le documentaire de 2019 “Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle ?” réalisé par Bernard Crutzen –  journaliste belge d’investigation, également réalisateur de “Ceci n’est pas un complot” et “La Loi La liberté” – diffusé par France24, dénonçait avant le Covid une interdiction aux motifs douteux :

L’artemisia annua est interdite en France et en Belgique, pourtant elle n’est pas toxique et ce n’est pas une drogue. L’artemisia n’est dangereuse que pour ceux qui font de la malaria un business.

Pour l’anecdote, la découverte de l’artémisinine en 1972 a valu un Prix Nobel à la scientifique chinoise Tu Youyou en 2015, la même année que la paire William Campbell et Satoshi Omura pour la découverte d’un vermifuge, jugé médicament essentiel par l’OMS et également efficace contre le SARS-Cov-2 : l’ivermectine.

Quand on ajoute à cela que la plante serait également utile pour traiter la tension artérielle, les infections et les cancers, on comprend qu’elle puisse rendre l’industrie pharmaceutique nerveuse.

Imbroglio à la Suisse autour des autorisations

En Suisse, les contraintes se sont renforcées depuis la crise du Covid pour l’artemisia annua, considérée soudainement comme une “novel food” et soumise à une demande d’autorisation même pour une commercialisation en tant que produit alimentaire. Et dans ce cas, il ne sera pas possible d’informer le consommateur de ses potentiels effets bénéfiques pour la santé.

Selon Nicole B.*, une source proche des milieux agricoles souhaitant rester anonyme, “l’artemisia annua a été vendue en Suisse pendant des décennies sans nécessité d’obtenir une autorisation”. Elle se dit persuadée que le vrai problème n’est pas la dangerosité de la plante elle-même :

J’imagine qu’il y a un lien entre l’interdiction de commercialisation sans autorisation et le fait que l’Artemisia annua ait été utilisée contre le Covid et d’autres maladies dans de nombreux pays.

L’autre alternative est d’opter pour une autorisation en tant que produit thérapeutique chez Swissmedic, une procédure administrativement lourde qui dure environ trois ans. C’est ce qu’a fait la marque Sidroga, pour chacune de ses “tisanes”, un mot légalement réservé en Suisse à un usage thérapeutique, soumis à autorisation. Une finesse largement inconnue du grand-public, pour lequel “tisane” fait toujours partie du language commun. “Swissmedic s’est approprié le mot”, déplore Nicole B..

Ce qui peut paraître normal pour un vrai nouvel aliment devient absurde dans le cas d’une plante dont les propriétés alimentaires et médicinales sont largement référencées dans la littérature et sur Internet, sur des dizaines voire des milliers d’années. Nicole B. y voit une censure illégitime :

Avec ces nouvelles restrictions législatives disproportionnées, on est en train de gentiment enlever à la population la possibilité d’acheter en libre service des plantes qui sont utilisées sous forme de tisane dans notre pays depuis des centaines d’années et qui n’ont pas de toxicité sous cette forme-là. Qu’est-ce-qui justifie que tout à coup l’industrie pharmaceutique s’approprie ces plantes qui pourront être vendues seulement par le biais de pharmacies ou avec un enregistrement chez Swissmedic ? Ils sont en train d’empêcher la transmission du savoir ancestral qu’est celui de l’utilisation des plantes pour la santé.

D’autres plantes faisant concurrence à des produits pharmaceutiques figurent actuellement sur une liste des plantes toxiques. C’est le cas du millepertuis, qui serait un efficace antidépresseur naturel et que l’industrie pharmaceutique n’a pas réussi à synthétiser. Cette plante n’est pourtant pas vraiment toxique. Preuve en est qu’elle est autorisée au niveau alimentaire comme arôme dans certains alcools. Une contradiction qui ne surprend pas notre contact.

Trucs pour consommateurs rusés

Confrontés à ces nouvelles contraintes, les consommateurs avertis doivent faire preuve d’imagination pour continuer à se procurer le précieux breuvage. L’artemisia annua se trouve maintenant dans le commerce dans une palette réduite de produits : pour un usage vétérinaire, comme matière de remplissage pour des coussins, comme moyen de fumigation ou encore comme “herbe” pour le bain.

