"Etre aristocrate", selon Nicolas Gomez Davila
Nicolas Gomez Davila
Le Père de Foucauld
http://www.crc-resurrection.org/Renaissance_catholique/Mystique/Pere-de-Foucauld.html
aux sources de la mystique de notre père
Le bienheureux Charles de Foucauld, béatifié le 13 novembre 2005, est notre Père et nous avons choisi de le prendre pour modèle, afin de le suivre. C'est dire que nous nous laisserons enseigner par lui, à l'école de son disciple, l'abbé de Nantes, qui nous l'a donné en exemple :
« Leur vie s'inspirera de celle du Père de Foucauld, le frère universel. Ils rechercheront comme lui le dénuement et l'abjection pour vivre humblement la ressemblance de leur Modèle unique, Jésus. À sa suite, il voudront “ crier l'Évangile par toute leur vie ” et rayonner discrètement parmi les infidèles la charité du Cœur de Jésus. » (article 3 de la règle provisoire des petits frères du Sacré-Cœur de Villemaur)
Notre Père fit sa connaissance en 1938 à la vue du film " l'Appel du silence ", ce qui réveilla en lui un " très ancien appel missionnaire ". Et depuis cette époque, il s'est voulu son disciple et son fils. Cependant, au long des années, il a craint d'apprendre un jour des choses qu'il n'aurait pu accepter parce qu'elles auraient été en opposition fondamentale avec ses propres convictions les plus sacrées, l'obligeant à se séparer de lui... Il n'en est rien ! Ayant soigneusement étudié les documents en 1976, puis de nouveau durant l'été 1996, en vue de notre retraite de communauté, notre Père a pu affirmer en toute sérénité et en toute vérité qu'il est fils de la pensée et du cœur de Charles de Foucauld. Il s'ensuit que nous revendiquons nous-mêmes, nous, disciples de Georges de Nantes, cette filiation.
Audubon y Franklin hablan del aguila de cabeza blanca americana
OLLANTA N°16 (2003) Lima-Perú
El Águila de Cabeza Blanca Americana
EMBLEMA NACIONAL DE EEUU: SÍMBOLO DE PIRATERÍA MODERNA
Pierre-Olivier Combelles (Francia)-
En el texto sobre el águila de cabeza blanca, en su obra monumental: "The Birds of America" (Las Aves de América), John James Audubon (1785-1851), el naturalista más famoso de Norteamérica, francés de nacimiento, cita la opinión de Benjamín Franklin sobre esta ave, emblema nacional de EEUU: "Terminando esta historia del águila de cabeza blanca, permítame decirle el descontento que he sentido que se le tome como emblema de mi país. Al respecto la opinión de nuestro gran Franklin1 coincide perfectamente con la mía, que lo mejor que puedo hacer es presentársela aquí: "En lo que a mi respecta, hubiera querido que el águila calva2 no haya sido escogida como el representante de nuestra Patria. Es un ave de naturaleza baja y malvada; no sabe ganar honradamente su vida: veálo Ud., encaramado en algún árbol muerto, de donde, siendo muy perezoso para pescar por propia cuenta, mira como trabaja el águila pescador3 . Cuando esta ave laboriosa logra por fin coger un pescado que va a llevar a su familia, el bandido se lanza sobre él y se lo roba. Con toda su rapiña, no es más feliz, pues por lo general es pobre y a menudo muy miserable, como la gente que vive de astucias y raterías. ¡Además es siempre un cobarde pillo! El pequeño "reyezuelo"4 que no es más grande que el gorrión, le ataca decididamente y lo bota de su cantón! Entonces de ninguna manera, este emblema es conveniente para nuestros valerosos y honrados Cincinnatis5 , que expulsaron a todo tipo de "King Birds"6 de nuestro país. Que se le atribuya más bien como patrono de esa orden de caballeros que los franceses llaman "caballeros de industria".
La clase social de hombres de negocios; industriales y financieros, se desarrolló en Europa a partir del s. XVIII y luego en EEUU, reemplazando a la nobleza y al clérigo en la cúspide de la pirámide social. La antigua caballería de Occidente tenía un ideal sublime: "Mi alma a Dios, mi vida al Rey, el honor a mi". La aristocracia de los antiguos pueblos indígenas de América, también de origen guerrero y religioso, debió más su prestigio a sus hazañas y a sus buenas acciones que a su propiedad de riquezas. Pero, la sociedad moderna no conoce otras leyes que no sean la del provecho personal (legal o ilegal) y la de un hedonismo egoísta y perverso. Es así, que asistimos hoy, a un cambio radical de los valores tradicionales.
