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Le Fil d'Ariane d'un voyageur naturaliste

angleterre

Paul Craig Roberts: Le libre-échange était la théorie inventée par Ricardo pour déposséder l'aristocratie britannique

12 Mars 2025 , Rédigé par Le Fil d'Ariane Publié dans #Angleterre, #Aristocratie, #Economie, #Paul Craig Roberts

 

La société libre n'est pas celle qui a le droit d'élire ceux qui la gouvernent, mais celle qui élit ceux qui ont le droit de la gouverner.

Nicolás Gómez Dávila

Paul Craig Roberts: Le libre-échange était la théorie inventée par Ricardo pour déposséder l'aristocratie britannique

12 mars 2025

Le libre-échange était la théorie inventée par Ricardo pour déposséder l'aristocratie britannique

Paul Craig Roberts

Dans leur livre Global Trade and Conflicting National Interests publié en 2000 par The MIT Press, Ralph E. Gomory et William J. Baumol ont prouvé que la théorie du libre-échange avec laquelle les économistes d'aujourd'hui sont encore endoctrinés est fausse.  Les économistes ont fait de leur mieux pour ne pas remarquer qu'une partie de leur répertoire était invalide.  Il y a quelques années, j'ai présenté l'analyse de Gomory et Baumol aux économistes libertaires de l'Institut Mises.  Ils ne l'ont pas appréciée, mais ils n'ont pas pu la réfuter.

Au fil des ans, j'ai attiré l'attention sur la théorie défectueuse que les économistes gardent près de leur poitrine, mais il s'agit d'une information désagréable qu'ils ne veulent pas entendre.  Avec le discours de Trump sur les tarifs douaniers, la théorie invalide du libre-échange est utilisée comme une arme contre Trump.  Ceux qui, à Wall Street, sont endoctrinés par le libre-échange ont fait chuter le Dow Jones en paniquant.

En ce qui concerne les tarifs douaniers de Trump, il semble qu'il s'agisse souvent de menaces proférées à l'encontre de pays spécifiques pour les inciter à faire ce qu'ils devraient faire ou pour qu'ils apportent leur aide à l'agenda de Trump.  Par exemple, les droits de douane initialement annoncés par Trump à l'encontre du Mexique et du Canada ont été retirés une fois que les deux pays ont accepté de contrôler leurs frontières avec les États-Unis afin de contribuer à stopper le flux d'immigrants-envahisseurs vers les États-Unis.  Il reste à voir si un système tarifaire complet sera mis en place.

Le marché américain est vaste et, bien que la demande des consommateurs américains ait été affaiblie par la délocalisation des emplois manufacturiers de la classe moyenne, l'expansion de la dette a permis au marché américain de la consommation de se maintenir et les États-Unis restent un marché lucratif pour les biens produits à l'étranger.

Il est possible que les droits de douane retrouvent leur rôle historique dans le financement du gouvernement américain.  Pendant la majeure partie de son histoire, le gouvernement américain a été financé par les droits de douane.  Ce n'est qu'en 1918 que l'impôt sur le revenu adopté en 1913 a touché la population, de sorte que le gouvernement américain n'a été tributaire de l'impôt sur le revenu que pendant un siècle environ.  Comme je l'ai expliqué, l'introduction d'un impôt sur le revenu a ressuscité une forme d'esclavage en donnant au gouvernement des droits de propriété sur notre travail.  La définition d'une personne libre est une personne qui possède son propre travail.  Aujourd'hui, les personnes soumises à l'impôt sur le revenu sont dans la même situation que les serfs médiévaux qui devaient une partie de leur travail aux seigneurs féodaux.

Trump a parlé de remplacer l'impôt sur le revenu par des droits de douane. C'est une idée brillante.  L'impôt sur le revenu taxe le travail et le capital, facteurs de production.  L'impôt sur le revenu réduit donc le PIB et le niveau de vie. Les économistes classiques, contrairement aux « économistes de pacotille » actuels, comme les appelle à juste titre Michael Hudson, ont dit, à juste titre, que la consommation, et non les facteurs de production, devait être taxée.  C'est ce que fait un tarif douanier. Si vous ne consommez pas de biens produits dans d'autres pays, vous ne payez pas d'impôts.

Les pays ont jadis compris que le fait de dépendre des importations de produits de première nécessité, tels que les denrées alimentaires, constituait une menace pour l'existence nationale. Un pays pouvait être soumis en lui coupant les vivres.

Les Britanniques avaient mis en place les Corn Laws (le terme « corn » désigne toutes les céréales : blé, orge, avoine) qui protégeaient les agriculteurs anglais.  Les Corn Laws protégeaient les revenus de l'aristocratie terrienne, la classe dirigeante de la Grande-Bretagne pendant les années où celle-ci était la puissance mondiale.

Le revenu étant la base du pouvoir, la classe moyenne britannique montante voulait le pouvoir qui était entre les mains de l'aristocratie.  David Ricardo, un financier bourgeois, s'est attaqué aux revenus de l'aristocratie terrienne avec sa théorie concoctée du libre-échange. L'abrogation des Corn laws a fait passer le pouvoir d'une classe à l'autre. Les bourgeois ont gagné et les aristocrates ont perdu, et les Britanniques sont devenus dépendants des importations de denrées alimentaires. L'abrogation a été suivie par l'instauration de droits de succession qui se sont appropriés les domaines des aristocrates, détruisant ainsi la classe dirigeante de la Grande-Bretagne.

