Sénateur Macolm Roberts (Queensland, Australie): La soupe aux lettres climatique
Sénateur Macolm Roberts (Queensland, Australie)
La soupe aux lettres climatique*
Il existe de nombreuses organisations gouvernementales qui se consacrent à la mise en œuvre des politiques climatiques des Nations unies, ce qui rend la vie de plus en plus difficile pour les Australiens. Il est difficile de suivre tous les projets. L’une de ces organisations est la Clean Energy Finance Corporation (CEFC). Il a des dépenses annuelles de 537 millions de dollars et des actifs d’un montant de 7,3 milliards de dollars. La masse salariale de leurs 15 employés les plus importants est de 7,4 millions de dollars par année.
Ian Learmonth, qui est l’un des responsables du CEFC et qui apparaît dans cette vidéo, a reçu une prime de 614 000 $ l’an dernier, ce qui porte sa rémunération totale pour l’année à 1 million de dollars ou 1,7 fois le salaire du premier ministre.
Il n’est pas surprenant qu’il ne voulait pas divulguer cela quand je lui ai demandé.
NdT: en anglais: "The Climate Alphabet Soup". La soupe alphabet est cette soupe rapide qui se prépare avec des pâtes de très petite taille en forme de lettres de l'alphabet ou de chiffres, pour amuser les enfants.
NDLR: On voit bien que l'escroquerie planétaire du "Réchauffement climatique anthropique" sert non seulement à imposer une politique qui sert les intérêts de la ploutocratie et à contrôler le reste de la population (et in fine la dépopulation), mais aussi à entretenir toute une bureaucratie grassement payée, ce qui est d'autant plus insupportable que les classes moyennes sont condamnées à l'appauvrissement et à la misère. C'est le sujet de cette enquête du sénateur Roberts auprès de la CEFC.
Transcription
Le sénateur ROBERTS : Il y a une soupe aux organismes et ministères impliqués dans la transition énergétique. De façon aussi simple et précise que possible, que faites-vous à la Clean Energy Finance Corporation, quelles sont vos responsabilités de base et quelles qualités uniques apportez-vous?
M. Learmonth : Le but du CFPC, tel qu’il est énoncé dans la loi, est de faciliter les flux de fonds d’investissement dans le secteur de l’énergie propre et de réaliser les objectifs climatiques du gouvernement. Nous utilisons une quantité importante de capitaux déployés dans l’économie australienne pour décarboniser l’Australie. C’est vraiment ce que nous faisons. Nous avons 165 personnes, dont la plupart sont très qualifiées pour aller sur le marché et trouver des endroits où nous pouvons utiliser ce capital catalytique pour réduire les émissions.
Le sénateur ROBERTS : Quelle est la masse salariale totale de tous les employés? Avez-vous des travailleurs occasionnels et des entrepreneurs ou sont-ils tous permanents à temps plein?
M. Learmonth : Nous venons de déposer notre rapport annuel qui contient toutes ces informations. Si vous souhaitez obtenir d’autres détails qui ne sont pas évidents ou disponibles dans le rapport annuel, je suis très heureux de les prendre en note.
Le sénateur ROBERTS : Il n’y a pas eu de changements depuis la publication du rapport annuel?
Mr Learmonth : Non.
Le sénateur ROBERTS : Quel est le budget total de la Clean Energy Finance Corporation, y compris les subventions ou programmes que vous administrez?
Mr Learmonth : Voulez-vous dire au-delà des prévisions? Quelle période?
Le sénateur ROBERTS : Pour l’exercice en cours, et si vous voulez le faire figurer dans le budget des dépenses, ce serait utile aussi.
M. Learmonth : Encore une fois, je vais prendre note de cela. C’est probablement la meilleure façon de procéder. Mon directeur financier pourrait être en mesure de vous fournir ce chiffre. Nous avons certainement ce qui est dans les documents budgétaires.
Le sénateur ROBERTS : Pour revenir aux bons mots du président, dernière question : quel est le salaire total de tous les employés qui sont ici en ce moment?
M. Learmonth : Encore une fois, c’est dans le rapport annuel. Bien sûr, Andrew et moi-même sommes explicitement à la page 215 du rapport annuel. Si vous désirez obtenir plus d’information à ce sujet, nous pouvons faire un suivi.
Le sénateur ROBERTS : Pourquoi ne pas partager?
Mr Learmonth : C’est là et il y a toute une série de mesures incitatives à court terme.
Le sénateur ROBERTS : Si cela ne répond pas à nos besoins, nous pouvons vous envoyer une lettre pour obtenir les détails? Est-ce exact?
Mr Learmonth : Je le placerais dans l’autre sens. S’il y a quelque chose qui ne figure pas dans ce document public concernant la rémunération
Traduit de l'anglais par Le Fil d'Ariane
Source et rapport (236 pages) du CEFC:
Le rôle du Soleil dans le changement climatique / une évidence que refuse le GIEC, par Patrice Gibertie
7 décembre 2024
Source : pgibertie.com – 25 novembre 2024 – Patrice Gibertie
Le rôle du Soleil dans le changement climatique est vivement débattu. Certaines études suggèrent que son impact est important, tandis que d’autres suggèrent qu’il est minime. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) soutient ce dernier point de vue et suggère que près de 100 % du réchauffement de surface observé entre 1850-1900 et 2020 est dû aux émissions anthropiques.
Cependant, les conclusions du GIEC se fondent uniquement sur des simulations informatiques réalisées avec des modèles climatiques mondiaux (MCG) forcés par un enregistrement de l’irradiance solaire totale (TSI) montrant une faible variabilité multidécennale et séculaire.
Les mêmes modèles supposent également que le Soleil affecte le système climatique uniquement par le biais du forçage radiatif – comme le TSI – même si le climat pourrait également être affecté par d’autres processus solaires.
Dans cet article, je propose trois modèles multi-proxy « équilibrés » de l’activité solaire totale (TSA) qui prennent en compte tous les principaux proxys solaires proposés dans la littérature scientifique.