Gracias a la potencia del dólar, hoy EEUU domina casi todo el planeta y se ha convertido en el modelo de casi todos los pueblos. Pero contrariamente a la Roma Imperial, EEUU no se preocupa en desarrollar a los pueblos sometidos a su hegemonía; se contenta con saquearlos corrompiendo los gobiernos y provocando guerras. Y hasta explotando sin piedad a los trabajadores de empresas en el extranjero que sirven a financiar sus fondos de pensiones o engañando deliberadamente a los accionistas y al público como en el caso Enron.
La elección del águila de rapiña como emblema nacional ha determinado el destino de EEUU y de una nueva era de la iniquidad de la historia humana. Para los Antiguos, el ave era el 1er. agüero. Recordemos también que los emblemas de la monarquía francesa y de la dinastía incaica, que dominaron al Viejo y al Nuevo Mundo, cada una en su tiempo, eran pacíficos: La Flor de Liz y el Arco Iris. Venerémoslos y peleemos por su retorno, pues la justicia y la paz sólo se obtienen con armas en las manos.
1 Benjamin Franklin (1706-90), físico, filósofo y político norteamericano. Elegido al 1er Congreso de EEUU, participó a la redacción de la declaración de Independencia (1776).
2 Otro nombre del águila de cabeza blanca en los EEUU.
3 Pandion haliaetus, especie que se encuentre en Eurasia, Africa y en las Américas.
4 "King Bird" (o Kinglet): Muy pequeña ave de Eurasia y America del Norte, con una cresta anaranjada, amarilla o roja en la cabeza (Regulus spp., en español reyezuelo).
5 Sociedad patriótica, tipo de Orden de Nobleza, llamada de los Cincinnati, teniendo como líder a Washington.
6 "King Birds": Nombre dado a los ingleses, en la guerra de Independencia de EEUU.
Un film russe sur les guerres de Vendée

Source: L'Union Royaliste Bretagne Vendée militaire
Anima Christi (prière attribuée à Saint Ignace de Loyola)
http://www.youtube.com/watch?v=l-wrEKTfQdQ
Anima Christi, sanctifica me.
Corpus Christi, salva me.
Sanguis Christi, inebria me.
Aqua lateris Christi, lava me.
Passio Christi, conforta me.
O bone Jesu, exaudi me.
Intra tua vulnera absconde me.
Ne permittas me separari a te.
Ab hoste maligno defende me.
In hora mortis meae voca me,
Et jube me venire ad te,
Ut cum Sanctis tuis laudem te
In saecula saeculorum.
Amen.
Le royaume du Ciel, récompense du prince Lazar et des guerriers serbes à la bataille de Kosovo (1389)
Chaque enfant serbe a, paraît-il, sucé ce chant traditionnel avec le lait de sa mère :
Dans ce poème, Dieu s’adresse au roi des Serbes avant la bataille de Kosovo contre les Turcs, le 28 juin 1389 :
" Prince Lazar aux nobles ancêtres !
Quel royaume choisirez-vous ?
Choisirez-vous le royaume terrestre ?
Ou choisirez-vous le royaume du Ciel ?
Si vous choisissez le royaume du Ciel…
Toute votre armée périra,
Et vous, ô Prince, vous périrez avec elle…
Le Prince Lazar répond à Dieu:
" Cher Dieu, le royaume terrestre dure seulement un bref moment,
Mais le royaume du Ciel dure pour toujours. "
Le Prince Lazar et environ 80.000 chevaliers et soldats périrent dans cette grande bataille livrée sur le Champ des Merles (la signification de Kosovo en serbe).
"Guerre et paix": de la civilisation à l'Antéchrist
- Eh bien ! mon prince, Gênes et Lucques ne sont plus que des apanages, des domaines de la famille Buonaparte. Non, je vous préviens que si vous vous permettez encore de pallier toutes les infamies, toutes les atrocités de cet Antéchrist (ma parole, j’y crois), je ne vous connais plus, vous n’êtes plus mon fidèle serviteur, comme vous dites . Bonjour. Bonjour. Vous ferais-je peur ? Asseyez-vous, racontez-moi les nouvelles.
Anna Pavlovna Scherer, dame d’honneur favorite de l’impératrice Maria Phiodorovna, accueillait ainsi, en juin 1805, le prince Vassili, haut personnage important , arrivé le premier à sa soirée. Anna Pavlovna toussait depuis quelques jours, souffrant de la " grippe ", terme nouveau peu répandu encore. Un valet à livrée rouge avait porté, le matin même, à tous ses amis, le billet suivant :
- Si vous n’avez rien de mieux à faire, monsieur le comte (ou bien mon prince), et si la perspective de passer la soirée chez une malade ne vous effraye pas trop, je serai charmée de vous voir chez moi entre sept et dix heures. Annette Scherer.