Observez les dirigeants britanniques de l'ère post-aristocratique.  

Que voyez-vous ?

Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane

Source: https://www.paulcraigroberts.org/2025/03/12/free-trade-was-ricardos-concocted-theory-used-to-dispossess-the-british-aristocracy/

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L'Angleterre vue par Aldo Sterone qui la quitte définitivement

17 Janvier 2025 , Rédigé par Le Fil d'Ariane Publié dans #Aldo Sterone, #Angleterre, #Opération "réchauffement climatique", #Société

Spectacle de clôture des JO de Londres en 2012: un phénix (la monnaie digitale mondiale pour le profit de l'hyper-classe) s'élève de la Terre en flammes (guerres, misère, destruction de la société, etc.)

Spectacle de clôture des JO de Londres en 2012: un phénix (la monnaie digitale mondiale pour le profit de l'hyper-classe) s'élève de la Terre en flammes (guerres, misère, destruction de la société, etc.)

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Hanne Nabintu Herland: Keir Starmer et le racisme néo-marxiste institutionnalisé contre les ethnies blanches indigènes

15 Janvier 2025 , Rédigé par Le Fil d'Ariane Publié dans #Angleterre, #Hanne Nabintu Herland, #Mondialisme, #Marxisme, #Immigration, #Révolution, #Jacques Derrida, #École de Francfort, #Elon Musk, #Russie

Brueghel: La Tour de Babel (1563)

Brueghel: La Tour de Babel (1563)

15 janvier 2025

Keir Starmer et le racisme néo-marxiste institutionnalisé contre les ethnies blanches indigènes  

Par Hanne Nabintu Herland

 

Peu de cas ont illustré plus brillamment l'effet profond de la discrimination marxiste contre les Européens blancs indigènes que le refus flagrant du Premier ministre britannique Keir Starmer, pendant de nombreuses années, de demander des comptes aux violeurs, assassins et gangs de toilettage musulmans nés à l'étranger.

L'histoire est aussi choquante que triste. Une enquête menée dans des villes britanniques telles que Rotherham a révélé que près de 1 400 jeunes filles britanniques blanches avaient été abusées sexuellement et torturées pendant près de 20 ans par des hommes musulmans, pour la plupart d'origine pakistanaise. Leurs familles avaient été menacées de silence si elles se plaignaient à la police. À Telford, une enquête a établi que pas moins de 1 000 filles avaient été abusées pendant 40 ans, certains cas n'ayant pas fait l'objet d'une enquête en raison de la « nervosité liée à la race ». À Oldham, une enquête a été ouverte après que des rumeurs se sont répandues en ligne selon lesquelles des enfants étaient manipulés dans des foyers municipaux, des bars à chicha et par des chauffeurs de taxi, d'après la BBC.

C'est Elon Musk, qui fait partie de l'équipe politique du futur Donald Trump, qui a dénoncé l'affaire X et s'est joint à la colère du public britannique contre Keir Starmer et son gouvernement travailliste.

La question principale reste posée : Pourquoi les dirigeants britanniques, tels que le Premier ministre Starmer, se sont-ils montrés si indulgents à l'égard des gangs de violeurs musulmans qui s'en prennent aux jeunes filles britanniques blanches depuis de nombreuses années ? Pourquoi la population britannique, majoritairement blanche, semble-t-elle sans défense ? Pourquoi leurs propres dirigeants politiques ne les défendent-ils pas ?

La réponse est que le récit néo-marxiste qui domine la politique européenne depuis les années 1960 a automatiquement donné aux immigrés-envahisseurs à la peau foncée la carte de la victime, tandis que les Européens autochtones blancs se sont vus attribuer le rôle d'abuseurs chroniques, de racistes, d'islamophobes, de fous d'extrême droite, de nazis, de fascistes et de bigots. Le message est que les Blancs doivent être sévèrement tenus pour responsables, alors qu'il ne viendrait à l'idée de personne de traiter un immigrant-envahisseur à la peau foncée.

C'est après la Seconde Guerre mondiale qu'un groupe d'éminents athées et philosophes néo-marxistes allemands a commencé à travailler à la destruction de la confiance de l'Occident dans les valeurs traditionnelles et historiques telles que la famille, la religion, Dieu, la liberté d'expression, la liberté individuelle, la justice, la moralité et l'État de droit. Ils se sont baptisés l'École de Francfort et sont devenus les pères fondateurs de la révolution étudiante des années 1960, qui prônait le sexe libre et la drogue, et de la révolte contre le système de valeurs traditionnelles, pilier de la stabilité de la civilisation occidentale.

Des philosophes français influents ont participé à cette poussée idéologique démoniaque et ont fortement influencé la liste de lecture des cours des universités occidentales.

Le multiculturalisme a été l'une des armes de la gauche. Il a ouvert la civilisation occidentale à la pollution culturelle et, en fin de compte, au désaveu de l'Occident lui-même.  La « déconstruction » des valeurs occidentales traditionnelles et la diabolisation de ces valeurs étaient l'objectif central des marxistes culturels. L'objectif principal était d'évaluer les individus sur la base de leur race et de leur appartenance ethnique, en lieu et place du modèle occidental traditionnel d'égalité devant la loi. Ce faisant, une discrimination souhaitée à l'encontre de la population européenne indigène blanche a été mise en œuvre, tandis que les immigrés envahisseurs à la peau foncée ont été largement excusés comme des personnes qu'il faut « plaindre » et ne pas tenir pour responsables. Ce récit, injuste et raciste, implique que certains groupes ethniques ne doivent pas être tenus pour responsables de la même manière qu'une personne blanche « privilégiée », créant ainsi un privilège pour la personne à la peau foncée.

