Children's Health Defense / Robert F. Kennedy: (Covid) L'approvisionnement en sang des États-Unis est-il contaminé ?
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10/06/22
COVID
L'approvisionnement en sang des États-Unis est-il contaminé ?
Malgré les rapports indiquant que les vaccins COVID-19 provoquent des anomalies sanguines, la Croix-Rouge américaine et la Food and Drug Administration continuent d'écarter les craintes que la campagne massive de vaccination ait pu contaminer les réserves de sang du pays.
Par
Children's Health Defense
Après l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) des vaccins COVID-19 par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, les caillots sanguins ont été parmi les premiers effets indésirables observés, et les anomalies de la coagulation continuent d'être l'un des problèmes les plus fréquents et les plus graves signalés.
À la mi-septembre, le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) - notoirement connu pour ne saisir qu'une infime partie des effets indésirables - avait reçu la notification de plus de 43 000 troubles de la coagulation sanguine, dont des problèmes aigus chez de jeunes enfants.
Les troubles de la coagulation font que le sang coagule "trop facilement", générant des caillots qui peuvent se déplacer dans la circulation sanguine et augmenter le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral, entre autres complications potentielles.
Des directeurs de pompes funèbres et des embaumeurs aux États-Unis et au Royaume-Uni ont rendu publiques des descriptions choquantes de caillots sanguins très inhabituels dans jusqu'à 85 % des corps qui leur sont confiés - une "augmentation massive" par rapport à l'époque des vaccins préCOVID-19, où des caillots d'apparence ordinaire pouvaient être trouvés dans 5 % à 10 % des défunts.
"Pendant toutes mes années d'embaumement, nous rencontrions des caillots de temps en temps", a déclaré Richard Hirschman, un entrepreneur de pompes funèbres expérimenté de l'Alabama, "mais depuis mai de l'année dernière [2021], quelque chose a changé dans le sang. Ce n'est pas normal. C'est drastique."
La coagulation rampante et l'aspect sci-fi inquiétant des caillots - "de longues entités fibreuses qui peuvent bloquer complètement une veine ou une artère", que Hirschman compare à des calamars, des élastiques, des spaghettis, des vers ou des parasites - ne sont que quelques-unes des préoccupations qui suscitent des questions sur la sécurité de l'approvisionnement en sang.
Aucun "risque pour la sécurité" ?
Le sang est composé à 55 % environ de plasma - qui, entre autres fonctions, fournit des protéines "pour la coagulation du sang et l'immunité" -, les 45 % restants étant constitués de globules rouges, de globules blancs et de plaquettes en suspension dans le plasma.
En fonction de leur groupe sanguin, les personnes qui donnent leur sang peuvent choisir de donner du sang total, du plasma ou des plaquettes, ou encore de faire un don "Power Red" (une "dose concentrée" de globules rouges).
La Croix-Rouge américaine déclare qu'elle n'acceptera pas le sang d'une personne dont le sang "ne coagule pas normalement", mais - conformément aux directives de la même branche de la FDA qui supervise les vaccins - elle accepte les dons immédiats de toute personne ayant reçu l'un des vaccins à ARNm ou d'autres vaccins COVID-19 disponibles aux États-Unis, pour autant que la personne déclare "ne pas présenter de symptômes et se sentir bien".
La Croix-Rouge prétend être indépendante mais célèbre ouvertement sa "relation spéciale" avec le gouvernement fédéral - une relation qui comprend des crédits et des contrats périodiques.
Dans un récent tweet adressé aux bénéficiaires potentiels de transfusions sanguines, la Croix-Rouge a clarifié les choses :
Le tweet a suscité de nombreuses réponses du public accusant la Croix-Rouge de diffuser des "informations erronées" et attirant l'attention de l'organisation sur les publications évaluées par les pairs qui contredisent son attitude languissante.
Dans l'une des études les plus alarmantes, publiée en août dans l'International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, des chirurgiens italiens ont décrit un agglutinement atypique de globules rouges et la présence de "structures et substances extraordinairement anormales" de "formes et tailles diverses et d'origine peu claire" chez plus de 94 % des personnes symptomatiques, vaccinées contre le COVID-19, dont ils ont examiné le sang.
Les 1 006 participants à l'étude, âgés de 15 à 85 ans, avaient reçu une première (14 %), une deuxième (45 %) ou une troisième (41 %) dose d'un vaccin à ARNm Pfizer ou Moderna environ un mois avant l'analyse de leur sang.
Se référant à d'autres études qui ont trouvé des substances étrangères dans le sang des personnes ayant reçu le vaccin COVID-19 et dans les flacons du vaccin COVID-19 - des substances "dont le CDC [Centers for Disease Control and Prevention] et les nombreux promoteurs des injections expérimentales ont affirmé qu'elles n'étaient pas du tout présentes" - les auteurs italiens ont conclu que les altérations sanguines induites par le vaccin étaient "susceptibles ... d'être impliquées dans la production des troubles de la coagulation couramment signalés après les injections anti-COVID".
En termes encore plus clairs, ils ont déclaré :
"Des changements aussi brusques que ceux que nous avons documentés dans le profil du sang périphérique de 948 patients n'ont jamais été observés après l'inoculation d'un quelconque vaccin dans le passé, selon notre expérience clinique. La transition soudaine ... d'un état de parfaite normalité à un état pathologique ... est sans précédent. ...
"Dans notre expérience collective, et dans notre opinion professionnelle partagée, la grande quantité de particules dans le sang des personnes ayant reçu une injection d'ARNm est incompatible avec une circulation sanguine normale, surtout au niveau des capillaires."
Une autre étude réalisée par des chercheurs roumains, envoyée à la Croix-Rouge par le public qui a tweeté, a non seulement rapporté que l'"ARNm synthétique associé au vaccin de Pfizer persiste dans la circulation systémique pendant au moins 2 semaines", mais a également noté "des temps de clairance plasmatique prolongés par rapport aux estimations présentées par les fabricants de vaccins à ARNm."
Parallèlement, un rapport de cas allemand présentant les résultats de l'autopsie d'un homme décédé après avoir reçu trois doses de vaccin COVID-19 "basé sur le gène" (une d'AstraZeneca, deux de Pfizer) sur une période de sept mois a révélé de manière concluante la présence de la protéine de pointe du vaccin COVID-19 à la fois dans le cerveau et le cœur - et en particulier dans les cellules des petits vaisseaux sanguins.
Ces études, ainsi que d'autres, expliquent peut-être pourquoi des membres du public comme "Mary" ont tweeté avec incrédulité à la Croix-Rouge : "Vous plaisantez ? Il est prouvé qu'il pénètre dans d'autres cellules du corps comme le cœur, provoquant une myocardite ; comment pensez-vous qu'il arrive au cœur à partir du site d'injection ???"
La FDA a refusé de communiquer les résultats d'autopsie en sa possession pour les personnes décédées après la vaccination au COVID-19.
Traduit de l'américain par Le Rouge et le Blanc avec DeepL.
Confier à Dieu les rênes du Moi
La Bhagavad Gita ("Le Chant du Seigneur") est l'une des parties du Mahabharata, la grande épopée classique de l'Inde. Elle relate la conversation entre le prince Arjuna et son cocher Krishna (8e avatar du dieu Vishnou) avant la bataille fratricide de Kurukshetra qui va opposer les clans rivaux des Pandava et des Kaurava, issus du même père mais de mères différentes. Dans cette œuvre religieuse et philosophique, les chevaux symbolisent les sens. Les rênes, ce sont les pensées. Le passager, c'est l'esprit. Le cocher, c'est l'âme et le tout est le Moi.
Auparavant, Arjuna avait confié sa vie à Krishna, par amour.