Leur signature optimale sur les enregistrements de température globale et de surface de la mer est évaluée conjointement avec celles produites par les fonctions de forçage radiatif anthropique et volcanique adoptées par les GCMs CMIP6.
Cela est fait en utilisant un modèle de bilan énergétique de base calibré avec une méthodologie de régression multilinéaire différentielle, qui permet au système climatique de répondre à l’apport solaire différemment qu’aux seuls forçages radiatifs, et d’évaluer également la réponse temporelle caractéristique du climat.
La méthodologie proposée reproduit les résultats des GCMs CMIP6 lorsque leurs fonctions de forçage d’origine sont appliquées dans des conditions physiques similaires, indiquant que, dans un tel scénario, la plage probable de la sensibilité climatique à l’équilibre (ECS) pourrait être de 1,4 °C à 2,8 °C, avec une moyenne de 2,1 °C (en utilisant l’enregistrement de température HadCRUT5), ce qui est compatible avec le groupe de GCMs CMIP6 à faible ECS.
Cependant, si les enregistrements solaires proposés sont utilisés comme proxys TSA et que la sensibilité climatique à ces enregistrements est autorisée à différer de la sensibilité climatique aux forçages radiatifs, on constate un impact solaire beaucoup plus important sur le changement climatique, ainsi qu’un effet radiatif considérablement réduit.
Dans ce cas, l’ECS est de 0,9 à 1,8 °C, avec une moyenne d’environ 1,3 °C. Des plages d’ECS plus basses (jusqu’à 20 %) sont trouvées en utilisant HadSST4, HadCRUT4 et HadSST3.
Le résultat suggère également qu’au moins environ 80 % de l’influence solaire sur le climat pourrait ne pas être induite par le seul forçage TSI, mais plutôt par d’autres processus Soleil-climat (par exemple, par une modulation magnétique solaire des rayons cosmiques et d’autres flux de particules, et/ou autres), qui doivent être étudiés en profondeur et compris physiquement avant que des modèles de circulation générale fiables puissent être créés.
Ce résultat explique pourquoi les études empiriques ont souvent constaté que la contribution solaire aux changements climatiques tout au long de l’Holocène a été significative, alors que les études basées sur les modèles de circulation générale, qui n’adoptent que les forçages radiatifs, suggèrent que le Soleil joue un rôle relativement modeste.
Document de recherche : Evaluation empirique du rôle du soleil dans le changement climatique à l’aide d’enregistrements solaires multi-proxy équilibrés. Arthur Corentin, Ph.D.
En juin 2023, sortait dans la revue Geoscience Frontiers de l’éditeur Elsevier, un article du géophysicien Nicolas Scafetta, intitulé « Evaluation empirique du rôle du Soleil dans le changement climatique à l’aide d’enregistrements solaires multi-proxy équilibrés ». Si pour bon nombre de climato-réalistes il est évident que le Soleil est à l’origine des changements climatiques, il reste à essayer de le démontrer solidement pour que cette affirmation puisse être prise au sérieux.
C’est à cette tâche que se sont attelés Nicolas Scafetta et bien d’autres géophysiciens depuis de nombreuses années, mais cette publication de juin 2023 constitue, selon moi, un tournant et elle ne peut pas être ignorée.
Comme il le dit dans son article, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) suggère que près de 100 % du réchauffement de la surface observé entre 1850-1900 et 2020 est dû aux émissions anthropiques de gaz à effet de serre. Cependant, les conclusions du GIEC reposent uniquement sur des simulations informatiques réalisées à l’aide de modèles climatiques globaux forcés par un enregistrement de l’irradiation solaire totale (TSI), qui montre en fait une faible variabilité multidécennale et séculaire. Ces mêmes modèles supposent également que le Soleil n’affecte le système climatique que par le biais de ce forçage radiatif, alors que le climat pourrait également être affecté par d’autres processus solaires ». Ces processus sont regroupés sous le terme d’Activité Solaire Totale ou TSA, dont la TSI ne constitue qu’une partie. La TSA considère aussi l’effet du champ magnétique du Soleil, qui module les flux de rayons cosmiques à l’origine de la formation des nuages ou les changements de rayonnement UV qui ont un impact sur les concentrations en ozone dans la stratosphère, et probablement d’autres mécanismes.
Nicolas Scafetta, spécialiste du Soleil, a donc essayé de prendre en compte la TSA à l’aide, de jeux de données incluant trois nouveaux enregistrements de TSI allant de 1700 à 2022, déjà utilisés pour des études sur les changements climatiques. L’un d’eux, proposé il y a 30 ans, présente de fortes variations multidécennales et il a été complété par des données plus récentes acquises avec le radiomètre ACRIM de la NASA.
Pour modéliser l’effet de ces jeux de données, il a considéré que les températures terrestres globales et les températures de surface de la mer (SST) nommées T(t), sont déterminées par trois composantes : l’activité anthropique, l’activité volcanique et l’activité solaire. Puis, il a dérivé la fonction T dépendante du temps t, par rapport à ces trois composantes pour déterminer leurs coefficients de sensibilité respectifs, fonctions essentielles pour discriminer l’impact de chacune des composantes sur l’évolution de la température. Il s’est ensuite servi de ses trois jeux de données pour simuler des variations de température et observer la corrélation avec les enregistrements de T(t).
Pour s’assurer de la validité de ses simulations, il a reproduit tout d’abord, la simulation du GIEC à partir des données de son dernier rapport. Sans surprise, il est arrivé à la même conclusion : le rôle du Soleil est mineur et la composante anthropique est prépondérante sur les autres, du fait de la faible variabilité de la TSI du jeu de données utilisé.
En utilisant les trois jeux prenant en compte la TSA, sa modélisation suggère qu’elle pourrait avoir un impact 4 à 7 fois plus important que l’impact de la TSI seule, ce qui implique que l’effet du Soleil sur le climat pourrait être dû à d’autres mécanismes que ceux du forçage par la TSI.