Ceux qui ont la main verte optent pour l’auto-culture et se procurent des graines auprès de semenciers ou d’associations, comme ResSources en Suisse, qui “préserve et diffuse une collection de semences libres et reproductibles” depuis 2009. Contacté, son directeur, Joël Vuagniaux, confirme que parmi les plus de 600 sortes de semences proposées figure l’artemisia annua. Leur mission est de “contribuer à diffuser la biodiversité” en fournissant des petits volumes de semences aux particuliers qui le souhaitent. Pour la France, l’association Kokopelli fournit également des graines de plusieurs variétés d’artemisia.

* noms connus de la rédaction

Aller plus loin

SOURCE: https://www.covidhub.ch/artemisia-contre-pharma/

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Innovafeed et McKinsey inondent d’insectes France, Belgique, États-Unis et Canada

4 Janvier 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #5G, #Insectophagie, #Agriculture, #Graphène, #Mondialisme, #Chitine, #Opération Coronavirus

Depuis 2015 le cabinet McKinsey est en charge d’une campagne mondiale pour la promotion d’aliments à base d’insectes. 

Par le prisme d’une entreprise actuellement considérée comme une des plus importantes Biotechs françaises, Innovafeed, ils ont patiemment détourné l’attention du public et usé d’arguments fallacieux pour parvenir à leurs fins. 

Selon l’ONU et le lobbyiste McKinsey, appuyés par une armée de soldats disciplinés et avides de pouvoir, le choix ne vous appartient déjà plus, même les réseaux de distribution d’alimentation biologique commencent à s’organiser pour vous en faire manger… en toute discrétion. 

Innovafeed ayant refusé l’interview que nous leur avons proposée pour expliquer leur démarche de manière transparente, puisque vous avez le droit de savoir, j’ai enquêté pour vous délivrer la vision la plus claire possible de la situation actuelle. 

Source : reponsesbio.com – 19 novembre 2023 – Jean-Baptiste Loin

https://www.reponsesbio.com/innovafeed-et-mckinsey-inondent-france-belgique-etats-unis-et-canada/

Source et suite de l'article: https://strategika.fr/2024/01/02/innovafeed-et-mckinsey-inondent-dinsectes-france-belgique-etats-unis-et-canada/

NDLR: les insectes n'ont pas de squelette interne, mais externe. Celui-ci contient de la chitine, un matériau aux propriétés étonnantes: mécaniques mais également conductrices d'électricité. On comprend mieux pourquoi la ploutocratie aux commandes du pouvoir cherche à imposer, au niveau mondial, la consommation des insectes (comme "remède" à l'agriculture traditionnelle dont l'impact sur le "climat" est jugé négatif),  l'état permanent de pandémie, les "vaccinations" obligatoires dont le contenu est inconnu des "consommateurs", mais dont on sait déjà qu'elles contiennent du graphène, lui aussi hautement conducteur d'électricité et d'ondes électromagnétiques... comme la 5G. Toutes ces innovations, ces techniques ont un objectif: le contrôle des hommes et du vivant.

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Sénateur Malcolm Roberts (Queensland, Australie): Le projet de loi de démolition de l'agriculture des Travaillistes et des Verts

24 Décembre 2023 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Australie, #Environnement, #Agriculture, #Mondialisme, #Forum Economique Mondial, #One Nation, #ONU, #Opération "réchauffement climatique", #Senator Malcom Roberts (Australie), #OMS, #Politique

Sénateur Malcolm Roberts (Queensland, Australie): Le projet de loi de démolition de l'agriculture des Travaillistes et des Verts

12 décembre 2023

En 2016, j'ai pris la parole au Sénat pour la première fois et j'ai averti que les Nations unies voulaient réduire les Australiens de tous les jours au statut de serfs par le biais de la politique climatique. J'ai dit à l'époque que nous avions besoin d'un #AusExit, que nos valeurs et notre mode de vie étaient menacés par les dangereux programmes socialistes de l'ONU. Et voilà où nous en sommes aujourd'hui.

Il y a de plus en plus de lois qui passent par la chambre d'examen de l'Australie, le Sénat, sans examen ou débat approprié. Le parti travailliste conclut d'autres accords douteux au nom des objectifs de développement durable des Nations unies. Le parti travailliste a également introduit une motion permettant aux Verts d'amender la loi sur la protection de l'environnement et la conservation de la biodiversité dans le cadre de ce projet de loi. Cela permet aux Verts d'ajouter un projet de loi de leur cru à la fin du projet de loi du gouvernement et de le voter en une seule fois. Un projet de loi que nous ne pouvons ni examiner, ni amender, ni débattre. Ce n'est pas un processus parlementaire conventionnel. Il s'agit d'une dictature antidémocratique.

