
(extrait du blog: http://mauricepinay.blogspot.com)
"Sages see with an equal eye the learned and cultured Brahmin, the cow, the elephant, the dog, the outcaste." Bhagavad-Gita, IV, 18. ----------------------------------------------------- "East, West, South, or North makes little difference. No matter what your destination, just be sure to make every journey a journey within. If you travel within, you’ll travel the whole wide world and beyond." . Shams of Tabriz, Rule 9 of Love........................................... Dharmo Rakshati Rakshitah ( धर्मो रक्षति रक्षितः): "The Dharma protects those who protect it." (Mahabharata)
Tuesday, April 15th 2008 was not only the day of the arrival of Pope Benedict XVI in the U.S., it was also "Education Day" U.S.A., the day on which the U.S. President honors the Chabad Lubavitch
Rebbe, Menachem Mendel Schneerson on his birthday according to the Hebrew calendar (Nisan 11) each year since the presidency of Jimmy Carter. Schneerson was believed to be the Messiah by Chabad
Lubavitchers during his lifetime and continues to be considered so by many of them even 14 years after his death in 1994. The Chabad Lubavitch carry on the evangelical tradition of their dead
Rebbe, Menachem Mendel Schneerson, drawing Judaic persons who have distanced themselves from the tyranny and superstition of Orthodox Judaism back to those dark traditions and cajoling the Goyim
into accepting the Talmudic system of double-standards, the "Noahide Laws," as a replacement for their traditional, universal, one-standard-for-all based upon the Biblical 10 Commandments and
Christ's Sermon on the Mount.
On "Education Day" 1991, George Bush Sr. made explicit reference to the "education" subject that this day represents. Bush signed into law a proclamation stating that the Talmudic "Noahide Laws"
are the "basis of civilized society and upon which our great Nation was founded;" the "ethical values and principles
[which] have been the bedrock of society from the dawn of civilization, when they were known as the Seven Noahide Laws;" and "without these ethical values
and principles the edifice of civilization stands in serious peril of returning to chaos;" and that "in tribute to this great spiritual leader, `the
rebbe' [Menachem Mendel Schneerson], this, his ninetieth year will be seen as one of `education and giving', the year in which we turn to education and charity to return the world to the moral
and ethical values contained in the Seven Noahide Laws;" and that "the Lubavitch movement has fostered and promoted these ethical values and principles
throughout the world ..."
I highly recommend reading this Orwellian Public Law which Bush Sr. signed in 1991, Public Law 102-14, H.J. Res 104, which attempts to retroactively establish the barbaric Talmudic "Noahide
Laws," rather than the Bible, as the basis of civilization, at the Library of Congress website:
http://thomas.loc.gov/cgi-bin/query/z?c102:H.J.RES.104.ENR:
Last year, Vatican officials signed a similar statement which is documented here:
COMMISSION FOR RELIGIOUS RELATIONS WITH THE JEWS AND THE CHIEF RABBINATE OF ISRAEL'S DELEGATION FOR RELATIONS WITH THE CATHOLIC CHURCH BILATERAL COMMISSION MEETING
Jerusalem, March 11-13, 2007; Adar 21-23, 5767
Non seulement les fellahs n’ont pas de destin : ils s’irritent de ce qu’on y prétend, dès qu’ils flairent une telle prétention. De là vient que le mot passe à lui seul pour suspect.
Il faudrait tirer encore quelque chose de la noblesse. Puisqu’elle n’a plus la direction de la politique ni de l’armée, et n’est même plus un modèle du savoir-vivre, qu’elle justifie du moins son existence dans le service des Muses.
Ernst Jünger, L’auteur et l’écriture. Traduit de l’allemand par Henri Plard. Christian Bourgois Editeur, Paris, 1983.
Lettres publiées le 3 juillet 1305 par le roi Louis le Hutin:
" Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, etc. Comme selon le droit de nature chacun doit naistre franc ; et par aucune usages ou coustumes, qui de grande ancienneté ont été introduites et gardées jusques cy en nostre royaume, et par aventure pour le meffet de leurs prédécesseurs, moult de personnes de nostre commun peuple, soient encheües en lien de servitudes et de diverses conditions, qui moult nous desplait. Nous considérants que nostre royaume est dit, et nommé le royaume des Francs, et voulants que la chose en vérité soit accordant au nom, et que la condition des gents amende de nous en la venüe de nostre nouvel gouvernement. Par délibération de nostre grand conseil, avons ordené et ordenons, que gereraument, par tout nostre royaume, de tant comme il peut appartenir à nous et à nos successeurs, telles servitudes soient ramenées à franchises ; et à tous ceux qui de ourine, ou ancienneté, ou de nouvel par mariage ou par residence de lieus de serve condition, sont encheües ou pourraient eschoir en liens de servitudes, franchise soit donnée à bonnes et convenables conditions. "
Cité par M. le vicomte de Chateaubriand : Analyse raisonnée de l’histoire de France, Ledentu, Paris, 1834.
Pierre-Olivier Combelles, carnets de voyage canadiens, 1990
Charles d'Orléans et Marie de Clèves
"Un rapport de l'O.N.U. de 2001 préconise l'installation en Europe de 159 millions d'immigrés d'ici 2005, ce qui aurait pour effet la submersion des populations nationales.
Souvenons-nous que la dénatalité et la décadence romaines entraînèrent les invasions barbares."
Aymeric Chauprade*, Constantes et changements dans l'histoire, Ellipses, Paris, 2003.
*Aymeric Chauprade est professeur de Géopolitique à l'Ecole de Guerre.
Voici donc comment l'O.N.U. voit l'Europe:
- Un état fédéral incluant les pays méditerranéens et l'Afrique, en remplacement des états nationaux
- Une population afro-européenne, en remplacement des populations autochtones blanches
- L'Islam comme première religion, en remplacement du christianisme
- L'anglais sommaire et l'arabe comme langues principales, en remplacement des langues européennes.
Ajoutons que les dirigeants européens élus appliquent les directives de l'O.N.U.
Le décret de 1848 sur l'abolition de l'esclavage se contentera d'étendre "au colonies et possessions de la République" le principe que "le sol de France affranchit celui qui le
touche", principe énoncé en 1135 par le roi Louis VI le Gros, confirmé par Louis X le Hutin dans un édit de 1315, et rappelé au XVIe siècle par un arrêt célèbre du Parlement de
Bordeaux, aux termes duquel "France est terre et mère de liberté, et ne connaît aucuns esclaves": tout esclave qui touchait le sol français était ipso facto libéré.
Extrait de : Signac et Lettres/Une exposition/Benjamin Franklin à Paris, par Marcel Signac, RIVAROL N°2848 du 7 mars 2008