Les personnes avisées le savaient déjà, mais il fallait le démontrer. Cette simulation montre aussi que l’effet des variations de l’activité solaire pourraient être comparable à la composante anthropique et que sa corrélation avec les enregistrements de température globale et de SST est meilleure que celle obtenue par le GIEC. Enfin, elle montre que la sensibilité climatique à l’équilibre ou ECS (résultat d’un doublement de la concentration en CO2), serait située entre 0,8 et 1,8 °C en prenant pour la simulation, uniquement les températures terrestres, et 0,6 à 1,6 °C avec uniquement les SST, alors que pour le GIEC, l’ECS est « probablement » situé entre 2,5 et 4 °C.
Cette publication vient donc en opposition frontale avec le sixième rapport du GIEC sur l’évaluation des changements climatiques, et elle ne peut être ignorée. Attendons les arguments qui lui seront opposés.
https://www.climato-realistes.fr/laction-du-soleil-sur-le-climat-2eme-partie-la-periode-recente
https://www.climato-realistes.fr/laction-du-soleil-sur-le-climat-3eme-partie
Commentaire de Annwyn sur le site Strategika, 7 décembre 2024
Le « Développement durable » concerne surtout celui du mensonge.
Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale.
Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992 (grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays), lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Est-il utile de rappeler que c’est Aurelio Peccei, ancien affilié du Groupe « Bilderberg » (et fondateur du Club de Rome, cette organisation technocratique), qui est à l’origine de l’émergence du concept de « développement durable » ?
Le FEM accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
Notons que l’on observe dans la Nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ». Cette seconde cause de mouvement engendre des déplacements qui déterminent la plupart des phénomènes météorologiques en dérangeant la stabilité de l’enveloppe gazeuse de la terre. Nous voyons que c’est cette cause qui détermine la chute des corps à la surface terrestre. Cette pesanteur planétaire (force que l’on a si mal expliquée jusqu’ici, et qui ne répond nullement à la cause qu’on lui a assignée) est le résultat de la pression exercée par l’Azote qui forme l’atmosphère des planètes sur les corps qui constituent leur surface ou sur ceux qui sont libres autour d’elles. Cette réaction constante de l’Azote vers la terre, qui lui a pris sa place dans l’espace, n’est pas la seule réaction qu’il exerce. Il tend aussi à se dilater dans une autre direction, c’est-à-dire vers les régions célestes de l’infini. De ce côté il est contenu par l’action dynamique des radiations qui le frappent incessamment. Mais les radiations ne sont ni immuables ni éternelles, elles sont, au contraire, dans un état constant de variabilité. Or, chacun des changements qui surviennent dans leur mode d’action se traduit, dans les profondeurs de notre atmosphère, par un changement d’état de la réaction de l’Azote.
L’Azote (appelé « Ether » dans l’antiquité) est donc une substance qui n’est pas seulement dans notre atmosphère, mais au-delà, partout, et dans l’univers entier, sous des états de condensation ou de raréfaction qui dépendent du milieu dans lequel elle s’épand :
– Si la pression des radiations devient moins forte, l’Azote se dilate dans l’atmosphère ; tous les corps qu’il comprimait se dilatent aussi : c’est la chaleur ;
– Si la pression devient plus forte, l’Azote augmente sa réaction vers la terre, il comprime plus fortement les corps qui en occupe la surface : c’est le froid ;
– Si la pression en plus ou en moins est accidentelle, si elle n’intéresse qu’un seul point de l’atmosphère, il en résulte un changement de densité qui, en se propageant aux couches les plus voisines y détermine « un courant ». C’est le vent ;
– Si un seul faisceau de radiation vient à manquer subitement, c’est un vide subit qui est offert au besoin d’expansion de l’Azote et dans lequel il se précipite en tournoyant : c’est une trombe, une tornade, un cyclone. Le mouvement commencé dans les régions élevées de l’atmosphère se propage de haut en bas. Lorsqu’il atteint la surface terrestre, le bouleversement des éléments atmosphériques, qui en résulte, détermine toutes sortes de ravages.
Ainsi, tout ce qui se passe sur la terre à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère. L’esprit de l’homme, perdant de vue l’Univers, s’est confiné dans son petit monde et a voulu y trouver la cause de tout ce qui existe. C’est là une méthode mesquine que la science de l’Univers détruira.
Disons également deux mots à propos du Carbone et de sa désassimilation, c’est-à-dire sa présence dans l’organisme à l’état d’acide carbonique qui est la forme ultime qu’il prend et sous laquelle il est expulsé du corps ; opération qui s’effectue aussi dans les plantes et dans les animaux. Le carbone subit dans l’organisme mille modifications en s’unissant aux divers éléments qu’il rencontre ; finalement, il est rejeté du corps et, alors, remis en liberté dans l’atmosphère où, après fort peu de temps, et sous différentes actions physiques et chimiques, l’acide carbonique est décomposé en ses éléments, c’est-à-dire retourne à son état primitif et rentre dans le grand réservoir commun d’Azote et d’Oxygène. L’acide carbonique se décompose par la chaleur. C’est pourquoi, en été, alors que la vie végétale a le plus d’activité, la chaleur est presque toujours assez élevée pour décomposer l’acide carbonique de l’atmosphère. C’est parce qu’en été tout l’acide carbonique jeté dans l’air par les hommes, les animaux, les plantes et par les foyers de combustion est promptement décomposé et rendu à son état primitif, que l’air est pur, tandis qu’à basse température cette décomposition ne s’opère pas ; donc, en hiver l’air est moins pur. Rappelons que les partisans des causes finales expliquent l’apparition des végétaux sur la terre avant celle des hommes et des animaux par la nécessité de purifier l’atmosphère par leur respiration, en lui enlevant l’acide carbonique qu’ils supposent y avoir régné, et en fabriquant des tissus qui puissent servir de nourriture aux herbivores, lesquels, plus tard, pourront servir de nourriture à l’homme. Donc, pour eux, il existe un Créateur qui, dès l’origine du monde, a eu en vue la création de l’homme, but et fin de toutes choses, qui a préparé, longtemps à l’avance, cette création ultime par une série de création préparatoires, qui a façonné un monde pour pouvoir, un jour, inviter cet être privilégié à venir en prendre possession. Et pour soutenir de pareilles extravagances, on invoque des faits scientifiques, on torture la pauvre science qui sert de prétexte à tant de divagations. C’est pour soutenir cette idée absurde qu’on a imaginé de dire qu’il fallait des végétaux pour enlever à l’air un excès d’acide carbonique que l’on a inventé pour la circonstance, afin que l’homme et les animaux pussent venir, plus tard, vivre dans cette atmosphère primitivement impure. De cette manière on fait servir les conclusions d’une théorie qui est fausse, à la confirmation d’une idée qui n’est pas moins fausse. Tout cela est de la fable et constitue la mythologie scientifique des « Lactance » et « Arnobe » modernes.