Pour le saint indien Ramakrishna (1836-1886), le Christ était aussi un avatar de Vishnou.
(...)
19. The Blessed Lord said: Yes, I will tell thee of my divine Vibhutis, but only in some of My principal pre-eminences, O best of the Kurus; for there is no end to the detail of My self-extension in the universe.
20. I, O Gudakesha, am the Self, which abides within all beings. I am the beginning and middle and end of all beings.
21. Among the Adityas I am Vishnu; among lights and splendours I am the radiant Sun; I am Marichi among the Maruts; among the stars the Moon am I.
22. Among the Vedas I am the Sama-Veda; among the gods I am Vasava; I am mind among the senses; in living beings I am consciousness.
23. I am Shiva among the Rudras, the lord of wealth among the Yakshas and Rakshasas, Agni among the Vasus; Meru among the peaks of the world am I.
24. And know Me, O Partha, of the high priests of the world the chief, Brihaspati; I am Skanda, the war-god, leader of the leaders of battle; among the flowing waters I am the ocean.
25. I am Bhrigu among the great Rishis; I am the sacred syllable OM among words; among acts of worship I am the worship called Japa (silent repetitions of sacred names etc.); among the mountain- ranges I am Himalaya.
26. I am the Ashwattha among all plants and trees; and I am Narada among the divine sages, Chitraratha among the Gandharvas, the Muni Kapila among the Siddhas.
27. Uchchaisravas among horses know me, nectar-born; Airavata among lordly elephants; and among men the king of men.
28. Among weapons I am the divine thunderbolt; I am Kamadhenu the cow of plenty among cattle; I am Kandarpa the love-god among the progenitors; among the serpents Vasuki am I.
29. And I am Ananta among the Nagas, Varuna among the peoples of
the sea, Aryaman among the Fathers, Yama (lord of the Law) among those who maintain rule and law.
30. And I am Prahlada among the Titans; I am Time the head of all reckoning to those who reckon and measure; and among the beasts of the forest I am the king of the beasts, and Vainateya among birds.
31. I am the wind among purifiers; I am Rama among warriors; and I am the alligator among fishes; among the rivers Ganges am I.
32. Of creation I am the beginning and the end and also the middle, O Arjuna. I am spiritual knowledge among the many philosophies, arts and sciences; I am the logic of those who debate.
33. I am the letter A among letters, the dual among compounds. I am imperishable Time; I am the Master and Ruler (of all existences), whose faces are everywhere.
34. And I am all-snatching Death, and I am too the birth of all that shall come into being. Among feminine qualities I am glory and beauty and speech and memory and intelligence and steadfastness and forgiveness.
35. I am also the great Sama among mantras, the Gayatri among metres; among the months I am Marga-sirsha, first of the months; I am spring, the fairest of seasons.
36. I am the gambling of the cunning, and the strength of the mighty; I am resolution and perseverance and victory; I am the sattwic quality of the good.
37. I am Krishna among the Vrishnis, Arjuna among the Pandavas; I am Vyasa among the sages; I am Ushanas among the seer-poets.
38. I am the mastery and power of all who rule and tame and vanquish and the policy of all who succeed and conquer; I am the silence of things secret and the knowledge of the knower.
39. And whatsoever is the seed of all existences, that am I, O Arjuna;
nothing moving or unmoving, animate or inanimate in the world can be without me.
40. There is no numbering or limit to My divine Vibhutis, O Parantapa; what I have spoken, is nothing more than a summary development and I have given only the light of a few leading indications.
41. Whatever beautiful and glorious creature thou seest in the world, whatever being is mighty and forceful (among men and above man and below him), know to be a very splendour, light, and energy of Me and born of a potent portion and intense power of my existence.
42. But what need is there of a multitude of details for this knowledge, O Arjuna? Take it thus, that I am here in this world and everywhere. I support this entire universe with an infinitesimal portion of Myself.
Bhagavad-Gita by Sri Aurobindo, Chapter X.
19. Le Seigneur Béni a dit : Oui, je te parlerai de ma divine Vibhutis, mais seulement dans certaines de mes principales prééminences, ô meilleur des Kurus; car il n’y a pas de fin au détail de Mon auto-extension dans l’univers.
20. Moi, ô Gudakesha, je suis le Moi qui demeure en tous les êtres. Je suis le commencement, le milieu et la fin de tous les êtres.
21. Parmi les Adityas, je suis Vishnu ; parmi les lumières et les splendeurs, je suis le soleil radieux ; je suis Marichi parmi les Maruts ; parmi les astres, la lune est moi.
22. Parmi les Védas, je suis la Sama-Véda ; parmi les dieux, je suis Vasava ; je suis l'esprit parmi les sens ; dans les êtres vivants, je suis la conscience.
23. Je suis Shiva parmi les Rudras, le seigneur des richesses parmi les Yakshas et les Rakshasas, Agni parmi les Vasus; Meru parmi les sommets du monde, je suis.
24. Et connais-Moi, ô Partha, des grands prêtres du monde, le chef, Brihaspati ; Je suis Skanda, le dieu de guerre, le chef des chefs de bataille ; parmi les eaux qui coulent, Je suis l’océan.
25. Je suis Bhrigu parmi les grands Rishis; je suis la syllabe sacrée OM parmi les mots; parmi les actes d’adoration, je suis le culte appelé Japa (répétitions silencieuses de noms sacrés, etc.); parmi les montagnes, je suis Himalaya.
26. Je suis l’Ashwattha parmi toutes les plantes et tous les arbres, et je suis Narada parmi les sages divins, Chitraratha parmi les Gandharvas, le Muni Kapila parmi les Siddhas.
27. Uchchaisravas parmi les chevaux me connaît, né du nectar; Airavata parmi les éléphants seigneuriaux; et parmi les hommes le roi des hommes.
28. Parmi les armes, je suis le divin éclair; je suis Kamadhenu, la vache de l’abondance parmi le bétail; je suis Kandarpa, le dieu d’amour parmi les géniteurs; parmi les serpents, je suis Vasuki.
29. Et je suis Ananta parmi les Nagas, Varuna parmi les peuples de la mer, Aryaman parmi les Pères, Yama (seigneur de la Loi) parmi ceux qui maintiennent la règle et la loi.
30. Et je suis Prahlada parmi les Titans; je suis le Temps, le chef de tous ceux qui comptent et mesurent; et parmi les bêtes de la forêt, je suis le roi des bêtes, et Vainateya parmi les oiseaux.
31. Je suis le vent parmi les purificateurs; je suis Rama parmi les guerriers; et je suis l’alligator parmi les poissons; je suis le Gange parmi les rivières.
32. De la création, je suis le commencement et la fin et aussi le milieu, O Arjuna. Je suis la connaissance spirituelle parmi les nombreuses philosophies, arts et sciences; je suis la logique de ceux qui débattent.
33. Je suis la lettre A parmi les lettres, la double parmi les composés. Je suis le Temps impérissable; je suis le Maître et le Souverain (de toutes les existences), dont les visages sont partout.
34. Et moi, je vole la Mort, et je suis aussi la naissance de tout ce qui doit naître. Parmi les qualités féminines, je suis la gloire et la beauté et la parole et la mémoire et l’intelligence et la constance et le pardon.
35. Je suis aussi la grande Sama parmi les mantras, la Gayatri parmi les mètres ; parmi les mois, je suis Marga-sirsha, première des mois ; je suis le printemps, la plus belle des saisons.
36. Je suis le jeu de la ruse et de la force des puissants; je suis la résolution, la persévérance et la victoire; je suis la qualité sattwique du bien.
37. Je suis Krishna parmi les Vrishnis, Arjuna parmi les Pandavas, Vyasa parmi les sages, Ushanas parmi les poètes-voyants.
