Message aux lecteurs à propos du "black-out" du blog Le Rouge et le Blanc le lundi 7 juin 2021
Chers internautes lecteurs et auditeurs du blog Le Rouge et le Blanc:
Hier lundi 7 septembre, pour une raison inexpliquée indépendante de notre volonté, l'ensemble des publications du blog a été inaccessible avec message d'erreur (comportant une faute d'orthographe...) disant que l'article était définitivement supprimé.
Interrogé immédiatement, l'hébergeur Overblog a répondu qu'il s'agissait d'un incident qui avait touché un certain nombre de blogs de leur plate-forme.
Pourquoi ? comment ? pas d'explication.
Le contenu a été rétabli aujourd'hui, mais sans les mots-clés ("tags") qui facilitent la recherche sur internet et qui ont disparu.
Le classement par date de publication a été également été effacé, impossible de retourner en arrière et de consulter des archives du blog.
J'ignore si cela pourra être réparé.
Depuis un an, les articles du bloc n'étaient déjà plus référencés sur Google, le premier organe de désinformation au niveau mondial.
Bien entendu, ce qui s'est passé n'est pas un hasard. Il y a un "deus ex machina".
RT France fait état d'un mystérieux dysfonctionnement qui aurait paralysé les sites internet de quantité d'organismes publics et privés le 8 juin:
Test pour une future cyber-attaque planétaire préméditée par le pouvoir mondialiste, qui avait déjà prévu en 2019 la "pandémie" du Covid ?...
Avec le pouvoir démesuré des technocrates et des financiers et la complication démentielle des relations humaines, les sombres nuages de la censure s'accumulent de plus en plus au-dessus de nos têtes au fur et à mesure que nos libertés se réduisent.
Mais nous poursuivons notre chemin dans ce labyrinthe, avec le fil d'Ariane à la main et la foi dans notre cœur.
En vous remerciant de votre intérêt et de votre fidélité,
Pierre-Olivier Combelles
Le Rouge et le Blanc
Thésée Libérateur, Musée archéologique national de Naples, (inv. nr. 9043). Pompéi, maison de Gavius Rufus. Thésée vient de tuer le Minotaure étendu sur le sol à l'entrée du labyrinthe, et il est remercié par les jeunes Athéniens destinés à être dévorés par le monstre, tandis qu'à droite le peuple crétois assiste à l'événement avec surprise. Source: Wikipedia
Alexandre Douguine : L'écologisme est un mensonge trompeur (Club d'Izborsk, 8 juin 2021)
Alexandre Douguine : L'écologisme est un mensonge trompeur
8 juin 2021
Le 5 juin, on a célébré la Journée de l'environnement. L'écologie est aujourd'hui activement poussée sur le devant de la scène. Il suffit de penser à l'adolescente défroquée Greta Thunberg, qui a essayé avec d'autres enfants d'empêcher les avions de voler parce qu'ils harcelaient les nuages ou pour une autre raison, généralement similaire. Greta fait donc la fête aujourd'hui et sèche une fois de plus les cours tout en s'amusant sur des yachts avec des milliardaires âgés qui sont également préoccupés par l'environnement.
Mircea Eliade, le grand connaisseur des mythes et des religions, a dit un jour : la nature est liée à la culture. C'est un constat bien plus profond que l'écologie la plus profonde. En d'autres termes, il n'y a pas de nature en soi. La nature est une projection de la culture et son être dérive du sujet, de l'esprit, de la culture. Quel que soit l'esprit, quelle que soit la nature. Et si l'esprit est transparent et pur, si la culture est élevée et divine, alors l'environnement humain sera le même. Pour le pur, tout est pur.
Les philosophes religieux russes ont parlé du monde de Sophia. Le monde est sophien, c'est-à-dire imprégné des rayons de la sagesse divine. Mais là encore, pas par elle-même, et en vertu de la percée de l'existence humaine dans les horizons les plus lointains et les plus élevés.
L'homme crée le monde avec Dieu ou, s'il le fait sans Dieu, il l'abîme et le déforme sans pitié. Il pollue l'environnement. Parce que lui-même se salit l'âme ou l'oublie complètement. Un homme au corps pur vit dans le monde du corps pur. Il rend son environnement purement corporel. Mais c'est déjà sale de vivre dans le monde de la densité, en gravitant au fond des corps en décomposition continue.
En quittant le paradis, l'homme commence à transformer le monde qui l'entoure en un enfer, en un bazar, en un objet d'appropriation et d'exploitation. Il commence à pervertir la nature, ne voit en elle qu'un ennemi et un objet de profit.
Mais une telle nature - sale, stupide, agressive, remplie d'odeurs de malpropreté et de pourriture - n'est aussi qu'un produit de l'esprit humain. Un esprit déchu, malade et perverti. La culture est comme la nature.
L'environnement qui nous entoure est un produit du capitalisme. Elle est dense, distribuée entre les entités en tant que propriété privée ou étatique et échangée sur les marchés. Et tous les déchets y sont impitoyablement jetés comme dans une immense décharge. Mais ce dépotoir n'est pas seulement une création de la main de l'homme, c'est une projection du fait que le capitalisme, le matérialisme et le New Age ont fait de l'homme lui-même un dépotoir.
Et maintenant l'homme a commencé à le remarquer. Mais il voit seulement que l'environnement est catastrophiquement mauvais. Et peut-être sincèrement, et le plus souvent parce que ce sont les fondations mondialistes qui le paient, il s'inquiète de son salut. Mais c'est de l'hypocrisie pure et simple ou de la faiblesse d'esprit. Est-il possible d'améliorer quoi que ce soit dans la nature en laissant la société humaine dans le même état ? Dans la même crasse spirituelle ? Dans la même misère matérielle et corporelle ?
Aujourd'hui, il est courant de dire que nous vivons à l'époque du capitalocène. Comme la nouvelle contrepartie antérieure du Pliocène, du Pléistocène ou de l'Holocène. C'est cette culture capitaliste, cette vision capitaliste du monde égoïste et cruelle, qui prédestine la nature moderne. Elle ne peut être sauvée qu'en commençant par l'essentiel, l'être humain. C'est l'humanité de l'ère du capitalisme mondial, en tant que point culminant du Nouvel Âge européen, qui est en train de mourir et de se décomposer. C'est au Nouvel Âge, quand l'humanité a décidé de tuer Dieu. Et s'est suicidé.
Et l'environnement n'est qu'un miroir. En elle, nous contemplons notre propre fin.