Pour revenir au Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), soulignons que, à l’origine, il est issu du « 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages » (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par la Banque Rothschild, et le Baron Edmond de Rothschild lui-même. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès qui était présidé par l’homme politique, membre de la haute finance canadienne et agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, Maurice Strong (1929-2015). Co-fondateur du WWF, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et co-directeur de l’Aspen Institute, Maurice Strong était aussi membre fondateur du GIEC (créé en 1988) et de l’« Earth Council », dont il deviendra le Directeur. Créé en 1992, au Costa Rica, pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », l’« Earth Council » a aussi comme membre fondateur Klaus Schwab, accessoirement « Monsieur Great Reset », mais surtout fondateur du « World Economic Forum », les Symposiums annuels qui depuis 1971 réunissent à Davos, en Suisse, les hommes du « Big Business ».
Enfin, rappelons que Al Gore, ancien sénateur et vice-président des États-Unis sous l’ère « Clinton », qui a évoqué l’environnement en tant que question politique, et qui est donc surtout connu pour sa « lutte », avec l’aide du GIEC, contre les effets du réchauffement climatique, est aussi le cofondateur (avec le chef de la gestion d’actifs de Goldman Sachs, David Blood) de « Generation Investment Management LPP », fonds d’investissements dans « l’économie durable », qui recueille des capitaux d’investisseurs du monde entier et en particulier de nombreux fonds de pension américains. Al Gore s’est lancé également dans le négoce de certificats d’émissions de CO2, et est aujourd’hui membre du conseil d’administration d’Apple, important actionnaire et conseiller de Google, et membre du conseil d’administration du Forum économique mondial de Davos.
On constate dans cet exemple, et au-delà des beaux discours trompeurs mais « nobélisés » (Al Gore, avec le GIEC, a reçu le prix Nobel de la paix en 2007) et « oscarisés » (« Une vérité qui dérange » a été récompensé par 2 Oscars en 2007) par les promoteurs du « système », toute l’hypocrisie et le caractère toujours bassement mercantile de tous ces médiocres individus au service de l’oligarchie.
Surprise souverainiste en Roumanie ? L’analyse critique Iurie Rosca
Surprise souverainiste en Roumanie ? L’analyse critique Iurie Rosca
5 décembre 2024 Rédaction Strategika
Source : telegra.ph – 27 novembre 2024 – Iurie Rosca
https://telegra.ph/Syndrome-du-sauveur-ou-le-Cheval-de-Troie-est-parmi-nous-11-27
Le syndrome du sauveur ou Le cheval de Troie est parmi nous.
Les élections présidentielles en Roumanie ont suscité un intérêt particulier de la presse internationale. Et la presse alternative semble avoir eu une bonne occasion de tester sa capacité à discerner entre vérité et simulacre. Mais comme « les nôtres » préfèrent souvent être trompés par la séduction et impressionnés par les apparences, ils font partie des partisans et promoteurs d’imposteurs comme Donald Trump ou de ses clones comme Călin Georgescu.
Beaucoup de ceux qui sont dans notre camp s’imaginent qu’il pourrait encore y avoir un pays où quelqu’un qui n’est pas contrôlé par le Système peut avoir un résultat électoral majeur. Autrement dit, ceux qui prétendent critiquer le Système deviennent ses victimes par excès de crédulité et par « wishful thinking » (pensée désidérative). Nous n’aimons pas penser que le coup d’État à l’échelle mondiale est un fait accompli. Il s’est pleinement manifesté en 2020 avec la fausse pandémie. À cet égard, le livre de notre ami suédois Jacob Nordangard « The Global Coup d’État : The Fourth Industrial Revolution and the Great Reset » (Le coup d’État mondial : La quatrième révolution industrielle et la grande réinitialisation) est très utile.
Notre obsession électoraliste, la religion du républicanisme, les mythes de la « souveraineté populaire » et du suffrage universel nous empêchent d’accepter le fait que dans les conditions de la démocratie de masse on ne peut pas obtenir un renversement de situation en faveur des intérêts nationaux.
Călin Georgescu est un exemple classique d’ingénierie sociale, mis en œuvre depuis longtemps. Il s’agit d’un franc-maçon notoire, membre du Club de Rome, qu’il loue jusqu’à aujourd’hui, mais qu’il prétend avoir abandonné il y a un an parce que le club serait détourné de « ses idéaux lumineux ». Il a longtemps travaillé à l’ONU, étant un expert en « développement durable », qui, comme on le sait, est la stratégie de l’élite mondiale de destruction et d’asservissement de l’Humanité. Georgescu a travaillé pendant de nombreuses années au sein du gouvernement roumain, notamment en tant que responsable des programmes des Nations Unies pour la mise en œuvre de la stratégie de développement durable.
En outre, Călin Georgescu n’est pas gêné de louer publiquement et à plusieurs reprises la franc-maçonnerie quand il est nié il soit un maçon. Il dit que c’est la maçonnerie qui a le mérite historique d’avoir créé l’État roumain moderne. En plus, dit-il, Mozart était un maçon et cela ne l’a pas rendu moins brillant.