38. Je suis la maîtrise et le pouvoir de tous ceux qui gouvernent et domptent et vainquent et la politique de tous ceux qui réussissent et conquièrent; je suis le silence des choses secrètes et la connaissance du connaisseur.
39. Et tout ce qui est la semence de toutes les existences, c’est moi, ô Arjuna;
Rien dans le monde ne peut être sans moi.
40. Il n’y a pas de numérotation ou de limite à Ma divine Vibhutis, O Parantapa; ce que j’ai dit, n’est rien de plus qu’un développement résumé et je n’ai donné que la lumière de quelques indications principales.
41. Quelle que soit la belle et glorieuse créature que tu vois dans le monde, quel que soit l’être plein de force et puissant (parmi les hommes et au-dessus de l’homme et au-dessous de lui), sache être une splendeur, une lumière et une énergie de Moi-même, née d’une portion puissante et d’une puissance intense de mon existence.
42. Mais quel besoin y a-t-il d’une multitude de détails pour cette connaissance, ô Arjuna ? Prenez-le ainsi, que je suis ici dans ce monde et partout. Je soutiens cet univers entier avec une portion infinitésimale de Moi-même.
La Bhagavad-Gita de Sri Aurobindo, chapitre X.
Paul Craig Roberts: Les esprits pris dans un piège d'acier
Les esprits pris dans un piège d'acier
Paul Craig Roberts
Dans l'Amérique d'aujourd'hui, il n'est plus possible pour les libéraux et les conservateurs, la gauche et la droite, les républicains et les démocrates, les Noirs et les Blancs, les hommes et les femmes de débattre des problèmes. La raison en est que pour les libéraux, les gauchistes, les démocrates, les noirs et les féministes, les questions sont réglées. Les conservateurs et les républicains sont des racistes, des suprématistes blancs, des colonialistes et des menaces pour la démocratie américaine. Les hommes hétérosexuels sont des misogynes. Il n'y a rien à dire. Les coupables sont connus, tout comme les voix de la vérité. Au lieu de débattre, les coupables sont censurés et réduits au silence, ce qui est le travail de la presse écrite, de la télévision, du FBI, des employeurs et des médias sociaux.
Les féministes apprennent aux femmes à haïr les hommes. Les libéraux blancs apprennent aux Noirs à haïr les Blancs. Les gauchistes éveillés imprègnent les enfants blancs de culpabilité et leur apprennent à se haïr eux-mêmes et leurs parents et à accepter les privilèges accordés aux "opprimés". Le genre dépend de ce que vous prétendez être, et non de la biologie ou des parties de votre corps. Une société aussi confuse et désunie par la haine mutuelle est incapable d'entrer en guerre avec de vraies nations comme la Russie, la Chine, l'Iran.
J'ai été autrefois professeur d'université, membre du personnel du Congrès, secrétaire adjoint du Trésor américain, conseiller de J.P. Morgan Guaranty Trust, rédacteur et chroniqueur du Wall Street Journal, chroniqueur de Business Week, chroniqueur du Scripts Howard News Service, chroniqueur du Creator's Syndicate. Aujourd'hui, ma voix se limite à l'Internet et aux publications et services d'information étrangers.
Les médias et les magazines américains gardent leurs distances car je ne suis pas d'accord avec les récits officiels, dont chacun est un mensonge flagrant.
Pendant le régime de George W. Bush, ma voix sur Internet était plus large. J'étais l'un des auteurs vedettes de CounterPunch et d'OpEdNews, car ils approuvaient le fait que je tienne le régime Bush responsable des mensonges qu'il utilisait pour attaquer les pays du Moyen-Orient. Mais quand Obama a fait la même chose et que j'ai tenu le régime d'Obama pour responsable, j'ai disparu des sites Internet de gauche.
Pourquoi cela s'est-il produit ? Comment suis-je devenu impopulaire à CounterPunch alors qu'Alex Cockburn avait rassemblé mes articles et les avait publiés dans un livre de CounterPunch ? CounterPunch (et OpEdNews) était-il seulement opposé aux guerres républicaines contre les Arabes, mais pas aux guerres démocrates contre les mêmes personnes ? Il s'est avéré que la guerre n'était pas le problème. Pour la gauche, le régime Bush représentait l'Amérique blanche, mauvaise, raciste, misogyne, colonialiste, et mes critiques des politiques du régime Bush correspondaient donc à l'état d'esprit de la gauche.
Mais cela n'a pas été le cas lorsque les démocrates ont poursuivi la politique sous la même impulsion du lobby israélien et du complexe militaire/sécuritaire. Pourquoi ?
La raison est que les démocrates se sont alliés à l'attaque de la gauche non seulement contre l'Amérique mais aussi contre l'ensemble de la civilisation occidentale blanche. La gauche américaine n'allait en aucun cas affaiblir l'attaque des démocrates contre "l'Amérique maléfique" en critiquant les guerres d'Obama contre les personnes de couleur au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Nous y voilà, le monde occidental a été perdu par le désir de la gauche de remplacer les nations par une tour de Babel, de remplacer la normalité par la perversité, de remplacer la vérité par des mensonges qui soutiennent une idéologie diabolique, et de remplacer la justice par la vengeance contre des parties diabolisées.
Les tours de Babel n'ont pas d'unité. La destruction de l'unité est l'objectif des démocrates. Non seulement les Démocrates sont les champions de l'ouverture des frontières qui servent à remplacer les citoyens américains blancs tout en vidant leur portefeuille pour soutenir les envahisseurs immigrés, mais les Démocrates sont aussi les champions de la politique identitaire qui garantit qu'il n'y aura pas d'unité de la population. L'ancienne victime marxienne - la classe ouvrière - est aujourd'hui la victime républicaine MAGA contre laquelle Biden et le FBI ont déclaré la guerre civile.
Washington dans sa stupidité semble être enclin à mener une guerre contre la Russie alors qu'il mène une guerre civile contre la moitié de sa propre population. Le XXIe siècle a commencé dans la violence et se poursuivra sur ce mode.
Traduit de l'américain par Le Rouge et le Blanc avec www.DeepL.com/Translator.
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2022/10/05/minds-caught-in-a-steel-trap/
Le conte d'Élan Musqué
"Élan Musqué.
Il était une fois un homme qui avait tout vu. Un homme qui avait tout entendu. Un homme qui avait tout acheté : rien n'était trop cher pour lui. Un homme qui avait tout pris, tout ce qui était à prendre et plus encore ce qui ne l'était pas.
Il avait fait ériger des édifices dont la cime crevait les nuages et lancer sur les flots des navires qui labouraient leur surface. Il avait fait tracer des routes si longues qu'elles enlaçaient la terre entière et y avait fait rouler des générations de machines mues par des forces jaillies de son esprit inventif. Il avait fait la fortune de légions d'âmes damnées prêtes à le suivre dans sa quête sans fin, qu'il avait laissé tomber sans états d'âme à la moindre inversion de conjoncture, autre nom de la trahison."
Lisez la suite de cette excellent conte de Gobu ici:
Paul Craig Roberts: Le monde entier est menacé par l'ignorance totale des élites gouvernantes américaines
Le monde entier est menacé par l'ignorance totale des élites gouvernantes américaines
4 octobre 2022 |
Paul Craig Roberts
Comme je l'ai décrit, nous nous sommes approchés d'un moment fatidique de l'histoire du monde, non pas à cause du réchauffement climatique, du Covid, de la surpopulation, du racisme blanc ou de l'une quelconque des "crises" qu'un média ignorant met en avant, mais parce que nous sommes confrontés à une guerre nucléaire qui trouve son origine dans la stupidité totale des élites occidentales.