Et dans cette situation, quel sens cela a-t-il d'essayer de "soigner le miroir" en laissant l'original dans le même état.
Si nous voulons sauver la nature, nous devons sauver la culture, et nous devons sauver l'homme. Tout le problème est en lui et lui seul. L'écologisme est en fait une zone d'illusion paralysante, un mensonge rassurant. Au lieu du véritable ennemi - le Nouvel Âge européen et ses idéologies matérialistes qui culminent dans le libéralisme et le mondialisme - nous sommes invités à nous concentrer sur le sauvetage des abeilles. Les abeilles, qui se disputent, sont belles, industrieuses et sages. Et ils sont en fait en danger de périr. Mais si l'homme évolue dans la même direction qu'aujourd'hui, même sauver les abeilles ne changera rien, d'autant plus qu'elles s'éteindront tout simplement pour de bon - si l'homme n'a plus de culture. Après tout, la nature elle-même est prédestinée par la culture et souffre lorsque cette culture s'effondre. Et il s'effrite aujourd'hui.
Alexandre Douguine
http://dugin.ru
Alexandre G. Douguine (né en 1962) est un éminent philosophe, écrivain, éditeur et personnalité publique et politique russe. Docteur en sciences politiques. Professeur de l'université d'État de Moscou. Il est le leader du mouvement international eurasien. Membre fréquent du Club d'Izborsk.
Traduit du russe par Le Rouge et le Blanc avec DeepL.
"Il y aura toujours deux mondes soumis aux spéculations des philosophes : celui de leur imagination, où tout est vraisemblable et rien n'est vrai, et celui de la nature où tout est vrai sans que rien paraisse vraisemblable".
Antoine de Rivarol (1753-1801).
Alexandre Douguine a raison sur le fond mais il se trompe gravement sur plusieurs points. D'abord en donnant au mot "écologie" un sens qu'il n'a pas. L'écologie est la science des habitats naturels et des relations entre les espèces naturelles entre elles et avec leur habitat. Il confond "écologie" avec l'"écologisme", qui est la grossière instrumentalisation, la perversion de l'écologie à des fins socio-politiques, de pouvoir et de profit financier. C'est ce que font par exemple Al Gore et Bill Gates. En faisant cela, Alexander Dugin discrédite une science remarquable, beaucoup de scientifiques honnêtes (professionnels et amateurs) et montre qu'il est un homme de cabinet et absolument pas un homme qui connaît réellement la nature.
Si Alexander Guelievich connaissait réellement la nature, sur le terrain et en détail, comme un naturaliste, il saurait que l'immense majorité des espèces animales et végétales de la planète vivent et meurent en ignorant totalement l'existence des l'hommes, individuellement comme collectivement. Les espèces sauvages ne vivent pas dans le même temps et le même espace que les humains.
Cette constatation ne diminue en rien la responsabilité écrasante de l'homme dans la dégradation de la nature en général et de sa propre nature à cause du péché d'orgueil et de démesure, l'"hybris" des Antiques. Mais l'orgueil consiste aussi à croire que l'homme détruit la nature tout entière ou en aurait le pouvoir. Demandez aux fourmis ce qu'elles en pensent: 12000 espèces connues, qui existent depuis au moins 120 millions d'années et qui ont toutes les chances de survivre à l'espèce humaine. Ou à l'arbre "Ginkgo biloba", qui peut vivre plusieurs milliers d'années, dont un spécimen a survécu à l'épicentre du bombardement d'Hiroshima et dont l'espèce existe depuis plus de 300 millions d'années...
Et contemplez la nuit le spectacle de l'immensité infinie des étoiles et des galaxies. L'homme est un atome qui se croit Tout.
Pierre-Olivier Combelles
Le Gāyathrī mantra et le Cantique du Soleil ou des Créatures de Saint François d'Assise
Cantique du Soleil (ou Cantique des Créatures) de Saint François d'Assise
Jusqu'à la fin – car c'est presque moribond qu'il composa son plus joyeux cantique – saint François voulut mettre le monde en état de louange.
Durant l'automne 1225, épuisé par la stigmatisation et par les maladies, il s'était retiré à Saint-Damien. Presque aveugle, seul dans une cabane de roseaux, abattu par la fièvre et tourmenté par les mulots, voilà pourtant le chant d'amour qu'il fit monter vers le Père de toute la Création.
L'avant-dernière strophe, hymne au pardon et à la paix, fut composée en juillet 1226, au palais épiscopal d'Assise, pour mettre fin à une lutte acharnée entre l'évêque et le podestat de la ville. Ces quelques vers de l'apôtre de la paix suffirent à empêcher la guerre civile.
Quant à la dernière strophe, c'est pour accueillir par un chant notre soeur la Mort qu'elle fut composée au début d'octobre 1226.
Très haut, tout puissant et bon Seigneur,
à toi louange, gloire, honneur,
et toute bénédiction;
à toi seul ils conviennent, ô Très-Haut,
et nul homme n'est digne de te nommer.
Loué sois-tu, mon Seigneur, avec toutes tes créatures,
spécialement messire frère Soleil,
par qui tu nous donnes le jour, la lumière:
il est beau, rayonnant d'une grande splendeur,
et de toi, le Très-Haut, il nous offre le symbole.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour soeur Lune et les étoiles:
dans le ciel tu les as formées,
claires, précieuses et belles.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour frère Vent,
et pour l'air et pour les nuages,
pour l'azur calme et tous les temps:
grâce à eux tu maintiens en vie toutes les créatures.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour notre soeur Eau,
qui est très utile et très humble,
précieuse et chaste.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour frère Feu,
par qui tu éclaires la nuit:
il est beau et joyeux,
indomptable et fort.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour soeur notre mère la Terre,
qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour ceux
qui pardonnent par amour pour toi;
qui supportent épreuves et maladies:
heureux s'ils conservent la paix,
car par toi, le Très-Haut, ils seront couronnés.
Loué sois-tu, mon Seigneur,
pour notre soeur la Mort corporelle,
à qui nul homme vivant ne peut échapper.
Malheur à ceux qui meurent en état de péché mortel;
heureux ceux qu'elle surprendra faisant ta volonté,
car la seconde mort ne pourra leur nuire.
Louez et bénissez mon Seigneur,
rendez-lui grâce et servez-le
en toute humilité !