Le multiculturalisme a institutionnalisé un système de droits et de statuts différents fondés sur la race et le sexe. L'égalité de traitement au regard de la loi s'est transformée en privilèges fondés sur la race et le sexe en matière d'admission à l'université, d'emploi, de promotion et de responsabilité générale.

Jacques Derrida, membre de la gauche française, parle des structures de pouvoir comme de paires, l'une faible et l'autre forte, illustrées par des oppositions telles que « mâle » contre « femelle », « blanc » contre « noir », « majorité » contre « minorité ». Il a supposé que l'équilibre des pouvoirs entre ces paires était statique. Cela signifie que l'homme et le blanc sont toujours les éléments forts de la paire, et que la femme et le noir sont toujours les éléments faibles. C'est de cette idée qu'est né le féminisme néo-marxiste qui détruit actuellement la famille et la relation naturelle entre les hommes et les femmes.

En outre, puisque l'« Européen » est toujours le fort et que l'immigrant à la peau foncée est toujours la victime impuissante dans le multiculturalisme de Derrida, l'homme blanc est toujours au sommet, tandis que l'homme noir est toujours au bas de l'échelle. Par conséquent, il faut toujours avoir pitié des Africains ou des Noirs américains, mais pas des Américains blancs ou des Européens blancs « privilégiés ». L'homme à la peau foncée doit toujours être aidé par des privilèges, puisqu'il est toujours victime de l'homme blanc.

L'analyse de Derida détruit l'égalité devant la loi et la remplace par un système différentiel de droits fondé sur la race, le sexe et d'autres indices de victimisation.

La grandeur de l'Amérique reposait sur l'assimilation de la culture nationale, qui a permis de créer une unité sans distinction de race, de croyance, de sexe ou d'origine ethnique. Le marxisme a détruit l'unité nationale. Dans mon livre New Left Tyranny, je décris la déconstruction de l'unité en une tour de Babel.

Lorsque le Premier ministre britannique Keir Starmer et le ministre de la protection des mineurs Jess Phillips ont récemment refusé une enquête nationale sur le scandale historique des gangs de toilettage à Oldham, l'internet a explosé de réactions de colère. Les Britanniques sont fous de rage après avoir vécu trois décennies de discrimination à l'encontre des citoyens britanniques blancs. Ce problème est généralisé à toute l'Europe.

Ce sont les commentaires d'Elon Musk sur X qui ont mis en lumière les détails horribles à l'échelle internationale en écrivant sur X que le ministre de la sauvegarde Jess Phillips mérite d'être emprisonné et que le Premier ministre britannique Keir Starmer est diabolique et devrait être condamné à une peine d'emprisonnement. En écrivant « pas de justice pour les crimes graves et violents, mais de la prison pour les messages sur les médias sociaux », Musk a fait référence à la récente agression au couteau de Southport, au cours de laquelle des jeunes filles britanniques ont été tuées par un autre immigré-envahisseur né à l'étranger. Au lieu de soutenir la forte réaction populaire, Starmer a immédiatement entamé une persécution choquante de type soviétique à l'encontre de ceux qui ont écrit des articles critiques sur les agressions au couteau dans les médias sociaux. Depuis, de nombreux Britanniques blancs sont allés en prison pour avoir publié sur les réseaux sociaux des messages critiquant la mollesse du gouvernement à l'égard des criminels et des gangs de viols issus de l'immigration.

Musk a également souligné que « les crimes graves tels que le viol requièrent l'approbation du Crown Prosecution Service (CPS) pour que la police puisse inculper des suspects ». Qui était à la tête du CPS lorsque les gangs de violeurs étaient autorisés à exploiter des jeunes filles sans avoir à répondre de leurs actes devant la justice ? Keir Starmer, 2008-2013 ». Qualifiant M. Starmer d'« embarras national », M. Musk a déclaré qu'il « devait partir », ajoutant qu'un certain nombre d'hommes politiques britanniques devraient être en prison : « Starmer a été complice du viol de la Grande-Bretagne lorsqu'il était à la tête du ministère public pendant six ans. Starmer doit partir et il doit être inculpé pour sa complicité dans le pire crime de masse de l'histoire de la Grande-Bretagne ».

Le tweet de Musk « Libérez Tommy Robinson » en dit long. Le journaliste britannique et militant anti-viol, Tommy Robinson, est actuellement emprisonné au Royaume-Uni, après avoir joué un rôle central dans la révélation des scandales de viols de Rotherham.

Dans une récente interview avec Jordan Peterson, Robinson a parlé de l'horrible discrimination dont sont victimes les Blancs au Royaume-Uni alors qu'ils tentent d'obtenir justice pour des crimes hideux. Ainsi, lorsque Musk tweete que le système judiciaire britannique est cassé, tout dépend de quel système il parle. Le système néo-marxiste et multiculturel actuel n'est certainement pas cassé, car il poursuit la mise en œuvre du racisme institutionnalisé à l'encontre de la population britannique blanche autochtone. Il n'est pas brisé, mais il atteint parfaitement son objectif.