Le projet de loi sur la "réparation de la nature" permet aux grandes entreprises d'écologiser leur image en tirant parti des avantages en termes de relations publiques des projets de réparation de la nature qu'elles achètent. Il fournit les moyens de restreindre la capacité de production en prenant des terres agricoles productives et en les rendant à Gaia. Il empêchera les Australiens et les visiteurs de notre pays de sortir et de profiter de nos magnifiques parcs nationaux parce qu'il donne plus de contrôle aux propriétaires traditionnels.

Le programme mondialiste est mis en œuvre dans l'intérêt des fonds d'investissement prédateurs du monde entier. Il est mis en œuvre par l'intermédiaire des Nations Unies, de l'Organisation mondiale de la santé et du Forum économique mondial, ainsi que dans le cadre d'une législation bâclée et précipitée telle que celle proposée par ce projet de loi.

One Nation est fière de s'opposer à tout ce que ce projet de loi représente et j'offre le même conseil que celui que j'ai donné en 2016. Nous devons quitter les Nations Unies #AusExit !

Transcription

 

Sénateur ROBERTS (Queensland) (20:06) : En tant que serviteur des nombreuses personnes différentes qui composent notre unique communauté du Queensland, il est de mon devoir de m'assurer que je traite chaque projet de loi soumis au Sénat de manière complète et appropriée. Trop souvent, ce gouvernement conclut des accords douteux avec les Teals, les partisans de l'opposition et les Verts pour faire passer des lois sans examen approfondi. Il s'agit d'une législation rédigée pour des raisons idéologiques et non pour répondre à des besoins humains, ce qui a pour conséquence d'aggraver la situation. Il s'agit d'une législation qui doit être adoptée sans débat, de peur que l'électorat ne soit informé de ce que le gouvernement leur fait réellement au nom des objectifs de développement durable des Nations unies.

Je parle du projet de loi 2023 sur la réparation de la nature, à seulement 30 minutes du vote, et pourtant je parle d'un projet de loi provisoire. Les amendements massifs à ce projet de loi, dont je sais maintenant qu'ils sont substantiels, n'ont pas été révélés au Sénat il y a à peine une heure. Il semble que le gouvernement ait l'intention de présenter les amendements et d'exiger ensuite un vote immédiat. C'est exactement ce que nous avons vu. Ce n'est pas ainsi que fonctionne la chambre de révision, notre Sénat.

Ce qui est encore plus troublant, c'est que le gouvernement a maintenant une motion qui permettrait aux Verts d'amender la Loi sur la protection de l'environnement et la conservation de la biodiversité dans le cadre de ce projet de loi - une nouvelle pour nous il y a encore une heure. Cela signifie que les Verts, avec le soutien du sénateur "Sarcelles" Pocock, sont autorisés à ajouter un projet de loi de leur cru à la fin du projet de loi du gouvernement, puis à le voter - un projet de loi que nous ne pouvons ni lire, ni amender, ni débattre. Une convention de longue date au Sénat veut que nous examinions un projet de loi à la fois et que nous n'amendions que le projet de loi en question, une règle que le gouvernement est heureux d'ignorer lorsqu'il est suffisamment désespéré pour conclure un accord avec les Verts et Sarcelles. Il ne s'agit pas d'un processus parlementaire, mais d'une dictature antidémocratique. C'est une plaisanterie, et les citoyens en paieront le prix. Lorsque nous appelons les Verts des pastèques - vertes à l'extérieur et rouges à l'intérieur - c'est pour cette raison. C'est la Russie soviétique qui ferait un tel coup, pas l'Australie démocratique.

J'ai récemment expliqué à plusieurs reprises que le gouvernement travailliste était le meilleur ami des milliardaires parasites prédateurs du monde entier. Ce projet de loi en est un parfait exemple. À l'instar du marché national de l'électricité, qui est un véritable racket, ce projet de loi permet aux grandes entreprises de faire de l'écoblanchiment. Pour expliquer, l'écoblanchiment permet à une entreprise - très probablement une multinationale étrangère - d'affirmer qu'elle est "net zéro friendly" (respectueuse de l'environnement). Ce n'est tout simplement pas vrai. Elle trompe ainsi les investisseurs et les clients. Elles atteignent le niveau zéro en achetant des certificats verts ou des crédits de dioxyde de carbone pour compenser les coûts environnementaux prétendument encourus dans le cadre de leurs activités commerciales. Un rapport de l'Union européenne a révélé que 95 % des crédits de dioxyde de carbone provenaient de projets qui ne faisaient aucune différence pour l'environnement, et Europol a déclaré il y a quelques années que 95 % d'entre eux étaient des escrocs. En d'autres termes, il s'agit d'une escroquerie.