Pierre Dortiguier: Le roi et l'Ancien Régime
De la monarchie absolutiste de Louis XIV à l'absolutisme de la Révolution: l'exemple de l'Alsace, par Pierre Dortiguier:
https://www.lelibrepenseur.org/la-decadence-de-la-france-nest-pas-recente-par-pierre-dortiguier/
Meryl Nass, MD/Children's Health Defense: Les courriels de Fauci : Comment de hauts responsables de la santé publique ont tissé une toile de mensonges autour de l'origine du COVID et des traitements.
Les e-mails de Fauci : Comment de hauts responsables de la santé publique ont tissé une toile de mensonges autour de l'origine du COVID et des traitements.
Quatre hauts responsables de la santé publique pourraient-ils avoir été intimement impliqués dans la création de la pandémie, ainsi que dans la prolongation et les traitements inappropriés utilisés pendant la pandémie ?
Par
Meryl Nass, MD
4 juin 2021
Au début de l'année 2020, on a beaucoup discuté de l'origine du virus, plus tard nommé SRAS-CoV-2.
Dans un excellent article détaillé écrit au début du mois pour le Bulletin of the Atomic Scientists, Nicholas Wade, ancien rédacteur scientifique du New York Times, a décrit comment deux courts articles publiés en mars 2020 - l'un dans The Lancet et l'autre dans Nature Medicine - ont déterminé la manière dont cette discussion serait transmise au public.
Ces deux articles extraordinairement influents, publiés chacun sous le titre "correspondance", ont été repris par les médias grand public pendant un an. Ils étaient tous deux destinés à faire taire toute discussion sur la possibilité que le virus ait été créé dans un laboratoire.
Écoutez ici Robert F. Kennedy Jr. et moi-même discuter de ces questions :
Lorsque j'ai lu les articles du Lancet et de Nature en mars 2020, il est devenu immédiatement évident que chacun d'eux était conçu comme un outil de propagande. Aucun n'était basé sur la science.
J'étais tellement intrigué par ces articles que j'ai cherché sur le web pour mieux les comprendre. C'est alors que j'ai découvert Francis Collins, directeur des National Institutes of Health (NIH), qui avait publié un blog le 26 mars 2020 à propos de l'article de Nature, suggérant que l'article devrait mettre fin aux théories de conspiration sur l'origine des laboratoires.
Collins a écrit :
"Quoi qu'il en soit, cette étude laisse peu de place pour réfuter une origine naturelle de COVID-19. Et c'est une bonne chose car cela nous aide à rester concentrés sur ce qui compte vraiment : observer une bonne hygiène, pratiquer la distanciation sociale et soutenir les efforts de tous les professionnels de la santé et chercheurs dévoués qui travaillent si dur pour relever ce défi majeur de santé publique."
Je me suis demandé pourquoi cinq scientifiques par ailleurs crédibles signaient de leur nom l'article de Nature - et pourquoi Collins approuvait la conclusion de l'article - alors que les arguments avancés dans l'article étaient, à mon avis, absurdes.
J'ai finalement conclu que les auteurs avaient été poussés à écrire l'article par une "main cachée".
Comment en étais-je arrivé à cette conclusion, avant même que les courriels du Dr Anthony Fauci ne soient découverts mercredi ?
Il y a plusieurs mois, dans un autre courriel obtenu par U.S. Right to Know, nous avons appris que Peter Daszac, PDG de l'organisation à but non lucratif EcoHealth Alliance, était l'auteur principal mais caché de l'article du Lancet.
Daszac était également le principal bénéficiaire de la conclusion de l'article - que le virus a évolué dans la nature - puisque son organisation avait été utilisée comme intermédiaire pour envoyer de l'argent du National Institute of Allergy & Infectious Diseases (NIAID), dirigé par Fauci, au Wuhan Institute of Virology, à Wuhan, en Chine. (Certains pourraient considérer cette méthode d'octroi de subventions comme une façon fantaisiste de blanchir de l'argent).
Daszac, comme Fauci, gagnait plus de 400 000 dollars par an. Il était également membre de l'équipe d'enquête sur les origines du COVID de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et avait été choisi comme chef de l'équipe d'enquête sur les origines du COVID du Lancet, qui semble aujourd'hui avoir disparu.
L'OMS et le Lancet semblent donc être des co-conspirateurs, choisissant le renard (Daszac) pour garder le poulailler (la théorie selon laquelle le COVID a évolué dans la nature).
La publication mercredi des courriels de Fauci, obtenus par BuzzFeed News grâce à la loi sur la liberté de l’information), contribue à éclaircir une partie du mystère qui entoure la raison pour laquelle cinq scientifiques de renom ont cosigné des bêtises - que la vénérable revue Nature a publiées, et qui ont ensuite été utilisées comme base pour soutenir la théorie de l'origine naturelle.
L'un des courriels indique clairement qu'Andersen, auteur principal de l'article de Nature, savait qu'il participait à une escroquerie. Dans un courriel adressé à M. Fauci le 1er février 2020, Andersen exprime ses propres inquiétudes quant à certaines "caractéristiques inhabituelles du virus". Andersen semble s'inquiéter que ces caractéristiques suggèrent une falsification du laboratoire.
Mais Andersen rassure ensuite Fauci en affirmant que ces "caractéristiques inhabituelles du virus ne représentent qu'une très petite partie du génome (<0,1%) et qu'il faut donc examiner de très près toutes les séquences pour voir que certaines de ces caractéristiques semblent (potentiellement) avoir été modifiées".
Dans un autre courriel adressé à Fauci, Andersen remercie trois personnes incroyablement importantes - Fauci, Collins et Sir Jeremy Farrar - pour leurs "conseils et leur leadership" concernant l'article. Tous trois sont des chercheurs en médecine qui distribuent plus d'argent pour la recherche médicale que quiconque dans le monde, à l'exception peut-être de Bill Gates.
Fauci dirige le NIAID, Collins est le directeur du NIH (nominalement le patron de Fauci) et Farrar est le directeur du Wellcome Trust. Farrar a également signé la lettre du Lancet. Et il préside le groupe consultatif scientifique du plan directeur de R&D de l'OMS, ce qui l'a placé aux commandes de l'essai Solidarité de l'OMS, dans lequel 1 000 sujets involontaires ont été soumis à une surdose d'hydroxychloroquine afin de couler l'utilisation de ce médicament pour le COVID.
Farrar avait travaillé au Vietnam, où le paludisme était très répandu, et il avait également participé à l'étude du SRAS-1 dans ce pays. Il a en outre joué un rôle central dans la mise en place de l'essai Recovery au Royaume-Uni, où 1 600 sujets ont été surdosés en hydroxychloroquine.