Dans tout le monde occidental, les ethnies blanches ont été endoctrinées par un sentiment de culpabilité qui les a rendues impuissantes face à l'exploitation par les immigrants envahisseurs. Aujourd'hui, les gouvernements européens parlent de la nécessité de se préparer à la guerre avec la Russie alors que leurs propres populations sont terrorisées par les immigrants envahisseurs.

Hanne Nabintu Herland est historienne des religions comparées et fondatrice du rapport Herland. Son dernier livre, The Billionaire World : How Marxism Serves the Elite, est disponible à l'adresse suivante : https://www.amazon.com/Billionaire-World-Marxism-Serves-Elite/dp/B0CHL16CZT/ref=tmm_hrd_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1694461898&sr=8-3.

La police des mots allemands déclare que le terme « allemand ethnique » est raciste et antidémocratique et désigne le terme « allemand ethnique » comme un « non-mot ».

Si vous utilisez ce terme, vous êtes raciste, excluant et antidémocratique.

Ce contrôle du langage prouve le point de vue de Hanne Herland. Même le concept d'ethnies blanches est en train d'être éliminé.

https://www.lewrockwell.com/2025/01/no_author/in-latest-effort-to-deny-reality-leftist-german-word-police-announce-that-a-standard-colloquialism-for-ethnic-german-is-racist-exclusionary-and-antidemocratic/

Sources pour une lecture plus approfondie :

https://hannenabintuherland.com/news/karl-marx-the-aim-of-socialism-communism-was-always-to-destroy-traditional-western-societies/

https://hannenabintuherland.com/europa/the-frankfurt-school-how-neo-marxism-came-to-dominate-western-thinking/

https://hannenabintuherland.com/religion/what-is-neo-marxism-and-why-the-hatred-of-traditional-western-values/

https://hannenabintuherland.com/europa/1960s-how-the-neo-marxist-new-left-destabilized-the-west-hanne-herland/

https://plato.stanford.edu/entries/derrida/#WorDer

https://www.amazon.com/s?k=jacques+derrida&crid=1XZJ3Z6VOJ8BW&sprefix=jacques+derrida%2Caps%2C343&ref=nb_sb_noss_1

https://www.britannica.com/topic/deconstruction

https://plato.stanford.edu/entries/derrida/

https://hannenabintuherland.com/hanne-herland-featured/the-socialist-hatred-of-free-speech-read-shocking-quotes-from-marx-lenin-and-other-founding-fathers/

https://hannenabintuherland.com/europa/jacques-derrida-and-the-racist-left-victimization-of-blacks-socialist-racism/

https://hannenabintuherland.com/europa/alexandr-solzhenitsyn-warned-that-atheism-creates-communist-holocaust-gulag/

https://hannenabintuherland.com/culturalanalysis/brutally-ruthless-marxism-a-study-of-karl-marx-communism-and-socialism/

https://hannenabintuherland.com/usa/the-cloward-piven-strategy-western-marxist-intellectuals-are-the-useful-idiots-to-speed-up-the-fall-of-capitalism-by-manufacturing-crisis/

https://news.sky.com/story/southport-stabbings-suspect-faces-separate-terror-charge-after-ricin-and-al-qaeda-manual-found-at-home-13243980

https://x.com/Inevitablewest/status/1874081782792151372?t=5KYLuHsg6SQIGV2iGC7n4w&s=19

https://x.com/elonmusk/status/1874863824169582855

 

Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane

Source: https://www.paulcraigroberts.org/2025/01/15/keir-starmer-and-the-institutionalized-neo-marxist-racism-against-indigenous-white-ethnicities/

 Hanne Nabintu Herland: Keir Starmer et le racisme néo-marxiste institutionnalisé contre les ethnies blanches indigènes

"New Left Tyranny montre comment la Nouvelle Gauche néo-marxiste a tourné le dos aux principes historiques occidentaux et est devenue une force autoritaire destructrice. Elle a abandonné la classe ouvrière. En s'attaquant systématiquement aux valeurs traditionnelles et en incitant à une politique identitaire haineuse, elle a créé une société dysfonctionnelle caractérisée par l'anarchie sociale, l'égoïsme et l'absence de responsabilité personnelle."

Paul Craig Roberts, éminent économiste politique américain.

Hanne Nabintu Herland est une auteure scandinave à succès, historienne des religions comparées et fondatrice du rapport Herland.

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Aidan Rankin: La Voie du Jaïnisme

28 Décembre 2024 , Rédigé par Sudarshan Publié dans #Aidan Rankin, #Angleterre, #Bharat, #Inde, #Jaïnisme, #Religion, #Spiritualité, #Gandhi, #Dharma

Aidan Rankin: La Voie du Jaïnisme
Aidan Rankin: La Voie du Jaïnisme
Aidan Rankin: La Voie du Jaïnisme

Living Jainism explores a system of thought that unites ethics with rational thought, in which each individual is his or her own guru and social conscience extends beyond human society to animals, plants and the whole of the natural world. The Jain Dharma is a humane and scientific spiritual pathway that has universal significance. With the re-emergence of India as a world power, Jain wisdom deserves to be better known so that it can play a creative role in global affairs. Living Jainism reveals the relevance of Jain teachings to scientific research and human society, as well as our journey towards understanding ourselves and our place in the universe.