David Johnson publie une Liste russe quotidienne, une collection de commentaires de journalistes et de prétendus "experts russes". Je parcours ces gribouillages et j'y trouve rarement quelque chose d'un tant soit peu intelligent. Aux États-Unis et dans leurs marionnettes européennes, l'"analyse de la Russie" consiste en des divagations russophobes. La Russie ceci, la Russie cela, et ainsi de suite. Ces divagations ignorantes ont créé un état d'esprit irréel chez les décideurs occidentaux et les poussent à commettre des erreurs fatales.
Je lis que la Russie a été vaincue en Ukraine ou qu'elle le sera. Je lis que le général 4 étoiles Petraeus, l'un des plus stupides des généraux politiques de Washington, a déclaré que Poutine est désespéré et dans une situation irréversible et que l'Ukraine deviendra membre de l'OTAN après la victoire contre la Russie.
Je me demande comment une personne aussi stupide a pu devenir un général américain quatre étoiles. Que Dieu nous vienne en aide.
À l'époque de la guerre froide à laquelle j'ai participé, nous nous écoutions les uns les autres et nous débattions pour savoir qui était responsable de la guerre froide. La commission sur le danger présidentiel, dont j'étais membre, écoutait également les Soviétiques ainsi que la gauche américaine qui pensait que le conflit existait afin de servir les intérêts des budgets et du pouvoir du complexe militaire/sécuritaire américain.
Jamais les dirigeants soviétiques n'ont été insultés et ignorés de la manière dont Poutine l'a été. Le président Reagan a déclaré au contingent qui l'accompagnait à Reykjavik pour sa rencontre avec Gorbatchev que quiconque adopterait une attitude grossière ou de rejet à l'égard de la délégation soviétique serait renvoyé sur le champ.
À cette époque lointaine et civilisée, le gouvernement américain ne prenait aucun risque susceptible d'entraîner un échange nucléaire avec l'Union soviétique.
Au XXIe siècle, le rejet grossier des préoccupations russes par le gouvernement américain est sans précédent. En renversant le gouvernement ukrainien et en forçant une guerre dans ce pays, Washington exagère considérablement sa capacité de combat.
Comment expliquer le manque de prudence de Washington ?
La réponse est que, les médias occidentaux étant réduits à un ministère de la propagande complaisant, les décideurs de Washington ne disposent d'aucune information fiable. Les journalistes, les politiciens occidentaux et les soi-disant "experts russes" ont créé un monde imaginaire pour les décideurs, qui leur fait croire qu'ils contrôlent encore la situation. Rien n'est plus éloigné de la vérité.
Ainsi, nous avons une situation composée d'Américains arrogants débordant d'orgueil hégémonique, de marionnettes européennes qui obéissent aux instructions de Washington, et d'un gouvernement russe contraint de se défendre et de défendre les peuples russes.
Il s'agit d'une situation explosive, d'autant plus que Poutine a été lent à prendre une position ferme. La déférence de Poutine envers le droit international ne signifie rien pour l'Occident, pour qui le droit international n'est rien d'autre qu'une arme à utiliser contre ceux qui ne s'y conforment pas. La déférence de Poutine à l'égard du droit international est interprétée par Washington comme une irrésolution à défendre réellement les intérêts russes.
La conséquence sera, comme je l'ai toujours dit, que Washington interprète mal la situation et franchit trop de lignes rouges russes. À ce moment-là, le feu et le soufre prendront le dessus. Je crains que nous n'en soyons très proches.
Les récentes déclarations publiques de M. Poutine et son discours au peuple russe montrent clairement que les dirigeants russes ont finalement perdu, à contrecœur, toute idée de compromis avec l'Occident. C'est l'échec total de la diplomatie occidentale qui a graissé les patins de la guerre. Le Kremlin ne veut pas la guerre, mais Washington l'a convaincu qu'il n'est pas possible de négocier pour éviter la guerre. Le caractère déraisonnable de l'Occident qui a refusé un accord de sécurité mutuelle avec Moscou, l'implication totale de l'Occident dans ce que le Kremlin a considéré comme une action de police dans la région du Donbass, et maintenant le sabotage par Washington des pipelines Nord Stream, ainsi que les menaces incessantes de porter des coups dévastateurs à la Russie ont fait que Moscou se prépare à la guerre.
L'OTAN est une force militaire insignifiante, et les États-Unis n'ont aucune chance de l'emporter sur la Russie dans une guerre conventionnelle. La seule façon pour Washington d'éviter une défaite humiliante est de recourir au nucléaire. On pourrait penser que le Kremlin le sait et qu'il n'attendra pas la première frappe.
L'échec complet et total de Washington à créer un allié et un partenaire commercial à partir d'une Russie consentante est le pire échec diplomatique de l'histoire mondiale. Les néoconservateurs juifs ont exigé l'hégémonie aux dépens de la Russie. Le complexe militaro-industriel américain a exigé que la Russie soit un ennemi pour justifier sa puissance et son budget. Le département d'État avait besoin d'une menace russe pour l'Europe afin d'empêcher que les relations normales entre l'Europe et la Russie ne relâchent l'emprise de Washington sur son empire européen. Un président américain qui avait l'intention de normaliser les relations avec la Russie a été chassé du pouvoir.
Tous ces intérêts matériels égoïstes, sans un média honnête pour les exposer et les vérifier, ont ouvert la voie à la troisième guerre mondiale, une guerre qui fera disparaître à jamais l'Occident en tant que force dans l'histoire.
Tucker Carlson explique l'absence de vie intelligente chez les téléspectateurs de CNN et le gouvernement américain
L'irréalité totale qui prévaut aux États-Unis conduit le monde à la destruction.
https://www.foxnews.com/video/6313215712112
Traduit de l'américain par Le Rouge et le blanc avec www.DeepL.com/Translator
See more at https://english.pravda.ru/opinion/154193-nuclear_war/
Consulter aussi:
Childrens Health Defense/Robert Kennedy Jr. Exclusive: We Must ‘Stand Up to Tyranny Now,’ Says Fired Air Force Academy Instructor
10/04/22
Exclusive: We Must ‘Stand Up to Tyranny Now,’ Says Fired Air Force Academy Instructor
In an exclusive interview with The Defender, Sandra Miarecki, Ph.D. — the only known civilian member of the Air Force who refused the experimental COVID-19 vaccine on the basis that the mandate is illegal — discussed the events leading up to her being fired.
By
Pam Long
The U.S. Air Force Academy (USAFA) in September fired Sandra Miarecki, Ph.D., for “undermining the chain of command” during the academy’s implementation of what she and others believe was, and still is, an illegal COVID-19 vaccine mandate.
In an exclusive interview with The Defender, Miarecki — the only known civilian member of the Air Force who refused the experimental COVID-19 vaccine and testing on the basis that the mandates are illegal — discussed the events leading up to her dismissal and why she believes she became a target of reprisal and retaliation.
Doe v. Rumsfeld (2003) established that the U.S. Department of Defense (DOD) cannot mandate experimental drugs for service members. To date, all COVID-19 vaccines are being administered under Emergency Use Authorization (EUA).
The U.S. Food and Drug Administration (FDA) granted full approval to the Pfizer Comirnaty and Moderna Spikevax COVID-19 vaccines — however, these vaccines are not available in the U.S. and will not be produced while liability-free EUA versions are available, according to the manufacturers.
Miarecki is a retired Air Force lieutenant colonel and former test pilot and instructor pilot. Her distinguished service includes being the fifth woman pilot to graduate from the Air Force Test Pilot School, and the first woman to become an aircraft commander in a modern bomber.
The USAFA in 2016 hired Miarecki, who has a Ph.D. in particle physics from the University of California, Berkeley, to teach physics as a federal civilian.
At the start of the COVID-19 pandemic, Miarecki found herself as the only dissenter in a COVID-19 working group at the academy.