Même si Farrar n'avait pas une idée de la dose correcte de chloroquine grâce à son expérience au Vietnam, lui, Fauci et Collins auraient appris l'existence de ces surdoses après que le Brésil a raconté au monde entier comment ils ont par erreur surdosé des patients lors d'un essai de chloroquine pour le COVID. La révélation a été faite dans un article publié dans le JAMA à la mi-avril 2020. Trente-neuf pour cent des sujets brésiliens qui ont reçu de fortes doses de chloroquine sont morts, à l'âge moyen de 50 ans.
Pourtant, les essais d'hydroxychloroquine de Solidarité et Récupération ont continué jusqu'en juin, ne s'arrêtant qu'après que leurs doses extrêmes aient été exposées.
Fauci s'est assuré de contrôler les directives de traitement du COVID émanant du NIAID, déconseillant à la fois les médicaments à base de chloroquine et l'ivermectine. Le NIAID de Fauci a également annulé le premier essai à grande échelle du traitement à l'hydroxychloroquine dans les premiers stades de la maladie, après que seuls 20 des 2 000 sujets attendus aient été recrutés.
Que signifie tout cela ?
Il y a eu une conspiration entre les cinq auteurs de l'article de Nature et les dirigeants du NIH, du NIAID et du Wellcome Trust pour dissimuler l'origine laboratoire de COVID.
Il y a eu une conspiration impliquant Daszac, Fauci et d'autres pour promouvoir la théorie de l'origine naturelle. (Voir d'autres courriels dans le dépôt récent).
Il y avait une conspiration impliquant Daszac pour écrire la lettre du Lancet et cacher sa provenance, pour pousser la théorie de l'origine naturelle et dépeindre toute autre idée comme une théorie de conspiration. L'article du blog de Collin est un autre élément de cette histoire.
Farrar a été intimement impliqué dans les deux grands essais de surdosage d'hydroxychloroquine, dans lesquels environ 500 sujets au total sont morts.
Farrar, Fauci et Collins ont retenu des fonds de recherche qui auraient pu soutenir des essais de qualité sur l'utilisation de médicaments à base de chloroquine, d'ivermectine et d'autres médicaments reconvertis qui auraient pu renverser la pandémie.
Les quatre personnes citées ici - Fauci, Daszak, Collins et Farrar - sont-elles intimement impliquées dans la création de la pandémie, ainsi que dans la prolongation et les traitements inappropriés utilisés pendant la pandémie ?
Pour plus d'informations, lisez mes deux précédents billets sur ce sujet datant de mars et avril 2020. Je ne veux pas m'attribuer indûment le mérite de ces découvertes - Dan Sirotkin a remarqué et écrit sur l'article de Nature avant moi, et a écrit de façon lucide à ce sujet. Je n'ai pris connaissance de ses écrits que bien plus tard.
Meryl Nass, MD
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Traduit de l’américain par Le Rouge et le Blanc avec DeepL.
Sergey Pisarev. "Idéologie. De Dieu ou du diable ? »
Sergey Pisarev. "Idéologie. De Dieu ou du diable ? »
4 Jun, 2021 -
De quel type d'idéologie la Russie moderne a-t-elle besoin ? Est-il possible d'adopter une doctrine qui absorbe le meilleur de tous les ...ismes, tout en étant libre de leurs défauts ? Quelles sont les valeurs qui conviennent le mieux à la mentalité russe, et celles qu'il vaut mieux abandonner ?
Ces questions et d'autres trouvent une réponse dans un entretien exclusif avec Sergei Pisarev, président du Fonds des entrepreneurs russes, auteur du concept "Russie - Arche de Noé" (RNA).
- Sergey Vladimirovich, je voudrais m'adresser à vous en tant que l'un des principaux organisateurs et sponsors de la rédaction de la fameuse "Doctrine russe", ainsi que l'auteur du concept de RNC. Le débat sur la nécessité d'adopter une ligne de conduite idéologique en Russie s'est récemment développé avec une vigueur renouvelée. Pourquoi ?
- La demande d'une nouvelle idéologie d'État est devenue encore plus pressante après les changements apportés à la Constitution russe. Les thèses patriotiques sont de plus en plus fréquemment entendues dans les discours d'éminents experts et politiciens.
Cependant, l'article 13 de la Constitution russe actualisée n'a pas changé ; il déclare toujours qu'aucune idéologie ne domine en Russie. Cette affirmation est quelque peu trompeuse. Il n'existe pas d'État sans idéologie. Après l'effondrement de l'URSS, l'idéologie occidentale et néolibérale est devenue dominante en Russie. Les "valeurs européennes" se sont infiltrées dans tous les pores de la société depuis 30 ans, du niveau domestique aux médias de masse. Dans le domaine de l'économie, le cap libéral est également resté inchangé pendant toutes ces années. Il est difficile pour les opposants à l'idéologie qui domine aujourd'hui dans la Fédération de Russie de lutter contre elle, notamment parce que, formellement, elle n'a pas ce statut. Mais en fait, il s'agit maintenant de le remplacer et de passer à une idéologie qui sera acceptable non seulement pour l'"élite" mais aussi pour la majorité de la population et la Russie dans son ensemble.
La Russie est incroyablement riche, mais avec une répartition des revenus aussi manifestement injuste, même elle présente déjà des lacunes notables. Un exemple simple : la collecte d'argent à la télévision pour le traitement des enfants russes mourants, et ce dans le contexte des dépenses de plusieurs milliards de dollars du "Russe Abramovitch" pour des clubs de football étrangers, des palaces et des yachts. En parlant des milliards "gagnés" par la plupart de nos oligarques. Roman Abramovitch, en raison de sa proximité avec la famille Eltsine, a privatisé Sibneft de l'État pour 100,3 millions de dollars et l'a ensuite revendu à l'État représenté par Gazprom pour 13,1 milliards de dollars. Mais il y a des gens qui, pour une raison quelconque, pensent que nos oligarques russes ont réussi grâce à leur incroyable intellect et leur incroyable capacité de travail ! Bien que de telles personnes existent certainement. Selon les calculs du Financial Times, la valeur nette des milliardaires russes représente 35 % du PIB du pays dans lequel ils vivent, avec une augmentation de 10 p.p. pendant l'année de crise de 2020. Sur 30 années de marché, plus de 2 000 milliards de dollars ont été retirés du pays, selon diverses estimations. Ces fonds auraient pu être utilisés pour construire environ 500 ( !!!) ponts de Crimée.