https://www.barnesandnoble.com/w/living-jainism-aidan-d-rankin/1114932003;jsessionid=53DECB9CEF3E0032F1317AD8D6DFAD1A.prodny_store01-atgap07

Aidan Rankin: La Voie du Jaïnisme
Aidan Rankin: La Voie du Jaïnisme

Published on New Statesman (http://www.newstatesman.com)
 

Escape from UKIP
Tired of the political correctness of the left, Aidan Rankin joined Ukip. Becoming right-wing gave h
by Aidan Rankin [2] Published 14 June, 2004 - 13:00


The scene was a dinner, organised by the Salisbury Review, somewhere in the depths of the Carlton Club. It was an occasion of right-wing triumphalism, or a rallying of the troops, but I felt neither triumphant nor rallied, only irritated and bored. I listened, with increasing loathing, to a repertoire of anti-Muslim barbs from people who knew nothing whatsoever about Islam and were proud of their ignorance. I listened to conspicuously affluent men and women inveigh against scroungers, appeal to the work ethic, condemn asylum-seekers as criminals and call for people to be charged for visiting the doctor. This, apparently, "worked perfectly well in the old days", although few people gathered around the table were born before 1945.
A drunken academic accused me of being "anti-western" when I supported Palestinian autonomy. Palestinians were "Muslims" and "terrorists". At this supposedly intellectual gathering, not one single idea, substantial or ethereal, was expressed. Soon, my disgust was tempered by self-loathing. I would rather be just about anywhere but here. So why was I here, listening to mean-minded philistinism and being eyed disapprovingly every time I dissented? How on earth had I ended up on the right - and was I ever going to be able to leave it?
It took me two more years to leave the right fully. Nothing gives me more pleasure than to use the past tense when I describe it. When I awake in the morning, I relish the sudden realisation that, no, I am no longer right-wing.
Looking back, I feel that being on the right was like losing a part of myself. In shamanic cultures, there is a widespread theory of "soul theft". This is the belief that an individual's soul can be captured, and then manipulated, by an external force. Soul theft is blamed for a wide range of ailments, from serious physical and mental illness to feelings of inner emptiness, and soul retrieval is an important part of the shaman's work. The process of soul theft can be long and insidious, with the affected individual becoming a willing collaborator.
Soul theft is an accurate depiction of the experience of becoming right-wing. It starts as a vague impression, then progresses - if that is the word - into a world-view; it begins as a bad mood, then becomes a permanent, brooding anger. One doesn't wake up one morning and find oneself transformed into a reactionary, a political version of the clerk in Kafka's Metamorphosis, who awakes as a gigantic insect. Instead, right-wingery takes over gradually, crowding out conflicting thoughts, until suddenly it defines and underlies everything.
I should begin by saying that there were two types of right-wing ideology that never appealed to me. One is "far-right" racism and the scapegoating of immigrants or refugees, given voice by the British National Party, but believed in by many members of the UK Independence Party, the Eurosceptic groupuscules and the Tory party's "traditionalist" right. This has always profoundly repelled me, both for its creeping totalitarianism and its simple-minded classification of individuals by race or group.
The second strand of right-wing thinking that held no appeal was the ersatz religion of "market forces", part consumerist cargo cult and part fundamentalist reworking of 19th-century liberalism. That approach is equally off-putting because of its personal heartlessness and its superstitious regard for the market's "hidden hand". In its naive, mechanistic view of human society, and its belief in permanent revolution, the neoliberal right resembles the most extreme variants of Trotskyism.
These two tendencies - traditionalist xenophobia and market fundamentalism - dominate the British right. They coexist quite happily with-in individual right-wingers, although they are contradictory. Market ideology gives economic forces precedence over nations and traditions, after all, and places corporate rule before "national sovereignty".
As a young man in the mid-1990s, I had held standard progressive views and written occasional contributions to New Left Review. But, like many at that time, I became disillusioned with a left that seemed to be recycling old slogans and ignoring new complexities. Moreover, it was doing so with a distortion of liberalism dubbed "political correctness", which seemed harsh and intolerant, and could hurt most those whom it intended to help. In particular, I found that the left's assumptions about gay men - of which I am one - were often patronising and in many ways as restrictive as the old stereotypes. Being gay, the left seemed to think, meant ceasing to be an individual and becoming a nameless, faceless member of a minority group, obediently reciting the mantras of victimhood.
I was interested in green issues as well and had the experience of working for Survival International, which promotes the interests of indigenous peoples throughout the world, oppressed minorities who are struggling to preserve their ancient cultures as well as keep their environment intact. I came to see a contradiction between this cultural and ecological conservatism and the universalist values of the left.
In moving right, I thought that I would meet people who would excite me and make me think, who would dare to question received assumptions. I thought I would find cultured yet passionate individuals whose radicalism was balanced by a sense of history. I had the naive and hopelessly utopian idea of uniting green politics with cultural conservatism and in the process strengthening both. This led me towards sections of the right that showed some basic ecological awareness. In 1997 I became a contributor to Third Way, then the British mouthpiece for the European new right, and which proudly proclaimed itself green.
Many on the left have demonised Third Way, because its best-known contributor, Patrick Harrington, was once a well-known activist in the National Front - although his views on immigration and race have modified beyond recognition. At the time of my involvement it seemed a rather homely outfit, a London-based magazine and small political movement run from a sprawling basement flat in Kensington by Harrington and his mother, a sharp-witted, cheerful lady who served herbal tea and gave highly expert tarot card readings. This is fairly typical of the British right: grandiloquent declarations of intent contrasting with banal realities. Despite Harrington's reputation, there were far fewer right-wing views expressed in Third Way than in the UK Independence Party. When I became a researcher for Ukip's 2001 manifesto, I thought that I was helping to shape a moderate and mainstream movement. I hoped it would revive some of the best, and most flexible, aspects of conservatism. In reality, I found a movement held together primarily by hatred and fear.