- Dieu, quelle virulente sortie ! répondit le prince, indifférent à cet accueil.
Le prince portait l’uniforme de la cour, brodé, avec ses plaques d’ordre, ses bas de soie et ses escarpins. Son visage au nez camus rayonnait. Le français qu’il parlait avait le raffinement de l’époque ; nos aïeuls pensaient en français et quand ils l’employaient, c’était avec un accent protecteur, un ton adouçi habituel à toute personne vieillissant dans le monde et possédant un rang à la cour.
Tostoï. Guerre et paix. Première partie, chapitre I.
La justice, fonction royale par excellence
Dans "Les vies parallèles des hommes illustres", Plutarque raconte qu'un étranger en visite à Sparte avait déclaré au roi Agésilas: "Le Grand Roi de Perse est plus grand que toi". Agésilas lui répondit: "Comment peut-il être plus grand que moi s'il n'est pas le plus juste ?"
La foi ne peut être vraiment défendue que par un pouvoir temporel indépendant du pouvoir spirituel
La révolution de l'Eglise catholique depuis Vatican II et la crise actuelle de la FSSPX divisée par le Motu Proprio et la menace
de ralliement à Rome, résultat de manoeuvres extérieures et intérieures, s'expliquent par le fait que depuis la fin de la monarchie, la
vraie foi catholique ne dépend plus que des clercs et de laïques sans autorité, alors qu'elle devrait être défendue par un POUVOIR TEMPOREL INDEPENDANT DU POUVOIR SPIRITUEL, le
roi exerçant la justice et la chevalerie exerçant,ce que le R.P. Bruckberger, à la suite de Joinville, appelait "l'efficacité justicière"*.
Aujourd'hui, en Russie, le pouvoir temporel est exercé par le Président Medvedev et par le Premier Ministre et ancien Président Vladimir Poutine, et le pouvoir spirituel par Alexis II,
Patriarche de Moscou et de toutes les Russies. Le Président Medvedev et le Premier Ministre Vladimir Poutine agissent en bons princes chrétiens en défendant le christianisme orthodoxe comme
religion d'Etat. Notamment contre les manoeuvres "oecuméniques" du Vatican maçonnique et gnostique au service du NWO, dont le but est de de faire rentrer le christianisme orthodoxe dans la
religion noachide.
L'Eglise catholique toute entière retrouvera sa foi lorsque la France retrouvera un prince chrétien à sa tête.
Béthune
1er novembre 2008, en la fête de la Toussaint.
*(Joinville: Histoire de Saint Louis. Affaire (racontée par Saint Louis à Joinville) dans laquelle un rabbin, invité par l'Abbé de Cluny à un dialogue oécuménique avant la lettre,
fut frappé par un chevalier parce qu'il avait osé insulter la Vierge Marie, Mère de Dieu, dans Sa Maison. Scandale. Réprimandé par l'Abbé de Cluny, le chevalier expliqua ses raisons et lui
reprocha sa responsabilité dans l'affaire).
Prière "Anima Christi", attribuée à Saint Ignace de Loyola.
http://www.youtube.com/watch?v=l-wrEKTfQdQ
Interview du colonel Mohamed Ali Seineldin, officier argentin lors du piège de la guerre des Malouines
http://lasantaalianza.blogspot.com/2007/06/entrevista-mohamed-ali-seineldin.html :
Rescato esta entrevista que publicó el diario sensacionalista de Pedro Jeta el Exuperanciano " El Mundo "; donde a mi parecer, aunque ya haya pasado algún tiempo,
expone aspectos muy interesantes de lo que fue la sufrida Guerra de las Malvinas. ( La entrevista apareció el pasado lunes 2 de Abril del 2007 )
MOHAMED ALI SEINELDIN / Jefe militar argentino en la Guerra de las Malvinas
El Coronel Seineldin habla por primera vez con la prensa escrita de la guerra entre Argentina y Gran Bretaña. Fue un conflicto improvisado, una operación política que a medio camino hubo que
enfocar hacia lo bélico. Según el militar, Washington alentó un ataque de Buenos Aires porque estaba interesado en independizar las islas y convertilas en Estado autónomo.
" EEUU indujo a Argentina a atacar. Fue una trampa "
JUAN IGNACIO IRIGARAY. Especial para EL MUNDO
BUENOS AIRES.- Mezcla de cruzado y falangista, el coronel Mohamed Ali Seineldin encarna al prototipo de militar católico y nacionalista de Argentina. Pero a diferencia de la mayoría de sus pares
no fue denunciado por corrupción ni asesinato de opositores y torturas durante la dictadura, de 1976 a 1983.