Dans son dernier discours devant l'Assemblée fédérale, le président Poutine a même dû parler ouvertement et directement de la nécessité de laisser les bénéfices à l'intérieur du pays au lieu de les transférer "hors du pays". Cependant, l'écrasante partie du pouvoir exécutif et législatif suprême de la Russie et sa strate spirituelle et culturelle semblent se satisfaire de cette situation. Peut-être avant une autre "révolution" avec expropriation ?
La passion infinie des "élites" pour la gloire, le pouvoir et l'argent nuit non seulement à la société et à l'État, mais aussi à elles-mêmes. Satisfaction de l'ego, mariages, divorces et scandales à n'en plus finir, médiatisés, souci permanent de croissance et de protection de la "richesse gagnée" contre les "maudits concurrents" et les détenteurs du pouvoir des deux côtés de la frontière. Tout cela émascule et épuise l'âme humaine, la prive d'harmonie et d'équilibre. Richesse excessive et vie de famille heureuse font rarement bon ménage sous un même toit. Les exceptions ne font que confirmer la règle générale.
En fait, la Bible, le principal document idéologique de l'humanité, dit, il y a deux mille ans, qu'il est presque impossible pour une personne riche d'accéder au Paradis. Ainsi, changer les priorités du "matériel" au "spirituel" profiterait non seulement aux "gens du peuple" et à l'État, mais aussi à ceux qui, de toute façon temporairement, se trouvent au "sommet de la chaîne alimentaire". Mikhaïl Zhvanetsky avait raison : "Il faut que quelque chose change dans l'université" (c'est-à-dire dans les têtes).
- Dans les pays développés, c'est l'idéologie libérale qui a largement assuré un développement dynamique et un niveau de bien-être impressionnant et qui a permis à ces pays de se hisser au premier rang mondial. Quels sont, selon vous, les défauts fondamentaux de cette doctrine ?
- L'idéologie libérale a joué son rôle lors de la formation du capitalisme. Mais aujourd'hui, son potentiel est épuisé et il devient de plus en plus souvent un frein au développement de la société. En outre, il s'agit de savoir ce qui a eu le plus d'influence sur le bien-être de la société occidentale : la "démocratie" ou l'exploitation des esclaves et le pillage des colonies.
Aujourd'hui, par exemple, une idée "fraîche" devient populaire parmi les "élites" : la population de la Terre augmente trop rapidement et les ressources de la planète ne suffisent pas pour tous - nous devrions réfléchir à des mesures pour réduire la population humaine.
La consommation effrénée dans les pays du "milliard d'or" (et pas seulement eux), est devenue un culte et le sens de la vie. Il oblige à "mettre à niveau" les smartphones, les voitures, les vêtements, etc., non pas parce qu'ils ne sont plus fonctionnels, mais parce qu'il existe un "nouveau modèle". L'ancien n'est pas prestigieux. Une énorme quantité de nourriture est inutilisée, gâchée et jetée, alors que dans les pays pauvres, des gens meurent de faim. Il est compréhensible qu'avec cette approche, "les ressources sont rares".
En outre, les pays du "milliard d'or" consomment plusieurs fois plus qu'ils ne produisent.
Le penchant pour les valeurs matérielles n'a pas non plus amélioré la situation d'une personne. Par exemple, dans le passé, la sodomie était considérée comme un péché mortel, une perversion, une déviation morbide de la norme. Aujourd'hui, dans la société occidentale, elle n'est pas seulement légalisée, mais est devenue une "norme de vie" que l'on impose à ceux qui nous entourent. La légalisation de la pédophilie et de l'euthanasie s'insinue. Dans le même temps, l'institution du mariage est détruite, les relations familiales sont considérées d'un point de vue purement utilitaire et les familles sans enfants sont en vogue. Et que dire de la principale admonition de Dieu à l'homme : "Soyez féconds et multipliez" ? La Bible dit encore, en décrivant le sort de Sodome et Gomorrhe, à quoi cela mènera.
- La doctrine communiste, dont les idéaux humanistes étaient les valeurs les plus élevées, était libérée de la course à la consommation et du culte du plaisir...
- Je suis d'accord, l'idéologie communiste de l'Union soviétique, malgré ses défauts, offrait une réelle alternative à la consommation effrénée. La richesse matérielle - exactement autant que le minimum nécessaire, et le matérialisme était condamné. L'idéologie communiste a prouvé à bien des égards sa vitalité ; le socialisme est réellement devenu un nouveau type de société.
C'est cette rationalité, l'approche rationnelle de la consommation, qui a constitué le principal danger mortel pour le libéralisme occidental, qui s'est employé à discréditer le socialisme et l'a combattu, avant tout, pour cette raison. En fin de compte, ce ne sont pas l'agression militaire et la course aux armements qui ont détruit l'URSS, mais un déplacement des priorités de valeur des citoyens de l'URSS du "spirituel" au "matériel".
En fait, pour cette raison, un Chinois qui aspire à la consommation n'est pas aussi dangereux pour l'Occident qu'un Soviétique idéologue en son temps.
À mon avis, l'un des principaux défauts de la doctrine communiste était la lutte contre Dieu, c'est-à-dire la négation de Dieu. Bien qu'en réalité, cette idéologie était un substitut du christianisme (comparez les 10 commandements de la Bible et les 10 commandements d'un communiste). Les plus grandes réalisations y sont liées, mais aussi les plus grands désastres du peuple. C'est pourquoi il n'a pu se maintenir en Russie que pendant 70 ans.
La monarchie en Russie a existé bien plus longtemps. Et comme le principal objectif de la monarchie était de "sauver les âmes de ses sujets", la principale raison de l'effondrement de l'Empire russe a été la propagation de l'athéisme dans toutes les couches de la société. Même la majorité des diplômés des séminaires en 1917 ne croyaient pas en Dieu, et il est clair qu'ils organisaient des services dans leurs paroisses de manière formelle. En conséquence, personne ne s'est levé pour défendre l'Église et les temples lorsque les "bolcheviks" ont commencé à les détruire en masse, et le Synode a même soutenu le renversement de l'empereur.
L'élite de l'Empire russe renonce à la foi orthodoxe. Pour moi, homme de foi, il est évident que c'est la cause de l'extermination ou de l'expulsion du pays de cette même élite. C'est une conséquence directe de la négation de Dieu (qui s'appelle : voir l'Ancien Testament !).
Pour la même raison que l'Union soviétique s'est effondrée - la perte de foi dans les idéaux du communisme a conduit au fait que personne ne le défendait. Et le pays s'est effondré du jour au lendemain sans aucune agression extérieure. Les anciens orthodoxes de 1917 ont trahi l'orthodoxie et sont allés détruire les églises, et les anciens communistes de 1991 ont renoncé au communisme et sont allés reconstruire ces églises. L'histoire a fait un cercle.