My attraction to Ukip took me into a peculiar demi-monde, peopled largely by men with faces red through alcohol and outrage against the modern world, ladies with affected accents or strange hats, and youthful zealots who collected "facts" about Europe or immigration the way better-adjusted young men collect train numbers. There were rules to this half-world, but I could never grasp them. I was never "one of us", but I was often characterised as "one of them", a phrase they use without shame. During my time in Ukip - which I emphasise was long before Robert Kilroy-Silk and Joan Collins declared for it - I met with objections to the word "inclusive" because it was "used by gays" or "could include gays". When I suggested inheritance and pension rights for same-sex couples - and others living together, such as siblings or friends - frenzied letters of complaint were circulated by the party's evangelical wing. These letters, which were never addressed to me, but whose content I was made aware of by "helpful" friends within the party, were more Inquisitional than political. They speculated on whether or not I was a "practising" homosexual and, if so, whether I was a suitable person to work on policy.
Homophobia was one of the few forces uniting a notoriously divided party. To its brownshirt-in-blazer tendency, the dangers of Europe and the dangers of homosexuality were intertwined. Immigration, too, was seen less as an economic and social issue than as a threat to the moral order. When I spoke of the benefits of immigration, I was accused of "sounding like Labour"; when I expressed approval of other cultures and religions, I was accused of being "anti-western". Although the party contains men who almost make Abu Hamza sound liberal, Islamophobia pervades its internal dialogue.
There have, needless to say, always been homosexuals in Ukip. They either affect to ignore the party's intolerance or seek to increase it, to avoid discovery. One parliamentary candidate told me that he was gay - or rather, he whispered his "confession" even though we were speaking on the telephone. He did not discuss it with the electorate, he told me, not because he thought they would be prejudiced, but because he was afraid his Ukip colleagues "would react badly".
Suggestions that the party should appeal to trade unionists and ethnic minorities, many of whom are trenchant critics of the EU, elicited responses that ranged from a "why should we bother?" attitude to outright hostility. When I produced a leaflet aimed at the Kashmiri community in West Yorkshire, it was widely condemned as "supporting separatism", although it rigorously espoused electoral politics and non-violence. The Eurosceptic movement as a whole consists of a series of mock-conspiratorial cabals, sad little internet discussion groups and obscure news-sheets, each trying to outdo the other in vituperation. They hate each other at least as much as they do the European Union.
I have yet to meet anyone on the British right who is made more contented or fulfilled by its politics. So why do otherwise relatively intelligent people put up with it?
The answer, I believe, is to be found in the initial frisson, the sense of adventure and vague threat, which much of left-wing politics has lost. Indulging in right-wingery is a form of political slumming akin to the predilection for "rough trade". And, like the taste for rough trade, it is initially thrilling but yields quickly to feelings of loneliness and inner turmoil. Right-wing politics and rough trade are both addictions. They take over as substitutes both for real thought and real emotion. They combine certainty with danger, and rebellion.
Indulging in rough trade gives you the certainty of sexual encounter and the danger of it being with a stranger, in illicit (and often illegal) circumstances that can climax in violence. With the right, you have the certainty that comes from clear positions and convictions often lacking in nuance. You have the certainty that comes from constant appeal to a long tradition and a glorious national history. You also get a sense of danger: these are on the whole unfashionable convictions, which can provoke strong responses from many interlocutors.
For gay people, rebellion is a rite of passage: for many, it is a turning away from their family's values and a rejection of the establishment's code of conduct. The right-wingers, instead, promise that to ally oneself to them is to rebel against the shibboleths of contemporary discourse - no need to kowtow to political correctness here.
In his semi-autobiographical novel A Boy's Own Story, Edmund White writes of his teenage hero's wish "to be a homosexual and not to be a homosexual". To the adult male, there is no better stopgap solution to this problem than being on the right. In the right-wing demi-monde, the negative aspects of the gay scene are replicated with astonishing accuracy. The bitchiness, fierce rivalries and mindless militancy associated with the worst of gay life are found in abundance in right-wing politics. Abstract loyalty is demanded, but personal treachery is the norm.
If the right has any core at all, it is its anger. Anger takes the place of a philosophy and also projects itself on to convenient objects. These range from "practising" homosexuals to Muslims, "Europe" to home-grown "liberal elites". This anger is sustained by paranoid caricatures of outsiders and political opponents, including members of rival right-wing factions, needless to say. When I associated with the right, I seemed to spend most of my waking hours listening to them preaching about how angry they were that Britain and the world were not the way they used to be. They missed a society that was coherent, that had order and structure and predictability. They missed a crime-free Britain where the traditional family reigned and foreigners left after an admiring tour of Buckingham Palace and the Cotswolds. In short, they missed a fictional Britain. What they loathed about the contemporary, real Britain was the unfamiliarity of it - a place where people looked different and spoke in a different way, where change always lurked around the corner.
Being criticised on the right does not involve gentlemanly disagreement or even tough debate, but wild-eyed accusations. When I decided not to stand as a Ukip candidate, the Eurosceptic bush telegraph buzzed with rumours that I was working for MI6 and that I had been "pro-EU" all along. This was an amusing, in some ways flattering accusation - its only tragic aspect being that the poor old things really believed it. The right is as paranoid about the intelligence services today as the left was at the height of the cold war. In truth, I suspect that the right enjoys being paranoid. It makes its followers feel that they matter.
My political journey took me eight years. Eight years spent being ashamed of my political allegiances when I was with my gay friends, or my Muslim and Hindu friends, and realised that they would have been rejected by many in Ukip.
Renouncing the right is like waking from a disturbing dream or throwing off an especially nasty hangover. It is a life-enhancing, liberating experience. I wish it on many others.