La Roumanie a traversé de nombreux moments tragiques après la chute du communisme. Mais ce carriériste et initié n’a jamais pris une attitude publique envers la tragédie de son propre peuple. Il a été activé il y a quelques années et lancé dans la vie publique roumaine après sa retraite de l’ONU. Et il a parasité d’une manière très réussie le discours nationaliste. Son discours grandiloquent, plein de références aux symboles sacrés de l’histoire et de la culture roumaine, a réussi à impressionner de nombreuses personnes. Et pour le rendre encore plus crédible, il s’est déclaré très tôt comme un sympathisant du mouvement des légionnaires et de son chef Corneliu Codreanu, ainsi que du maréchal Antonescu.
Călin Georgescu représente un cas classique d’opposition contrôlée, un simulacre, une poupée de mondialistes bonne pour séduire le crédule public. Il lui a été assigné le rôle de Sauveur tout comme dans le cas de Trump. C’est pourquoi, à l’aide de techniques de manipulation utilisées par les services spéciaux roumains affiliés aux mondialistes, il a été propulsé au second tour des élections présidentielles.
Le truc a été couronné de succès, étant soutenu par les milieux sionistes en Roumanie tels que l’Institut Wiesel et les réseaux Soros en contestant avec véhémence sa candidature, en le taguant de fasciste, nazi, extrémiste, etc. Et pour rendre la légende encore plus crédible, Călin Georgescu a été propulsé au deuxième tour face à une dame, Elena Lasconi, une progressiste qui représente un parti politique produit par le réseau Soros, USR, pro-LGBTQ, pro-OTAN et pro-UE, etc. Autrement dit, les Roumains doivent choisir entre un outil de globalistes avec le masque d’un grand patriote et un autre outil de globalistes sans masque. L’équation pour le second tour des élections présidentielles en Roumanie imite le tandem Trump-Harris, faisant ainsi voter pour le faux patriote ou au moins pour le moindre mal.
La manœuvre des mondialistes a réussi à manipuler les cercles de dissidence antimondialiste à la fois à cause du discours antisystème de Călin Georgescu et parce que la presse dominante dans le monde l’avait critiqué pour son discours nationaliste. Je voudrais ici mentionner la formule extrêmement réussie de notre ami Youssef Hindi qui, en caractérisant ces apparences fulminantes de prétendus souverainistes, dit qu’il s’agit d’un « nationalisme israélo-conforme ». Marine Le Pen, Viktor Orban, Mario Salvini seraient précisément de cette facture. Soit dit en passant, les deux derniers ont déjà fait preuve de solidarité avec Benjamin Satanyahu après que la Cour pénale internationale ait émis un mandat d’arrêt pour crimes de génocide. Orban et Salvini invitent le leader sioniste coupable de crimes inimaginables à visiter respectivement la Hongrie et l’Italie.
Călin Georgescu doit être placé dans la même « famille politique ». Maintenant, un autre détail important à cet égard : la presse de Bucarest annonce avec faste que l’envoyé du grand vainqueur Turmp, Robert Kennedy Jr., vient soutenir Călin Georgescu dans les élections. Je crois personnellement que cet ancien démocrate a été accepté dans le camp de Trump non pas pour sa position anti-vaccin, mais pour son soutien total et ardent à Israël. Donc, nous avons toujours et encore un nationaliste israélo-conforme. Il est également intéressant de noter ici que la garniture entière des futurs membres du cabinet Trump se compose exclusivement de sionistes fanatiques ou de leurs serviteurs. Leur devise est « Israël first! ».
À l’ère de la haute technologie et de la manipulation généralisée, après avoir appris la leçon historique sur les prêteurs d’argent et les commerçants qui ont produit la république et les élections pour contrôler la politique, il est tout à fait regrettable de constater qu’autant de gens dans notre camp se laissent encore tromper par les apparences. Dans des situations aussi embarrassantes, on ne sait même pas faire la distinction entre les naïfs de bonne foi et ceux qui nous ont infiltrés pour nous manipuler. S’il vous plaît, admirez le sauveur de la Roumanie sur un cheval blanc et dans l’armure de Superman. Ce ne sont pas de fausses photos, elles font partie de la campagne de promotion de Călin Georgescu.
https://luminaadevarului.com/wp-content/uploads/2024/11/georgescu.jpg
D’ailleurs, Călin Georgescu pratique aussi le judo comme Poutine et se baigne dans le lac en plein hiver. Un bon candidat pour lequel il faut voter.
La société du spectacle fonctionne à coup sûr. Et le public est très impressionné par ce théâtre sans fin.
Source: https://strategika.fr/2024/12/05/surprise-souverainiste-en-roumanie-lanalyse-critique-iurie-rosca/
Paul Craig Roberts: Les taux de décès et les blessures de santé en hausse causés par le COVID-19 ne peuvent plus être couverts
3 décembre 2024
Les taux de décès et les blessures de santé en hausse causés par le COVID-19 ne peuvent plus être couverts
Paul Craig Roberts
L’Irlande se joint à une initiative internationale de 11 États appelant à la suspension des vaccins à ARNm mod, invoquant de graves préoccupations sanitaires.
Le Dr Francis Boyle, auteur de la loi américaine « Biological Weapons Anti-Terrorist Act of 1989 », se joint à l’appel de l’Irlande.
https://substackcdn.com/image/fetch/f_auto,q_auto:good,fl_progressive:steep/https%3A%2F%2Fsubstack-post-media.s3.amazonaws.com%2Fpublic%2Fimages%2Ff0982900-d3a9-4c5d-befb-62281dd85029_2048x1024.jpeg
Vous souvenez-vous de moi et de quelques autres personnes qui vous ont averti d’éviter le « vaccin » contre la COVID? Nous avons été accusés de diffuser des informations erronées qui auraient pour effet d’accroître la létalité du COVID-19 en décourageant les gens de se protéger avec un « vaccin sûr et efficace », pour reprendre les mots des menteurs Tony Fauci et Joe Biden.
Aujourd’hui, les experts médicaux et les autorités publiques appellent à l’arrêt de toute vaccination par ARNm. La hausse des décès et l’augmentation énorme des maladies mortelles et des conditions de santé à la suite des vaccinations de masse ne peuvent plus être niées.