L'industrie minière s'est prononcée en faveur des compensations, qu'elle appelle "compensations des pertes évitées". Ces compensations se produisent après l'achat et l'amélioration d'une zone de terre avec le même habitat que celui qui est détruit ou endommagé par le développement. Cela peut sembler favorable à l'exploitation minière, mais il s'agit en fait d'une dépense supplémentaire et d'une bureaucratie plus verte qui serait mieux gérée par le système existant de restauration - remettre les lieux dans l'état où ils se trouvaient, ou mieux, ce qui est le cas actuellement.

En effet, on pourrait craindre que ces compensations de pertes évitées ne constituent une alternative à l'assainissement. J'espère que ce n'est pas le cas.

Le projet de loi aide les éoliennes à résoudre l'horrible problème du matraquage des koalas sur la propriété des koalas - le matraquage à mort ! Elles pourraient littéralement tuer 10 koalas et acheter ensuite un certificat de biodiversité nationale pour 10 nouveaux koalas élevés ailleurs. À l'heure où nous parlons, l'étude de l'Australian Carbon Credit Unit est en cours. Il s'agit d'examiner un millier de projets générateurs de crédits de dioxyde de carbone pour voir s'ils étaient justes et s'ils ont été respectés. Les leçons tirées de cet examen devaient être ajoutées à ce projet de loi afin de garantir la légitimité du système national de certificats de biodiversité. La présentation de ce projet de loi ruine en fait ce processus.

One Nation s'oppose à l'écoblanchiment, même si, dans la plupart des cas, nous suggérons que la meilleure option serait que nos industries minières et manufacturières utilisent d'abord des techniques respectueuses de l'environnement, comme elles le font habituellement. Ensuite, elles pourraient être fières de leur rôle dans le développement de l'économie, la création d'emplois et la fourniture des matériaux dont les gens ont besoin pour vivre dans l'abondance. C'est peut-être là la seule façon pour nous, conservateurs, de prendre soin de l'environnement naturel et de l'être humain. Certaines contributions à l'enquête sénatoriale ont demandé au gouvernement d'acheter lui-même les certificats afin de garantir qu'en cas de réalisation d'un projet, il y aurait quelqu'un pour acheter le certificat qui en résulterait. Le ministre Plibersek a exclu cette possibilité - la seule décision de tout ce processus que One Nation peut soutenir.

J'ai été amusé par la soumission des socialistes champagne du conseil du comté de Byron, qui ont déclaré que - je cite - "le marché libre à lui seul pourrait ne pas faciliter l'adoption rapide de ce système", et ont appelé le gouvernement fédéral à donner un coup de fouet au marché en s'engageant à acheter lui-même les certificats. Cela ne s'arrêtera jamais. Je pense que le gouvernement fédéral ferait mieux de dépenser de l'argent pour réduire les impôts des Australiens qui travaillent et pour rembourser notre dette afin que les taux d'intérêt baissent, mais il s'agit encore une fois de valeurs conservatrices - des valeurs humaines ; de vraies valeurs environnementales.

Le ministre Plibersek a décrit ce projet de loi comme la création d'un "Wall Street vert". Wall Street permet de financer les entreprises pour qu'elles développent leur capacité de production. Ce projet de loi permet de restreindre la capacité de production en prenant des terres agricoles productives et en les rendant à Gaia. Je ne vois pas la comparaison avec un véritable produit financier, à moins que le ministre ne fasse une comparaison avec Bernie Madoff. Dans ce cas, ce serait exact. Le produit lui-même, les crédits de biodiversité, est subjectif et, avec le temps, il faudra de plus en plus de personnel pour assurer la conformité d'un nombre toujours croissant de projets, tout comme le marché national de l'électricité - le racket. Cela n'augmente pas la capacité de production. Cela augmente la bureaucratie aux dépens du public, bien sûr. De nombreuses soumissions se sont opposées à l'utilisation de ces certificats pour des compensations environnementales, y compris celle des Verts, et je note que leurs amendements suppriment les compensations pour l'objectif de ces certificats. Il semble qu'il y ait là un conflit important entre l'intention du ministre et celle des Verts. Quel gâchis ! Le Nature Repair Market Bill 2023 est une solution à un problème qui n'a pas encore été défini et qui ne répond pas aux besoins réels, tout comme le marché national de l'électricité qui a échoué.