D'ailleurs, sous le socialisme, plusieurs générations de Soviétiques ne croyaient pas en Dieu. Où sont passées, après leur mort, plusieurs centaines de millions d'âmes immortelles de ces personnes ? Comment cela affecte-t-il le sort de leurs enfants et petits-enfants, c'est-à-dire vous et moi ? La question est rhétorique. Tous ces troubles qui accablent notre pays sont, à mon sens, une conséquence directe du refus de Dieu. Et cette accusation contre l'idéologie communiste n'est pas moins grave pour les croyants que la mort physique de millions de Russes qui ont péri dans les guerres civiles et les répressions.
Quant à la victoire vraiment sainte de l'URSS dans la Grande Guerre Patriotique. Depuis le discours essentiellement ecclésiastique de Staline au peuple : "Frères et sœurs !", l'ouverture des églises, l'autorisation des services divins, le retour des uniformes et des grades militaires d'avant la révolution, la création d'ordres de chefs militaires - des saints orthodoxes (Ushakov, Suvorov), jusqu'à des "coïncidences" historiques telles que la fin de la guerre le jour de Pâques 1945, le jour de la Saint Georges le Victorieux et l'acceptation de la capitulation de l'Allemagne par le commandant russe Zhukov portant le nom de Georgy. Le désir du peuple russe de revenir à ses fondements historiques et spirituels, de renoncer à la piété, bien que sous l'influence de circonstances terribles et seulement pour ce temps, n'est-il pas évident ? Mais il n'en reste pas moins que durant cette période historique difficile, une rébellion véhémente était interdite dans le pays. De toute évidence, ancien élève du séminaire religieux, Staline savait que tout ne dépend pas de l'homme.
- En Chine, le socialisme et le parti communiste fonctionnent toujours avec succès et affichent une réussite spectaculaire.
- En fait, dans la Chine moderne, il ne reste que l'enveloppe extérieure et la phraséologie du communisme et du socialisme, tout le reste est tout à fait oligarchique-capitaliste, avec toutes les méchancetés qui en découlent sans Dieu. Le socialisme n'est pas tant le "rôle de guide du parti communiste" que l'absence de capitalistes super-riches, de propriété privée des moyens de production et autres. Il n'y a rien de tout cela en Chine ? À propos, en ce qui concerne les garanties sociales, une certaine Suède "capitaliste" dépasse la Chine d'un ordre de grandeur. L'idéologie sans Dieu, que ce soit en Chine ou ailleurs, est toujours "du malin". Capitalisme d'État plutôt que socialisme ici, il me semble.
- Qu'est-ce donc que l'"idéologie" selon vous, de manière générale ?
- C'est un ensemble d'idées, de règles et de conventions mises ensemble qui promettent une vie bonne et heureuse pour la majorité. Quelqu'un propose le libéralisme, quelqu'un le socialisme, quelqu'un la monarchie ou d'autres ...ismes comme un tel ensemble. L'un des premiers ensembles de règles de ce type peut être considéré comme la Bible. Et le christianisme est l'une des doctrines et idéologies les plus viables et réalisables, grâce à laquelle notre civilisation a atteint le niveau de développement moderne.
En fait, de nombreux courants idéologiques ultérieurs peuvent être considérés comme des dérivés de la Bible, des sortes de substituts, adaptés à la perception, en tenant compte des caractéristiques nationales et temporelles locales (par exemple : "Moscou est la troisième Rome"). La Bible est difficile à comprendre et exige une compréhension profonde, alors que le "substitut" est plus simple. La plupart des gens sont à l'aise avec cette approche dans leur vie quotidienne. C'est probablement bien.
- Comment puis-je évaluer la "justesse" de telle ou telle idéologie ? À ses débuts, l'idée communiste semblait également très séduisante et promettait de résoudre tous les problèmes de l'humanité. Mais au final, elle a perdu la compétition avec d'autres mouvements.
- Il me semble que le critère principal est de savoir où mène toute idéologie : à Dieu ou au diable ?
Les idéologies et les mouvements de lutte contre Dieu gagnent souvent rapidement en popularité parce qu'ils font appel à l'orgueil (fascisme), aux désirs animaux les plus bas (LGBT), sont très simples ("prenez et divisez !"), ne demandent aucun effort de l'âme, et parfois même le nient. Il est plus facile de descendre de la montagne que de la gravir.
Un exemple simple : la sphère de la culture et de l'art peut servir à la création et au salut de l'âme, mais aussi à sa décadence et à sa souillure. De véritables chefs-d'œuvre, des "monuments à la hauteur de l'esprit" ont été créés dans cette sphère. Et dans le même temps, il existe des produits de mauvaise qualité dont le but principal est de divertir et d'enthousiasmer le public à tout prix, dans un but lucratif. La télévision, le divertissement, le théâtre et le cinéma regorgent de ce type de "produit", car il est plus facile à comprendre et à vendre.
Qu'est-ce que le "vrai art" et qu'est-ce qui ne l'est pas ? Le critère est très simple à mon avis : si une œuvre d'art fait réfléchir les gens, les rend meilleurs, plus purs, plus gentils, et les conduit à Dieu, alors c'est du "vrai art". Mais si une œuvre d'art n'a pas d'idéologie, qu'elle est vile et vulgaire, qu'elle provoque l'agression et conduit à la dégradation de la personnalité, alors c'est une route vers le diable et un art "non réel".
- De quel type d'idéologie la Russie a-t-elle besoin aujourd'hui ?
- L'idéologie du patriotisme éclairé, qui a absorbé tout le meilleur de ses prédécesseurs, et s'est affranchie de leurs défauts. Je parle du concept de "Russie - Arche de Noé" (ARN). Selon l'ARN, l'humanité est arrivée à un stade de son développement que l'on peut appeler le "déluge 2.0", suivi de l'apocalypse. La crise actuelle ne s'observe pas dans un seul domaine, mais littéralement dans tous les domaines, et cette crise est systémique et profonde. Une "tempête parfaite" se prépare. L'humanité peut périr pour plusieurs raisons à la fois, de l'armée à l'écologie. Si nous n'arrêtons pas aujourd'hui le glissement vers une catastrophe mondiale, demain il sera trop tard. Les ressources naturelles seront épuisées une fois pour toutes, il y aura une pénurie catastrophique d'eau et de nourriture ordinaires et des guerres pour les ressources. Les épidémies et l'apostasie, nous les avons déjà sous le programme complet.