La profession médicale est contrôlée par les grandes sociétés pharmaceutiques, et les grandes sociétés pharmaceutiques ne pensent qu’en termes de profits, notre santé est condamnée. Peut-être que quelque chose peut être fait maintenant que Bobby Kennedy a été nommé secrétaire à la santé et aux services sociaux de Trump, en supposant que les grandes sociétés pharmaceutiques ne bloquent pas sa confirmation au Sénat, et maintenant que Trump a nommé Jay Bhattacharya à la tête du NIH. Bhattacharya, professeur à l’École de médecine de l’Université de Stanford, a été un des premiers critiques des mesures de confinement et des vaccins contre les pandémies. La communauté médicale contrôlée par les grandes sociétés pharmaceutiques a tenté de qualifier Bhattacharya de « non scientifique » et de détruire sa carrière. Big Pharma, une industrie de gangsters, sera certainement là pour bloquer la confirmation de Bhattacharya.
Le public américain a progressivement pris conscience que tout ce que les gouvernements leur disent est un mensonge. Il a fallu 50 ans à la majorité des Américains pour réaliser que le président John F. Kennedy avait été tué par la CIA et les chefs d’état-major interarmées. Les soupçons sont apparus beaucoup plus tôt avec la tentative d’assassinat de Trump en Pennsylvanie. Le récit de la COVID, qui était ancré en 2020-2021, s’est effondré en 2024. Tout le récit était un mensonge total.
Si les Big Pharma réussissent à bloquer Kennedy et Bhattacharya et que les néoconservateurs sionistes peuvent bloquer Tulsi Gabbard, nous saurons que l’administration Trump est terminée avant même qu’elle ne commence et que rien ne peut être fait pour restaurer le gouvernement auprès du peuple.
Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane
Paul Craig Roberts: Géorgie : Le deuxième front de Poutine
3 décembre 2024
Géorgie : Le deuxième front de Poutine
Paul Craig Roberts
Le président Poutine est confronté à la possibilité d’une seconde Ukraine, un second front de guerre, qui pourrait être le résultat du succès de Washington dans l’organisation d’un coup d’état en Géorgie avec une révolution des couleurs. Les troubles qui se sont produits depuis que le « parti russe » a gagné le « parti occidental », 54% contre 34%, ont convaincu le premier ministre géorgien que l’Occident est en train de lancer une révolution des couleurs pour renverser, comme il l’a fait en Ukraine, un gouvernement démocratiquement élu. Poutine est silencieux et peut donc se battre sur deux fronts. L’Occident ouvrira alors un troisième front. C’est ce à quoi Poutine peut s’attendre, se présentant constamment comme un non-interventionniste, à moins qu’il n’attaque la Russie. La Russie, de loin l’organisation militaire la plus puissante sur terre, n’a aucune importance dans les conseils occidentaux.
La Géorgie, le pays, est devenu partie de la Russie au début des années 1800. En 1917, la Géorgie est devenue l’une des provinces de l’Union soviétique. Le pays est devenu indépendant en 1991, lorsque l’effondrement de l’Union soviétique a donné à Washington la possibilité de dissoudre l’Union soviétique. La Géorgie, l’Ukraine, le Bélarus et les provinces d’Asie centrale ont été transformés en pays indépendants.
En 2003, Washington a organisé la "Révolution des roses" en Géorgie qui a renversé un gouvernement pro-occidental. En 2008, Washington a envoyé son armée géorgienne armée et équipée à l’Ossétie du Sud, une province contestée qui n’avait pas accepté de quitter la Russie avec la Géorgie. Alors que les soldats de la paix russes ont été tués dans l’invasion géorgienne de l’Ossétie du Sud, Poutine a envoyé une armée russe qui a rapidement détruit l’armée géorgienne formée par les États-Unis et conquis la Géorgie en cinq jours, ce qui était censé se produire en Ukraine.
Ne réalisant pas que Washington continuerait à essayer de transformer la Géorgie en un front contre la Russie, Poutine a laissé partir la Géorgie et a ramené son armée chez lui. Poutine, qui croit à la non-ingérence même si c’est aux dépens de la Russie, a laissé la Géorgie être plantée par Washington. Poutine n’a pas exigé que la Géorgie ferme les ONG de Washington qui opèrent dans le pays, ou que la Géorgie se soumette à la Russie.
Par conséquent, Washington a une Française en charge de la Géorgie et la propagande de Washington et les ONG ont convaincu 34% des Géorgiens qu’ils préfèrent une alliance avec l’Occident plutôt que la Russie. Cela fait partie de l’intention de Washington d’entourer la Russie de bases de missiles.
La marionnette de l’UE de Washington menace d’imposer des sanctions au gouvernement démocratiquement élu de Géorgie pour ne pas avoir annulé les élections et installé un gouvernement pro-occidental. Le chef de la politique étrangère de l’UE, Kai Kallas, s’est rangé du côté des 34% de ceux qu’elle appelait "le peuple géorgien", et non de 54% de ceux qui ont gagné les élections. Elle a promis que l’UE punirait ceux qui ont gagné et que les sanctions contre la Géorgie seraient une des options pour résoudre le problème du refus du peuple géorgien de se conformer aux règles de l’UE.
Le secrétaire de presse du département d’État américain a annoncé samedi dernier que Washington avait suspendu un partenariat stratégique avec la Géorgie, mettant ainsi la Géorgie sur une voie de renversement.
Le président de la Géorgie soutient les ONG qui manifestent à Washington et a déclaré que les élections législatives sont illégales.
Rien n’indique que le gouvernement russe comprend que le renversement d’un gouvernement pro-russe signifie des problèmes pour la Russie. Fyodor Lukyanov, président de la présidence du Conseil de politique étrangère et de défense, écrit des bêtises sur la tentative d’une "révolution des couleurs" comme si elle était seulement une affaire interne pour la Géorgie. https://www.rt.com/news/608595-fyodor-lukyanov-can-west-still/ Au lieu de venir en aide à la Géorgie, Poutine et Lavrov continuent de provoquer une désinformation massive en Russie en parlant de « nos partenaires occidentaux ».