Source: http://www.newstatesman.com/print/node/148179

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(Grande-Bretagne) Musk dit à Starmer : Votre raid fiscal sur les agriculteurs est une erreur

3 Novembre 2024 , Rédigé par Le Fil d'Ariane Publié dans #Agriculture, #Angleterre, #Elon Musk, #Agenda ONU 2030, #Opération Réchauffement climatique

Le milliardaire de la technologie s'exprime sur les changements en matière d'héritage, alors que le gouvernement est confronté à la colère des électeurs ruraux.

Elon Musk s'en est pris à la taxe sur les successions imposée aux agriculteurs par Sir Keir Starmer, faisant ainsi pression sur le Trésor pour qu'il fasse marche arrière.

L'homme le plus riche du monde a déclaré « nous devrions laisser les agriculteurs tranquilles » en réponse à un message posté sur X critiquant les projets du gouvernement d'imposer des droits de succession sur les terres agricoles.

Le Telegraph est en mesure de révéler que les députés travaillistes souhaitent que le Trésor envisage de relever le seuil à partir duquel l'impôt est appliqué à partir d'un million de livres sterling, après avoir été inondés d'appels furieux de la part d'électeurs agriculteurs.

(...)

Le Royaume-Uni est déjà tributaire des importations pour une grande partie de ses fruits et légumes. À la suite de la pandémie de Covid, les députés ont plaidé pour que le pays devienne plus autosuffisant. Selon les chiffres de 2023 du ministère de l'environnement, de l'alimentation et des affaires rurales, l'autosuffisance du Royaume-Uni en légumes frais est à son niveau le plus bas depuis le début des relevés en 1988, soit 53 %.

(...)

https://archive.ph/2024.11.01-210435/https://www.telegraph.co.uk/politics/2024/11/01/elon-musk-tells-starmer-tax-raid-on-farmers-is-wrong/#selection-2319.4-2323.106

et

https://www.bbc.co.uk/news/articles/c1ml5zm9lz5o

NDLR: pour réaliser l'Agenda 2030 de l'ONU dont l'objectif est la dépopulation massive de la planète et l'asservissement et la robotisation des autres au service de la ploutocratie, il faut détruire la petite agriculture familiale et regrouper tous les hommes dans des mégapoles. Ceci pas seulement en Grande-Bretagne bien sûr, mais partout dans le monde.

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Entretien Thierry Meyssan / Kairos: La fin du monde ou la fin d'un monde ?

11 Octobre 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Angleterre, #Général de Gaulle, #Histoire, #Irak, #Israël, #Italie, #Nazisme, #OTAN, #Occident, #Orient, #Parlement européen, #Politique, #Propagande, #Royaume-Uni, #Seconde Guerre Mondiale, #Liban, #Iran, #Terre Sainte, #Palestine, #Thierry Meyssan, #USA, #Union Européenne

Entretien Thierry Meyssan / Kairos: La fin du monde ou la fin  d'un monde ?

Le média belge Kairos a reçu Thierry Meyssan. Il présente une vision à la fois tranchée et nuancée du conflit israélo-arabe. Selon lui, il ne s’agit pas d’une guerre entre les juifs et les arabes, mais entre les sionistes révisionnistes (c’est-à-dire les anciens fascistes de la Seconde Guerre mondiale) et tous les autres, à la fois juifs, chrétiens et musulmans.

Visionnez l'intéréssantissime entretien ici:

https://www.voltairenet.org/article221357.html

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Paul Craig Roberts: Julian Assange est libre

26 Juin 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Julian Assange, #Angleterre, #Politique, #USA

25 juin 2024

Julian Assange est libre

Paul Craig Roberts

Si la dépêche de Sky News qui m'est parvenue tôt ce matin n'est pas un canular, le gouvernement américain, de plus en plus considéré dans le monde comme une organisation criminelle, n'a pas pu convaincre les tribunaux britanniques d'extrader Julian Assange. Washington n'a pas pu ou n'a pas voulu donner aux Britanniques l'assurance qu'Assange ne serait pas maltraité et que ses droits ne seraient pas bafoués.

https://news.sky.com/story/julian-assange-will-not-be-extradited-to-the-us-after-reaching-plea-deal-13158340

Nous sommes nombreux à penser qu'Assange a été suffisamment maltraité par le gouvernement britannique qui l'a maintenu à l'isolement pendant 62 mois, ce qui constitue une violation massive de l'habeas corpus, pour rendre service à Washington.