Le gouvernement travaille sur une mise à jour de l'ensemble de la loi sur la protection de l'environnement et la conservation de la biosécurité (Environmental Protection and Biosecurity Conservation Act - EPBC), en s'inspirant de l'étude Samuels sur la législation réalisée il y a trois ans. Ces amendements encadreront le problème que ce projet de loi est censé résoudre. C'est un point que le sénateur Thorpe a correctement souligné dans l'amendement de deuxième lecture, que je soutiendrai. Comment peut-on adopter un projet de loi comme celui-ci avant la mise en œuvre du rapport Samuels ? Comment savoir quels projets doivent être soutenus et lesquels ne sont pas nécessaires ou, pire encore, quels projets sont des conneries, comme ce qui sort de l'extrémité sud d'un taureau qui se dirige vers le nord, car la plupart des projets sur le climat sont des fraudes climatiques ?

En ce qui concerne l'intégrité de l'utilisation des compensations, le gouvernement australien travaille à l'introduction d'une nouvelle norme environnementale nationale pour les actions et les contributions à la restauration. Cette nouvelle norme devrait inclure une exigence selon laquelle les compensations doivent apporter un gain net pour les matières protégées touchées et que les projets de biodiversité certifiés dans le cadre du Nature Repair Market Bill ne pourront être utilisés comme compensations que s'ils satisfont à la nouvelle norme. Quelle nouvelle norme ? Oh, attendez, vous ne l'avez pas encore rédigée ! C'est très bien. Le ministre Plibersek tente de faire passer un projet de loi qui met en œuvre une norme qui n'a pas encore été rédigée. Quelqu'un peut-il, s'il vous plaît, remettre la roue en chocolat de la législation du gouvernement en rotation et nous pourrons recommencer à faire les choses correctement - vous savez, dans le bon ordre.

Cette législation met en œuvre ce que l'on appelle le Plan Nature Positive. Cela sonne bien. Il s'agit du plan d'ensemble du gouvernement en matière d'environnement. Je remarque qu'à la page 32, ce plan comprend une disposition selon laquelle les propriétaires traditionnels auront plus de contrôle sur les parcs nationaux du Commonwealth.
les propriétaires traditionnels auront plus de contrôle sur les parcs nationaux du Commonwealth. Plus de contrôle !

Les Australiens qui ont l'habitude de faire de la randonnée, du camping et de profiter des magnifiques parcs nationaux australiens n'ont pas de chance avec ce gouvernement travailliste. Pas de nature pour vous. Retournez dans vos "villes de 15 minutes". C'est exactement ce que font les objectifs de développement durable des Nations unies : ils réduisent les Australiens au statut de serfs, emprisonnés dans leurs villes de 15 minutes, enfermés dans une prison d'identité numérique, ne possédant rien et mangeant des insectes plutôt que de la vraie nourriture. J'ai dit cela pour la première fois au Sénat en 2016, et les ricanements étaient évidents. Eh bien, plus personne ne ricane aujourd'hui. Maintenant, vous essayez tous de justifier l'abomination que vos maîtres mondialistes s'efforcent d'imposer.

Jusqu'à la fin du gouvernement Albanais, les membres de cette chambre devront faire face à la réalité de l'agenda mondialiste de ce gouvernement. Il ne s'agit pas d'un programme rédigé dans l'intérêt des Australiens ordinaires ou du cœur du parti travailliste. Il s'agit d'un programme qui sert les intérêts des fonds d'investissement prédateurs du monde entier, mis en œuvre par des groupes de pression tels que les Nations unies, l'Organisation mondiale de la santé et le Forum économique mondial, et mis en œuvre de manière répétée dans des législations comme celle-ci. Il s'agit d'un programme qui rendra la vie misérable aux Australiens ordinaires, les renvoyant au servage. One Nation s'oppose à tout ce que représente ce projet de loi. Elle est fière de s'opposer à tout ce que représente ce projet de loi.

Source: https://www.malcolmrobertsqld.com.au/the-labor-greens-agriculture-wrecking-bill/

Traduit de l'anglais par Rouge et Blanc avec DeepL.

Sénateur Malcolm Roberts (Queensland, Australie): Le projet de loi de démolition de l'agriculture des Travaillistes et des Verts
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