Traduit du russe par Le Fil d'Ariane
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2024/12/03/georgia-a-second-front-for-putin/
Le FMI appellera-t-il à des confinements climatiques? Le Fonds Monétaire International se fait l'ambassadeur de mesures vantées durant la «crise sanitaire» de 2020-2022 (Essentiel News)
Le Fonds Monétaire International se fait l'ambassadeur de mesures vantées durant la «crise sanitaire» de 2020-2022
25 novembre 2024
Sous couvert de «crise sanitaire» entre 2020 et 2022, les planificateurs centraux du Forum économique mondial avaient imposé des restrictions économiques sans précédent en temps de paix. Une partie des chaînes d’approvisionnement avaient été interrompues, ce qui avait entraîné un accroissement du chômage et accéléré l’inflation.
Malgré les souffrances engendrées, ils avaient fait valoir que ces restrictions avaient été bénéfiques pour la planète, en affirmant qu’elles avaient permis de réduire les «émissions de gaz carbonique». Ils avaient alors présenté l’idée de «confinements climatiques» dont le but serait de faire décroître l’activité économique pour «résoudre le réchauffement climatique.»
Mme Marianna Mazzucato, professeure en économie de l’innovation pour le bien public, présidente du “Conseil de la santé pour tous à l’OMS”, et présentée comme une «collaboratrice de l’agenda» par le Forum économique mondial, avait été jusqu’à écrire:
Lorsque le COVID-19 s’est propagé au début de l’année, les gouvernements ont mis en place des mesures de confinement afin d’éviter qu’une situation d’urgence en matière de santé publique ne devienne incontrôlable. Dans un avenir proche, le monde pourrait avoir à nouveau recours à des mesures de confinement, cette fois pour faire face à une urgence climatique.
Dans le cadre d’un «confinement climatique», les gouvernements limiteraient l’utilisation des véhicules privés, interdiraient la consommation de viande rouge et imposeraient des mesures d’économie d’énergie extrêmes, tandis que les entreprises d’énergie fossile devraient cesser leurs activités de forage.
Nombreux sont ceux qui considèrent que la crise climatique est distincte des crises sanitaires et économiques provoquées par la pandémie. Or, ces trois crises – et leurs solutions – sont interconnectées. […] La crise climatique est également une crise de santé publique. […]
Nous devons agir rapidement si nous voulons transformer l’avenir du travail, des transports et de l’utilisation de l’énergie, et faire du concept de «bonne vie verte» une réalité pour les générations à venir.
Malgré cela, les médias de masse avaient qualifié les observateurs qui soulignaient ces faits avérés de «complotistes.»
(...)
Suite et source de l'article:
https://essentiel.news/fond-monetaire-international-confinements-climatiques/
Fuites RKI: intervention historique au Bundestag allemand (Essentiel News)
Fuites RKI: intervention historique au Bundestag allemand
Le Prof. Stefan Homburg récapitule devant les législateurs les révélations qui provoquent une onde de choc en Allemagne
21 novembre 2024
https://essentiel.news/fuites-rki-intervention-historique-au-bundestag-allemand/
En avril de cette année, Essentiel News avait été parmi les premiers médias francophones à faire état de l’affaire dite des «RKI Files». En cause, des procès-verbaux, d’abord obtenus par le magazine allemand Multipolar à l’issue d’une bataille judiciaire longue de deux ans, faisant le compte rendu des réunions tenues pendant la soi-disant «crise sanitaire» de 2020-2022 par l’Institut Robert Koch (RKI), l’agence allemande de santé publique.
Ces documents avaient prouvé que les décideurs allemands avaient été informés, dès le début, que le Covid était moins dangereux qu’une épidémie de grippe; que les injections étaient au mieux inutiles; et que toutes les mesures de contrainte avaient été ordonnées par les politiciens et les militaires, sans aucun débat scientifique, et contre des avis d’experts.
Ces révélations avaient provoqué une onde de choc en Allemagne et avaient forcé beaucoup de politiciens et de ministres allemands à prendre position; soit pour se défendre, soit pour réclamer une commission d’enquête.
En Suisse, l’affaire avait fait dresser un réquisitoire à la Neue Zurcher Zeitung (NZZ) contre les «mesures sanitaires» et l’hystérie collective de 2020-2022.
Et pourtant, ces documents du RKI étaient, dans ce premier temps, encore censurés.
Trois mois plus tard, tous les documents décensurés avaient été fuités par un lanceur d’alerte. Essentiel News en a fait état et a proposé l’intégralité des documents en téléchargement.
Cet acte 2 de l’affaire des «RKI Files» est celui qui a véritablement ouvert la boîte de Pandore, et permis à l’opinion de se rendre compte de l’étendue du scandale. En Autriche, ces nouvelles révélations avaient été jusqu’à faire titrer à l’Agence de presse principale du pays que «les protocoles RKI montrent que les mesures liées au coronavirus étaient une mise en scène sans preuve de la part des politiques et de l’armée.»
Or plus le temps passe, plus les journalistes indépendants se penchent sur le contenu de ces fuites, et plus les révélations qui en sortent sont accablantes pour le pouvoir allemand; et par extension ce sont toutes les contre-vérités du Covid qui se trouvent exposées au niveau mondial.
L’affaire est donc loin d’être terminée. Justement, le dernier évènement en date est une intervention historique du professeur Stefan Homburg devant le parlement (Bundestag) allemand.
Avec une précision remarquable et un calme olympien, cet éminent intellectuel et économiste allemand présente succinctement aux législateurs de son pays les révélations issues des fichiers RKI.
Ci-dessous figure une vidéo intégrale de son intervention, traduite et sous-titrée en français par Viviane Cuendet:
Emission spéciale de Jean-Dominique Michel
En surcroît de ce qui précède, les lecteurs intéressés trouveront ci-dessous une excellente émission de Jean-Dominique Michel, diffusée le 19 novembre 2024, et consacrée à cette affaire:
Paul Craig Roberts: Thanksgiving
Le Parlement européen à Strabourg, en forme de Tour de Babel. L'UE est le laboratoire du Gouvernement mondial.