She said the group focused on lockdowns without any safeguards for mental health. After two cadets died by suicide in isolation in March 2020, she filed formal Inspector General complaints for negligent homicide by the chain of command.
The job descriptions of instructors and professors at military academies include the requirement that they mentor cadets, preparing them for unique roles in the profession of arms.
When cadets in August 2021 came to Miarecki for help with the military’s experimental vaccine mandate, she informed them of their religious exemption rights as laid out in the military regulations.
The cadets told her that their informed consent was limited to “get the shots or get kicked out.”
Miarecki knows firsthand that all vaccines have risks — she was injured by a vaccine in 1992, resulting in a U.S. Department of Veterans Affairs disability. But when Miarecki faced her own mandate, she did not request an exemption.
Fired without due process
In November 2021, Miarecki refused to comply with President Biden’s vaccine mandate for federal employees.
In late December 2021, she also refused to comply with a USAFA mandate for the unvaccinated to conduct weekly experimental RT-PCR testing for COVID-19. This resulted in her being placed on administrative leave with a proposal for suspension in January 2022.
Miarecki was instructed to hand in her ID card, not return to campus and not talk to cadets about vaccine exemptions.
The proposed suspension was revoked when a federal court blocked the federal employee mandate on Jan. 21.
However, she was reinstated to teach physics from March to May 2022, because the mandates on base were suddenly rescinded, and there was no one else qualified to teach the second quarter of the physics course at the USAFA Preparatory School.
But then in June 2022, Miarecki was suspended for “undermining the chain of command.”
Miarecki said she believed the suspension was retaliation by the chain of command for the nine Air Force Inspector General complaints she filed against her chain of command, including one against the superintendent.
The complaints documented the illegal experimental vaccine mandates, coercion of students and staff and fear tactics to force compliance, including citations of violations of federal laws.
She also filed Office of Special Counsel complaints for retaliation against her due to her status as a whistleblower.
The final retaliation, in July 2022, was based on an allegation of “conduct unbecoming a federal civilian employee” by her supervisor that portrayed her as a domestic terrorist.
Miarecki’s boss reported that she said, “If only I could bring my gun to campus,” which Miarecki vehemently denies.
It is very uncommon for military personnel to refer to weapons as guns, yet one unverified statement carried enough weight to generate other unsubstantiated statements from staff members that resulted in firing a highly credentialed faculty member.
In September, the USAFA fired Miarecki without due process. She is pursuing several legal actions.
The documents detailing Miarecki’s suspension and firing focus on her discussing vaccine exemptions with cadets as her main offense.
Her supervisor alleges she was “breeding mistrust between students and their chain of command” and “disrupting camaraderie and cohesiveness” among the other instructors.
These allegations are a highly unusual charge list of Uniform Code of Military Justice offenses that do not apply to federal civilians and infringement of First Amendment rights.
Moreover, Miarecki’s contract with the USAFA did not require her to submit vaccine records or medical testing records to her employer, which would be an infringement of medical privacy.
When asked why the chain of command across all military branches implemented illegal experimental vaccine mandates, Miarecki said, “I can come to no other conclusion than this is an intentional takedown of the military from within.”
Miarecki cited as confirmation the altering, in 2021, of the DOD’s Defense Medical Epidemiology Database to remove reports of significant increases in cancers, miscarriages and neurological conditions following COVID-19 vaccination.
She also pointed to collusion with the federal government as the Federal Aviation Administration guidance prohibits pilots, both military and civilian, from taking a new FDA-approved drug until one year after approval, and yet federal entities did not prohibit pilots from taking the EUA COVID-19 vaccine.
“The FAA generally requires at least one year of post-marketing experience with a new drug before consideration for aeromedical certification purposes,” Miarecki said. “This observation period allows time for uncommon, but aeromedically significant, adverse effects to manifest themselves.”
Now, there are multiple reports of airline pilots having medical difficulties while on duty.
Were suicides linked to USAFA 60-day COVID solitary confinement policy?
In March 2020, the military academies at the U.S. Army and U.S. Navy sent their cadets and midshipmen home at spring break, as most universities in the U.S. did, due to the pandemic.
However, USAFA leadership ordered senior cadets to stay on campus in solitary confinement to “socially distance” in single-occupancy rooms for 60 days until graduation in May, while sending the underclassmen home.
This policy remained in effect after one cadet died by suicide. The policy was modified to dual-occupancy rooms after a second cadet died by suicide.
Air Force Lt. Gen. Jay Silveria, in a letter to USAFA parents, did not take responsibility for the two suicides caused by the solitary confinement policy, stating “I will confirm, given the current circumstances, that their deaths were not related to the COVID-19 pandemic.”
However, long-term isolation of healthy people has never been an acceptable quarantine or disease mitigation practice. Public backlash — not sound health advice — resulted in the USAFA cadets graduating early to prevent more suicides.
Public health officials invented the term “social distance” to promote solitary confinement, with its known adverse risks to mental health. The USAFA leadership decided that the virus with a 99.997% survival rate for 18- to 24-year-old cadets was more of a risk than mental health breakdowns caused by isolation.
Society reserves this type of extended forced isolation as a last resort for the most violent of criminal offenders or prisoners of war. In a review of this policy, two cadets died by suicide in isolation to prevent one possible cadet COVID-19 hospitalization.
Contrast this hysteria-driven policy of forced isolation of healthy cadets with the current “rational” USAFA policy that directs cadets with mild respiratory symptoms to attend their classes and scheduled activities as normal as of fall 2022.
The USAFA no longer reports COVID-19 case numbers.
The vaccine mandate also has unreported harms. Miarecki knows of at least five cadets at the USAFA Preparatory School with new heart conditions of myocarditis and pericarditis after receiving their shots.
These are athletes who are former state or national champions in their sports, who would have been ineligible for admission to the academy because of a pre-existing heart condition.
These heart conditions are serious and life-limiting, and typically require lifetime dependency on drugs. Only time will tell how many other cadets will be similarly afflicted in the prime of their lives, especially if boosters are mandated.
The USAFA is not contrite about its COVID-19 vaccine coercion and religious discrimination policies. In May 2022, four senior cadets were informed days before graduation to once again “get the shot or get kicked out.”
One cadet recovering from cancer complied with the mandate against his doctor’s recommendations, and three graduated but were ostracized by being relegated to the bleachers in civilian clothes during the graduation ceremony and denied their commissions.
It is unknown if these graduates will have to repay $200,000 for their education after the requests for religious exemptions and the appeals were denied.
Ultimately, these policies are causing widespread, unprecedented recruitment and retention shortfalls in all the armed forces.
USAFA abandons values during COVID crisis
The USAFA core values are: “Integrity First. Service Before Self. Excellence in All We Do.”
And yet cadets now have a case study of how a respected veteran, pilot and Ph.D.-level instructor was fired for demonstrating these values.
The vision of USAFA is “to serve as the Air and Space Forces’ premier institution for developing leaders of character.”
And yet the USAFA cadets are being mentored under leadership that implemented solitary confinement in a cowardly retreat from a virus with a 99.997% survival rate in this age group.
The longstanding USAFA Honor Code declares: “We Will Not Lie, Steal or Cheat, Nor Tolerate Among Us Anyone Who Does.”
And yet, if the leadership at the USAFA were to be investigated by an Honor Board, there would be evidence that the chain of command cheated the cadets out of their rights by refusing religious accommodations, and lied when asserting that the EUA COVID-19 vaccines were mandatory or FDA-approved.
The USAFA website states: “After the Academy, cadets graduate to become leaders in many fields, from physics to politics to philosophy. Across the world, Academy cadets have each other’s backs in battle and life — putting the needs of those around them ahead of their own.”
And yet, who had the cadets’ backs? Miarecki’s advice to the military community is not to wait for years on court rulings to push back.