Le RNC propose de conserver sur le territoire de la Russie tout ce que Dieu a créé, et seulement le meilleur de ce que l'homme a créé, car l'homme, étant un créateur, comme Dieu, ne crée toujours pas que du bon. En général, l'ARN est l'idéologie des "derniers temps", parlant de la manière de retarder l'apocalypse qui approche, dont les signes, nous semble-t-il, sont de plus en plus évidents. Autrefois, l'idéologie de "Moscou - la troisième Rome" était pertinente, aujourd'hui, elle l'est de plus en plus : "La Russie - l'arche de Noé de l'humanité".
- Comment les choses se passent-elles en Russie à cet égard ?
- Au cours des 20 dernières années, nous avons constaté une dissonance de plus en plus nette entre la politique étrangère et la politique intérieure de la Russie. Il n'y a pas de plaintes particulières concernant la politique étrangère, elle est pondérée, bien pensée, pragmatique et cohérente.
Mais à l'intérieur de la Russie, des problèmes aigus dans presque toutes les sphères - de l'idéologie et de l'économie à l'éducation et à la culture - s'accumulent et restent sans solution pendant des années. La majeure partie de notre "élite" considère la Russie comme une "société par actions fermée" avec "la direction (c'est elle) et les travailleurs ordinaires (c'est nous)". Face aux "pilleurs" extérieurs, la "direction" et les "travailleurs" présentent un front uni. À l'intérieur, cependant, il n'y a pas d'unité, notamment dans la distribution des biens matériels. Et les gens, pour ne pas dire plus, le ressentent vivement.
Le président russe Vladimir Poutine, s'adressant aux "partenaires occidentaux", a exprimé la thèse tant attendue selon laquelle l'idéologie libérale est dépassée. Mais elle est dépassée non seulement pour eux, mais aussi pour nous, chez nous, en Russie. Il est temps de donner naissance à une nouvelle idéologie qui correspond au moment historique et qui est urgente pour la société et l'État russes, et qui mène à Dieu. Et, il me semble qu'une telle idéologie est née. Le moment est venu...
Préparé par Valeri Borisov
Spécialement pour le RNC
P.S. Il existe plusieurs ouvrages contenant des propositions sur la construction d'une nouvelle arche de civilisation dans les principales sphères de la vie économique, politique, sociale, familiale et morale.
Parmi elles, la doctrine "Russie - Arche de Noé" dont les principes de base sont élaborés en 2008.
Sur sa base, un projet élargi de ce concept "Russie - Arche de Noé de l'humanité" édité par Yuri Gromyko et Yuri Krupnov, publié en décembre 2019.
Le travail du Club d'Izborsk "Arche russe", publié au printemps 2020, édité par Vitaly Averyanov.
Version française ici: https://pocombelles.over-blog.com/2021/03/arche-russe-strategie-alternative-pour-le-developpement-mondial.html
Traduit du russe par Le Rouge et le Blanc avec DeepL.
Leonid Ivashov: Que faut-il attendre de la rencontre entre Biden et Poutine ? (Partyadela, 31.05.2021)
Leonid Ivashov: Que faut-il attendre de la rencontre entre Biden et Poutine ?
31.05.2021
https://partyadela.ru/blogs/ivashov-leonid/13516/
Réfléchissons d'abord aux circonstances.
Qu'est-ce qui a poussé le président américain Joe Biden, qui vient d'entrer en fonction et qui a immédiatement lancé un défi politique à Poutine, le qualifiant même d'assassin, à faire volte-face et à proposer une rencontre ? Biden a parfaitement vu que la Russie, tant en coulisses qu'officiellement, était catégoriquement contre lui dans sa confrontation avec Trump. De plus, il a régulièrement jeté des matériaux compromettants sur Biden et son fils dans les médias mondiaux. C'est pourquoi le président américain n'a pas d'autres sentiments que la haine de Poutine. Et quel est le sentiment avec lequel le président russe se prépare à cette rencontre désagréable ? Je pense que le lecteur le comprend très bien. Mais au-delà des sentiments personnels, il y a aussi des problèmes politiques.
Tout d'abord, la proposition américaine a été faite en violation des règles de la pratique politique et diplomatique et de l'éthique internationale : la date, l'heure, le lieu et l'ordre du jour ont été clairement définis. Et il n'y a pas de déviations ni d'options russes, pas même dans les détails du protocole. Soit vous acceptez sans condition, soit la réunion n'aura pas lieu par votre faute. Pour Poutine, c'est essentiellement une assignation à comparaître. Ou une convocation devant le procureur (comme dans le film Captive du Caucase : soit je l'emmène au bureau d'enregistrement, soit elle m'emmène au procureur). Deuxièmement, Biden n'a pas présenté d'excuses pour l'insulte faite à Poutine et n'a pas fait référence à une mauvaise traduction. Troisièmement, toujours sur la base de ma propre pratique, les préparatifs de réunions aussi importantes, surtout lorsque les dirigeants des principaux pays se rencontrent, nécessitent des consultations avec les représentants des parties, afin de déterminer conjointement l'objectif, le résultat souhaité, d'élaborer le texte d'un communiqué ou d'une déclaration, de créer des groupes de travail, etc. Et lorsque toutes les questions ont fait l'objet d'un accord, des rapports contenant des propositions à l'intention des dirigeants suivent, ainsi que des points non convenus sur leur résolution. Il semble que (si les préparatifs ne se déroulent pas dans le secret militaire) la partie russe ne soit pas encore fixée sur la question principale, à savoir s'il faut aller à cette réunion.
Et bien sûr, il y a de grands doutes quant aux résultats dans le paradigme des avantages et des inconvénients. Surtout à l'approche des élections, où le parti au pouvoir peut perdre, et il aura alors une excuse : le chef de l'État a aggravé notre situation en perdant contre Biden. Donc, le dilemme pour la partie russe est de savoir s'il faut y aller ou non. Dans une situation normalement calme, Poutine aurait au moins imposé des conditions pour égaliser les chances, ou aurait poliment reporté la réunion à un moment plus propice. Mais pas maintenant. Essayons d'approfondir le problème. La raison pour laquelle M. Biden a soudainement changé de position et adouci le ton de son attitude envers M. Poutine, et la Russie en général, n'est pas très claire. Très récemment (je suppose que ce n'est pas à l'insu de Washington), l'Ukraine retirait des troupes pour attaquer le Donbass et Luhansk, et la Russie aux frontières de l'Ukraine, et la guerre semblait inévitable. Même l'OTAN a annoncé qu'elle prenait l'Ukraine sous sa protection, ce qui a menacé de déclencher une guerre paneuropéenne, qui, à son tour, a provoqué le risque d'une guerre mondiale. Soudain, toutes les parties se sont retirées, les États-Unis en premier lieu, même si, dans un scénario simple, il semblait qu'une guerre européenne, ou du moins une bataille russo-ukrainienne, était tout à fait avantageuse pour les faucons et Biden.