Peut-être la "justice britannique" s'est-elle lassée de la honte de servir de geôlier à Washington et d'emprisonner un homme qui n'a pas été condamné pour quoi que ce soit. Les bons points que les Britanniques gagnaient auprès de Washington étaient compensés par l'apparence de complicité dans l'acte de vengeance de Washington à l'encontre d'un journaliste qui avait publié des fuites embarrassantes pour Washington.

Les juges britanniques ont peut-être décidé que les 13 années que Washington a volées à la vie d'Assange et à celle de sa femme et de ses enfants étaient suffisantes. Peut-être Washington a-t-il décidé que 13 années d'incarcération d'Assange, sous une forme ou une autre, suffiraient à servir d'avertissement à tous les journalistes à la portée de Washington pour qu'ils ne dénoncent pas les crimes de Washington. Quelle qu'en soit la raison, Washington a conclu un accord pour sauver la face et mettre fin à la persécution qui a détruit le premier amendement. En échange du plaidoyer d'Assange pour un chef d'accusation de "conspiration en vue d'obtenir et de divulguer des informations relatives à la défense nationale", la peine d'Assange sera purgée dans la prison britannique. Ainsi s'achève pour Assange l'un des épisodes les plus honteux de l'histoire du gouvernement américain. Les Américains ne pourront jamais oublier cette honte que leur a infligée Washington, car le ministère américain de la Justice (sic) continue de la pratiquer sur les citoyens américains eux-mêmes. Le régime corrompu de Biden, en utilisant des condamnations injustifiées et des plaidoyers de culpabilité forcés, a condamné à la prison, en tant qu'"insurrectionnistes", un millier d'Américains qui ont exercé leurs droits constitutionnels de protester. Ce même régime corrompu poursuit un ancien président américain, et beaucoup pensent que c'est le cas actuellement, y compris ses avocats, sur la base de fausses accusations. Les Américains savent ainsi que si un président peut être maltraité de la sorte, ils n'ont aucune chance. La conséquence est que la peur pousse les Américains à renoncer à leurs droits et à se soumettre à la tyrannie croissante de Washington.

Mon pays est aujourd'hui totalement différent de ce qu'il était lorsque j'y suis né. L'enseignement universitaire et public s'attache à enseigner aux générations suivantes que l'Amérique est un exploiteur raciste blanc et que l'on peut naître dans le mauvais corps, le sexe d'une personne étant désormais déterminé par auto-déclaration. Les démocrates aux États-Unis et les partis au pouvoir en Europe se sont engagés à remplacer leurs populations ethniques par des immigrants envahisseurs. Cette démarche, associée à l'endoctrinement dans les écoles, détruit la civilisation occidentale. Il y a déjà très peu d'engagement politique et intellectuel en sa faveur. Les universités blanches sont les plus féroces dénonciateurs de la civilisation occidentale.

D'ici novembre, nous devrions savoir trois choses qui, selon leur évolution, accéléreront ou ralentiront notre disparition.

La première est que nous saurons ce que les démocrates vont faire à Trump, et si c'est un outrage, si le peuple l'acceptera de peur d'être traité comme l'ont été les manifestants du 6 janvier.

D'autre part, nous saurons si la répudiation des partis européens au pouvoir lors des récentes élections parlementaires européennes se répercute sur les élections nationales françaises. Si c'est le cas, cela marquera le retour du nationalisme européen et le début du démantèlement de l'OTAN et du bellicisme américain

Troisièmement, nous saurons si Washington et ses marionnettes européennes sont suffisamment fous pour déployer des soldats de l'OTAN en Ukraine et pour continuer à tirer des missiles sur les civils russes comme Israël le fait sur les Palestiniens. Si Poutine accepte ces provocations, comme il l'a fait pour les précédentes, nous pourrions être confrontés à la montée en puissance d'un chef de guerre russe qui mettrait fin à notre existence et à celle de l'Europe.

Le fait que ces trois pays ne soient pas au centre des discussions occidentales signifie un manque de sensibilisation et de préparation si les événements devaient dégénérer.

Pendant ce temps, la jeunesse américaine est confrontée à la conscription et à la déprogrammation, alors que les citoyens de la civilisation occidentale font défiler leurs téléphones portables à la recherche constante de divertissement.

Traduit de l'américain par Rouge et Blanc

Source: https://www.paulcraigroberts.org/2024/06/25/julian-assange-is-free/


 

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OMS, vaccinations, perversion de la santé publique, néocolonialisme des transnationales... Entretien avec les Dr. Aseem Malhotra

15 Juin 2024 , Rédigé par Rouge et Blanc Publié dans #Angleterre, #Dr. Aseem Malhotra, #Gandhi, #Inde, #Opération Coronavirus, #OMS, #Santé, #Colonialisme

Les grandes entreprises sont les nouveaux colonialistes.

Dr. Aseem Malhotra

OMS, vaccinations, perversion de la santé publique, néocolonialisme des transnationales... Entretien avec les Dr. Aseem Malhotra

Le cardiologue britannique Aseem Malhotra a patiemment tissé depuis dix ans un réseau de journalistes, politiciens et médecins. Grâce auquel il fait sortir des infos solides sur les vaccins ou les projets de l’OMS.

Visionnez l'excellent entretien ici:

https://essentiel.news/penetrer-forteresse-mediatique-possible/

OMS, vaccinations, perversion de la santé publique, néocolonialisme des transnationales... Entretien avec les Dr. Aseem Malhotra
Romain Rolland: "Mahatma Gandhi."

Romain Rolland: "Mahatma Gandhi."

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