“We need to find our backbone, and stand up to tyranny now.”
La déconstruction de l'enseignement
Entre autres « grandes œuvres » de Jack Lang, celle du temps où il était ministre de la culture en 1983, avant que Roger Holeindre le « portraitise » quelques années plus tard.
Une « œuvre » signalée en son temps par Isabelle Stal (docteur en philosophie et professeur à l’IUFM de Nice) et Françoise Thom (historienne et soviétologue française, maître de conférences à l’université Paris-Sorbonne), qui alertaient dans leur livre « L’école des barbares », les dérives du système scolaire « orchestrées » par les politiques.
Extrait :
« L’école a cessé de remplir sa fonction principale, qui est de structurer l’intelligence et l’expression des élèves. Elle est devenue paradoxalement un système de désinstruction. À l’école primaire on n’apprend plus à lire ni à écrire : les deux tiers des élèves ne le savent plus. Cela s’inscrit dans un relativisme généralisé des valeurs morales, des cultures, des religions et des manières de s’exprimer, aucune manière de vivre n’étant jugée supérieure à une autre. On a cassé tous les repères normatifs. On a supprimé l’histoire chronologique. Une démarche analogue a été effectuée pour saper l’enseignement de la langue et de la littérature. Globalement, on fait des élèves des barbares qui ne parlent et ne comprennent qu’un seul idiome, celui de la télévision. Une formation sacrifiée au nom d’un utilitarisme à courte vue qui empêche d’accéder aux idées générales. Il n’y a pas un élève sur cent qui soit capable de bâtir une phrase complexe. Une attitude qui va jusqu’à bannir toute discipline ; tout ce qui est contrainte est jugé comme un mal. L’exemple le plus illustre de cet état d’esprit est le ministre actuel, Jack Lang, le ministre du tag et du rap. C’est comme ça qu’on ramène les enfants à l’animalité*. »
Origine de tous les dysfonctionnements et désordres de notre Société, et cause de toutes les injustices :
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/lebienetlemal.html
Source de la republication (commentaire à la fin de l'article):
* NDLR: "Animalité" me semble un terme mal choisi. Aucune société animale et probablement végétale ne se conduit à l'égard de ses semblables et de son environnement, de manière si destructrice et suicidaire, comme l'Homme moderne, l'Homme anti-Tradition, l'Homme matérialiste. Chaque animal est, à sa manière, très "civilisé". Jim Corbett disait à propos du tigre: "C'est un gentleman".
Paul Craig Roberts: Le Kremlin a détruit la réputation militaire de la Russie
Le Kremlin a détruit la réputation militaire de la Russie
Paul Craig Roberts
L'aspect le plus malheureux de l'opération militaire du Kremlin en Ukraine, qui s'est déroulée au ralenti, a été la destruction de la réputation de l'armée russe, destruction soulignée par le fait que l'Ukraine a réussi à repousser les forces russes dans des régions qui, après les réunifications, font désormais partie de la Russie elle-même.
Le fait que la Russie ait perdu des territoires russes au profit de l'Ukraine risque d'enhardir davantage l'Occident et, partant, d'étendre la guerre.
Le général américain et ancien directeur de la CIA David Petraeus a menacé le Kremlin de détruire les troupes et la flotte russe de la mer Noire. https://www.theguardian.com/world/2022/oct/02/us-russia-putin-ukraine-war-david-petraeus
Bob Seely écrit dans le Telegraph britannique que "l'annexion par Poutine du territoire ukrainien... n'est pas la preuve d'un succès offensif, mais d'une peur défensive. . . . Ses actions sont le signe d'un homme désespéré qui craint une humiliation militaire". Poutine, affirme Seely, "devient plus dangereux" à en juger par le sabotage par la Russie de ses propres gazoducs et les menaces de Poutine d'élargir sa guerre. Néanmoins, Seely nous assure que "les fantasmes géopolitiques de Poutine de créer un grand État russe incorporant l'Ukraine, de briser l'OTAN et d'établir la Russie comme contrepoids mondial aux États-Unis sont en lambeaux." Seely ajoute que la victoire des troupes ukrainiennes entraînées par le Royaume-Uni sur l'armée russe dans la région de Kharkiv montre que la victoire ukrainienne sur les troupes russes mal commandées et au moral bas est réalisable. https://www.telegraph.co.uk/news/2022/10/02/entering-terrifying-new-phase-russo-ukraine-war/
Le sombre tableau d'une Russie vaincue dressé par Seely est renforcé par le fait que Poutine appelle à des négociations avec Zelensky dans le même discours où il accueille les provinces en Russie. Normalement, ce n'est pas le camp vainqueur qui appelle à des négociations.
Le récit de Seely et les menaces de Petraeus n'ont aucun sens. Mais ce qui compte, c'est que c'est ainsi que l'Occident le perçoit, et c'est cette perception qui va encore élargir la guerre. Il était évident dès le départ que ce serait la conséquence. Poutine a attendu huit ans pendant que l'Occident construisait et équipait une armée pour l'Ukraine et établissait le récit de propagande, et lorsque Poutine a agi tardivement, il l'a fait d'une manière qui garantissait l'élargissement de la guerre. Personne n'a dit à Poutine que les guerres ne peuvent pas être menées de manière limitée avec une corde à linge ?
L'intervention limitée de Poutine a donné à Washington sept mois pour convaincre les peuples occidentaux que la Russie est l'agresseur, pour fournir des armes à l'Ukraine, pour former les soldats ukrainiens à leur utilisation et pour établir des systèmes de communication permettant à Washington de fournir des informations de ciblage aux forces ukrainiennes. Il est impossible d'imaginer le Kremlin mener une guerre d'une manière moins susceptible de réussir.
Ce que le Kremlin a fait, c'est justifier la croyance de Washington en son omnipotence, ce qui conduira à davantage de provocations. Washington n'a pas eu peur de voler les réserves de change et autres actifs de la Russie, d'armer l'Ukraine et de faire sauter les pipelines russes Nord Stream. À chaque étape, Washington est devenu plus audacieux et les menaces à l'égard de la Russie sont devenues plus fortes.
C'est l'effort de Poutine pour contenir la guerre qui lui en amène une plus large. Alors qu'il poursuit sa politique de demi-mesures, Armageddon se rapproche de plus en plus.
Traduit de l'américain par Le Rouge et le Blanc avec DeepL.
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2022/10/03/the-kremlin-has-destroyed-russias-military-reputation/
NDLR: Lisez sur ce site les analyses critiques de Leonid Ivashov, de Vladimir V. Kvachkov (Président de l'Assemblée Pan-Russe des Officiers) et de certains auteurs du Club d'Izborsk sur la décadence de la Russie avec Poutine, qui contraste avec la propagande des médias officiels russes et l'image idéale que s'en font généralement les Occidentaux non-russophobes.
MOBILISATION : IL [POUTINE] DOIT ÊTRE EXCLU DU POUVOIR. Vladimir Kvachkov
Michael Hudson et Paul Craig Roberts: Washington a utilisé la "crise ukrainienne" pour lier l'Europe à Washington
Washington a utilisé la "crise ukrainienne" pour lier l'Europe à Washington
Par Michael Hudson, professeur d'économie à l'université du Missouri, Kansas City, et chercheur associé au Levy Economics Institute du Bard College. Son dernier livre s'intitule "The Destiny of Civilization".
Michael Hudson explique que les sanctions russes imposées par Washington ont libéré la Russie de ses illusions selon lesquelles elle avait des "partenaires occidentaux" tout en détruisant l'Europe sur le plan économique. L'article de Hudson, légèrement modifié par PCR, est reproduit avec l'autorisation de PCR, avec les derniers commentaires de PCR.