Elle profiterait également aux compagnies d'hydrocarbures américaines - en fermant définitivement le Nord Stream 2 et le Turkish Stream, libérant ainsi l'Europe pour les hydrocarbures de schiste américains. Et la guerre aurait résolu ce problème. Mais, Dieu merci, ce n'est pas le cas. Il est naturel de supposer que quelqu'un de plus puissant que le président américain a donné à Biden l'ordre de ne pas partir en guerre, mais de rencontrer Poutine, de lui serrer la main et de parler de quelque chose. C'est-à-dire envoyer un signal au monde pour qu'il ne se précipite pas dans la guerre. Ou peut-être que le président américain nouvellement élu a pris conscience de la responsabilité des événements à venir, ce que je ne crois pas. Le plus probable (selon l'opinion de mon auteur) est que cet acteur tout-puissant est la corporation financière mondiale qui domine le processus politique mondial. Et après avoir calculé tous les avantages et les inconvénients, le sommet de cet iceberg est arrivé à la conclusion qu'il subira des pertes au lieu de gros profits. Oui, en règle générale, les financiers gagnent beaucoup d'argent avec les guerres. Mais c'est quand ils ne sont pas au pouvoir. Aujourd'hui, après avoir vaincu Trump, un représentant d'un capital différent - capital industriel et manufacturier, capital financier, dont le représentant dans l'exécutif est J. Biden, est politiquement responsable à la fois des États-Unis et du système financier mondial, de l'état du dollar. Et, naturellement, ils ne gaspilleront pas la victoire globale sur des particularités sous forme d'animosité personnelle des présidents des deux pays. Une autre option est également possible. Par exemple, en mettant en œuvre le programme de construction de l'ordre mondial du capitalisme inclusif, le capital financier a révélé que l'oligarchie russe et les fonctionnaires corrompus, y compris les hauts dirigeants du pays, considèrent le projet inclusif comme un sauveur pour eux-mêmes. Cela signifie que la Russie peut devenir la locomotive de l'invention du Finintern. C'est pourquoi Biden et Poutine ont reçu l'ordre de mettre de côté tout ce qui est personnel et de travailler à un ordre mondial inclusif, qui sera déterminé par le capital financier. Et une guerre chaude n'est pas du tout nécessaire ici, du moins pas encore : le projet n'en est qu'à ses débuts. Les guerres hybrides, dominées par le soft power, sont bien établies et, de plus, elles sont peu coûteuses et même rentables.
Nous ne devons pas espérer que Poutine et Biden, lors de leur rencontre, feront une percée (non pas en paroles, mais en actes) en termes de stabilité stratégique. Je pense qu'ils ne seront pas autorisés à le faire. Ils travailleront fidèlement à partir du scénario qu'ils ont écrit, malgré leur animosité personnelle mutuelle. Peut-être se prendront-ils dans les bras sous les caméras de télévision ou se tapoteront-ils l'épaule en souriant. Et alors seulement, ils cracheront. Et dans l'ensemble, je suppose que la réunion ne sera utile que pour clarifier les positions du sujet financier mondial de la puissance mondiale. Mais c'est la tâche de l'analyse géopolitique approfondie et du pronostic systématique.
Traduit du russe par Le Rouge et le Blanc avec DeepL.
Paul Craig Roberts: Le traitement sûr et efficace du Covid par HCQ et Ivermectin a été bloqué par les autorités de santé publique
Le traitement sûr et efficace du Covid par HCQ et Ivermectin a été bloqué par les autorités de santé publique
3 juin 2021 |
Le traitement sûr et efficace du Covid par HCQ et Ivermectin a été bloqué par les autorités de santé publique afin de maximiser les profits de Big Pharma sur le vaccin qui s'est avéré très dangereux pour de nombreuses personnes.
Il semble que Big Pharma ait utilisé des "vérificateurs de faits" pour discréditer les rapports sur le traitement réussi du Covid par HCQ et Ivermectin. L'absence de traitement a maximisé les décès et ces derniers ont été utilisés pour inciter les gens à prendre des vaccins non testés et expérimentaux. Une fois de plus, nous constatons que le capitalisme accorde plus de valeur à l'argent qu'à la vie.
https://www.globalresearch.ca/covid-deaths-plunge-major-world-city-introduces-ivermectin/5746746
Le célèbre médecin français Didier Raoult a déposé une plainte pénale contre un prétendu "vérificateur de faits" pour avoir mis en doute son succès dans le traitement du Covid avec HCQ.
Il est clair que l'objectif des responsables de la santé publique était de vacciner les gens et non de traiter le Covid avec des remèdes sûrs et peu coûteux.
Traduit de l'américain par Le Rouge et le Blanc avec DeepL.
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2021/06/03/safe-and-effective-treatment-of-covid-by-hcq-and-ivermectin-were-blocked-by-public-health-authorities/
Sur le même sujet, écoutez l'entretien récent avec le Pr Peronne:
(Mai 2021) Le Pr Perronne fait le point sur la tyrannie sanitaire en France. Un entretien essentiel.
Effets secondaires graves des "vaccins" anti-covid (qui n'en sont pas, c'est de la manipulation génétique), désinformation, criminalisation des thérapies normales, terreur répandue dans la population, imposition de mesures négatives et liberticides: (confinement des personnes saines, distanciation "sociale", port du masque obligatoire, "pass sanitaire" généralisé...), conflits d'intérêt entre les nouveaux leaders de l'industrie et le monde de la politique, de la finance et des grands médias, etc.
Tout cela est passé en revue avec droiture et clarté par le Pr. Perronne dans cet entretien exceptionnel:
Tout cela laisse grandement à penser sur la nature du pouvoir en France...
Nous sommes vraiment dans un programme orwellien où les choses sont inversées car on a inversé le sens des mots. "Social" veut dire en réalité "anti-social", "sanitaire" (qui vient de "santé") veut dire "maladie", "sécurité" veut dire "contrôle, surveillance, répression, etc.
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