28 novembre 2024
Thanksgiving
par Paul Craig Roberts
N'oubliez pas que Thanksgiving est une célébration des immigrants-envahisseurs qui ont envahi, détruit ou écarté du pouvoir les habitants natifs de l'Amérique du Nord.
La même chose est en train de se produire en Amérique du Nord, en Europe occidentale et au Royaume-Uni. L'immigration de masse est la meilleure arme du mondialisme. Elle détruit les nations à base ethnique et la conscience nationale. Une Tour de Babel n'est ni une nation ni un pays. La voie est donc ouverte à la domination mondiale par le seul pouvoir.
Nous sommes à mi-chemin. Déjà, les gouvernements occidentaux ne représentent plus les intérêts de leurs citoyens. Le dernier exemple en date est l'annulation par le Premier ministre britannique, pour des raisons budgétaires, de l'allocation de chauffage pour l'hiver destinée aux retraités britanniques, tout en redoublant de soutien à la guerre contre la Russie.
Traduit de l'américain par Le Fil d'Ariane
Source: https://www.paulcraigroberts.org/2024/11/28/thanksgiving/
Paroles de Sri Râmakrishna Paramahamsa
God is our Inner Controller. Pray to Him with a pure and guileless heart. He will explain everything to you. Give up egotism and take refuge in Him. You will realize everything.
God is seen when the mind is tranquil. When the mental sea is agitated by the wind of desires, it cannot reflect God and then God-vision is impossible.
Many are the names of God and infinite the forms that lead us to know Him. In whatsoever name or form you call on Him in that very name and form you will see Him.
The companionship of the holy and wise is one of the main elements of spiritual progress.
He who from the depth of his soul seeks to know God will certainly realize Him. He must. He alone who is restless for God and seeks nothing but Him will certainly realize Him.
Yato mat, tato path “As many faiths, so many paths.”
Sri Ramakrishna (1836-1886)
Vedanta is the oldest of the major living religions of the world. It affirms that all religions lead to the same Truth — “Truth is one; sages call it by various names” (Rig Veda). Vedanta teaches that the essence of all beings and all things is Spirit, infinite and eternal, unchanging and indivisible. It emphasizes that a person’s true nature is this divine Spirit, identical with the inmost being and reality of the universe and that the goal is to actualize this truth in one’s life.
Le long voyage du mondialisme de Venise à Pékin, par Iurie Rosca
(...)
S’inspirant de la tradition des trois auteurs mentionnés ci-dessus, Fernand Braudel, Immanuel Wallerstein et Giovanni Arrighi, Meeuwis T. Baijen montre dans son livre « migration » le noyau du système capitaliste (Glafia) des deux villes italiennes médiévales de Venise et Gênes vers l’Espagne, puis vers les Pays-Bas, puis vers l’Angleterre, pour arriver après la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis. Et la station terminale de ce moment historique est la Chine, comme l’a brillamment démontré Giovanni Arrighi dans son livre déjà cité. En effet, notre auteur souligne que depuis 500 ans, les groupes qui se trouvent dans les coulisses de l’histoire ont maintenu leur continuité dans le temps, en promouvant leur stratégie immuable d’accumulation de richesses et de pouvoir politique à l’échelle mondiale. Cette migration périodique est également liée aux cycles des empires modernes, espagnol, portugais, hollandais, britannique et américain, et, pour arriver au moment présent, à la transition de l’empire américain à l’Empire chinois.
En ce sens, l’auteur démonte aisément le mythe des BRICS comme un conglomérat de pays qui tendrait à annihiler la suprématie américaine au profit de tous les peuples du monde. Rien de tout cela. Simplement, les stratégies de Glafia quittent le navire américain et s’embarquent sur le navire de la domination mondiale chinoise. Autrement dit, de l’unipolarité américanocentrique à la multipolarité russo-chinoise, il n’y a qu’un pas, mais il est franchi avec une précision diabolique par ceux qui usurpent le pouvoir réel à l’échelle mondiale sur des marionnettes placées à la tête des États en tant qu’administration d’occupation. Tant que les 193 États membres de l’ONU, expression du Gouvernement Mondial non déclaré, reconnaissent la suprématie de cette organisation créée par la Glafia à la suite des deux guerres mondiales et exécutent docilement par la vente tous les ordres et directives émis par elle, ainsi que par des organisations telles que l’OMS, le FMI, la Banque Mondiale, la BRI, l’OMC, il est absurde de dire qu’il y aurait une « révolte des nations » sous l’égide des BRICS. Je cite ici la série d’articles de notre ami britannique, également cité par l’auteur, Iain Davis, qui a publié quatre articles fondamentaux sur le phénomène BRICS :
https://iaindavis.com/multipolar-world-order-part-1/
Dans ce contexte, il convient également de noter que Meeuwis T. Baaijen brise un mythe dominant dans les relations internationales, à savoir que les États-nations seraient les principaux sujets. Alors que tout au long de l’Histoire, les empires ont été les véritables sujets des âges des peuples, ils ont déterminé le cours des événements et l’équilibre des pouvoirs dans le monde. Et la paix de Westphalie de 1648, qui aurait jeté les bases des relations entre les États-nations, ne devrait pas être considérée comme un dogme, comme nous l’enseignent les manuels scolaires, car les rapports de force, la paix et la guerre, la colonisation et les expansions territoriales n’ont été décidés que dans une moindre mesure, et parfois de manière fictive par les chefs d’État visibles/officiels. Tout au long de l’histoire de la modernité, ce ne sont pas les États, mais les entités privées qui se trouvent derrière eux qui ont été la force motrice qui a déterminé le cours des événements.
(...)
Source et suite de l'article:
https://strategika.fr/2024/11/27/le-long-voyage-du-mondialisme-de-venise-a-pekin-iurie-rosca/