La réaction au sabotage de trois des quatre pipelines Nord Stream 1 et 2 en quatre endroits, le lundi 26 septembre, s'est concentrée sur les spéculations quant à l'identité du coupable et sur la question de savoir si l'OTAN fera une tentative sérieuse pour découvrir la réponse. Pourtant, au lieu de la panique, il y a eu un grand soupir de soulagement diplomatique, voire de calme. La mise hors service de ces pipelines met fin à l'incertitude et aux inquiétudes des diplomates des États-Unis et de l'OTAN, qui ont failli atteindre une proportion de crise la semaine précédente, lorsque de grandes manifestations ont eu lieu en Allemagne pour demander la fin des sanctions et la mise en service de Nord Stream 2 pour résoudre la pénurie d'énergie.
Le public allemand commençait à comprendre ce que signifiait la fermeture de ses entreprises d'acier, d'engrais, de verre et de papier toilette. Ces entreprises prévoyaient qu'elles devraient cesser leurs activités ou les transférer aux États-Unis si l'Allemagne ne levait pas ses sanctions commerciales et monétaires à l'encontre de la Russie, ne permettait pas la reprise des importations de gaz et de pétrole et, vraisemblablement, la baisse des prix après leur multiplication par huit ou dix.
Pourtant, la faucon du département d'État Victoria Nuland avait déjà déclaré en janvier que "d'une manière ou d'une autre, le Nord Stream 2 n'avancera pas" si la Russie répond aux attaques militaires accélérées de l'OTAN et de l'Ukraine contre les oblasts orientaux russophones. Le président Biden a soutenu l'insistance des États-Unis le 7 février, en promettant qu'"il n'y aura plus de Nord Stream 2. Nous y mettrons fin. ... Je vous le promets, nous serons en mesure de le faire".
La plupart des observateurs ont simplement supposé que ces déclarations reflétaient le fait évident que les politiciens allemands étaient entièrement dans la poche des États-Unis et de l'OTAN. Ils ont tenu bon en refusant d'autoriser Nord Stream 2, et le Canada a rapidement saisi les dynamos Siemens nécessaires à l'acheminement du gaz par Nord Stream 1. Cela semblait régler la question jusqu'à ce que l'industrie allemande - et un nombre croissant d'électeurs - commence enfin à calculer ce que le blocage du gaz russe signifierait pour les entreprises industrielles allemandes.
La volonté de l'Allemagne de s'imposer une dépression économique vacillait - mais pas de la part des politiciens allemands ni de la bureaucratie européenne. Si les responsables politiques allemands faisaient passer les intérêts commerciaux et le niveau de vie de l'Allemagne en premier, les sanctions communes de l'OTAN et le front de la nouvelle guerre froide seraient brisés. L'Italie et la France pourraient suivre le mouvement. Ce cauchemar de l'indépendance diplomatique européenne a rendu urgent de retirer les sanctions anti-russes des mains de la politique démocratique et de régler les choses en sabotant les deux pipelines. Bien qu'il s'agisse d'un acte de violence, il a permis de rétablir le calme dans les relations diplomatiques internationales entre les politiciens américains et allemands. Pas d'énergie russe pour l'Allemagne signifie aucune menace pour la soumission de l'Allemagne à Washington.
Il n'y a plus d'incertitude quant à savoir si l'Europe se détachera ou non des objectifs de la nouvelle guerre froide des États-Unis en rétablissant le commerce et les investissements mutuels avec la Russie. Cette option est désormais écartée. La menace d'une rupture de l'Europe avec les sanctions commerciales et financières des États-Unis et de l'OTAN contre la Russie a été résolue, apparemment pour l'avenir prévisible, car la Russie a annoncé qu'avec la baisse de pression du gaz dans trois des quatre gazoducs, l'infusion d'eau salée corrodera irréversiblement les tuyaux. (Tagesspiegel, 28 septembre.)
Où vont l'euro et le dollar à partir de maintenant ?
En observant comment cette "solution" commerciale va remodeler la relation entre le dollar américain et l'euro, on peut comprendre pourquoi les conséquences apparemment évidentes de la rupture des liens commerciaux entre l'Allemagne, l'Italie et d'autres économies européennes et la Russie n'ont pas été discutées ouvertement. Le "débat sur les sanctions" a été résolu par un effondrement économique de l'Allemagne, voire de toute l'Europe. Pour l'Europe, la prochaine décennie sera un désastre. Il y aura peut-être des récriminations contre le prix à payer pour avoir laissé la diplomatie commerciale de l'Europe être dictée par l'OTAN, mais l'Europe ne peut rien y faire. Personne ne s'attend (encore) à ce que l'UE rejoigne l'Organisation de coopération de Shanghai. Ce que l'on attend, c'est que le niveau de vie de l'Europe s'effondre.
(Et, j'ajouterais, que les pièces détachées pour BMW, Mercedes, Porsche et VW se raréfient).
Les exportations industrielles de l'Allemagne étaient le principal facteur soutenant le taux de change de l'euro. Le grand intérêt pour l'Allemagne de passer du deutsche mark à l'euro était d'éviter que les excédents d'exportation de l'Allemagne ne fassent grimper le taux de change du deutsche mark à un point tel que les produits allemands seraient hors de prix sur les marchés mondiaux. L'élargissement de la monnaie à la Grèce, l'Italie, le Portugal, l'Espagne et d'autres pays dont la balance des paiements est déficitaire empêcherait la monnaie de s'envoler. Et cela protégerait la compétitivité de l'industrie allemande.
Après son introduction en 1999 à 1,12 dollar, l'euro a effectivement chuté à 0,85 dollar en juillet 2001, mais il s'est redressé et a atteint 1,58 dollar en avril 2008. Il n'a cessé de baisser depuis lors, et depuis février de cette année, les sanctions ont fait passer le taux de change de l'euro en dessous de la parité avec le dollar, pour atteindre 0,97 dollar cette semaine. Le principal facteur a été la hausse des prix du gaz et du pétrole importés, ainsi que des produits tels que l'aluminium et les engrais dont la production nécessite de lourds intrants énergétiques. Et à mesure que le taux de change de l'euro baisse par rapport au dollar, le coût du portage de sa dette en dollars américains - condition normale pour les filiales des multinationales américaines - augmentera, ce qui réduira leurs bénéfices.
Ce n'est pas le genre de dépression où les "stabilisateurs automatiques" peuvent faire fonctionner "la magie du marché" pour rétablir l'équilibre économique. La dépendance énergétique est structurelle. Et les propres règles économiques de la zone euro limitent ses déficits budgétaires à seulement 3 % du PIB. Cela empêche les gouvernements nationaux de l'UE de soutenir leur économie par des dépenses déficitaires. La hausse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires - et du service de la dette en dollars - laissera beaucoup moins de revenus à dépenser en biens et services. Non pas qu'il y aura de l'énergie pour produire de nombreux biens.
Il semble curieux que le marché boursier américain ait grimpé en flèche - 500 points pour le Dow Jones Industrial Average mercredi. Peut-être s'agissait-il simplement de l'intervention de l'équipe de protection contre les plongeons pour tenter de rassurer le monde que tout allait bien se passer. Mais la réalité économique a pointé le bout de son nez jeudi, et la bourse a rendu ses gains fantômes.
Il est vrai que la famine énergétique a mis fin à la concurrence industrielle allemande avec les États-Unis, comme le montre le compte commercial. Mais sur le compte de capital, la dépréciation de l'euro réduira la valeur des investissements américains en Europe et la valeur en dollars de tous les bénéfices que ces investissements peuvent encore réaliser à mesure que l'économie européenne se contracte. Les bénéfices déclarés par les multinationales américaines vont donc diminuer.