En la guerra que Argentina y Gran Bretaña entablaron en 1982 por la posesión de las islas Malvinas o Falkland, comandó el regimiento de Infantería 25 que peleó duro y asestó bajas a los
británicos. Los soldados veteranos aún hoy veneran al anciano coronel, porque recuerdan que los acompañó en las trincheras.
Destituido del Ejército en los 80 por liderar cuartelazos de los ultras carapintadas - por lo cual purgó 12 años de prisión -, Seineldin está retirado de
la vida pública y a sus 73 años se dedica, sobre todo, a ejercer de abuelo.
En esta entrevista exclusiva concedida a EL MUNDO, por primera vez habla con la prensa escrita española de lo que vivió durante aquella guerra.
Pregunta.- ¿ Por qué dieron el salto de ocupar las islas ?
Respuesta.- En 1977 yo me presenté en el Estado Mayor del Ejército para preparar la hipótesis de guerra Malvinas. Mi jefe la rechazó y me dijo:
" No podemos ir contra Gran Bretaña, contra Estados Unidos ". Me trató como si estuviera borracho. Sin embargo, cinco años después sucedió la
recuperación. Entonces, hay que concluir que en lo de Malvinas actuó la Providencia, yo creo en la Providencia.
P.- ¿ No hubo una planificación estratégica ?
R.- La operación no estaba preparada, fue improvisada. Era una operación más política que militar. Hay guerras que se preparan durante 20 años pero ésta se
montó en 2 meses. Iba a ser el 24 de mayo, así el 25 de mayo ( fecha de la independencia de España ) festejábamos una nueva independencia, esta vez de Inglaterra. Pero los ingleses se alertaron y
hubo que adelantarla al 2 de abril.
P.- ¿ Los militares argentinos estaban preparados ?
R.- Las instrucciones que recibí eran ocupar las islas y evitar muertes de ingleses, porque las diferencias se iban a arreglar en los foros
internacionales. Nuestros jefes pensaban que esas islas a Gran Bretaña le daban pérdidas económicas. Y que Londres iba a terminar aceptando la presencia argentina. Sin embargo fue al revés. En el
medio del camino hubo que cambiar de una operación política a una militar.
P.- ¿ Qué papel cumplió Estados Unidos, que tenía excelentes relaciones con la dictadura argentina ?
R.- Hubo un acuerdo del Gobierno militar con alguien de los Estados Unidos, que indujo a Argentina a atacar pero nunca vamos a saber quién fue. Igual le
pasó a Saddam Hussein cuando invadió Kuwait. Existió una trampa que preparó el imperio angloamericano, Estados Unidos e Inglaterra. No se olvide que para los estadounidenses la reina de
Inglaterra es el papa. Nunca los americanos renunciaron a ese papado. Ellos esaban por independizar las islas - aún hoy lo quieren hacer - y considerarlas un Estado autónomo. A partir de ese
momento Argentina nunca recuperaría las islas.
P.- ¿ Cómo entró en combates su regimiento ?
R.- Desembarcamos y hubo algunas escaramuzas. Luego parte de mi regimiento - eran 1.000 hombres - enfrentó en Darwin el desembarco de los ingleses. Yo
estaba lejos, a muchos kilómetros. Mis soldados causaron muchas bajas a los ingleses. Por ejemplo, liquidaron al jefe de los paracaidistas y derribaron helicópteros. Y luego sufrimos muchos
heridos, estábamos muy dispersos.
P.- ¿ Cuántos de sus soldados murieron en total ?
R.- Doce hombres que pelearon duro. Y hubo 35 heridos. El 90% de mis hombres atropelló a la bala, o sea que la bala no
los atropelló a ellos, y pelearon heroicamente. El único regimiento con soldados de apenas 18 años era el nuestro. El uniforme les quedaba grande, pero pelearon como leones. Los ingleses creían
que eran fuerzas especiales y como sufrieron muchas bajas se replegaron.
P.- ¿ Por qué Argentina perdió la guerra ?
R.- Perdimos una batalla. La guerra se sigue desarrollando. Esa batalla se perdió porque no hubo planificación. La primera fase, de recuperación, fue
exitosa. La segunda, de defensa, falló porque de entrada nos bloquearon el abastecimiento, con aviones satelitales, submarinos atómicos, etc. Quedamos encerrados y no pudimos defenderlas.
P.- ¿ Cómo sobrevive un jefe militar a la derrota ?
R.- Una derrota es lo peor que le puede suceder a un soldado. Es una marca tremenda en el corazón. Yo siempre digo que preferiría haber muerto en las
Malvinas a no volver a casa derrotados. Pero las muertes heroicas son privilegio de las buenas personas. Se ve que no soy buena persona porque no me lo otorgaron ( Se ríe ). Morir en combate,
morir por una causa noble, es una santificación.