L'Europe vue par l'O.N.U.
"Un rapport de l'O.N.U. de 2001 préconise l'installation en Europe de 159 millions d'immigrés d'ici 2005, ce qui aurait pour effet la submersion des populations nationales.
Souvenons-nous que la dénatalité et la décadence romaines entraînèrent les invasions barbares."
Aymeric Chauprade*, Constantes et changements dans l'histoire, Ellipses, Paris, 2003.
*Aymeric Chauprade est professeur de Géopolitique à l'Ecole de Guerre.
Voici donc comment l'O.N.U. voit l'Europe:
- Un état fédéral incluant les pays méditerranéens et l'Afrique, en remplacement des états nationaux
- Une population afro-européenne, en remplacement des populations autochtones blanches
- L'Islam comme première religion, en remplacement du christianisme
- L'anglais sommaire et l'arabe comme langues principales, en remplacement des langues européennes.
Ajoutons que les dirigeants européens élus appliquent les directives de l'O.N.U.
Antoine de Rivarol (1753-1801) : quelques citations
(Maximes, pensées et paradoxes, p.8, Le Livre Club du Libraire, 1962)
Louis XVII
Le sol de France affranchit celui qui le touche
Le décret de 1848 sur l'abolition de l'esclavage se contentera d'étendre "au colonies et possessions de la République" le principe que "le sol de France affranchit celui qui le
touche", principe énoncé en 1135 par le roi Louis VI le Gros, confirmé par Louis X le Hutin dans un édit de 1315, et rappelé au XVIe siècle par un arrêt célèbre du Parlement de
Bordeaux, aux termes duquel "France est terre et mère de liberté, et ne connaît aucuns esclaves": tout esclave qui touchait le sol français était ipso facto libéré.
Extrait de : Signac et Lettres/Une exposition/Benjamin Franklin à Paris, par Marcel Signac, RIVAROL N°2848 du 7 mars 2008
La noblesse française vient de la charrue
La grande faculté de la France, une de ses facultés maîtresses, aurait dit Taine, c’est de reconstituer sans cesse une classe moyenne qui, elle-même, engendre toutes les aristocraties. A la base se trouve une classe paysanne, ancienne et dure, qui crée constamment de la richesse, et qui, par la plus réelle des richesses, celle du sol fécondé par le travail, s’élève constamment. Un vieux proverbe de la noblesse française disait : " Nous venons tous de la charrue. " C’est encore vrai de nos jours pour toutes nos espèces d’aristocratie, y compris celle de l’intelligence. Vingt millions de paysans forment l’humus dont se nourrit sans cesse ce qui fait la France. Vingt millions de paysans qui ont deux passions, celle de l’épargne et celle de l’ordre, sont les garanties de toutes nos renaissances. Quelles que soient nos plaies financières, politiques ou sociales, on peut compter que le paysan français, par son labeur aussi régulier qu’opiniâtre, rétablira l’équilibre et aura raison de tout.
"En un demi-siècle, la France a perdu 95% de ses paysans. L'actuelle Europe vingt millions."
Petrus Agricola: Salon de l'Agriculture 2008: un avant-goût de l'inflation mondiale des prix. RIVAROL N° 2849 du 14 mars 2008.
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par le Vicomte Louis de Bonald
Kosovo
Le dimanche 17 février 2008, L'Etat du Kossovo proclame son indépendance, reconnue aussitôt par les gouvernements des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et de la
France.

La révolution a été le châtiment des fautes et des péchés de l'Ancien Régime
"Je ne viens pas défendre l'Ancien Régime, le roi et la noblesse: Je viens plutôt les accuser... Averti par le temps, nous pouvons dire que la Société est frappée et s'en va à cause des erreurs et des vices qu'ils ont laissé pénétrer dans son sein... Si la royauté fut toujours restée royale, la Révolution ne l'eût pas renversée... Le peuple ici n'a jamais tort. Ses crimes sont nos châtiments. les peuples ne sont que les derniers coupables, puisque les rois ont été faits pour les défendre et les conduire."
Blanc de Saint-Bonnet
Le siècle de la chevalerie
"Le siècle de la chevalerie est passé. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé, et la gloire de l'Europe est éteinte à jamais. Jamais, non, jamais
nous ne reverrons cette généreuse loyauté envers le rang et envers le sexe, cette soumisssion fière, cette obéissance, cette subordination du coeur, qui, dans la servitude même, conservaient
l'esprit d'une liberté exaltée! L'ornement naturel de la vie, la défense peu coûteuse des nations, cette pépinière de tous les sentiments courageux et des entreprises héroïques..., tout est
perdu. Elle est perdue cette sensibilité des principes, cette chasteté de l'honneur pour laquelle une tache était une blessure, qui inspirait le courage en adoucissant la férocité, qui
ennoblissait tout ce qu'elle touchait et qui, dans le vice lui-même, perdait de son danger en lui faisant perdre sa grossièreté."
Edmund Burke, Révolution de France.
Les Lois Fondamentales du Royaume de France
P.-O.C.
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Principe de Droit d’aînesse et de Primogéniture par les mâles.
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Principe d’Indisponibilité et d’Inaliénabilité des droits de la Couronne.
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Principe de Souveraineté statutaire de droit divin et de Dignité-Majesté de la Couronne.
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Principe de Catholicité de la Couronne de France.
(…)
Etre roi
Charles Ier d'Autriche (1887-1er avril 1922)
Le 30 décembre 1916, à Budapest, Charles de Habsbourg ceint la couronne que saint Etienne reçut du Pape Sylvestre II, en 1001.
Il confie:
"Etre roi, ce n'est pas satisfaire une ambition, mais se sacrifier pour le bien du peuple tout
entier".
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Entretien avec Otto de Habsbourg-Lorraine, aîné des huit enfants de Charles Ier d'Autriche et de la princesse Zita de Bourbon-Parme