Pour finir, Pepe Escobar a souligné le 28 septembre que "l'Allemagne est contractuellement obligée d'acheter au moins 40 milliards de mètres cubes de gaz russe par an jusqu'en 2030. ... Gazprom a légalement le droit d'être payé même sans livrer de gaz. C'est l'esprit d'un contrat à long terme. ... Berlin ne reçoit pas tout le gaz dont elle a besoin mais doit quand même payer." La bataille judiciaire s'annonce longue avant que l'argent ne change de mains - mais la capacité de l'Allemagne à payer ne cesse de s'affaiblir.
D'ailleurs, la capacité de paiement de nombreux pays atteint déjà le point de rupture.
L'effet des sanctions américaines et de la nouvelle guerre froide hors d'Europe
Les matières premières internationales sont encore principalement évaluées en dollars, de sorte que la hausse du taux de change du dollar entraînera une augmentation proportionnelle des prix à l'importation pour la plupart des pays. Ce problème de taux de change est intensifié par les sanctions des États-Unis et de l'OTAN qui font grimper les prix mondiaux du gaz, du pétrole et des céréales. De nombreux pays européens et du Sud ont déjà atteint la limite de leur capacité à assurer le service de leurs dettes libellées en dollars. Ils ne peuvent pas se permettre d'importer l'énergie et la nourriture dont ils ont besoin pour vivre s'ils doivent payer leurs dettes étrangères. L'économie mondiale dépasse désormais les limites de sa dette, il faut donc que quelque chose cède.
Le mardi 27 septembre, lorsque la nouvelle de l'attaque du gaz Nord Stream a été connue, le secrétaire d'État américain Antony Blinken a versé des larmes de crocodile et a déclaré que l'attaque des pipelines russes n'était "dans l'intérêt de personne". Mais si c'était vraiment le cas, personne n'aurait attaqué les gazoducs.
Je n'ai aucun doute sur le fait que les stratèges américains ont un plan de match sur la façon de procéder et qu'il est dans ce que les néoconservateurs prétendent être l'intérêt des États-Unis - celui de maintenir une économie mondiale unipolaire néolibéralisée et financiarisée aussi longtemps qu'ils le peuvent.
Ils ont depuis longtemps un plan pour les pays qui ne sont pas en mesure d'assurer le service de leur dette extérieure. Le FMI leur prêtera de l'argent, à condition que le pays débiteur trouve les devises nécessaires pour rembourser les prêts en dollars en privatisant, c'est-à-dire en vendant à des intérêts privés, ce qui reste de son domaine public, de son patrimoine de ressources naturelles et d'autres actifs, principalement aux investisseurs financiers américains et à leurs alliés.
Cela fonctionnera-t-il ? Ou bien les pays endettés envers l'Occident vont-ils se regrouper et trouver des moyens de rétablir le monde apparemment perdu des prix abordables du pétrole et du gaz, des engrais, des céréales et autres denrées alimentaires, des métaux et des matières premières. Ces produits fournis par la Russie, la Chine et leurs voisins eurasiens alliés ne seront pas évalués en fonction de la valeur artificiellement élevée du dollar américain. En se dissociant de l'Occident, le tiers monde peut devenir indépendant.
Les pays endettés répudieront-ils les dettes qui leur ont été imposées, protégeront-ils leurs intérêts et utiliseront-ils des devises autres que le dollar, surévalué par la mainmise de Washington sur l'Europe ?
Les stratèges mondiaux américains pensent avoir évité la difficulté par le sabotage de Nord Stream 1 et 2. Mais la solution de Washington détruit les économies du propre empire de Washington. La Russie et la Chine permettront-elles à Washington d'exercer sur les pays du Sud et d'Eurasie le même pouvoir que la diplomatie américaine exerce sur l'Allemagne et d'autres pays européens ?
À moins qu'une alternative institutionnelle ne soit créée au FMI, à la Banque mondiale, au Tribunal international, à l'Organisation mondiale du commerce et aux nombreuses agences de l'ONU actuellement utilisées dans l'intérêt des États-Unis par les diplomates américains et leurs mandataires, les décennies à venir verront-elles la stratégie économique américaine de domination financière et militaire se dérouler comme Washington l'a prévu ?
Le problème est que les plans de Washington pour la guerre en Ukraine et les sanctions anti-russes ont jusqu'à présent fonctionné exactement à l'inverse de ce qui était prévu. Une grande partie de l'Ukraine est maintenant réunie avec la Russie.
Cela peut donner un peu d'espoir à d'autres. L'opposition et même le mépris manifestés par les diplomates américains à l'égard des autres pays qui pensent pouvoir agir dans leur propre intérêt économique sont si forts que Washington, dans son orgueil démesuré, ne peut comprendre que ces pays puissent développer leur propre alternative au plan mondial américain.
Pour ajouter à l'excellente analyse de Hudson, la Russie et la Chine tendent la main à l'Amérique du Sud, à l'Asie et à l'Afrique et offrent des opportunités économiques aux pays au lieu de s'endetter auprès de l'Amérique et de vendre de force leur patrimoine à des intérêts étrangers. La Russie et la Chine ont une puissance économique et militaire suffisante pour être considérées comme des partenaires commerciaux capables de défendre l'accord. Une fois que la Russie et la Chine se seront soustraites à l'exploitation et au contrôle des systèmes de paiement et de compensation américains et à l'utilisation du dollar américain, l'hégémonie financière américaine sera limitée aux États fantoches occidentaux de Washington.
Tous les gouvernements allemands depuis la chute du régime national-socialiste ont été des gouvernements fantoches américains achetés et payés. La population allemande a été endoctrinée par le contrôle américain et israélien sur l'éducation allemande. Les Allemands ont été convaincus que le nationalisme allemand est un mal et qu'il entraînerait l'avènement d'un nouveau Führer. Aucun gouvernement allemand depuis 1945 n'a pris de décision dans l'intérêt du peuple allemand plutôt que dans l'intérêt de l'hégémonie de Washington et des paiements à Israël. Les Allemands ne sont pas conscients de cela. Ils ont un drapeau. Ils ont des frontières qui indiquent un pays. Ils ont un chancelier et des représentants élus. Les Allemands pensent qu'ils sont un état indépendant, mais ils ne sont rien d'autre qu'un appendice de Washington.
Un gouvernement qui se préoccupe de son propre peuple et de ses intérêts accepterait-il si volontiers, et appliquerait-il, des sanctions contre la Russie qui n'ont aucun effet sur la Russie mais qui sont calculées par Washington pour détruire les prouesses économiques et l'indépendance de l'Allemagne ?
Comme me l'a dit un haut fonctionnaire du Pentagone il y a des années, le gouvernement allemand nous rend des comptes. Nous leur donnons des sacs pleins d'argent. Nous les possédons.
Le gouvernement allemand, et tous les gouvernements européens, ont vendu les intérêts de leurs citoyens depuis 1945. Les quelques politiciens européens qui ont hésité, qui ont eu des sentiments nationalistes, ont été marginalisés par Washington et ses gouvernements et élites médiatiques européens achetés. Aucun intérêt européen ou britannique n'a été représenté par ces gouvernements en 77 ans.
Aujourd'hui, Poutine, le président de la Russie, conteste cet ordre mondial américain. Il dit que c'est terminé. Washington, dirigé par ses néoconservateurs juifs, ne supporte pas cette idée. Ils sont déterminés à détruire la Russie. Poutine a reconnu leur détermination à détruire la Russie et l'a communiquée à la nation russe.
Si vous ne comprenez pas que cela prépare le terrain pour une guerre entre puissances nucléaires, vous êtes trop stupide pour justifier votre existence, qui n'est probablement pas dans les cartes pour beaucoup plus longtemps.
Traduit de l'américain par Le Rouge et le Blanc avec www.DeepL.com